Notre village en périphérie d’une grande ville a été victime de violents orages hier soir et toute la nuit. Comme très souvent dans un pareil cas, les fortes pluies se sont transformées en torrents de boue et un certain nombre d’habitants ont vu leur sous sol inondés par un flot d’eau et de boue. Heureusement ma maison n’est pas dans ce cas, et ce matin, je constate seulement quelques dégâts minimes dans le jardin.
Armé d’une paire de bottes, d’un balai et d’une pelle, je sors pour tenter d’aider mes voisins.
Je m’aperçois assez vite que tous mes proches voisins sont déjà secourus par les pompiers, les employés municipaux et quelques bénévoles. Je m’éloigne vers une impasse située tout au bout de la rue, il n’y a que les occupants qui tentent de nettoyer le sous sol de leurs maisons.
En passant devant l’une d’elle j’aperçois une femme d’une quarantaine d’années, seule, qui tente d’évacuer cette boue avec un simple balai.
– Bonjour, je peux vous aider ? Elle relève la tête , un peu surprise que je l’interpelle, alors que nous ne nous connaissons pas.
– Excusez moi, mais j’habite dans la rue d’à côté au 23, et j’ai la chance de ne pas avoir été inondé. Alors je me suis équipé et je propose mon aide à mes voisins. Pas question que je reste inactif alors que certains sont dans la galère.
Elle semble un peu plus rassurée et accepte mon aide. Avec une brouette trouvée dans le jardin et la pelle, je commence à évacuer la boue dans la rue avec son aide. A midi, le fond du garage commence à avoir meilleure mine.. Elle semble épuisée.
– Vous devriez vous arrêter un moment, vous semblez épuisée.
– Et vous ? me dit elle.
– Ca va, j’ai commencé après vous, il me reste des forces, mais si vous faites une tasse de thé ou de café, je suis preneur.
Cette proposition la convainc et elle arrive bientôt avec nos deux tasses. Nous nous arrêtons un moment.
– Ce n’est pas de chance, mon mari est en voyage d’affaires à l’étranger et il faut que ça arrive alors que je suis seule. Excusez moi pour mon accueil tout à l’heure, je ne vous connaissais pas.
Je lui réponds qu’il n’y a pas de souci et je me remets au travail. Sans vous, je ne sais pas comment je m’en serai sortie, me dit elle.
– Vous allez voir en fin de journée, le sous sol aura repris son état normal.
A la fin de la journée, nous sommes épuisés tous les deux et nous décidons de nous arrêter.
– Si cela ne vous dérange pas, je vous propose de revenir demain matin pour finir, j’ai un karcher, je l’amènerai.
Elle me répond qu’elle veut bien avec un léger sourire.
– Comment vous remercier, … Au fait, je ne connais même pas votre prénom, moi c’est Charlotte.
– Et moi c’est Frédéric. Ca me fait plaisir de vous voir sourire, ce matin vous aviez l’air perdue. A demain Charlotte.
En repartant, je me dis que cette femme, même en tenue de travail et en botte a vraiment du charme.
Le lendemain matin, dès les 9h je file chez Charlotte avec les croissants.
– Bonjour Frédéric, c’est vous qui venez m’aider et en plus c’est vous qui amenez les croissants. Vous êtes incroyable !
Et elle vient m’embrasser comme si nous nous connaissions depuis toujours.
– En début d’après midi, le garage est propre, tout est bien rangé, il ne reste plus qu’à attendre les assureurs pour tout ce qui est irrécupérable.
– Venez, me dit elle, enlevez vos bottes et montons à l’étage, on sera mieux.
Nous sympathisons et nous racontons un peu nos vies. Mariée, son mari est souvent absent, et elle ne travaille qu’à mi temps, ce qui lui laisse du temps pour s’occuper de sa maison, de son jardin, faire su sport et sortir entre amies. Et vous, si ce n’est pas indiscret ?
– Ce n’est pas indiscret. A 60 ans, je vis seul, je suis divorcé depuis plus de 10 ans. J’ai été à nouveau en couple pendant 2 ou 3 ans mais ce n’était pas la bonne personne. C’est comme ça et me remettre en couple, non merci. Vivre à deux, c’est parfois compliqué. Avoir une amie pour les bons moments, oui, si chacun garde un peu d’indépendance.
En partant, je lui laisse mon numéro de téléphone, au cas où elle aurait un souci. Le soir même Charlotte m’envoie un SMS pour me remercier encore une fois pour mon aide et me dit qu’elle ne me laissera pas sans nouvelle.
Quelques jours plus tard, elle me téléphone pour me dire que tout va bien et m’inviter à déjeuner.
En arrivant une bouteille de champagne à la main, c’est une autre Charlotte que je retrouve. Légèrement maquillée, jupe largement au dessus du genou et chemisier décolleté. Les retrouvailles sont chaleureuses et quand elle m’embrasse je sens sa poitrine libre, me semble t il, contre mon buste et son baiser est doux.
Pendant le déjeuner nous sommes aussi enjoués l’un que l’autre et nos regards se croisent en permanence. Je suis sous son charme, et j’ai du mal à détacher mes yeux de son décolleté dans lequel j’aperçois le haut de deux seins totalement libres.
Nous nous asseyons face à face autour de la table de salon. Elle ne fait rien pour empêcher sa jupe de remonter et parfois me laisser apercevoir le rose d’une petite culotte. J’ai de plus en plus de mal à cacher mon émotion et la bosse qui déforme mon pantalon me trahit. Ca ne peut pas lui avoir échappé.
Etant obligé de me lever du fauteuil Charlotte voulant me montrer quelque chose au sous sol, elle sourit
– C’est moi qui te fait cet effet ?
Et sans me laisser parler, elle passe ses bras autour de mon cou pour m’embrasser sur les lèvres. Nos langues se trouvent d’elle mêmes et mes mains quittent ses hanches pour se poser sur ses fesses. Son ventre se colle sur ma bosse.
– Dès le deuxième jour, quand tu es revenu pour m’aider je ma suis rendue compte que j’étais séduite.
Et moi, je pense à toi depuis que je t’ai quitté ce jour là. Mais tu es mariée et …
– Ne t’inquiète pas pour ça, me répond Charlotte, je t’expliquerai.
Elle m’entraine sur le canapé et viens me chevaucher, les genoux de part et d’autre de mes cuisses.
J’ouvre un à un les boutons du chemisier pour m’occuper de ces 2 belles oranges qui me font envie depuis que je suis arrivé, je fais rouler entre mes doigts ces tétons qui durcissent avant de ces lécher et les téter. Charlotte apprécie, elle se cambre pour mieux s’offrir, la tête en arrière, les yeux fermés.
– Continue, comme c’est bon. Tout le déjeuner, je voyais ton regard et je n’avais qu’une seule envie, c’était de me lever et de te les offrir.
Alors que je continue à jouer avec ses tétons, je passe ma main entre ses cuisses pour trouver une petite culotte trempée.
– Tu vois comme j’ai envie de toi, me dit elle en écartant les cuisses au maximum et laissant mon doigt passer sous sa culotte et caresser ses lèvres.
Nous nous relevons et déshabillons l’autre.
Je laisse Charlotte s’allonger sur le canapé pour pouvoir goûter à son trésor. Je plonge ma tête entre ses cuisses et lèche ses lèvres de bas en haut, agace ses crêtes, avant d’aller cueillir sa liqueur au plus profond. Son clitoris s’offre à moi pour être tété. Elle glisse sa main entre les coussins pour sortir un préservatif et me couvrir .
– Viens en moi, je n’en peux plus.
Je m’introduis en douceur jusqu’au fond avant que ce soit elle qui donne le tempo en remuant. Nos ventres claquent l’un sur l’autre et nous explosons ensemble.
Charlotte croise ses jambes dans mon dos pour me demande de rester. Nos bouches se retrouvent pour de longs baisers .
Une fois calmés nous restons dans les bras l’un de l’autre sur le canapé à finir la bouteille de champagne.
Je lui avoue que je n’ai pas joui comme ça depuis plus de 15 ou 20 ans.
– A mon tour de t’avouer certaines choses. Moi, aussi un homme ne m’a pas faire jouir comme ça depuis bien longtemps, et j’ai encore envie de recommencer avant que tu partes. Je suis mariée, et j’aime mon mari. Je ne lui ai jamais caché que j’ai des amants. Il est parfaitement au courant y compris des détails de mes rencontres. J’aime faire l’amour avec des hommes bien membrés et même très bien membrés comme toi. Certains diront que je suis une hypersexuelle. Il est peu porté sur la chose et par malheur la nature l’a oublié, il est très en dessous de la moyenne et ne tient pas longtemps. Il ne me touche plus depuis plusieurs années. Et sans te choquer se contente de regarder si mon amant accepte ou simplement d’entendre si je fais l’amour porte fermée. Nous sommes candaulistes.
– J’ai lu des articles sur ce mode de vie, et je ne suis absolument pas choqué. Je me doute que je ne suis pas le seul que tu ais séduit. Tu es belle, intelligente, très coquine et sexuellement au top.
– Tu trouves que suis au top ? Alors viens encore une fois, j’ai envie de toi. Prends moi et comble moi.
Je la quitte épuisé et heureux. Charlotte m’a demandé si j’étais libre samedi soir pour venir diner et faire la connaissance de son mari.
Il est 20h le samedi suivant quand je sonne à la porte. Charlotte vient m’ouvrir et sans me laisser le temps se pend à mon cou pour m’embrasser longuement. Je laisse pudiquement mes mains sur ses hanches.
J’échange avec son mari une poignée franche et nos regards sont amicaux.
– Frédéric, assieds toi dans le fauteuil, et Marc mets toi dans le canapé. J’arrive tout de suite, j’amène l’apéritif. Marc tu déboucheras la bouteille de champagne amenée par Frédéric.
Je m’attendais à ce que Charlotte me propose de m’asseoir dans le canapé s’installer à côté de moi.
A chaque plat d’apéritif qu’elle amène sur la table du salon, elle se penche et je plonge dans son décolleté pour m’apercevoir sans surprise que ses seins sont libres.
En se relevant Charlotte me regarde dans les yeux et me demande si le point de vue me plait toujours autant. Je lui confirme que le point de vue est toujours à mon goût.
– Je m’en aperçois aussi, me dit elle en regardant la bosse qui commence à déformer mon pantalon.
Elle nous rejoint pour s’asseoir avec nous, et choisit de venir s’asseoir sur les genoux en passant son bras derrière mon cou.
Pendant que Marc sert les verres, elle me gratifie d’un nouveau baiser goulu.
Jupette à boutons courte et ouverte je lui caresse l’intérieur de la cuisse pour trouver une petite chatte à nu avec sa petite touffe blonde coupée très courte au dessus de sa fente bien humide. Je continue jusqu’à ce que Charlotte emprisonne ma main en fermant les cuisses et les yeux. Son mari n’en a pas perdu une miette.
A table, nous discutions librement de tous les sujets jusqu’à ce que Marc aborde le candaulisme.
– Quand Charlotte m’a parlé de votre mode de vie, je n’ai pas été choqué. Elle t’aime et tu lui permets de vivre sa sexualité comme elle en a envie. Elle ne cache rien et tu lui fais un cadeau. Pour moi, je vois ça comme une preuve d’amour. Je n’ai aucun problème si tu as envie de regarder si Charlotte accepte. Et merci pour ce cadeau de ta part, tu acceptes de partager ta si jolie femme avec moi.
Charlotte est aux anges, nous finissons de diner.
Au moment du café, Charlotte vient à nouveau se mettre sur mes genoux, et Marc met une musique d’ambiance en fond sonore.
– Tu as intérêt à finir ce que tu as commencé avant le diner. Je suis trempée et excitée. Dépêche toi, sinon je te viole.
– Pourquoi pas !! mais tu ne vas pas avoir le temps.
Je demande à Charlotte de s’asseoir face à moi sur mes genoux et je la débarrasse de son chemisier pour lui malaxer ses seins, et rouler ses tétons. Excitée, je sens sa mouille couler sur mes cuisses. Elle me fait lever les fesses pour faire coulisser mon pantalon après m’avoir enlevé ma chemise. Elle prend ma queue et me branle avant de s’accroupir pour emboucher mon gland et continuer son mouvement de bas en haut avec sa main. Je regarde Marc qui est resté et semble étonné par mes mensurations.
J’ai envie de partager sa femme avec lui, au moins des yeux. Je relève Charlotte et la retourne pour qu’elle s’empale face à son mari. Elle s’empale sans hésiter avec une fente trempée, et commence les allers retours direct fond. Mes deux mains libres s’occupent de ses tétons jusqu’à ce que à mon tour je branle son clitoris. Très vite, elle hurle de bonheur. A ce moment, je regarde Marc qui n’a pas pu s’empêcher de sortir sa queue et se masturber. Charlotte ne m’avait pas menti sur la taille et la rapidité.
Nous restons tous silencieux un peu secoués jusqu’à ce que Charlotte réclame du champagne sans me laisser sortir, ce que je n’ai pas non plus envie de faire tellement je suis bien au chaud.
– Viens me dit elle et elle m’entraine vers leur chambre.
-Chéri cette nuit, tu dors dans la chambre d’amis. Je garde Frédéric pour moi seule, il va me faire l’amour dans le lit conjugal. Tu vas être vraiment cocu et avec lui ce sera pas la dernière fois.
Je ne suis qu’à moitié surpris. Je la suis et laisse la porte ouverte. Son mari va continuer à partager sa femme mais uniquement par ses cris.
Le lendemain matin, c’est Charlotte qui me réveille par des caresses buccales. Puis elle s’empale encore une fois.
– Profite ma belle, j’aime te voir prendre du plaisir.
Encore une fois, elle prend beaucoup de plaisir et coule sans discontinuer. Je me retiens et lui demande de se mettre en levrette avec la tête dans les oreillers.
Je commence à lui caresser son petit trou avec mes doigts enduit de liqueur, mais lorsque j’appuie avec ma queue, elle l’attrape et l’introduit devant.
– Laisse moi un peu de temps pour te l’offrir. J’ai eu beaucoup d’amants d’un soir avant toi, et aucun d’entre eux ni mon mari n’y ont eu accès. Tu seras le 1er et le seul. Nous allons faire un test toi et moi, ainsi à chaque fois tu pourras me féconder. Je veux profiter à chaque fois de ta semence. Aucun autre homme n’a eu le droit, excepté mon mari il y a très très longtemps.
Quand nous arrivons la main dans la main dans la cuisine, son mari nous a préparé le petit déjeuner. Charlotte l’embrasse et lui dit merci mon mari chéri.
Un merci à double sens
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