un

J’ose vous demander votre prénom ?

Je m’appelle Janine.

Moi, c’est Marc. Et je vous trouve très professionnelle. Vous êtes charmante, très attentionnée et vous expliquez bien la carte.

Merci, ça me fait plaisir.

Elle était toute habillée de noir, aussi les bas. Filiforme, même carrément maigre, avec des jambes d’adolescente. La poitrine plate. De long doigts fins aux ongles courts. Une chevelure frisée, hirsute, retenue par une grosse pince.

 

deux

L’agencement de l’ancien restaurant de la Gare était quelconque. Panapat, la nouvelle gérante, y offrait des plats thaïlandais. Marc n’apprécia pas du tout cette cuisine. Les rouleaux de printemps, le curry jaune aux gambas, la sauce – tout était manifestement des produits industriels.

Le seul élément intéressant était donc la serveuse. En payant, il lui remit sa carte de visite. Appelez-moi prochainement, lui dit-il.

 

trois

Ils se rencontrèrent dans un autre restaurant. Marc fit part à Janine de ses observations. Il lui dit : Vous méritez de travailler dans un établissement plus performant et mieux coté. Votre engagement est largement au-dessus de la qualité de la cuisine.

Elle l’écouta avec attention et le remercia. Elle écarquilla les yeux, lorsque Marc lui posa cette question : Voulez-vous diriger votre propre restaurant ? Elle le regarda, incrédule, comme si elle n’avait pas compris la question. Elle finit par dire : mon propre restaurant – vous plaisantez ?

Non, dit-il. Je vous en sens capable. Si vous voulez, je vous aide.

Puis elle resta bouche bée, quand elle apprit qu’il était Professeur émérite de fameuses écoles hôtelières suisses.

Viens, dit-il, on se tutoie et on élabore un plan.

 

quatre

Janine fut enthousiaste, par la suite, de l’enseignement que lui proféra Marc. Elle apprit d’abord à définir ses valeurs, à notifier ses perles, ses points forts.

Notamment à comprendre l’importance de son extraordinaire empathie d’aller au-devant des gens.

Elle se rendait régulièrement au domicile de Marc, qui lui expliqua comment se comporter en tant que jeune cheffe vis-à-vis de ses employées du même âge, ainsi qu’à l’égard des ainées, souvent employées de longue date ayant pris leurs habitudes.

 

cinq

Durant un long weekend, destiné à définir le genre d’établissement qui conviendrait à Janine, elle à occuper la chambre d’amis de Marc, elle lui posa cette question à l’heure de l’apéro, toujours hésitante de le tutoyer : Pourquoi fais-tu tout ça pour moi, Marc ? La réponse fut immédiate : Parce que je veux que tu aies une autre destinée, plus méritante.

 

Elle vint se coller à lui, pour un long câlin. Puis elle se détacha et se dévêtit prestement. Baise-moi, s’il te plaît, souffla-t-elle. Elle était toute nue devant lui, lui offrant sa maigreur, ses côtes saillantes, ses hanches pointues. En guise de seins, elle avait juste deux gros bouts turgescents, démesurés, noirs, sans aréoles. Et, entre les jambes, une immense touffe noire, aussi hirsute que la coiffure, incongrue sur ce corps de fille. Son sexe, au-dessous de la touffe, était glabre, rasé, la peau des pourtours des lèvres était noire. De par sa maigreur, son sexe était proéminant, carrément saillant.

 

Elle le suça brièvement, puis s’empala sur lui, en feulant. Elle le supplia de lui triturer les bouts.

C’est elle qui s’activa. Elle faisait aller et vernir la verge de Marc dans son fourreau. Puis elle se cambra, poitrine en avant, quémandant la torture des seins, et s’effondra dans un grand cri.

 

Janine s’endormit dans ses bras. Marc ne bougea pas, juste heureux du privilège de l’étreindre et de la protéger. Quand elle se réveilla, elle vint se lover contre lui. Je sais que je suis nymphomane, dit-elle. Merci de m’accepter comme je suis.

Marc l’embrassa tendrement. Cette fois, c’est lui qui prit l’initiative. Il la pénétra doucement, puis la forniqua sauvagement, à la faire crier à l’agonie.

 

six

Au fil des séances de travail communes, Janine se décida pour le concept suivant : Elle voulait tenir un comptoir, avec des mets à emporter, ou à manger sur place à quelques petites tables, avec une terrasse en plus. Elle voulait offrir des plats simples, sains, essentiellement végétariens, autant exotiques que régionaux.

Ils trouvèrent un local au centre-ville. Supposé générer de nombreux passages, élément important pour le concept. Le comptoir, vitré, fut tout en noir, pour donner de la valeur aux plats exposés. Le reste de l’agencement était en gris, avec des touches rouges sous forme de tableaux et de sculptures.

 

Ils engagèrent un cuisinier sri-lankais, une femme, Elhili (« belle ») avec laquelle ils développèrent des mets exotiques. Dans le comptoir, il y avait de magnifiques salades, des plats chauds de pâtes et de légumes, du riz avec du poulet au curry. Puis un grand choix de sandwich, la plupart au pain complet, et un menu du jour changeant.

Les clients qui mangeaient sur place étaient servis dans de la vaisselle en porcelaine que Janine débarrassait. À l’emporter, les mets étaient remis dans des récipients recyclables.

 

Quand Marc entrait dans l’établissement, il avait à chaque fois chaud au cœur. De voir Janine s’affairer, souriante, rayonnante, cela le comblait. Il avait droit à un baiser furtif, pas plus.

Puis il s’amusait, durant l’heure de l’affluence, à midi, à s’occuper de la plonge. À remplir le lave-vaisselle et le mettre en marche. La sri-lankaise n’en croyait pas ses yeux : un professeur émérite qui faisait la basse besogne.

 

sept

Janine emménagea chez Marc, émerveillée de cette ancienne maison de maître qu’il avait fait restaurer à son goût. Elle prit possession d’une chambre à l’étage. Il l’emmena choisir les meubles : Un petit pupitre devant la fenêtre, avec un ordi flambant neuf, un lit, bien sûr, puis une armoire à habits, un fauteuil et une télé.

Mais quand elle rentrait le soir, l’établissement fermait en fin de journée, elle se jetait dans ses bras. Peu importe où dans la maison, elle quémandait alors d’être prise. Elle aimait déambuler dans les couloirs, dans sa maigre nudité, la verge de Marc enfouie dans sa chatte.

Parfois, le parcours se terminait dans le jacuzzi. C’est là où, un jour, elle le supplia de l’enculer. Ses cris furent autant de l’agonie, aussi étroite qu’elle était, que de la jouissance.

 

huit

Janine finit par avouer à Marc qu’elle voulait de la violence. Elle avait besoin de ça pour assumer sa sexualité excessive. Elle lui remit un fouet. Et demanda à ce qu’il lui frappe la poitrine, ses bouts, pour la punir de ne pas avoir de véritables mamelles. Puis de lui fouetter le sexe, soit pour la punir de se raser le bas, soit parce qu’elle avait cette grosse touffe noire de poils hirsutes, à choix. Et, finalement, de frapper violemment son cul, pour la punir d’être aussi cochonne de se faire sodomiser.

Marc, étonné, obtempéra. Il ne voulait pas la perdre. Lorsqu’il la frappa, elle se caressait partout, frénétiquement, en criant comme une folle, à jouir de multiples fois. Elle ne l’oubliait pas. Elle finissait toujours par le chevaucher.

 

Elle aimait aussi se prostrer devant lui, toute nue, bien sûr. Elle se couchait sur le dos, écartait exagérément les jambes et faisait le pont, pour encore mieux présenter son sexe proéminant. Elle criait comme une folle pour qu’il la fouette dans cette position. Elle s’arc-boutait sous les coups, s’étirant ses bouts, se triturant méchamment la chatte ou s’introduisant trois doigts dans le cul. Elle lui demanda le fouet et se frappa elle-même violemment.

 

neuf

Un soir, Marc sentit Janine très tendue. Baissant les yeux, se tordant les mains, les joues rouges, elle dit dans un souffle : Je veux me faire mettre des piercings.

 

Elle eut une vis dans chaque bout, sur sa poitrine, retenues par de petits boulons. Et trois anneaux à chaque lèvre. Elle s’agenouilla devant Marc, nue, les jambes écartées, et lui présenta un coffret. Il contenait six boules coniques munies chacune d’une pince. Elle se plaça elle-même les grosses pinces et accrocha une boule à chaque sein et deux à chaque lèvre.

Elle se leva et fit, en balançant son bassin, tinter les cônes qui distendaient ses lèvres. Elle le supplia de la baiser.

 

dix

Marc emmena Janine en Toscane. Dans sa seconde patrie. Elle s’habitua à piloter son Alfa Romeo, une grosse cylindrée de 220 chevaux. Arrivés sur place, ils passèrent prendre l’apéro dans son bar préféré, chez Mauro, dans la bourgade, et allèrent dîner chez Manlio, dans le restaurant de prédilection de Marc, « La Terrasse », où il ne choisissait jamais le vin, laissant faire le patron.

Ils visitèrent le marché hebdomadaire de Figline Val d’Arno, croquèrent un sandwich de Porchetta, de porcelet, et allèrent manger, dans les collines du Chianti, au restaurant de Coltibuono. De la bonne récolte. Un autre jour, il l’emmena à Cortona, petite ville collée à la montagne. Pour y boire l’apéro sur une terrasse avec vue sur la vallée, à acheter un sac en cuir pour elle et à manger un morse.

Un soir, attablés pour un dernier verre dans le parc, Marc dit ceci à Janine : J’aimerais parler de ton avenir. Elle se redressa instantanément : Tu veux me chasser ? Il secoua la tête : Comment peux-tu un seul instant avoir une telle pensée ?

Il lui prit la main et lui parla longuement. J’observe deux forces, lui dit-il finalement : Tu diriges avec succès un restaurant, et tu as une forte sexualité. Du coup, je te propose d’une part de fonder une chaîne de resto et d’autre part de tourner des films porno.

Janine le regarda, les yeux écarquillés, complétement abasourdie, puis éclata de rire, dans une réaction probablement nerveuse. La nuit fut torride.

 

onze

Dès leur retour de Toscane, ils s’attelèrent à la tâche. Très vite, Janine ouvrit un deuxième restaurant, identique, dans la ville voisine, puis un troisième, plus loin. Cela l’occupa de longs mois. Elle s’engagea avec beaucoup d’entrain et de l’enthousiasme, épaulée par Marc.

 

Puis ils eurent enfin le temps de s’occuper du second projet. Marc formula ses exigences : Il voulait du vrai. Pas de maquillage excessif, pas de simulation d’orgasme comme on les trouvait sur Internet. Et lui n’envisagea pas d’être acteur, au dépit des insistances de Janine. Et finalement, pas d’homosexuels masculins.

Ils trouvèrent deux jeunes parmi les clients de leurs restaurants. L’approche avait été très discrète, pour éviter des qui-propos.

Janine participa avec délectation à l’élaboration du scénario du premier film. Arriva le jour du tournage.

La fille était asiatique. Aux longs cheveux noirs soyeux et lisses. Des sourcils très prononcés, des yeux incandescents, comme deux obus. Elle avait une maigreur semblable à celle de Janine, la peau mate. Elle n’était pas rasée sous les aisselles, ornées de grosses touffes de poils noirs. Son sexe aux lèvres noires était caché dans un foisonnement généreux qui partait du nombril et se terminait aux bords de son anus tout aussi sombre. Elle avait d’adorables seins qui prenaient la forme de poires lorsqu’elle faisait le dos rond et rapprochait ses bras. Avec de gigantesques aréoles, également noires, qui couvraient toute la partie supérieure des seins. Ornées de nichons très étonnants, en forme de bouts de crayons, cylindriques. Elle faisait de la danse, ce qui lui proférait une démarche élégante et souple.

L’homme était Kenyan, beau comme un dieu, les cheveux frisés coupés courts. De grosses lèvres qui lui mangeait le visage, des yeux malicieux. Bien musclé et bien membré.

 

douze

Dans la première scène, le Kenyan obligea les deux femmes à se dévêtir. Elles avaient honte d’être nues devant cet inconnu et se couvraient les seins d’un bras et le sexe d’une main. Ce qui était impossible pour l’asiatique, vu qu’une main ne suffisait pas à couvrir son tapis noir.

Marc filmait.

Sur la demande du noir, elles s’agenouillèrent devant lui et, genoux largement écartés, le suçaient en se chamaillant ce privilège.

Puis Janine se coucha sur le dos et fit le pont, soutenant ses fesses des deux mains, pour que le Kenyan puisse la pénétrer. Il la laboura sauvagement, à la faire crier à l’agonie. L’asiatique, en un premier temps, embrassa Janine goulûment sur la bouche, puis s’assit à califourchon sur son visage pour qu’elle la suce, la lèche, à chercher la fente sombre à travers l’épais buisson.

 

Puis ils tournèrent une deuxième et une troisième séquence.

Dans la deuxième, Janine était prostrée à genou, et, à reculons, s’approchait du noir, en écartant ses fesses des deux mains, le suppliant de l’enculer. Il ne s’en priva pas. Mais c’était à elle de s’enfourcher sur sa queue. Elle s’activa comme une folle. Pendant ce temps, l’asiatique, couchée sous l’entrejambe de Janine, lui triturait méchamment les lèvres de son sexe, et, avec les bras lancés au-dessus de sa tête, lui labourait, griffait, malaxait la poitrine aux bouts percés.

 

Dans la troisième, les femmes étaient couchées l’une sur l’autre, sur le dos, Janine au-dessus. Des mains, les deux écartaient leurs jambes, en « V ». Ainsi, le Kenyan avait quatre trous à sa disposition. Janine tremblait d’excitation, l’asiatique était plus discrète.

 

Il y eut même une quatrième séquence : Janine était couchée sur le dos, toute nue, les yeux bandés. Tandis qu’elle suçait goulûment le noir, c’était encore elle qui s’activait sur la tige, le noir restant immobile, elle se frappait elle-même violemment le sexe avec une spatule en bois, tandis que l’asiatique lui forniquait le trou du cul, d’abord avec trois doigts puis avec un gigantesque gode noir. De l’autre main, elle lui triturait méchamment les petites vis de ses bouts. Puis Janine supplia le noir de l’enculer violemment. Il ne se fit pas prier. Le jeune corps maigre de la fille s’arc-bouta sous les coups, Elle cria toute sa jouissance.

 

treize

Après ces tournages, Marc trouva Janine plus calme, comme apaisée. Ce qui ne l’empêchait pas de le retrouver dans son lit.

Elle ne négligea pas non plus ses restaurants. Elle assumait essentiellement la fonction de tournante et allait travailler là où il y avait une urgence. Sauf que le succès des trois restaurants créait quotidiennement plein d’urgences.

 

Lors d’une longue balade, Marc lui parla : Janine, je ne veux pas que tu t’épuises. J’observe à nouveau des signes de fatigue. Si tu continues comme ça, tu vas te brûler les ailes. Tu es trop jeune pour sortir indemne de ce stress. Elle l’écouta attentivement.

 

Ils engagèrent deux personnes : Sophie était une jeune diplômée d’une de ces fameuses écoles hôtelières où Marc avait enseigné. Sa fonction fut double : Elle fut une sorte de COO, Chief Officer of Operations, terme américain pour désigner la personne responsable du bon fonctionnement du quotidien. Puis d’endosser la fonction de tournante. Sophie parlait quatre langues : le français, l’anglais, l’allemand et un peu d’italien.

La seconde personne, Charlotte, était dans la petite cinquantaine, en voie de réinsertion professionnelle, ses deux enfants étant, ados, aux études. Elle dut suivre des cours d’informatique pour prendre la responsabilité de la partie administrative.

 

quatorze

Ainsi, Janine, comme toute jeune Directrice générale, avec l’appui de Marc, put se concentrer sur le développement de la chaîne de restaurants.

Ils avaient le choix d’une extension nationale ou d’une concentration sur les villes où il existait déjà une unité. Ils choisirent, du moins pour les prochains temps, la seconde solution.

Car Marc suggéra de créer une cuisine centrale, pour pré-produire du riz, des pâtes, des légumes, laver les salades et préparer les sauces. Des auxiliaires, dans chaque restaurant, seraient chargés de la finition des plats pour assurer la fraîcheur.

Marc acheta dans les environs une auberge de campagne tombée en faillite. Il y fit installer une grande cuisine moderne à la place de celle vétuste. La grande salle fut aménagée en local de séminaire. Le restaurant, lui, fut juste nettoyé, repeint et maintenu dans son style rustique.

 

Toute l‘équipe se réunit dans ce restaurant : Janine, Marc, Elhili, Sophie et Charlotte. Ils élaborèrent ce concept : Sophie et Elhili allaient, dans la grande cuisine, produire et distribuer les mets pré-fabriqués pour les restaurants.

Le restaurant, lui, n’était ouvert qu’à midi. Il offrait les mêmes menus que les autres unités, c.à.d. des salades, des pâtes et légumes, du riz curry avec du poulet, des sandwiches et un menu du jour.

Sinon, le local n’était pas ouvert au public et servait à prodiguer des cours de cuisine, l’après-midi ou le soir, essentiellement par Elhili, épaulée, selon, par Sophie ou même Janine.

La location de la salle de séminaire était confiée à Charlotte. Elle en assurait le service des boissons. Les participants mangeaient au restaurant.

 

En parallèle, Janine, aidée par Sophie et Charlotte, ouvrit trois nouveaux restaurants, tous dans les périphéries des unités existantes, ce qui doubla le nombre d’unités.

 

Quinze

Mais Janine était terriblement en manque de sexe. Ils invitèrent le Kenyan et l’asiatique pour tourner une nouvelle séquence.

Janine apparue nue et se posta debout devant le noir. Elle écarta les jambes et accrocha elle-même, avec de méchantes pinces, les lourds cônes aux lèvres du sexe qui se distendirent.

L’asiatique était couchée sous elle et faisait tinter les cônes, alors que Janine se tordait et que le noir se masturbait. L’asiatique lui accrocha deux cônes supplémentaires, ce qui fit crier Janine.

Sur incitation du noir, celle-ci se mit à quatre pattes et il l’encula sauvagement, tandis que l’asiatique, tirant sur les cônes, la fit encore plus souffrir. Puis Janine dut se mettre à genou. D’abord, l’asiatique lui introduit deux gros godes électriques reliés, dont elle mit en marche les vibrateurs. Ensuite, elle lui plaça des pinces à ses bouts turgescents. Celles-ci étaient munies de câbles électriques et d’une chaîne placée dans le dos.

Le noir l’ordonna de le sucer. Mais l’asiatique, avec la chaîne, la tirait en arrière, lui déformant la poitrine et l’empêchant d’atteindre la queue. Janine était à l’agonie et hurlait qu’elle voulait sucer. Les électrochocs dans les bouts la firent se tordre comme un pantin.

Elle finit par arriver jusqu’à la queue et l’avala goulûment. Elle prit la foutre en plein visage et s’écroula en criant comme une folle.

Le noir lui ordonna de se relever, ce qu’elle fit péniblement. Mets tes mains derrière la tête et écarte tes jambes, dit-il. Alors que les godes et les électrochocs continuaient de la secouer, le noir la fouetta sauvagement, sur la poitrine et le sexe déformé. Par derrière, l’asiatique lui cinglait le cul. Janine hurlait, tenant à peine la position exigée. Sous les coups, après des orgasmes répétés, elle s’écroula, cette fois évanouie.

 

seize

Marc eut peur pour Janine. Elle avait de lourds cernes noirs sous les yeux et tremblait. Elle mit de longs jours à se remettre de cette séquence et à soigner les morsures des fouets.

Dès qu’elle allait un peu mieux, il l’emmena à l’aéroport et ils s’envolèrent, un peu au hasard des vols disponibles, pour les Açores.

Dans l’hôtel 5*, ils profitèrent largement du spa et cela fit beaucoup de bien à Janine. Après un petit déjeuner copieux, ils firent de longues balades, silencieux. Après le souper, Janine venait se lover contre lui, comme une petite gamine, cherchant et appréciant sa protection.

Il la questionna : Ce n’était pas trop, pour toi, cette dernière séquence ? Janine se borna à hausser les épaules et l’embrassa tendrement.

 

Ils prirent l’hélico navette pour l’île « Fornos de lava » et s’engouffrèrent dans le restaurant Açor. Ils choisirent chacun des plats différents pour les faire goûter à l’autre.

Ils mangèrent des poulpes frits avec une sauce à la crème au poivre rouge, une salade de moules tiède, un plat de pâtes avec de succulentes « vongole verace », et finirent sur une potée de calamars aux pommes de terre.

Tout était frais à souhait et Marc était ému de voir Janine manger de bon appétit.

C’est ainsi qu’ils firent la connaissance de Pedro, le cuisinier en chef. Ils l’invitèrent à leur hôtel pour le lendemain. Janine lui expliqua le concept de ses restaurants.

 

dix-sept

Ils l’invitèrent à les rejoindre en Suisse pour débattre d’une extension de gamme avec des plats des Açores. Les retrouvailles à l’aéroport furent très chaleureuses. Pedro fut émerveillé de la nouvelle cuisine de production. Il se mit de suite à l’œuvre, assisté d’Elhili, et mijota des plats pour toute l’équipe réunie dans le restaurant, les produits tout frais sortis de son frigo de camping emmené. Les participants, en applaudissant, furent enthousiastes. Et l’idée d’ajouter des plats originaires des Açores fut jugée très intéressante, vu qu’aucun restaurant en offrait. Pedro avait les larmes aux yeux.

 

Ils décidèrent d’ajouter aux salades celle, tiède, aux moules. À celle des pâtes les Vongole verace. Et de proposer, dans une nouvelle rubrique, les poulpes frits. Ils renoncèrent aux calamares aux pommes de terre.

Pedro n’en revenait pas et s’essuyait les yeux. Janine vint lui poser un bec sur le front.

 

dix-huit

Encore fallait-il assurer l’approvisionnement. Après le repas, pendant que les autres débarrassaient, Marc et Pedro partirent pour une balade.

À leur retour, voici ce qu’ils proposèrent : Ouvrir un restaurant identique dans l’enceinte de l’aéroport, sauf que celui-ci aurait des surfaces frigo et congélo beaucoup plus importantes, occupant tout un étage, pour stocker les produits frais que Pedro se chargerait de faire venir, d’abord par la navette de l’hélico, puis par un avion de fret. Cela demanderait une à deux employées de plus à l’aéroport, pour assurer la distribution quotidienne de la marchandise fraîche dans toutes les unités avant dix heures du matin.

Bien sûr, cela allait chambouler la vie de Pedro, mais, dans la petite soixantaine, restaurateur expérimenté, cela ne l’effrayait pas. Il se montra très fier de la confiance qu’on lui accordait. Marc se dit enchanté de ce développement et Janine eu les yeux brillants, retenant ses larmes. N’y tenant plus, elle vint s’asseoir sur les genoux de Marc et se lova contre lui. Il y eut des applaudissements.

 

dix-neuf

Ces nouvelles offres eurent un succès immédiat. Heureusement que les surfaces frigo, à l’aéroport, avaient été prévu en grand. Avec Pedro, ils achetèrent un hélico spécial frigo, qui, aux Açores, acheminait la marchandise directement à l’avion de fret.

Janine, dans son jeune enthousiasme, proposa de s’étendre dans d’autres régions. Mais Marc n’était pas d’accord. Consolidons déjà ce que nous avons, lui dit-il.

 

vingt

Pour la prochaine séquence porno, Marc exigea, en contrepartie de la dernière session, que Janine soit la dominatrice.

Elle commença par exiger du noir qu’il se masturbe pour durcir sa queue. Puis elle équipa l’asiatique des mêmes attributs : Quatre cônes qui distendaient ses lèvres noires sorties de son grand buisson, de méchantes pinces déformant ses adorables poires, reliées par câbles à l’appareil des électrochocs. Elle en fit de même avec les mamelons de l’homme.

Elle enlaça la queue raidie du noir d’une grosse ficelle de sisal indien, très rêche. Elle lui enfonça un gros gode vibrateur dans le cul, qu’elle mit en marche, puis le força à enculer l’asiatique. Celle-ci eut très mal et cria comme une bête.

Janine, féroce, se vengeant, huila le cul de la fille et y enfonça son poing, en fisting classique. Sous les électrochocs les deux se tordaient.

Janine alluma deux bougies et fit tomber des gouttes brûlantes sur leurs parties sensibles : Les seins, les mamelons, les sexes. Le noir et l’asiatique se tordaient de douleur.

 

Ces films eurent un grand succès sur des sites spécialisés sur Internet. À part quelques trails pour faire de la pub, ils étaient payants. Tous les quatre étaient satisfaits de ce revenu supplémentaire qu’ils se partageaient équitablement.

 

Vingt et un

Mais Janine était absolument insatiable. Une bête sexuelle. Au petit-déjeuner, elle apparaissait nue, déjà affublée de ses pinces et les poids. Puis elle se mettait à genou pour sucer Marc.

Cela ne suffisait pas. En feulant, elle s’introduisait le pommeau du dossier de la chaise. Lui quémandant de tirer sur la chaînette qui reliait les pinces des seins.

 

Dans le prochain film, toujours imaginé par Janine, le Kenyan baisait l’asiatique, elle sur le dos. Janine était couchée sur elle, en position 69 et se faisait bouffer la chatte, les grosses boules tintant à la faire hurler. En alternance, elle léchait l’anus de l’asiatique ou la forniquait avec un gros gode.

En même temps, Janine s’efforçait, des deux mains, à extraire la queue du noir du sexe de l’asiatique. Mais comme celle-ci la retenait par la chaîne les seins, elle n’y arriva pas. Si, mais en hurlant comme une folle, se tordant pour l’atteindre. Elle le suça goulûment, introduit le sexe dans la chatte de l’asiatique, la ressortait pour la lécher, l’introduit à nouveau dans son trou.

 

Dans le film suivant, Janine fut encore la victime, mais dictant le scénario. L’asiatique lui mit tout le poing dans la chatte et l’autre main dans le cul, en double fisting. Faisant teinter les boules. Tandis que le noir la fouettait. Sauvagement. La poitrine et le sexe. Janine hurlait toute sa jouissance.

Comme Marc se bornait à filmer, Janine quémanda une deuxième queue. Le Kenyan fit venir son cousin. Noir, lui aussi, petit, mais membré comme un dieu.

 

Janine, nue, les grosses pinces fixées aux seins et aux lèvres, les grosses boules la distendant, se mit à genou et se prostra devant eux. De ses mains d’enfant, elle écarta ses maigres fesses. La vision de ces grosses queues noires la pénétrant simultanément était affolante.

Tandis qu’elle mordait méchamment le sexe de l’asiatique à travers son buisson touffu et d’une main lui fourrageait le cul et de l’autre lui tordait violemment les bouts des seins.

 

vingt-deux

Le lendemain matin, Janine se réveilla dans les bras de Marc, en geignant, les yeux cernés. Je suis vraiment accro, dit-elle, comme pour s’excuser. Vit ta vie, lui dit-il, je ne suis pas jaloux, car je sais que tu m’aimes.

Elle se blottit contre lui et, tout doucement, lui fit l’amour.

Ce qui était stupéfiant, c’est qu’autant Janine était une bête sexuelle insatiable, autant elle se comportait de manière exemplaire au travail. Ponctuelle, engagée, appliquée. Marc lui en fit la remarque et elle fut heureuse de ce compliment, avec quand même un sourire en coin, complice, un peu gêné.

 

vingt-trois

À part l’unité de base, c.à.d. les exposants de l’alimentation à gauche, le bar au milieu et l’espace des artisans et artistes à droite, ainsi que, dans une autre maison, le comptoir à l’emporter, le groupe trouva rapidement un troisième immeuble, au centre-ville, près de la place où se tient un grand marché deux fois par semaine.

 

 

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