Hello ! Le soleil brille, brille, brille !…

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Asclepios


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« C’est super sympa, cet endroit ! Je ne connaissais pas du tout !

— Et pourtant, en été, la moitié de la ville s’y retrouve !

— Oui, peut-être, mais tu sais bien que je ne suis pas un fanatique du « farniente » au soleil…

— J’espère que ça va changer !…

— Il y a des chances, avec toi…

— Comment ça, avec moi ? »

Et Isa bascula sur le côté pour se rapprocher d’André, l’enlacer tendrement et déposer un baiser amoureux sur ses lèvres sensuelles.

« Tu es si belle, mon amour, que je ne manquerais pour rien au monde le spectacle de ta peau soyeuse dénudée !

— Hmmm, quel compliment !

— Il est mérité, et tu le sais fort bien !…

Et André se retourna comme une crêpe, afin de soustraire aux regards l’évidence de son désir pour la belle Isa.

La plage était bondée en cet après-midi de juillet, une légère brise tempérait l’ardeur du soleil et la surface du plan d’eau frémissait de vaguelettes étincelantes. Entre deux baignades, Isa et André s’étendaient à même le fin sable chaud et offraient leur nudité aux caresses du soleil qui les séchaient en un clin d’œil.

Ils profitaient de ces longs moments de repos pour se rapprocher, sentir leurs corps nus s’aérer par tous leurs pores, fermer les yeux et se laisser envahir par une douce béatitude peuplée d’images sensuelles.

Isa, splendide grande brune aux cheveux ondulés, étendue sur le ventre, exposait un dos superbement dessiné, qui se terminait par une taille étroite et des hanches bien larges, ornées de belles fesses rondes et hâlées ; des cuisses et des jambes parfaitement galbées terminaient le tableau, que les naturistes alentour ne se gênaient pas pour contempler, à sa grande satisfaction, d’ailleurs. Mais celui dont elle appréciait le plus les regards était cet homme blond, mince et tout en muscles de sportif de fond, qui maintenant passait une jambe par-dessus les siennes et collait contre sa hanche son bas-ventre embrasé.

« Et zut, mon Isa, il m’arrive un mauvais gag !

— Tu as l’imagination trop fertile, mon amour…

— Oh, ce n’est pas de l’imagination, c’est la réalité ! Ton corps, ta chaleur, ta beauté, tout l’amour que j’ai pour toi ! Et tous ces corps nus qui nous entourent ne sont pas désagréables à regarder… Tu as vu cette mignonne, là-bas, à gauche, qui se tartine de crème solaire ?

— Arrête, chéri, tu vas me faire mouiller !

— Pas grave, ça ne se voit pas… Tandis que moi… »

Et André se serra près d’Isa, qui soupira voluptueusement en sentant plus fort encore contre sa hanche le témoin tangible de tout ce qui se passait dans la tête de l’homme…

Très ennuyé parce qu’il ne pouvait pas se retourner sur le dos, André tentait désespérément de chasser de son esprit ces images subversives qui s’imposaient sans qu’il y pût faire quoi que ce soit. À bout de ressources, il allait commencer à se frotter très discrètement contre la hanche d’Isa, lorsque le soleil disparut, caché par deux formes humaines qui s’étaient approchées ; Isa se retourna d’un bloc et salua les nouveaux arrivants.

« Ça y est, vous voilà ! Vous avez trouvé facilement ?

— Bien sûr, avec l’itinéraire très précis que tu m’avais fait ! On a été légèrement retardés au départ, et il a fallu vous trouver parmi tous ces gens… »

Sautant sur ses pieds, Isa embrassa affectueusement la jeune femme et fit la bise à son compagnon.

« Au fait, je vous présente André. Hé, chéri ! »

Faisant semblant de somnoler, André avait résolu son problème passager en se laissant distraire par la brève conversation ; doucement secoué par Isa, il s’ébroua comme s’il émergeait d’un lourd sommeil, et sourit de toutes ses dents au couple qui venait d’arriver. Clignant des yeux à cause du contre-jour, il tendit la main.

« Bonjour ! Vous êtes Sandrine, la copine d’Isa ?

— C’est ça. Et voici Marc, mon ami…

— Salut, Marc !

— Salut, André !

— Installez-vous, il y a toute la place ! »

Et André regarda avec délectation se dénuder lentement celle qu’il n’avait pas encore bien pu voir, et qui dévoilait peu à peu son corps parfait, harmonieusement et intégralement bronzé. Isa lui avait bien dépeint son amie d’enfance, mais ce qu’il découvrait sous cette chaude lumière dépassait de très loin tout ce qu’il avait pu imaginer. Il faut dire que Sandrine prenait son temps, se sachant le point de mire de bon nombre de groupes installés autour d’eux et qui échangeaient discrètement des commentaires flatteurs. Marc fut déshabillé en un clin d’œil, exposant à tous sa musculature puissante et son torse velu, et s’étendit voluptueusement sur le dos, à côté de Sandrine.

André, troublé autant par Sandrine que par Marc, s’était rapproché d’Isa et lui mordillait le lobule de l’oreille en chuchotant.

« Isa chérie, ta copine, c’est une vraie rousse ! Bon sang, qu’est-ce qu’elle est bronzée ! Je ne pensais pas qu’une rousse pouvait bronzer aussi bien !

— Dis donc, tu n’as pas les yeux dans ta poche ! Et qu’est-ce que je pourrais dire de Marc ?

— Ah, je conviens qu’il est très attirant, aussi… Tu ne crois pas qu’on pourrait… ?

— Chut, j’en ai déjà parlé à Sandrine, et comme elle ne recule devant rien…

— Hé, c’est quoi, ces messes basses, là-bas ? Allez, on va se baigner ! »

Et, d’un même élan, tous les quatre se précipitèrent dans l’eau fraîche. Marc et André furent stupéfaits par le crawl éblouissant de Sandrine et, un instant sidérés, se lancèrent à la poursuite de la crinière rousse ; hors d’haleine, tous trois s’arrêtèrent au bout d’une centaine de mètres, laissant Isa les rejoindre.

« Bande de vaches, vous auriez pu m’attendre !

— Allez, il faut bien se défouler, de temps en temps !

— En tout cas, Sandrine est une splendide nageuse !

— Ça t’en bouche un coin, hein, mon chéri ! »

Et Sandrine se serra lascivement contre Marc, entoura sa taille avec ses jambes de rêve et, après avoir pris une profonde inspiration, tous deux se laissèrent couler pour échanger un fougueux baiser, agrémenté de furtives caresses habilement dirigées…

Isa et André avaient commencé à s’éloigner tranquillement lorsqu’ils émergèrent.

« Allez, venez ! On va se promener par là-bas !

— Pour aller où ?

— Vous verrez bien ! C’est super ! »

Et, suivant Isa, ils nagèrent quelques dizaines de mètres avant de s’engager sous de basses frondaisons, qui dissimulaient une crique d’eau très claire, où personne ne s’aventurait en-dehors de ceux qui, comme Isa, avaient une idée bien précise derrière la tête…

Elle poursuivit son chemin jusqu’à une petite plage déserte inondée de soleil ; André la rejoignit bientôt et, tout émoustillé par la simplicité du lieu et par le spectacle de son Isa, nonchalamment étendue sur le chaud sable clair, s’allongea près d’elle et l’enlaça tendrement, collant son corps de plus en plus fort contre le sien.

Sandrine et Marc abordèrent un peu plus loin, s’assirent discrètement et regardèrent leurs amis s’étreindre. Marc n’en croyait pas ses yeux.

« C’est pour ça qu’elle nous a amenés ici ?

— Chut, regarde et laisse-toi porter par le spectacle… »

Comme s’ils étaient seuls sur la plage, Isa et André se caressaient voluptueusement, André parcourant les rondeurs chaudes et soyeuses et gratifiant la jeune femme de baisers sonores ; Isa soupirait d’aise et de plaisir, sentant sa chatte devenir de plus en plus humide sous les caresses de cet homme qui savait si bien lui exprimer son désir ; elle sentait sa vigueur et devinait sous sa peau tous ses muscles tressaillir de la violence des sentiments qui le submergeaient. André ne se lassait pas de ces petits seins fermes, dont le mamelon réagissait à la moindre stimulation, de cette toison brune qui recelait tant de secrets, et des plaintes, des gémissements ou des petits cris de sa belle lorsqu’il s’approchait de ses endroits les plus sensibles…

« Isa chérie, on n’est pas seuls…

— Qu’est-ce que ça peut faire ? J’ai envie, et toi aussi… D’ailleurs, regarde : est-ce que ça les dérange, eux ? »

André glissa un œil vers ses nouveaux amis et poussa une longue plainte de contentement : assis, Marc observait d’un regard exorbité Sandrine qui avait largement écarté les cuisses et passait langoureusement un doigt expert sur sa petite tige toute dressée, tandis que, de l’autre main, elle flattait la virilité de Marc qui ne savait plus comment se mettre tant l’excitation était intense…

« Petites cachottières ! C’est ça, votre cadeau ?

— Mais oui, mon chéri ! Profites-en ! Ça fait longtemps que Sandrine et moi en avions envie…

— Vous êtes toutes les deux de sacrées vicieuses !

— Mais ça t’arrange bien, avoue…

— Hmmm, oui, mon Isa adorée, oui ! C’est génial ! Et Marc n’a pas l’air particulièrement opposé à ce quadrille !

— C’est bien pour ça qu’on a profité de cette occasion unique !

— Allez, viens ! »

Isa s’installa alors tête-bêche sur André, et offrit à sa bouche ses nymphes luisantes de cyprine qu’il s’empressa de goûter goulûment ; ses lèvres gourmandes allaient et venaient sur toute l’étendue de la chair tendre, provoquant des spasmes violents de tous les petits muscles, sa langue se frayait un chemin dans le petit trou brun secret, pendant que ses mains amoureuses et jamais rassasiées suivaient un trajet compliqué et voluptueux des seins vers le ventre, puis vers les fesses tendues et offertes au soleil.

Sandrine et Marc poursuivaient leurs caresses sans perdre une miette du spectacle de ce beau cul qui se trémoussait devant leurs yeux, sans arrêt stimulé par la bouche vagabonde d’André ; Sandrine posa même une main chaude et tremblante sur la croupe de son amie d’enfance, suivit la courbe bronzée, vers le dos et vers les épaules en une douce caresse toute empreinte de la tendresse et de l’amitié que seules deux femmes savent se témoigner…

André frémissait sous la langue d’Isa, qui explorait méthodiquement les moindres replis de son sexe en ébullition, parcourait toute la longueur de la hampe, s’enroulait autour du gland gonflé à se rompre, et effleurait le frein d’une pointe infernale, arrêtant régulièrement son ballet juste au moment où André tendait tous les muscles de son bas-ventre sous la pression fabuleuse de l’orgasme qui s’annonçait…

Sandrine et Marc s’étaient rapprochés pour mieux jouir du spectacle ; couchée sur le côté en chien de fusil, Sandrine caressait le dos d’Isa d’une main et se masturbait lentement de l’autre, les yeux fixés sur la belle bouche jouant amoureusement avec André, pendant que Marc, fou d’excitation, se collait derrière elle et s’enfonçait sans aucune difficulté dans le sexe roux proéminent et trempé. Il dut se faire violence pour freiner le mouvement réflexe de son bassin et laisser Sandrine monter elle-même vers sa jouissance. De sa main libre, il pinçait un mamelon extraordinairement long et dur et jouait avec lui, pour rendre sa compagne encore plus folle.

Soudain, Isa se retourna et s’empala violemment sur André, lui arrachant un cri ; elle se redressa pour s’asseoir complètement et le mieux sentir en elle, son bassin se mit à ondoyer lascivement pendant qu’elle parcourait du doigt leurs deux sexes unis, en s’attardant de temps en temps sur son petit bouton.

Obnubilée par ce bouillonnement qui lui embrasait le ventre, Isa accéléra imperceptiblement l’ondulation de son bassin, son doigt se mit à frotter frénétiquement le petit bout décalotté de son clitoris gonflé d’attente, ses yeux fous allaient du visage d’André convulsé de plaisir aux formes splendides de son amie d’enfance concentrée sur les coups de boutoir que lui portait Marc et, brusquement, elle émit une longue plainte qui alla crescendo, et explosa en un hurlement strident lorsque un orgasme démentiel la submergea au moment même où elle sentait le jet brûlant d’André inonder son vagin tétanisé…

Embrumée par cette longue jouissance forcenée, elle perçut comme dans un lointain rêve les halètements de plus en plus rapides, de plus en plus rauques, de Sandrine et de Marc soudés l’un à l’autre et parcourus de spasmes incontrôlables ; elle s’affala, pliée en deux, sur André qui récupérait en respirant bruyamment, et contempla avidement les soubresauts de leurs amis enlacés ventre à cul, qu’une violente éruption simultanée secoua tout d’un coup dans un concert de gémissements et de cris inarticulés…

Annihilés par ces émotions, les quatre amis émergèrent péniblement d’une torpeur qui leur semblait avoir duré une éternité, se dégagèrent comme à regret, pour se ressourcer dans l’eau claire qui accueillit leurs corps délassés avec un amical frémissement. Ils se dévisagèrent en souriant, tout heureux de s’être réellement découverts ainsi, les deux hommes enlacèrent encore leur compagne en de longues et douces caresses pleines de la tendresse infinie qu’ils ressentaient pour elles après ces moments torrides, et tous quatre reprirent à la nage le chemin du retour dans la fraîcheur du soir qui tombait.

Arrivés sur la grande plage et vite rhabillés, André, Marc, Isa et Sandrine décidèrent que la soirée leur appartiendrait, et quittèrent le plan d’eau sous les regards bizarres des quelques naturistes encore présents, regards que les deux jeunes femmes affrontaient joliment d’un air frondeur…

 

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