Mon mari me demande pendant le repas si je veux l’accompagner au magasin de jardinage. Ça réveille quelque chose dans mon entrejambes. Je dis immédiatement oui, bien sûr.
Il a prévu de s’y rendre aux alentours de 15 heures. Ça me laisse le temps de me préparer. Après beaucoup d’hésitation, j’opte finalement pour une tenue simple mais efficace : la veille j’ai été faire des courses, et j’ai ramené un stock de shorts. J’enfile un short en jean moulant jusqu’à l’obscénité, qui fait particulièrement ressortir mon mont de Vénus, mon sexe et ma croupe. Je gaine mes jambes d’un collant sombre et choisis des bottes d’un bleu assorti au jean, qui m’arrivent juste en dessous du genou. Elles ont coûté cher, mais d’une part je travaille, d’autre part mon mari gagne énormément d’argent, de par son métier, mais aussi ses placements ; et comme mon salaire est bien moins conséquent, il me fait généreusement profiter de ses rentrées d’argent. Donc je peux me payer tout ce que je veux pour faire ma belle.
Pour le haut, j’opte pour un débardeur léger, là aussi d’un bleu assorti, bien décolleté, et collant en même temps à ma poitrine. Maquillée, coiffée…Je sais que je vais leur faire de l’effet. À défaut d’en faire à mon mari.
Mon mari est quelqu’un qui est passionné. Il a pris la suite de son père, qui tenait une concession auto, et par son travail et son habileté, il est parvenu à développer l’affaire d’une manière tellement spectaculaire que la compagnie lui a demandé de développer un autre garage avec une marque affiliée. Il y a mis un de ses adjoints, mais au final, c’est lui qui gère tout. Le résultat : des journées de 15 à 18 heures, des départs très tôt le matin, des retours tardifs, des week-ends très courts, et une absence permanente.
Cela fait dix ans que nous sommes mariés, quinze ans que nous nous connaissons. Je l’aime comme au premier jour, et c’est réciproque. On a une magnifique maison, avec un immense parc et un fils de 9 ans. On a tout pour être heureux. La seule ombre au tableau c’est le sexe, et la vision que nous en avons.
On part à l’heure prévue pour l’immense magasin où très régulièrement, mon mari achète du matériel. Il a une passion dans la vie, ce n’est malheureusement pas ma chatte, mais le parc qui entoure notre maison. Il y passe quasiment tout son temps libre à entretenir, tailler, couper, planter. Sa passion corollaire, c’est le matériel de jardinage. À chaque saison, il achète de nouveaux appareils, qui vont rejoindre les autres dans une vaste remise. Oh, ce n’est pas du gaspillage, il se sert de tout, et on a un parc magnifique, qui fait l’admiration de tous ceux qui nous rendent visite. Et moi-même je le trouve sublime, avec ces arbres, ces arbustes, ces haies, ces plantations de fleurs qui éclosent dans des couleurs soigneusement harmonisées.
Le problème, c’est que je préférerais qu’il passe moins de temps à l’extérieur pour venir me baiser dans la maison. Quoique… On pourrait aussi faire ça à l’extérieur… En montant en voiture, je me fais la réflexion que ça fait… je ne préfère pas compter, ça me ferait encore plus déprimer… que ça fait très longtemps que je n’ai pas vu sa queue bandée.
La dernière fois, car il y a bien eu une dernière fois, je rentrais du travail. Je suis secrétaire médicale pour un dentiste. Il m’a rejointe dans la chambre et il m’a mis la main aux fesses… Ce geste… J’ai eu envie de lui dire : « Mais pourquoi tu ne fais pas ça plus souvent ? » Je serais prête à m’envoyer en l’air tous les soirs en rentrant du travail… Sans rien dire, je me suis basculée à quatre pattes sur le lit, et j’ai roulé ma jupe, pour lui présenter ma croupe, nue car je portais un string dont le cordon arrière était englouti par mes fesses et dont la partie face masquait seulement en partie une vulve qui se dilatait et coulait déjà d’excitation.
Ce jour-là, il devait avoir très envie. J’avais senti sa queue venir frotter contre mes lèvres, déjà bien épaisse. Je m’étais mise à gémir tellement c’était bon, et j’avais continué quand il avait glissé en moi. Il m’avait bien fouillée avec sa queue, ça avait été divin. Ce qui l’avait été aussi ça avait été de sentir le sperme jaillir, et venir taper contre les parois internes de mon vagin. J’avais joui plusieurs fois à cause de cela.
Je n’imaginais pas à ce moment-là que c’était là le chant du cygne de notre relation sexuelle.
Depuis, plus rien. Au début, je n’avais pas été vraiment surprise. Il était malgré tout très occupé. Et puis, au bout de deux semaines, j’avais commencé à me poser des questions. Alors j’avais décidé de l’allumer. Je m’étais frottée contre lui, un soir. Au début de notre mariage, il adorait ça. Il avait soupiré : « Tu sais je suis très fatigué, j’ai des soucis, la pression des firmes, on doit faire du chiffre… Je n’ai pas la tête à ça… »
Je ne m’étais pas avouée vaincue. J’avais joué sur à peu près tout. Des classiques. J’étais toujours habillée sexy, mais alors qu’avant je m’asseyais face à lui en mini-jupe AVEC culotte, cette fois c’était sans culotte, et les cuisses écartées.
Peine perdue.
Et c’était à cette époque qu’il s’était mis à s’occuper beaucoup plus du parc.
Je m’étais payée les services d’un détective privé. Je m’étais mise dans la tête un moment qu’il me trompait avec une autre fille. L’enquêteur avait été clair. Il l’avait suivi, avait infiltré ses connections Internet, son téléphone…Il n’y avait personne.
Il y avait eu un basculement, peut-être une question d’âge. Il avait reporté tout son intérêt sur notre parc, qu’il s’était mis à bichonner comme jamais.
On arrive au magasin de jardinage. La marotte actuelle de mon mari, c’est d’acheter un tracteur tondeuse. J’ai vu qu’il examinait des catalogues.
On pénètre dans le magasin. Je suis parcourue par long frisson. Ce lieu est pour moi celui de toutes les tentations.
J’ai un peu l’impression quand je viens ici d’être une gamine pénétrant dans une pâtisserie. Le personnel est nombreux et à 80 pour cent masculin. De plus, chaque fois que je passe, il y a toujours des nouveaux.
Il y a déjà un client pour une débroussailleuse. Il est avec Mickaël, un type d’une trentaine d’années, que je connais bien. Il est passé à la maison plusieurs fois pour reprendre et ramener la débroussailleuse de mon mari. J’ai un souvenir très précis de ce que nous avons fait ensemble, suffisamment précis en tout cas pour que mon sexe commence à se dilater, et se remplir de sécrétions, qui coulent dans ma culotte.
Je sens des regards sur moi. Des hommes qui sont passés à la maison eux aussi.
J’aperçois Richard à son bureau. Il est seul. Je me dis que je vais venir lui rendre visite pendant que mon mari se fera expliquer les avantages et les inconvénients du tracteur-tondeuse.
On sort, car les appareils qui l’intéressent sont tous dehors. Un jeune type que je ne connaissais pas avance vers nous. La trentaine, très brun, avec de magnifiques yeux bleus… Je me dis immédiatement qu’il me le faut. Il semble pourtant indifférent. Mais ça n’est souvent qu’une apparence. Et puis je n’ai aucun doute concernant mes capacités de séduction… Généralement, quand ils viennent à la maison livrer, ils arrivent dans la gueule du loup.
— Je peux vous renseigner ?
— Je souhaite acheter un tracteur-tondeuse. Vous pouvez m’en dire plus ?
Les deux hommes se mettent à discuter. Ce n’est pas la peine que je fasse du plat à l’homme maintenant, il n’a de toute façon qu’un seul objectif, vendre son produit. Alors je m’éclipse. J’ai mieux à faire.
Je pénètre dans le bureau de Richard. Il ne semble pas surpris de me voir. Je suis trop prévisible.
— Ça ne te manque pas ?
Il ne comprend pas.
Je me tourne vers lui. Le bureau est vitré, et je me préserve, même si je me moque un peu de m’exhiber devant des hommes qui tous m’ont baisée ou presque. Je défais mon jean et tire ma culotte bas quelques secondes, lui exhibant une chatte dilatée d’excitation, et luisante. J’écarte mes lèvres de deux doigts, puis je me rhabille.
Trente secondes plus tard, on est dans les toilettes. Un espace aseptisé et blanc. Je l’entraîne vers l’une des cabines. Ici, elles sont spacieuses, c’est assez pratique. Ce n’est pas la première fois que j’y viens.
Je suis toute excitée. Mon ventre me brûle et je coule abondamment. On est à peine dans la cabine que je prends déjà position. J’ai trop envie de sexe, et là, je n’arrive même plus à me maîtriser. Je tremble. Je ne peux pas vivre sans ça. J’envie les femmes qui ont tiré un trait sur leur sexualité, ou qui s’envoient en l’air une fois par mois. Il y a tant de choses dont j’ai besoin.
Je pose ma main au niveau de sa queue à travers le pantalon. Je la sens, chaude, se durcissant. Il se tend, frissonne. Je le masse à travers le tissu et je le sens grossir. Je me touche à travers le short, appuyant contre mon sexe ultra-sensible.
Je sors sa queue. Elle est identique au souvenir que j’en garde. Il est venu plusieurs fois à la maison déjà, pour amener du matériel ou des pièces de rechange. La dernière fois, on était en plein milieu du parc, je l’ai fait tomber au sol, je l’ai rejoint, j’ai défait son pantalon, sorti sa queue et après l’avoir rapidement gainée de plastique je me suis plantée dessus. Je me suis faite monter et descendre sur lui. À ces sensations plus purement sexuelles s’est ajouté un plaisir que je n’avais pas expérimenté auparavant, celui d’être à l’extérieur, de sentir le soleil et le vent sur moi.
Ce jour-là, j’ai eu de la chance. On était masqués par un cyprès. On venait de jouir quand j’ai aperçu mon mari qui rentrait. On s’est rhabillés en hâte et on l’a rejoint.
Sa queue est à l’air libre. Je la touche, avec un sentiment d’émerveillement. Ça fait… Oui, autant regarder la vérité en face… Le chiffre s’impose en moi… Un mois et demi que je n’ai pas eu de rapports sexuels. Moi ce qu’il me faudrait c’est une queue avec laquelle jouer trois fois par jour. Minimum.
Je me dis qu’il faut que je profite de chaque seconde. Je la masse doucement, je promène ma langue dessus. Il serre les dents. Je dois lui faire de l’effet, peut-être lui aussi est-il en manque, car il laisse échapper un trait de sperme, qui vient maculer ma joue. Je le cueille du bout des doigts et je l’avale. Son sperme a un goût amer. Ça fait remonter en moi un autre souvenir, celui d’une sortie avec une copine qui m’avait entraînée dans une boîte où il y avait des glory holes. On avait passé la soirée à sucer des queues et à les faire se vider dans nos bouches… Malheureusement, elle avait quitté la région depuis et je n’avais plus trouvé de partenaire comme elle pour m’accompagner dans des soirées sexe… Heureusement qu’il y a le jardinage.
Dans mon soutien-gorge, j’ai collé plusieurs préservatifs. J’en attrape un, je le défais rapidement et j’en gaine sa queue. Il est bien dur, bien long, et l’idée que je vais avoir ça en moi fait naître en moi un long frisson qui part de mon ventre et remonte dans toute ma personne.
Je me redresse. Il prend ma place sur la cuvette des toilettes. Sa queue est dressée, obscène, agitée de petits spasmes d’excitation.
Je ne peux plus tenir. J’ai tellement envie… J’arrache presque le short, je descends précipitamment mon collant et la culotte que j’ai dessous. Mes sécrétions ont trempé la culotte et commencent à souiller le nylon du collant.
Je viens me placer au dessus de lui. J’attrape sa queue d’une main, je pose l’autre contre mon sexe, me trouvant plus dilatée que je ne l’aurais imaginé.
Je manque de jouir quand le gros gland enveloppé de plastique entre en contact avec mes lèvres. Sa queue ripe, part sur le côté. Je l’attrape, et cette fois c’est la bonne. Je l’engloutis, resserrant mes muscles vaginaux autour de lui comme si je voulais le garder en moi pour toujours… Et c’est un peu ça dont je rêve.
La tête de son sexe vient buter contre mon utérus. Je suis calée sur lui. Il veut m’attraper par les hanches pour me faire monter et descendre sur lui, mais je l’interromps.
— Laisse-moi faire.
J’aime bien surprendre mes partenaires et leur donner envie de revenir. Apparemment, ça ne marche plus avec mon mari. Avec les autres, si.
Je contracte les muscles de mon con autour de sa queue. Il semble surpris, mais aussi apprécier la caresse. À force de faire l’amour, j’ai découvert et développé pas mal de techniques. Dont celle-ci. Qui déstabilise les hommes. Ils veulent être les maîtres que ce soit leur queue qui envahisse le vagin de la femme, le fouille. Pas que ce soit son sexe qui prenne le leur.
— Maîtrise-toi. Ne jouis pas tout de suite. Contrôle-toi.
Je serre et desserre l’étreinte de mes muscles vaginaux autour de son sexe. Il est totalement à ma merci, tout rouge, les yeux exorbités, le souffle court. Certaines préféreraient sans doute le mouvement de va-et-vient d’une bite contre leurs parois internes. J’aime ça aussi, mais cette caresse m’excite énormément, et pas seulement parce qu’elle met tous les hommes à ma merci. Ça me plaît d’avoir ce contact étroit avec une queue, de la sentir vivante, gonflée de sang, et se dilatant encore. J’ai le souvenir de la première fois où j’ai fait ça à mon mari, et de sa réaction. Incapable de se contenir, il a rempli par vagues, mon vagin d’une semence, qui, tapant contre les parois internes de mon vagin, m’a fait jouir. Mais c’est bien aussi quand ça dure.
Il est de plus en plus gros, et sa jouissance a à présent quelque chose d’inéluctable. Je resserre une dernière fois, appuie plus. La semence sort avec violence. Je sens son choc dans le plastique.
Je m’arrache à lui. Le plastique qui entoure la queue débandante ruisselle de mes sucs internes. Je lui enlève la capote, en prenant bien soin de laisser tout le sperme à l’intérieur. Il se rhabille et part, un peu honteux, me laissant seule. Je me pose de nouveau sur la cuvette. Je porte la capote à ma bouche, et viens laper la semence au goût amer. Je lèche la capote, puis je viens frotter mon clitoris qui est tout dur. J’ai encore envie de jouir. Je me masse d’un mouvement concentrique, et je jouis, une fois, puis encore une autre fois. Apaisée, je balance la capote dans la poubelle réservée aux tampons, je me rajuste et je vais rejoindre mon mari.
Il est toujours en pleine discussion technique. Je suis sure que si je lui disais : « Je viens de me faire baiser dans les chiottes. », il n’entendrait même pas. Le vendeur, lui par contre, me jette un regard en coin. Je vois bien que je lui plais. J’ai une décharge d’électricité dans le ventre. Mon problème, c’est que j’ai du mal à m’arrêter. J’en veux toujours plus. Un instant j’ai un vertige. Je me vois m’approchant de lui, sortant sa queue de son pantalon, la suçant, puis me mettant à quatre pattes pour qu’il me prenne. Je voudrais qu’il vienne sur moi, comme un chien sur une chienne et qu’il me fouille. Je suis certaine qu’il a une bonne queue bien longue…
Je suis certaine aussi que ça ne le dérangerait même pas si on le faisait devant mon mari. Il continuerait à discuter matériel. Ce qu’il fait pendant encore une demi-heure, avant de se décider à acheter l’appareil. On part vers le magasin proprement dit. Mon mari est devant, moi un rien en retrait. Le vendeur est resté près de la machine, il nous rejoint. Il fait ce que j’attendais, il me met la main aux fesses. Je me fige et lui aussi… Ça dure dix secondes peut-être, un micro moment. Je me cambre, tendant ma croupe vers lui. Je suis très sensible sur cette partie de mon corps, contrairement à d’autres femmes. Il me caresse rapidement, puis on redémarre. J’aurais aimé qu’il glisse sa main sous ma robe, entre mes fesses, jusqu’à caresser mon anus, mais ce n’était pas le lieu pour ça.
Pendant que mon mari signe les papiers, dans le bureau, je m’approche de lui. Il est debout, alors que mon mari est assis. J’attrape sa main et je la plaque quelques secondes contre ma vulve à travers le jean. Je sens sa chaleur monter dans mon ventre. Je me mords la lèvre pour ne pas gémir.
C’est quarante-huit heures après que la livraison a lieu. Un coup de fil hier au soir, sur le coup de cinq heures, j’ai reconnu la voix de l’homme.
— Bonjour, je souhaite livrer le tracteur-tondeuse à monsieur D… demain après-midi.
— Je suis sa femme. Mais il ne sera pas là.
— C’est une bonne nouvelle, répond-il sur un ton qui ne laissait aucun doute quant à ses intentions.
Et le lendemain, il arrive en début d’après-midi. Ils sont deux en fait. Je reconnais l’un des nombreux employés du magasin, un petit jeune, blond, qui semble très timide. Deux garçons… Des images d’une rare crudité s’imposent à moi…
Ils sont venus avec une fourgonnette. Ils mettent en place une rampe pour descendre l’engin. Il est tout neuf, tout luisant, il pue la graisse et l’essence. Le brun le met en marche pour vérifier son bon fonctionnement. Je lui propose de l’amener dans le vaste hangar où il rejoindra les autres joujoux de mon mari. Je les regarde et je me rends compte que leurs queues sont érigées, au moins en partie, et qu’elles tendent les combinaisons dont ils sont vêtus, combinaisons grises ornées du logo d’une des marques qu’ils vendent.
Le grand hangar sent l’essence, l’huile, les machines. Mon mari se l’est fait construire il y a deux ans, et, dans un rangement qui confine à l’obsessionnel, il y a positionné tous ses outils, du plus simple au plus élaboré. Ça va d’un râtelier auquel est accrochée une collection impressionnante de sécateurs, de toutes formes et toutes couleurs, à ces engins. Il a déjà dégagé un espace, près de plusieurs tondeuses, pour y caler l’engin. Comme il est minutieux, l’endroit colle pile. Le brun y gare le tracteur-tondeuse. Il en descend. Le blond a à la main un épais dossier.
— On a des papiers à vous remettre, la garantie, le mode d’emploi, et il nous faut une signature.
— Je crois qu’on verra ça plus tard.
Je porte une robe d’été, légère, qui m’arrive au dessus du genou. J’en attrape l’ourlet, et je la remonte lentement, dévoilant mon corps. Je n’ai pas de slip dessous, mais juste un soutien-gorge. Ils s’attendaient bien sur à ça, mais ils sont quand même surpris et fascinés, leurs regards collés à moi. J’aime ça, je l’avoue, la chaleur remplit mon ventre, puis mon corps, et mon sexe se met à couler.
Ma robe tombe sur le béton. Je leur fais un petit signe du doigt, alors qu’ils hésitent encore à s’approcher. Ça les libère, et ils viennent autour de moi. Une fois qu’ils ont posé leurs mains sur moi, je ne peux plus les arrêter. Ils caressent ma chair, viennent sur mes fesses, mes seins, mon ventre, ma chatte, leurs doigts sur un parcours solitaire ou se mêlant. Je me cambre et gémis. J’ai besoin des mains d’un homme sur moi, de la bouche d’un homme sur moi, de la queue d’un homme en moi.
Je les laisse me caresser longtemps avant de venir à genoux, et de sortir leurs queues dilatées de désir. J’en branle un pendant que je balade ma langue sur l’autre, et puis j’inverse. Leur chair est gorgée de sang. Ils arrivent à se maîtriser pour ne pas jouir.
J’ai gardé mon soutien-gorge. J’en extrais deux préservatifs, c’est ma réserve, et je les engaine.
C’est l’occasion d’essayer le tracteur. Il sera baptisé par mes sécrétions et leur semence. Le blond recule, et vient s’appuyer sur le capot. Sa queue est roide, un pieu sur lequel je viens m’empaler. Le sexe me remplit. Il m’attrape par les hanches, me fait monter et descendre. Sentir ainsi cette queue aller et venir en moi…
Son copain n’en peut plus d’attendre. Il vient appuyer son gland sur mon anus. Je tends les mains en arrière, l’attrape par les hanches, et je le fais rentrer en moi. Il est surpris de la facilité avec laquelle il peut passer mon muscle anal.
Leurs deux queues se rejoignent. Comme on peut parfois sentir son cœur battre, je sens, contre la paroi qui sépare mes organes, ces deux tiges qui pourraient presque se toucher s’il n’y avait une membrane de chair pour les séparer.
Ils bougent en moi, puis échangent leur position. La queue du blond vient dans mon rectum, celle du brun dans mon vagin. Ils bougent en moi jusqu’au moment où ils n’en peuvent plus. Le brun craque le premier, la semence sort, tapant contre les parois internes de mon vagin, mais restant contenue dans le plastique, ce que je regrette. Il n’y a rien que j’aime plus que de me sentir remplie de semence, surtout dans le cul. Ça sort lentement, on peut en profiter longtemps. Le blond jouit à son tour, et c’est son orgasme qui entraîne le mien.
Le soir, quand mon mari arrive, je suis allongée sur le canapé. Je lis en repensant encore à ces deux queues fichées en moi. J’aurais voulu qu’ils me remplissent de sperme, et que ce sperme coule de mes orifices toute la soirée.
— Alors on m’a livré ?
Ses yeux brillent. Autrefois, il aurait dit :
— Allez, on va au lit…
Mais c’est il y a très longtemps.
Signe de tête affirmatif de ma part. Fou de joie il se précipite vers son hangar. Je pense déjà à demain. J’appellerai le brun pour lui dire qu’il y a un problème au tracteur. Il n’y en aura pas bien sûr. Mais il passera quand même à la maison. Et me donnera ce que mon mari ne me donne plus depuis belle lurette. À cette pensée mon sexe s’humidifie.
Très belle histoire. Phantasmes pour certains. Moi, j’ai appris il y a peu, que ma femme avait agie de même pendant les trx de notre maison. Elle a 53ans. J’ai été cocu tout le chantier. Elle s, offrait à 3ouvriers. 2 français et un jeune arabe. Sans aucune retenue. La honte ? ?