Je repense souvent, de ces souvenirs qui me font chaud au corps et au coeur quand je me sens seul, à mon arrivée à G… Je travaille aux impôts, et je venais d’une zone urbaine d’une grande violence. J’avais décidé de demander ma mutation après qu’un homme ait fait irruption dans nos locaux, armé d’un fusil de chasse et qu’il ait tiré en tous sens pour se venger de prélèvements qu’il estimait exorbitants. Il avait un fusil à pompe chargé de plusieurs cartouches. Le premier coup de feu avait été le plus efficace. J’avais vu, et je n’avais pas été le seul, la tête de Gérard, un quinqua bien paisible, qui aimait jouer au bridge et boire des coups exploser comme une pastèque trop mure, et projeter du sang, de la cervelle, et des débris de calotte crânienne aux alentours. L’horreur peut être belle, et sans doute qu’il y avait eu une certaine beauté dans cette explosion. Il avait une provision de cartouches, et il rechargeait régulièrement. Dans un film, quelqu’un de très courageux se serait relevé quand il rechargeait et se serait jeté sur lui, mais on n’était pas dans un film. Il a donc pu tirer de tout son saoul, même s’il n’est heureusement pas arrivé à tuer qui que ce soit d’autre, faisant exploser les murs, le mobilier, des objets. Il y a eu un ultime coup de feu, de nature différente, puis le silence. J’ai risqué un oeil de derrière le bureau où je m’étais planqué avec Patricia, une collègue, et je l’ai vu allongé sur le sol, le bras en croix. Le fusil avait atterri plus loin. Je m’étais redressé, et approché. Il avait du s’enfoncer le canon dans la bouche, car il restait de lui sa mâchoire, et quelques dents… Le reste était une sorte de purée qui avait été pulvérisée sur le sol et alentour.
Je crois bien qu’on a tous demandé notre mutation. Une manière d’oublier. Ca ne voulait pas dire qu’on ne serait pas confrontés à la même situation ailleurs, mais on voulait effacer ce terrible moment.
Je voulais une zone rurale pour sortir d’un monde urbain qui me plaisait de moins en moins. C’est comme ça que je suis arrivé à G… dans le Sud Ouest…Une bourgade de taille moyenne qui m’a immédiatement charmé. J’ai aimé la disposition de la ville, ouverte sur la campagne environnante, les traces très nettes du passé, l’abbaye et les bâtiments moyenâgeux en brique rouge, sans oublier les grandes maisons haussmaniennes du début du 20eme jusqu’aux quartiers pavillonnaires plus récents. Cette diversité était séduisante.
Mais il y a autre chose qui m’a séduit. De plus érotique.
Je suis arrivé dans la ville par une entrée Sud. Il y avait une propriété pavillonnaire, une maison blanche, un jardin. Dans celui-ci était accrochée une grande affiche sur bâche, allongée en hauteur, l’affiche quasi entièrement occupée par une photo, et pas un dessin. Elle mettait en scène des jambes de femme, dévoilées par une ouverture dans une robe qui les laissait totalement apparaître, des jambes gainées du nylon de bas, et sans doute l’une des plus belles paires de jambes qu’il m’avait été donné de voir.
C’est vrai que, si, j’étais sensible au dessin de corps féminins, je l’étais encore plus à celui de jambes bien dessinées.
J’avais vécu, dans mes dernières semaines avant que nous soyons mutés, des moment assez spéciaux avec Régina, l’une de mes collègues.
Ce que nous avions vécu avait totalement modifié notre vision de la vie. Chacun avait pris conscience de la brièveté de l’existence, et qu’elle risquait de voler en éclats avec une balle, à l’image de la tête de Gerard, image qui nous hantait tous, et chacun avait réalisé son rêve. Michel était arrivé avec un coupé sport pour lequel il avait fait un leasing, Joanna avait démissionné pour aller faire du maraichage bio.
Entre Régina et moi, il y avait une attirance dont je n’avais pas compris qu’elle était mutuelle. Elle me plaisait depuis un moment. Elle était très grande, avec un corps bien dessiné qu’elle mettait en valeur avec des tenues moulantes. On disait souvent que les femmes des impôts étaient moches, elle était la preuve vivante du contraire. Elle me plaisait énormément, même si je n’aurais pas imaginé que quelque chose puisse se passer entre nous. Je l’imaginais mariée, et puis je trouvais malvenu d’avoir une relation amoureuse avec une collègue.
Et puis l’attaque qu’on avait subi avait changé la donne.
Nos bureaux étaient situés en rez-de-chaussée, et nous avions un étage qui était disponible, loué dans ce grand bâtiment, avec différentes pièces pour les archives, les photocopieuses…J’étais parti justement faire des photocopies de pièces importantes quand elle était arrivée. Les jours commençaient à se faire beaux, et les tenues plus légères, et elle portait une magnifique robe bleue qui collait à ses formes. Je pensais qu’elle avait des photocopies à faire, mais ça n’était pas vraiment ça. Elle était venue se caler devant moi. Elle avait une superbe crinière brune, qu’elle entretenait semblait-il soigneusement, et un visage rond, marqué par des lunettes qui heureusement n’enlaidissaient pas son visage, les opticiens avaient fait des progrès dans ce domaine.
J’avoue que j’ai été un peu surpris quand elle a attrapé l’ourlet de sa robe, qui arrivait au niveau de ses genoux, et qu’elle l’a retroussée, me dévoilant une bonne partie de son corps. Elle avait des bas stay-up et elle n’avait pas eu le temps le matin en partant de chez elle de mettre un slip, même si un soutien-gorge enveloppait ses seins.
—Viens me caresser.
J’ai eu un moment de stupéfaction, moins parce qu’elle se dénudait devant moi que je me suis rendu compte que l’attirance que j’éprouvais pour elle n’était pas à sens unique.
Je me suis avancé vers elle, et ça a explosé entre nous. Nos bouches se sont rejointes, nos langues accrochées dans quelque chose d’intense, d’autant plus fort qu’il y avait eu du désir et de l’attente. Mes mains, sous sa robe, ont exploré son corps, trouvant le dessin de ses formes, m’en imprégnant. Elle n’est pas restée inactive, venant chercher ma queue dans mon pantalon. Elle a fini par se basculer en arrière sur une table nue, derrière elle. Elle a glissé la main dans son soutien-gorge, me surprenant. Elle n’en a pas sorti un sein mais un préservatif. Le matin elle avait du décider qu’elle allait enfin passer à l’action. Elle m’avait gainé de latex. Deux secondes plus tard, je rentrais en elle. Elle a poussé un long gémissement pendant que ma queue glissait entre ses muqueuses, mon gland venant, en bout de course, taper contre son utérus. Avec un sourire qui disait une forme de bonheur, elle m’a expliqué:
—Si tu savais comme j’ai pu rêver de ce moment, en me caressant. Te sentir en moi…
On avait joui ensemble, le premier orgasme d’une série dans des conditions cadrées. Je n’ai jamais su si elle vivait avec quelqu’un et je suis effectivement convaincu qu’elle était mariée, mais la lassitude, l’envie s’étaient mêlées. Avec un déclencheur.
On ne se rapprochait que dans les locaux des impôts, cette gigantesque bâtisse qui contenait suffisamment d’espaces vides, clos, ou d’archives pour qu’on puisse se retrouver, et, pendant quelques minutes,s’adonner aux joies d’un sexe qui prenait d’autant plus de relief dans ce cadre. Des baisers, des caresses, une pénétration. Ca peut être bien, et infiniment varié de ne pas faire l’amour dans un lit. Une table, contre un mur, une chaise…Tout peut servir, les possibilités sont multipliées à l’infini.
Des possibilités infinies, mais une seule limite. On savait l’un comme l’autre que lorsque nous serions mutés, nous nous séparerions et nous ne nous reverrions jamais.cette
Tout cela me laissait de merveilleux souvenirs, dont les détails tourneraient dans ma tête longtemps. On dit que le diable est dans les détails, mais Dieu y est aussi sans aucun doute.
Je me suis calé dans ma nouvelle vie. J’ai passé quelques jours à l’hôtel, mais trouvé très vite un appartement, j’ai pris mon poste au centre des impôts, et dans mes moments libres, j’ai exploré la ville.
Et je suis très vite revenu vers ce poster géant. Pour cela, il fallait quitter la ville et partir le long de la petite départementale par laquelle j’étais arrivé. Une zone paisible, où des pavillons et des maisons plus cossues étaient entrecoupées par des champs.
Nous les hommes, nous sommes souvent attirés, voire fascinés par quelque chose qui va être évocateur d’un corps de femme. Ce peut être un vêtement par exemple, ou un sous-vêtement. Ce peut être une photo aussi, comme celle que je venais regarder, qui était là en grand format, accrochée dans cette propriété. Il y avait une maison, un vaste jardin, et cette structure, installée pour l’occasion, un support fait en bois, certainement fabriqué, qui permettait de tenir et de tendre l’affiche.
Et ces jambes ainsi offertes. Réellement bien dessinées. Je me prenais à rêver chaque fois que je venais me positionner devant l’affiche. J’essayais de rester discret, je me calais de l’autre côté de la route, et près d’un pin vénérable. Et je me laissais aller à ma fascination et à mes rêves. Dix mille possibilités s’écrivaient. Glisser mes mains le long de ces jambes, les caresser longuement, déjà ça, ça serait beaucoup. Aller au-delà. La zone d’ombre qui existe est troublante…Remonter plus haut, la fente haute dans le tissu le permettrait, et trouver…Quoi? Difficile de le savoir…Une petite culotte qui enveloppe un sexe de femme en le mettant en relief, un sexe nu, offert, entrouvert sur des lèvres en sortant, un sexe que pourrais éveiller en le caressant…Et au-delà, la curiosité de découvrir un corps, qui, s’il était dessiné comme ces jambes, devait être tout aussi attirant.
Curieusement, je n’éprouvais pas de la frustration en les contemplant, mais une sorte d’apaisement. S’il existait d’aussi jolies jambes, et même si un cinglé était venu nous mitrailler, alors le monde n’était pas aussi moche.
Un jour pourtant, cela faisait un mois que j’étais là, et quasiment tous les jours, je venais me positionner devant le poster géant, il s’est produit quelque chose.
Quelqu’un est sorti de la maison et est venu vers moi.
Il y a des choses qu’on comprend très vite.
La femme qui avançait vers moi était vraiment magnifique. Elle devait avoir quarante-cinq ans. Elle était habillée simplement, avec une jupe en jean courte, et un débardeur bleu ciel. J’ai eu d’un seul coup la réponse à toutes mes questions.
Les jambes qui avançaient vers moi dans un mouvement gracieux étaient indéniablement celles qui avaient été photographiées pour le poster. Il n’y a pas deux paires de jambes pareilles, et j’en avais suffisamment observé pour savoir noter aussitôt leurs caractéristiques. Elle avait bien été le modèle. Et je ne savais pas de quand datait l’affiche, mais elles n’avaient pas bougé d’un pouce. Même dans ce contexte naturel, nues, elles étaient vraiment attirantes. Mes mains avaient envie de venir sur la surface de peau et de les caresser. Mais je me suis contenu.
J’ai pu l’observer de mieux en mieux alors qu’elle approchait. C’était vraiment une très belle femme. Le reste de son corps était bien dessiné, et elle avait un beau visage, plutôt ovale, couronné par une crinière brune, avec comme points saillants des yeux verts et une bouche bien charnue.
J’aurais du me sentir mal à l’aise d’être ainsi surpris dans mon rôle de voyeur, et pourtant je ne ressentais rien de la sorte. Au contraire, plutôt une sorte de joie à avoir enfin trouvé le modèle.
—Mes jambes vous plaisent à ce que je vois…
—Ce sont donc les vôtres?
—Qu’est-ce que vous en pensez?, elle a demandé, en tournant sur elle-même, me laissant voir une croupe charnue et haut perchée, dont le galbe faisait tout le charme, et disait que son corps assurait vraiment un sans-faute, si jamais on avait pu en douter.
—Je dirai que oui.
Elle s’est retournée, me faisant de nouveau face.
—Vous voulez que je vous raconte toute l’histoire? Venez, je vous invite, il est seize heures, j’allais me faire un thé…Mais si vous voulez du café…J’ai fait des pâtisseries…
Je l’ai suivie jusque chez elle. Sa maison était arrangée simplement mais avec beaucoup de goût et de coquetterie. Elle m’a guidé vers le living, a disparu quelques minutes et est revenue avec un plateau chargé d’une théière, de tasses et de ce qui semblait être un cake. Elle est venue se poser devant moi. Sans surprise, la jupe, déjà courte, est remontée quand elle s’est assise, dévoilant ses jambes très haut, mais aussi le slip blanc qui enveloppait ses parties intimes, tendu par le renflement de son sexe, qui gonflait le tissu. J’ai trouvé troublant de remarquer que la fente qui coupait ce renflement en deux était très nettement marquée, le tissu s’enfonçant dedans.
—Pour une femme, ça fait toujours plaisir d’être admirée. Merci d’apprécier mes jambes. Ca n’a pas été le cas de toutes les personnes.
Je me suis demandé à quoi elle faisait référence. Mais j’allais sans doute en savoir un peu plus dans les minutes qui suivaient.
—J’ai un fils qui est passionné de danse. Il a remporté plusieurs prix. Il a crée un club de danse à l’âge de seize ans. Des danses diverses, de salon, avec un large panel. Il maitrisait tout.
Il voulait que du monde vienne à ses cours, alors il a imaginé de faire une affiche…Disons séduisante. Il voulait quelque chose qui accroche l’oeil.
C’est moi qui ait eu l’idée. On associe souvent la danse aux jambes, et c’est normal puisqu’elles sont largement en jeu. Elles doivent être souple et habiles. Je lui ai dit:
—Une paire de jambes en action…Ca te dirait?
A ce moment-là je ne pensais pas du tout à mes jambes. Je pensais qu’il photographierait celles d’une petite copine. Aussi j’ai été un peu surprise quand il m’a dit:
—Ce sont tes jambes que j’aimerais photographier. Elles sont parfaites.
Je n’y tenais pas vraiment, et puis je me suis dit que ce serait une belle revanche sur mon mari, qui, pendant les dix années où nous avions vécu ensemble, avant qu’il ne juge que j’étais périmée pour partir avec une beauté plus fraiche, avait toujours fait des critiques sur mon physique.
On n’a rien fait au hasard. J’ai un ami à moi qui est photographe en ville. L’idée c’était de montrer mes jambes. J’avais d’abord pensé à un justaucorps, et il m’a suggéré une robe. C’est moi qui ait pensé aux bas. J’avais l’idée de tourner sur moi-même pour dévoiler mes jambes, au lieu de cela, il m’a suggéré la robe fendue haut, fente qui s’ouvre et dévoile les jambes dans un mouvement… Il a mitraillé jusqu’à ce qu’on arrive à la photo dont on sait en la regardant qu’elle est bonne.
Au départ, il y avait la photo et en dessous une banderole annonçant les cours de danse de mon fils, ses coordonnées, la salle, les heures…
Il a eu énormément de succès, et une amie à lui a crée des comptes sur les réseaux sociaux pour mettre en valeur ses cours. Ca lui a valu des propositions dans la capitale. Il est parti. Mais j’ai gardé l’affiche. C’est une impression sur bâche, elle tiendra encore quelques années, et j’ai même une deuxième…Pour moi, c’est un double hommage. A son talent, mais aussi à mes jambes, et une belle revanche pour mon ex-mari qui disait que j’étais moche. Ce n’est pas que je me vois magnifique, mais il y a souvent des hommes qui s’arrêtent pour regarder, ou qui viennent et je me dis que mes jambes ne sont pas si moches que ça…(Elle a souri.)Enfin, j’imagine que c’est le cas, non? J’aimerais avoir votre opinion, puisque je vous ai aperçu plusieurs fois.
—Elles sont magnifiques et troublantes, j’ai répondu. J’aimerais les caresser.
—Qu’est-ce qui vous en empêche?, elle m’a lancé.
C’était un signal. Et plus qu’un signal. Je me suis glissé sur le canapé, près d’elle, suffisamment en tout cas pour percevoir la chaleur de son corps près de moi et l’odeur de son parfum. J’ai posé, sans réelle hésitation, et avec le sens d’une certaine magie, la main, en me penchant, sur sa cheville. J’en avais rêvé de ces jambes, et je voulais en profiter au maximum, sur toute leur surface, et dans le temps. Mais elle ne semblait absolument pas opposée à cela.
Les voir c’était une chose, les toucher c’était une autre. Les sensations m’ont aussitôt assailli, une peau de pêche au contact de mes doigts, extrêmement douce, mais aussi extrêmement chaude. J’ai glissé sur ses jambes.
Si je prenais du plaisir à toucher ses jambes, elle, elle prenait du plaisir à se faire caresser. Elle a sans doute perçu ma surprise, parce qu’elle m’a dit:
—Je prends énormément de plaisir à me faire caresser. Je crois bien que mon corps entier est une zone érogène. Où qu’on me touche, ça me procure un plaisir intense.
C’était sans doute vrai, parce que je voyais que le slip blanc s’auréolait d’une tâche d’humidité qui s’agrandissait très rapidement, laissant voir sa chair dessous, la perspective d’une partie de sa fente ainsi qu’un bout de lèvre.
—Quand tu seras en haut de mes jambes, je voudrais que tu me caresses d’abord à travers mon slip, et ensuite que tu l’enlèves pour me caresser sans.
J’ai encore profité de ses jambes un moment. Elles étaient sans défaut, et ce qui avait permis cette rencontre qui me semblait un rien décalée, et extraordinaire, la preuve sans doute que la vie pouvait réserver de l’imprévu, mais aussi, en même temps, du merveilleux.
J’ai glissé dans ses aines, avant d’aventurer mes doigts sur le gonflement de son sexe. Comme tous les sexes de femme, il était proéminent, et j’ai d’abord perçu sa masse, avant que des détails ne se précisent. L’humidité qui sourdait d’elle, venait tremper le tissu, sur une zone qui s’étendait, la manière dont son sexe était ouvert sur ses muqueuses intimes, et dont ses lèvres offraient leur relief… Je l’ai caressée à travers le tissu du slip, lui procurant apparemment un plaisir intense.
—Je n’avais pas eu d’homme depuis longtemps, elle a confié sans fausse pudeur. Je ne me doutais pas qu’une affiche me permettrait d’en trouver un. Enlève-le maintenant, j’ai envie d’un contact chair contre chair.
J’ai obéi, et j’ai tiré le slip jusqu’au bas de ces jambes magnifiques. Elle a dégagé une jambe, et il est resté accroché, boule d’étoffe, à une de ses chevilles, pendant que je revenais à l’assaut de ses parties les plus intimes. Elle offrait un sexe intégralement nu, sans l’ombre d’un poil, chair arrosée par ses sécrétions, ouverte sur un intérieur aussi rose que l’extérieur était blanc, avec des lèvres qui s’étalaient hors d’elle, longues et fines, que je suis venu prendre entre les lèvres de ma bouche pour les caresser doucement, la faisant gémir. En se contorsionnant, elle a fait passer son débardeur par dessus ses épaules, dévoilant des seins qui n’étaient pas emprisonnés par un soutien-gorge. Nus, ils n’étaient pas énormes, mais suffisamment volumineux pour attirer l’attention. J’ai laissé mon regard glisser dessus, pendant qu’elle les empaumait et les remontait vers sa bouche, penchant son visage pour venir mordiller doucement ses tétons. Ca devait être bon, parce que, quand elle a mordillé le premier, un flot de liquide a jailli d’elle, comme un jet d’urine, mais c’étaient des sécrétions, plus épaisses que celles qui souriaient d’elle jusqu’à ce moment. Pendant que je caressais doucement ses lèvres avant de remonter sur un clitoris fin qui s’était délivré de sa gangue de chair tout seul, elle s’attaquait à ses tétons, l’un après autre, les mordillant et les laissant très épais, ses légères morsures faisant jaillir à chaque fois des jets copieux de liquide. Son sexe s’était encore ouvert, laissant voir ses parois internes, toutes rosées.
—J’ai envie d’un sexe dans le ventre, elle a finalement dit. Un sexe qui me caresse à l’intérieur. Tu crois que c’est possible?
—J’ai pas de préservatif avec moi…
—Je dois avoir ce qu’il faut, elle a dit, en se redressant. Si la boite n’est pas périmée.
Elle a marché jusqu’à un meuble avec plusieurs tiroirs. Elle en a ouvert un, et a farfouillé. Je l’observais, moins par curiosité pour ce qu’elle faisait que parce que ses jambes étaient vraiment magnifiques, lisses et bien dessinées. Et ses fesses aussi, rondes et rebondies. Mais elles ne figuraient pas sur cette affiche devant laquelle j’étais venu rêver. Sans jamais oser imaginer que la propriétaire de ses jambes puisse un jour me les donner, et me donner aussi le reste de son corps. La vie n’était pas toujours moche au final.
Elle l’a encore moins été quand elle est revenue vers moi, avec la boite.
—Il reste encore cinq mois avant la péremption. Ca va aller…
Elle s’est laissée glisser sur le canapé. Au-delà de la beauté de ses jambes, il y avait quelque chose de très fort qui émanait d’elle. Une beauté tranquille, apaisée, qui ne pouvait que séduire. Avec envie, je me suis penché sur elle et je suis venu mordre doucement ses tétons, qui, à présent épais et longs, remplissaient bien ma bouche, en même temps que je collais ma paume contre ses lèvres. Dans la mécanique de son corps, mes mordillements précipitaient des jaillissements de ses jus intimes, qui venaient taper contre ma main.
Le préservatif dépiauté, elle l’a fait couler le long de ma queue roide, dressée contre mon ventre, jusqu’à ce que le base du préservatif arrive à la racine de ma queue.
—Je trouve ça excitant une queue enveloppée de latex, je sais pas pourquoi.
Elle est venue tourner sur le latex d’une langue acérée, avant de venir se poser au dessus de moi. Ca s’est fait très vite, dans un mouvement fluide. Elle a attrapé ma queue, l’a immobilisée, tenue du bout de ses doigts, et s’est laissée descendre dessus. Mon sexe a glissé en elle, elle s’est assise dessus, mon membre totalement absorbé. Elle s’est cambrée en arrière, lâchent un petit gémissement.
—C’est tellement bon d’avoir une queue dans le ventre. Ca me manquait.
Elle s’est mise à se faire monter et descendre dessus, prenant son plaisir, tandis que je prenais le mien, dans le caresse de la muqueuse souple qui frottait contre moi. En même temps je caressais ses jambes, si parfaites, et qui continuaient sans aucun doute de m’obséder. Elle m’a dit:
—Je crois que je vais jouir…
Pour exploser deux secondes plus tard, en se tendant et poussant des grognements qui disaient son plaisir. Elle a continué de bouger sur moi, sa jouissance se dissolvant dans d’autres orgasmes qui sont venus en chaine…Moi par contre, figé dans mon érection, je n’avais toujours pas joui. Elle s’est dégagée. Le préservatif était détrempé de ses sécrétions intimes. Elle l’a fait glisser, libérant ma queue gorgée de sang, très dilatée.
—C’est peut-être ce que tu souhaitais, non, sans vraiment te l’avouer?
Elle s’est basculée, se positionnant autrement, faisant en sorte de sa jambe gauche, au tracé impeccable, vienne au contact de ma queue. Une caresse qui en valait d’autres, et qui était sans doute celle que j’attendais, sans vraiment me l’avouer. J’ai voulu retenir ma jouissance, profiter plus longtemps du contact de cette peau satinée, mais bientôt, j’ai craché mon sperme, des éjaculations copieuses qui ont souillé sa chair des trainées crémeuses.
Nous étions différents l’un de l’autre, et la manière dont j’étais venu à elle était sans doute spéciale, pourtant, en un peu moins d’une heure, quelque chose s’était tissé entre nous, qui a sans doute fait que je suis resté pour dîner avec elle, passer la soirée avec elle, refaire de nouveau l’amour. Quand on s’est séparés, tard dans la nuit, elle m’a fait promettre de revenir dès que j’avais un moment.
C’était une certitude. J’allais revenir auprès d’elle.
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