jeux humides partie 2

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alex condamines


ondinismetabouuro


Dans les jours et les semaines qui ont suivi, on a eu l’occasion de se revoir plusieurs fois. Quelques règles se sont précisées, qui ne m’ont d’ailleurs pas dérangé. J’ai bien compris que je n’aurais pas l’exclusivité de Tif. Ca ne me dérangeait d’ailleurs pas. Je n’étais pas guidé par des sentiments amoureux. Plutôt le bonheur d’être avec une jeune femme ravissante, sensuelle, et dont j’aimais l’originalité.
J’ai aussi compris que les jeux de pipi faisaient partie intégrante des rapports sexuels pour Tif. Un souvenir de l’enfance? En tout cas, elle semblait adorer ça. J’en ai eu la preuve deux jours plus tard. Un de nos enseignants avait besoin de documents qu’il m’avait demandé d’aller récupérer dans son bureau. Je suis monté dans les étages, et je me suis trompé, partant un étage plus haut. Je n’y serais pas resté si je n’avais pas entendu une voix qui m’a interpellé.
—Oui, vas-y.
Ce vas-y m’a intrigué. Je venais de me souvenir que l’étage était inoccupé, réservé à des bureaux vides, ou des locaux ou l’on entreposait du matériel.
J’ai avancé dans le couloir, en m’efforçant de rester silencieux.
Je n’ai pas été déçu par ma découverte.
Tif se trouvait au milieu d’un local vide avec un garçon. Je les avais déjà croisés deux ou trois fois ensemble. C’était un grand type brun, très musclé.
Je ne me laissais pas facilement surprendre, mais là, j’ai été un peu décontenancé. Et puis il m’a fallu un rien de temps pour comprendre la situation.
Marc, c’était son prénom, ça m’était revenu entre temps, était allongé sur le sol. Il était habillé, mais avait sorti sa queue de son pantalon, une queue bien raide, bien dure, dressée vers le ciel, et il la masturbait avec frénésie.
Tif se tenait au-dessus de lui, en surplomb. Je ne l’avais pas vue depuis le matin, et elle était vraiment magnifique. Elle avait une jolie robe bleu, en jean, et des cuissardes noires, qui la rendaient infiniment sexy. Elle avait soulevé la robe. Dessous, ce n’était pas toujours le cas, mais aujourd’hui si, elle avait un slip en dentelle, qu’elle avait tiré sur le côté. Elle avait une expression radieuse, un air concentré, et elle regardait le corps sous elle. J’ai compris qu’elle s’apprêtait à l’arroser d’urine.
Ca n’a pas loupé. Il y a eu un premier jet, puissant, rien à voir avec celui-ci,  court et bref de notre sortie, qui est venu marquer son pull de sombre. Elle s’est légèrement cambrée, et ça a été un déluge d’urine, elle avait dû boire avant qu’ils ne se retrouvent. Se déplaçant légèrement,  elle l’a arrosé tout le temps qu’a duré sa miction, et quand elle s’est enfin arrêtée, à court de ressources, il n’avait plus un poil de sec.
C’est dans les dernières secondes, alors qu’elle finissait de se vider sur lui qu’il a joui, crachant dans les airs de multiples jets de semence.
Je me suis éclipsé. Décidément, elle avait entrainé pas mal de monde dans ses fantasmes.
On s’est revus le lendemain. Elle m’avait donné rendez-vous dans un autre parc, pas loin de chez elle. Quand elle m’a vue, elle s’est précipitée, se collant contre moi pour m’embrasser à pleine bouche. J’ai senti ses seins s’écraser contre moi.
—On a un petit moment pour nous.
Elle m’a entrainé vers un banc. Elle avait un jean très moulant, qui dessinait son corps de manière très précise, avec des escarpins à talons, un jean blanc et un perfecto.
On avait commencé à flirter, quand elle m’a dit:
—J’aurais du prendre mes précautions…
—De quoi tu parles?
Je repensais au samedi précédent… J’étais pourtant sûr que le préservatif ne s’était pas déchiré. Voulait-elle dire qu’elle aurait doublé en prenant la pilule pour être tranquille?
—J’aurais du faire pipi avant de quitter la maison…En fait j’ai envie depuis ce matin, mais je suis rentrée en hâte, je voulais te voir, et j’ai pas pris le temps…Et maintenant…Oh, mon Dieu…
Elle a mis la main près de son sexe, que le jean dessinait d’une manière très détaillée. Je n’ai pas très bien compris, et puis sur le bleu pâle du jean, une tâche sombre est apparue, d’abord minuscule, puis prenant de plus en plus d’importance, s’élargissant.
—Oh mon Dieu, j’ai honte, je suis sale…Je suis entrain de me faire pipi dessus…Je n’ai plus fait ça depuis que je suis toute petite…
Son visage disait pourtant qu’elle avait tout sauf honte, et qu’au contraire, elle y prenait du plaisir.  D’ailleurs, alors que la tâche s’élargissait, et atteignait maintenant ses aines, avant de se répandre le long de ses jambes, elle s’était mise à se frotter le sexe à travers le denim trempé.
Son alibi derrière elle,  elle m’a dit:
—C’est bon, j’adore ça, même si je ne le fais pas très souvent…Sentir l’urine sortir de moi bien chaude, et tremper mes vêtements… Je me sens sale, et ça me donne du plaisir…Sors ta queue, et arrose-moi, maintenant on est intimes, je peux te le demander…
Je suis rentré dans son jeu avec un plaisir proche du sien. Elle m’avait attiré sur des terrains sur lesquels je la rejoignais volontiers. J’ai tiré ma queue de mon pantalon, et je l’ai dirigé vers elle. Je ne m’étais pas gorgé d’eau comme elle, mais j’avais quand même quelques réserves. Un premier jet est sorti, qui a rendu un bout du T-shirt transparent au niveau de ses seins. C’était eux que je visais, et elle m’a laissé faire. J’ai trempé tout le tissu jusqu’à ce qu’ils soient totalement visibles, dans leur rondeur. Ses tétons étaient tous tendus, signe de son excitation.
Je devais bien avoir envie de faire pipi moi aussi, car je me suis surpris à me vider longtemps sur elle, faisant que le T-shirt devienne entièrement transparent, et mouillant aussi largement le jean, même si sa miction l’avait déjà bien souillé…Elle a joui dans son jean, en se frottant jusqu’à l’orgasme, prenant ma queue dans sa main quand j’ai été vidé de toute mon urine, et me masturbant très rapidement, en dirigeant mon membre vers son visage. Elle a ri quand le sperme a jailli, maculant son visage trait après trait, qu’elle a ramassés du bout des doigts pour le gober.
Elle a sorti de son sac un imperméable qu’elle a utilisé pour s’envelopper et rentrer chez elle. La machine à laver était sa meilleure amie.
Je me souvenais des derniers mois de notre préparation comme une sorte de ballet incessant, un rêve, partagé entre la préparation de mes examens, et le plaisir que je prenais avec Tif, dans une sexualité libre où les jeux de pisse tenaient un rôle essentiel.
Je ne me faisais cependant d’illusion sur notre relation. Je savais, et c’est bien ce qui s’est passé, que la fin de l’année sonnerait le glas de notre relation. On est partis passer nos examens, et, une fois les résultats publiés, je n’ai plus eu de nouvelles de Tif, et je n’ai pas cherché à en avoir. Je suis passé à autre chose.
Et elle était là, juste devant moi, et j’avais le sentiment que, malgré le temps qui avait passé, elle avait autant envie que moi que quelque chose se passe. Même si c’était une fois unique.
—Le magasin sera à moi mercredi soir, et je vais organiser la transition avec Carole, pour tout apprendre…J’ai fait de la compta pendant quelques temps et là j’en ai un peu marre, j’ai envie de tenir un magasin. Je finis dans deux heures…Tu veux qu’on se voie ce soir? Il y’a des appartements juste au dessus, et je me suis installé dans l’un d’entre eux…
Je suis revenu sur le coup de huit heures. Le magasin était fermé, les légumes visibles à travers les vitres sur les étals. J’ai sonné, il y avait son nom indiqué. Elle est descendue m’ouvrir. Elle s’était changée, une jolie robe longue, en velours vert, qui collait à son corps impeccable. Elle était superbe, et, indéniablement, confirmant ma première impression, je me suis dit que ces quelques années l’avaient magnifiée.
Si j’avais pu avoir quelques doutes, elle a tout de suite tenu à me mettre à l’aise. Elle s’est collée contre moi, sa main venant caresser ma queue à travers mon pantalon, en même temps que sa bouche cherchait la mienne.
—J’espère que tu es venu la vessie pleine, elle m’a dit. Il y a eu une pause, une longue pause, mais j’ai envie qu’on reprenne nos jeux. Ca te dit?
—J’ai pris mes précautions, je lui ai répondu.
Et c’était vrai,que, certainement avec l’espoir qu’on reprenne ces jeux qui m’avaient beaucoup plus, j’avais liquidé deux bouteilles d’eau minérale.
Elle est passée devant moi dans l’escalier. Mu par l’envie, j’ai soulevé sa robe. Question sous-vêtements, elle faisait plutôt des investissements dans les collants et les bas, mais pas dans les culottes. Elle avait remplacé son collant par des bas stay-up noirs. Sous mes yeux, ses fesses pleines évoluaient au rythme de ses hanches, et son sexe était bien visible entre ses cuisses.
—Le paysage te plait?
On s’est retrouvé dans l’appartement, meuble de manière très simple, et fonctionnelle. J’ai remarqué qu’elle avait installé une grande bâche sur le canapé et autour. Elle s’y est laissée glisser, a retrouvé sa robe, et glissé son majeur et son index dans son sexe, me donnant à voir un intérieur tout rose.
Je n’ai pas été surpris quand son urètre a sailli, s’est ouvert, et qu’elle a lâché plusieurs traits de pipi, courts, qui sont venus frapper la bâche. C’était une manière de réamorcer notre relation, de la ramener sur le chemin que nous avions pris autrefois.
—J’ai eu pas mal d’amants depuis qu’on a cessé de se voir, mais jamais de jeux de pipi avec eux. Ca me manque…J’ai voulu rentrer dans la norme…Ca n’a pas forcément été une bonne idée.
Je me suis approché d’elle. Elle a eu un immense sourire, heureuse de revenir vers le passé, et elle a lâché des petits traits de pipi, brefs, qui ont frappé mes vêtements. Je me suis dégagé de mon caleçon, et je lui ai rendu la pareille, assombrissant sur plusieurs points le vert de sa jolie robe.
Elle a attrapé une boite de préservatifs sur la table basse près du canapé.
—Viens, j’ai envie de sentir une queue dans mon ventre. J’ai pas fait l’amour depuis un mois et j’ai la chatte en feu.
J’ai gainé ma queue toute roide de latex et je me suis laissé tomber sur le divan. Elle a roulé sa robe à sa taille, dévoilant son ventre nu, et elle s’est approchée de moi, récupérant ma queue pour me glisser entre ses lèvres. Sa chatte était chaude autour de moi, et elle me gainait bien. Une partie du plaisir que j’ai pu ressentir tenait à ce que je la retrouvais, comme s’il n’y avait pas eu de rupture. Nous nous étions quittés la veille.
Elle a très vite trouvé son rythme, se faisant aller et venir sur ma queue, puis se posant et lâchant plusieurs jets de pipi qui coulaient le long de ma queue, et sur nos chairs. Elle s’est finalement soulevée pour faire sortir ma queue de son vagin, et l’a posé contre ses plissements anaux. J’ai glissé en elle facilement, elle aimait se faire prendre par là déjà à l’époque, et, pendant que je bougeais dans le conduit serré, elle a lâché de courts traits d’urine qui nous ont trempés encore plus. Elle avait décidément eu raison de caler une bâche avant mon arrivée.
Le problème, dans ce genre de jeu, c’était pour moi d’arriver à gérer mon érection. Il fallait que je débande légèrement pour pouvoir l’arroser…Je me suis dégagé de sa muqueuse anale, et j’ai posé ma queue contre ses lèvres. Elle a souri en pensant à ce qui allait de produire. A grands traits, qui ont remonté jusqu’à son visage, j’ai trempé sa robe. Elle se frottait le clitoris fébrilement pendant que je l’arrosais, et elle a joui. Trop excité, j’ai joui moi aussi, mon sperme remplaçant le pipi.
On a continué comme ça toute la soirée, dans la joie de nos retrouvailles, alternant entre des positions et des situations qu’on avait aimées, et d’autres plus nouvelles. On avait glissé dans une de ses situations préférées, elle à quatre pattes, moi venant derrière elle, me planter dans son sexe, puis sortant d’elle et arrosant son dos.
A bout d’orgasmes et de mictions, la bâche trempée, on l’avait amenée dans la salle de bains pour déposer son contenu dans la baignoire, la rincer, et la mettre à sécher, avant de prendre une bonne douche. J’avais prévu des vêtements de rechange, elle aussi.
On a diné ensemble, avant de se séparer. Il était pas loin de deux heures du matin.
—On habite pas loin l’un de l’autre me semble-t-il, et tu consommes pas mal de légumes. Autant de raisons de se revoir, tu ne crois pas?
Et puis bien sûr, il y avait nos jeux humides.

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