Journal d’une accro des collants partie 2

12345
Loading...

frederic mancini


à plusieursexhibition et voyeurismefétichisme


JOURNAL D’UNE ACCRO DES COLLANTS

PARTIE 2

J’ai une réunion à neuf heures et demie pour présenter mes nouvelles propositions de croquis. L’équipe est enthousiaste. Quand je suis rentrée dans la salle, les hommes ont maté mes jambes sans vergogne. C’est le genre de choses qui me plaît. Je sais que mes jambes enveloppées de nylon sont irrésistibles.

Le devoir accompli, je reviens dans mon bureau, et je me connecte.

C’est ma copine Arline, qui partage ma passion, qui m’a parlé du site. Dans ma naïveté, je ne savais pas qu’un tel site pouvait exister. C’est une sorte de niche, et j’ai réalisé qu’il y a, c’est l’un des avantages du net, des lieux où les fanatiques de telle ou telle pratique peuvent se retrouver. Ici, en l’occurrence, il s’agit d’hommes et de femmes passionnés par les jambes gainées de nylon.

J’ai été m’inscrire. On peut participer, et regarder, ou s’offrir. Je me suis inscrite sous un pseudo, évidemment, et j’offre mes gambettes trois fois par semaine. Ce qui m’excite terriblement. J’aime imaginer ces voyeurs, et ces voyeuses, derrière leur écran, se délectant du spectacle que je mets en scène. C’est aussi une manière de sortir de ma solitude, de ne plus être uniquement celle qui se donne du plaisir solitaire en se gainant de nylon. J’ai ainsi le sentiment de faire partie d’une communauté.

Je me connecte comme prévu, je tape mon code. L’image inscrite sur l’écran est celle de la webcam. Si dans les premiers temps, j’ai simplement utilisé la webcam, j’ai depuis fait un investissement, une petite caméra stylo, plus mobile, plus flexible, qui me permet de coller à mes jambes et que j’utilise aussi.

J’aime me mettre en scène. J’y réfléchis quand je ne tourne pas, pour être prête quand justement je me cale sur l’écran.  

Je commence en restant dans le champ de la caméra, faisant celle qui ne savait pas qu’on la matait, vacant à ses activités. Et devant une armoire, je m’inquiète soudain de savoir si mon collant n’a pas filé. Je me penche sur mes jambes, j’en pose une sur une chaise, et j’explore le nylon, qui, bien évidemment, n’a rien, en imaginant de l’autre côté de l’ordinateur, ceux que je ne verrai jamais, mais qui eux me voient, tétanisés. Il est toujours facile de tirer sur certaines ficelles…

Je reviens à mon bureau. J’adore imaginer les spectateurs, ces spectateurs que je ne connaîtrai jamais, figés devant leur écran, regardant avec fascination et émotion, dans le plus basique des cas, se caressant dans le cas le plus probable en m’admirant, les hommes faisant aller et venir leur main sur leur queue, les femmes faisant tourner leurs doigts sur leur sexe.

Je pose mes jambes sur le bureau, et je fais remonter la caméra, très lentement, le long de celles-ci, tournant autour, les prenant en plongée, en contre-plongée, sur la droite, sur la gauche… Une partie de mon écran est composée d’une partie texte sur laquelle ils peuvent exprimer leurs souhaits, leurs directives… Pour l’instant, je dois être dans les clous, car à part un « trop bien », je n’ai eu aucun message…

J’écarte les jambes, et j’amène la caméra sur mon pubis. Je vois à l’écran mon sexe, couvert par le voile de nylon qui le sublime, mes lèvres en avant, gonflées, et la manière dont, excitée par l’instant, je m’ouvre, et je balance des jets de sécrétions qui viennent se répandre contre le nylon et le faire briller.

Je pose mes doigts contre moi, et je me mets à me caresser. C’est le moment le plus intense, celui où, sans aucun doute, certains commencent à jouir. M’efforçant de faire en sorte que tout soit visible, je me mets à me frotter, allant et venant sur mes lèvres, massant mon clitoris.

Si certaines filles qui s’exhibent ne ressentent rien et font de la comédie, ce n’est pas mon cas, et, au plaisir de me caresser en nylon s’ajoute celui de m’exhiber, et bien évidemment de partager mon goût pour les collants avec d’autres…Ils voient mon sexe se transformer. Ce qu’ils ne voient pas, parce que c’est un gros plan, c’est l’expression de ma jouissance, mais sans doute que la manière dont j’inonde mon collant est significative.

Pendant que je reprends mes esprits, des messages s’inscrivent sur l’écran, dans la partie inférieure. La partie supérieure, elle, est toujours occupée, parce que je n’ai pas lâché la caméra stylo et que je l’ai gardée orientée sur moi, une sorte de réflexe dont j’ai l’habitude, par l’image de mon pubis pris par le collant, le nylon brillant sur une grande surface, ma chatte visible, ouverte d’excitation.

Je lis les messages, qui sont, comme toujours, des encouragements. « Encore un show superbe… » , « Vivement la prochaine séance… », « Tu es toujours aussi belle… »

Je coupe la connexion…Il est temps que je me remette au travail…

C’est sur le coup de midi et demi que je quitte la boite. On a bien évidemment droit à une pause déjeuner. Certains restent ici, il y a une cantine. D’autres vont manger à l’extérieur. D’autres encore choisissent de faire une pause, en se consacrant à une autre activité. C’est mon cas.

Je me rends au club deux fois par semaine. C’est Arline qui me l’a fait connaître. On y avait été au départ pour profiter des glory holes.

C’était parce qu’elle m’avait présenté la patronne, une maîtresse femme d’une cinquantaine d’années au corps sculptural, même si on voyait bien qu’il devait pas mal de choses à la chirurgie que j’avais dit à celle-ci : « Les glory holes c’est bien, j’ai cru comprendre qu’il y avait aussi des cellules SM, est-ce que vous avez prévu quelque chose pour ceux qui aiment les jambes gainées de lycra ? »

Elle m’avait répondu du tac au tac : « Je n’ai rien mis en place, si ça t’intéresse ma chérie, je te trouve un créneau, un lieu, et tu prends ça en charge. » J’avais immédiatement dit : « D’accord. »

J’arrive sur le coup de 12 heures 50 devant la vaste maison. Pas besoin de sonner, j’ai le passe pour l’entrée, une carte magnétique que je fais coulisser devant le bloc métallique qui s’ouvre dans un déclic. J’avance dans le long couloir, mes talons s’enfonçant dans le rouge du tapis qui se prolonge jusqu’au pied de l’escalier en colimaçon qui permet d’accéder à l’étage. Je connais le chemin, c’est le même à chaque fois. Ce qui ne change pas non plus, c’est l’émotion, forte, qui s’empare de moi quand je viens ici. Mon cœur bat vite et fort. Être derrière un ordinateur, c’est une chose, être au milieu de personnes réelles, c’en est une autre.

Je viens me poser devant une grande chambre. Sasha, la patronne m’a expliqué qu’elle a hérité cette immense maison bourgeoise de ses parents, et qu’elle a trouvé bien de laisser les pièces à l’identique, ou d’y ajouter deux ou trois éléments, comme les pièces SM. Elle a trouvé que ça donnait un contexte particulier aux relations érotiques, en renforçant la puissance.

Ils sont là, ils m’attendent tous les trois. Ce sont les fidèles. Parfois il y a une personne en moins, une personne en plus, mais ce sont eux que je vois depuis plusieurs mois, et il s’est crée entre nous une sorte d’intimité, quelque chose de sans doute difficilement compréhensible pour quelqu’un qui verrait la situation de l’extérieur. Ils sont proches de moi, je suis proche d’eux. Et pourtant, nous ne connaissons pas grand-chose les uns des autres, juste des prénoms, qui ne sont peut-être même pas de vrais prénoms. D’ailleurs celui que je leur ai donné n’est pas le mien.

J’ai souvent envie d’autre chose que ce qui se passe, presque sans paroles. Poser des questions, et savoir. Pourquoi ils aiment autant les jambes gainées de nylon. Et pourquoi surtout ils ont besoin de me voir. Sont-ils seuls, ou bien n’osent-ils pas assurer, auprès de leur compagne, leur passion pour les collants ? Mais il est vrai que beaucoup de filles n’ont pas l’esprit ouvert et qu’aborder avec elles la possibilité d’un fantasme un peu spécial n’est même pas envisageable… « Chérie, j’adore te voir avec des collants, je voudrais que tu me masturbes pendant que je caresse tes jambes… » ou « Ce soir, j’aimerais que tu gardes tes collants au lit… », c’est inenvisageable. Alors il n’est possible de se laisser aller à ce type de rêve qu’avec une fille qui a les mêmes travers….

J’ouvre la porte. Ils ont pris possession de l’espace. C’est vraiment une belle chambre, avec un lit immense, un divan, deux glaces aux murs placées quasiment en vis-à-vis, et qui font une sorte d’écho, mais légèrement décalées, et que nous apprécions, parce qu’elles leur permettent d’avoir les différents aspects de ma personne dans un regard. Mikael est installé sur le divan, Chris sur le lit, Jacques sur une chaise près de la porte de la salle de bains. Ils n’ont pas grand-chose de commun, que ce soit dans leur apparence physique, dans leur carrure, leur couleur de cheveux, si ce n’est qu’ils sont tous les trois fétichistes du lycra. Je ne dirai pas forcément des collants, puisqu’ils m’ont déjà demandé, ce que j’ai accepté, que je les rejoigne avec des bas auto-fixant. Ça leur avait énormément plu, mes jambes arrosées de sperme auraient pu le dire, mais j’avais nettement éprouvé moins de jouissance, tout simplement parce que mon pubis et mon ventre n’étaient pas enveloppés de lycra et que j’avais vraiment besoin de me sentir ainsi gainée pour éprouver des orgasmes aussi forts, même si la situation me mettait en transes.

Ça va les garçons ?

Je viens me placer au milieu de la pièce. Il n’en faut pas plus pour que leur attention soit immédiatement captée. Ils se lèvent, s’approchent, se réunissent autour de moi. Je retrousse ma jupe. Ils se partagent le terrain, venant caresser ma chair enveloppée de lycra. Jacques a déjà sorti sa queue, et il se masturbe. Sa queue est longue et épaisse, et à chaque fois, ça me fait tourner la tête de voir ces trois queues bandées, pour moi, à cause de moi, parce que je suis gainée de nylon. Je me tends vers eux, et je les mets à nu.  Je les guide parce qu’il y a toujours en eux une sorte de retenue. Mais ils prennent chacun une position. Jacques vient caresser mon ventre, en tournant autour de mon nombril, il aime bien faire ça. Chris, lui, frotte sa queue dilatée contre mes jambes. Mike lui, est sur mes fesses, il promène ses mains et la tête de son sexe dessus. Je participe à leurs jeux, laissant descendre et traîner mes mains, à la rencontre de leurs queues, les masturbant. A cet instant, le lien entre nous est intense, qui s’affadira et s’annihilera lorsqu’ils auront joui et s’éloigneront de moi. Mais il est pour l’instant d’une force extrême, et je n’en ai pas souvent vécu d’aussi intense, raison pour laquelle je ne renoncerais pour rien au monde à de tels moments.

Ils tournent, échangent leur place. Il y a leur plaisir, mais il y a aussi le mien, qui monte, de me sentir ainsi caressée, frottée… Je sais que leurs caresses auraient moins d’impact sur moi si j’avais les jambes et le cul nu. Le lycra décuple mes sensations, leur donne toute son intensité.

Chris vient promener la tête de son sexe, énorme et violacée contre ma fente, tandis que des deux complices se sont mis à genoux et, dans une attitude quasi identique, caressent mes jambes d’une main et leur sexe de l’autre.

Le temps coule ainsi, dont je n’ai plus réellement de notion. Est-ce que c’est lent, rapide ? Je n’en ai pas la moindre idée… Mais je sens la fin approcher… Ils se redressent, et posent leur queue, l’un sur mes fesses, l’autre sur ma fente, le troisième contre ma cuisse, et ils se frottent contre le nylon. J’en gaine deux de mes mains, tout en leur laissant leur liberté de mouvement. Ils se tendent, gémissent, et leur sperme gicle, chaud contre moi. A chaque fois, c’est un moment que j’adore, autant pour l’idée que je les fais jouir, que parce que j’aime l’image que me renvoient les miroirs, auxquels mes yeux s’accrochent, du sperme qui jaillit sur moi, colore le nylon de traits blancs, sur mes fesses, mon ventre, mes cuisses… Sans doute aussi que je suis émue, à la fois par leur manière de se mettre ainsi à nu, en révélant leurs pulsions et leurs fantasmes leurs plus intimes que parce qu’ils jouissent ainsi contre moi, s’abandonnant.

Ils reprennent leurs esprits, debout, proches de moi. Je sens leur semence couler contre moi, le long de mes jambes. L’idée m’amuse de revenir à l’entreprise avec les jambes couvertes de sperme. Mais je vais me changer.

Ils se rajustent, et partent. On ne se dit même pas au revoir. Tout s’est dégonflé, et il n’y a plus rien entre nous. On se retrouvera vendredi prochain. Mardi, ce sont d’autres personnes que je verrai.

Comme à chaque fois, une enveloppe est posée sur le coin de la commode. Leurs contributions, réunies dans une seule enveloppe. Des sommes généreuses, qui vont même au-delà des tarifs exigés par Sasha. On a convenu ensemble que je lui donnais 40 pour cent, pour la pièce, et que je gardais le reste. Et que s’il y avait de l’argent au-delà des tarifs qu’elle a fixés, et qu’elle m’a communiqués, ça me faisait un pourboire. Ce que je ne refuse pas. Ça me permet d’acheter encore plus de collants…

Je me laisse tomber sur le divan. Je suis directement face au miroir. Je vois mon double, jupe retroussée, jambes gainées et embellies par le lycra souillé de la semence des trois hommes. Je n’ai pas joui pendant qu’eux explosaient en se vidant sur moi, mais la jouissance est là toute proche, et elle l’est d’autant plus que je me vois et que je me trouve belle ainsi. Mon sexe est dilaté, et il suffit que je vienne me frotter à travers le lycra pour me mettre à jouir. Le premier orgasme vient très rapidement, il est très bon et très fort, mais je ne m’arrête pas là, je continue de me caresser, et d’autres orgasmes viennent, et je ne m’arrête que lorsque je n’en peux plus. Si à l’extérieur, mes collants sont souillés, à l’intérieur ils le sont aussi, je les ai éclaboussés de quelque chose qui ressemble à une éjaculation à chaque orgasme. Ça dégouline le long de mes cuisses.

Je reste un moment figée, avant d’ôter le collant et d’en passer un autre. Celui-là, contrairement aux deux premiers est couleur tabac. Je tends l’autre, et je viens lécher des traits de sperme qui, déjà, s’estompent et se fondent dans le nylon. J’ai toujours aimé le goût du sperme. Après, je m’attaque à la face interne, je viens respirer l’odeur de mes sécrétions qui m’enivre aussi. Je suis incurablement perverse. Mais il y a peu de raisons d’espérer.

Je retrouve mon bureau pour l’après-midi. Je dois finir les croquis. Je travaille d’arrache-pied, même si mes pensées errent vers les bons moments de la journée… La queue de Roberto gainée par le nylon, le souillant… La passion des trois hommes me caressant et m’arrosant de leur semence.

Comme nous l’avions convenu, Arline vient me rejoindre sur le coup de dix-sept heures. Elle travaille au service expéditions, et nous nous sommes connues dans des circonstances assez particulières. Un matin, je finissais une séance d’exhibition sur le site quand un message s’est inscrit en dessous de mon image… Ce jour-là, j’avais fait quelque chose d’assez osé. Depuis le matin, je m’étais fiché dans le ventre un énorme et surtout très long double gode, d’une couleur mauve d’un parfait mauvais goût, dont une partie était plantée en moi et l’autre coincée entre mes cuisses… Je me sentais remplie, et je sentais aussi ses tressaillements à chaque mouvement que je faisais, et je devais me contrôler pour ne pas jouir à chaque pas. J’avais commencé à l’expérimenter avec Roberto. J’avais sorti sa queue, je le branlais, et je lui ai dit :

Tu as envie de venir dans ma chatte ?

Je ne dirais pas non.

Pas possible, la place est déjà prise.

Il m’avait fixée d’un air surpris.

Tiens, regarde.

J’avais soulevé ma robe, et il avait pu voir le gros morceau de plastique qui sortait de moi, plaqué à mon ventre par le collant. J’avais ouvert un peu les cuisses, et la seconde partie du gode avait jailli, tendant le nylon.

Je crois qu’on peut faire quelque chose avec ça, il avait dit.

Et avant même que j’aie dit ou fait quoi que ce soit, il avait saisi le gode à travers le nylon, et il s’était mis à le faire aller et venir dans mon sexe. J’avais été un rien surprise, je ne m’attendais pas à ça. Je ne m’attendais pas non plus à jouir aussi rapidement. J’avais accroché son sexe, et tandis qu’il travaillait ma vulve, j’avais masturbé sa queue. Le hasard avait fait que notre second orgasme avait été synchronisé. Son sperme avait jailli en même temps que j’inondais le collant.

J’avais gardé le gode en moi jusqu’au show. Si certaines de mes prestations étaient plutôt soft, ce jour-là, ç’avait été très hard, je m’étais fouillée face à eux, dans un acte cru.

Et donc, suite à cela, j’avais eu ce petit mot d’Arline :

« Je suis amoureuse de vos prestations…J’aimerais que nous nous rencontrions, et vous faire part de toute mon admiration. Cela serait-il possible ? »

J’avais répondu :

« Vous ne me connaissez pas, vous ne savez pas où je suis, très loin de vous, si ça se trouve… »

Ce à quoi elle avait répondu à son tour :

« Non au contraire… Le hasard a voulu que nous soyons tout près… Et que nous ayons les mêmes goûts… »

J’avais été fortement intriguée… Je l’avais été beaucoup moins lorsque, dix minutes plus tard, une grande blonde au corps tout en formes débarquait dans mon bureau.

Je m’appelle Arline. Je pense que ça vous dit quelque chose ?

Et pour me prouver qu’elle était bien cette Arline-là, elle avait remonté sa jupe, une jupe noire, qui lui arrivait sous les genoux, dévoilant des jambes bien faites. Elle avait commencé par me montrer un sexe imberbe, mais dont l’état disait clairement l’excitation, et que quelques minutes plus tôt, elle était certainement en train de se tripoter en me regardant, puis elle s’était tournée pour exhiber un cul rond, plein, bien fendu et bien galbé.

Moi aussi j’aime porter des collants, les avoir contre ma chair, je trouve ça sensuel, ça me perturbe, ça m’excite, et je me fais jouir en les portant. C’est mon obsession, et je me suis inscrite sur ce site parce que j’aime mater des filles qui en portent, et qui se donnent du plaisir avec. Et puis il y a quelques semaines, je me suis rendue compte à ma grande surprise que l’un des plus beaux modèles du site était une fille dont le bureau ressemblait beaucoup au mien, et que j’avais croisée une ou deux fois. Il est vrai qu’on est tellement nombreux ici… Je te trouve magnifique.

Sur l’ordi ou devant toi ?

Les deux…Mais te voir ainsi, au naturel, en trois dimensions, c’est encore plus émouvant…

Et elle s’était mise à pleurer d’émotion.

C’était ainsi que nous nous étions rapprochées et que nous passions un grand nombre de soirées ensemble.

Elle est là sur le coup de cinq heures, et mon sexe, qui a été calme cet après-midi, me démange. Elle me fait énormément d’effet. Elle s’approche de moi. Elle se met à portée de mes mains. Les rôles sont inversés. De caressée, je deviens caresseuse. J’aime quand elle se donne ainsi à moi. Elle porte une très jolie robe, toute simple, bleue, qui souligne sa silhouette. Je sais qu’elle a bloqué la porte en rentrant, donc nous aurons quelques moments tranquilles.  

J’attrape la robe par ses ourlets, et je la remonte le long de son corps. Sa chaleur, l’épaisseur de son corps, l’odeur de son parfum, tout cela me monte au visage, me frappe de plein fouet. Je la désire intensément. Quand elle arrive vers moi, je me dis souvent, non, ça ne va pas être le cas, mais à chaque fois, je succombe au désir qu’elle m’inspire. Si j’étais un homme, j’aurais une queue en pleine érection. Mais je suis une femme, et à la place, j’ai le sexe ouvert, qui inonde mon collant, et le clitoris gonflé.

Ses jambes…Elle a un très joli collant, un collant qu’on vend, je le sais, j’ai le même, dans les merceries, avec dessus des constellations de pois. Sa chair est chaude, d’une chaleur qui traverse le nylon et monte dans mes mains, et l’électricité de la matière monte aussi dans mes mains… Je viens bloquer le tissu dans l’épaisse ceinture qui fait le tour de sa taille, pour éviter qu’il ne retombe.

Tout est là, à portée de mes mains, et de mon regard. Ses cuisses pleines, la courbe de son mont de Vénus, orné d’une toison réduite au rasoir à un triangle minimal, mont qui descend jusqu’à un sexe qui se transforme sous mes yeux d’excitation, s’ouvre, laisse sortir un gros paquet de lèvres, qui s’étalent et s’humidifient des jus qui sortent d’elle. Je viens poser mes mains au niveau de ses genoux, puis je remonte, un rien intimidée à chaque fois par un spectacle aussi troublant, aussi parfait pour moi, dont j’aurai du mal à me lasser. Je choisis finalement de la faire se retourner, et de venir sur ses fesses, qui tendent le lycra. J’adore ses fesses, parce que la nature l’a dotée d’un rebondi qui en fait toute la valeur, rebondi que ses vêtements ne dissimulent pas. Je malaxe des fesses dures et chaudes à travers le collant. En plus, contrairement à certaines filles, elle est très sensible des fesses, et la caresser, c’est être sûr de la sentir et de la voir réagir. Entre ses cuisses, son sexe gonfle et coule. Elle gémit. Je viens appuyer dans le sillon qui fend sa croupe en deux, poussant le lycra à l’intérieur, qui vient appuyer contre sa muqueuse anale. Je caresse les replis de celle-ci. La toute première fois, j’avais glissé mes doigts sous le collant, mais elle m’avait jeté :

Non caresse moi à travers, j’ai besoin de sentir la matière du collant sur mes muqueuses…

J’avais bien compris le message. Nous étions identiques.

Je la caresse longuement, avant de la retourner. En quelques minutes, son sexe s’est vraiment métamorphosé, il est largement ouvert sur un intérieur rose. Je connais déjà son corps par cœur, mais je le redécouvre à chaque fois. Elle a de petites lèvres, fines, et en haut de ces lèvres, aussi, un clitoris tout fin, qui pointe.

Elle a les yeux baissés sur moi.

Caresse-moi à travers et donne-moi un orgasme. J’ai envie de jouir maintenant. On continuera à la maison.

J’appuie la pulpe de mes doigts sur son sexe, exerçant un mouvement de va-et-vient vertical. De la sorte, j’englobe toute son ouverture. Elle se cambre et gémit, et a l’orgasme qu’elle convoitait. Je rabaisse la robe, m’efforçant d’oublier que cet intermède a eu le même effet sur elle que sur moi, et que j’aimerais bien qu’elle me fasse jouir là, tout de suite. J’attendrai d’être à la maison.

Quand on passe la soirée ensemble, elle prend le bus le matin, et  le soir je la ramène. Dans la voiture, une fois qu’on a franchi la grille, elle retrousse sa robe et fourre sa main sous son collant pour se masturber. Je suis fascinée par le spectacle de sa main qui virevolte sur elle.

J’ai adoré ton show ce matin… Je me suis branlée et j’ai eu un long orgasme…

Conduisant d’une main, je vais chercher dans mon sac les deux collants, celui que j’ai utilisé pour le web show, et celui de la chambre avec les trois garçons. Je lui raconte tout, je lui donne tous les détails. Elle sort sa main de sur son sexe, et elle tire un maximum de profit des deux collants, les étirant et les reniflant pendant que je lui raconte leur histoire, avec force détails. Les traces disparaissent très vite, mais par les odeurs, qui elles, restent.

On arrive devant chez elle au bout d’un quart d’heure de route. Elle habite en dehors de la ville, dans une maison construite en d’autres temps, qu’elle loue. Ici, on est en pleine nature. On peut jouir en hurlant.

On a envie l’une comme l’autre. On dînera plus tard.

On se dénude mutuellement, en prenant la bouche de l’autre entre chaque pièce de vêtement ou chaussure. Soutien-gorge, robe, jupe, escarpins et bottines…A la fin, il ne reste plus sur nous que ce qui nous fascine et nous embellit aux yeux de l’autre, cette pièce de lycra qui vient gainer notre ventre et nos jambes, notre cul et notre chatte. Elle a gardé son collant toute la journée, moi celui-ci seulement depuis 13 heures 45, mais ils sont marqués, souillés, de nos liquides et de nos odeurs les plus intimes. Elle est ma semblable, ma sœur, et sans aucun doute, ce goût pour les mêmes pratiques est ce qui nous rapproche, nous unit, et qui fait que j’espère qu’un jour, elle acceptera que nous nous installions ensemble pour partager les mêmes jeux sexuels, mais aussi au-delà, notre vie, une vie qui tournera, de toute façon, autour des collants.

Je la caresse, et puis elle me caresse, sur les collants, sous les collants. Comme souvent, on finit de la même manière, quelque chose de fort, et qui nous enivre. Elle et moi, nos mains accrochées, nos sexes collés l’un à l’autre, ses jambes en travers de moi. Contre moi, il y a le lycra de mon collant, le lycra de son collant, et le renflement de son sexe… Contre elle… Hé bien l’inverse…On se tient et on se frotte mutuellement… Trois sensations qui s’accumulent… Qui se renforcent… Au tout début, son sexe n’est contre moi qu’une grosse masse imprécise, puis, au fur et à mesure qu’on se frotte l’une contre l’autre, les choses se précisent. Tous les détails de son sexe. Et puis aussi la sensation du collant… Au début je ne sens que le mien, et puis je sens aussi l’autre. On continue nos mouvements, et rien ne pourrait nous arracher l’une à l’autre. D’ailleurs nos mains tiennent celles de l’autre avec l’énergie du désespoir. On crie, on gémit… Si quelqu’un passe par là et nous entend, il doit se demander ce qui se passe à l’intérieur… Et enfin on jouit, on explose dans des orgasmes qui se succèdent, et qui nous front cracher des jets de liquide et parfois même, au bout de notre jouissance, tremper d’urine, parce que nous ne maîtrisons plus notre corps, nos collants. Souvent aussi on s’endort immédiatement, épuisées, pour se réveiller tard dans la nuit.

C’est ce qui se passe encore ce soir-là. Il est près de minuit quand je me réveille. Nous sommes encore très près l’une de l’autre, nues sauf pour le collant, même si l’étreinte qui nous accrochait l’une à l’autre s’est desserrée. M’efforçant de ne pas la réveiller, je me détache d’elle. Je me rhabille. Au milieu de la nuit, il fait froid. Je vais m’habiller. J’enlève mon collant et je le laisse près des deux autres. Ça occupera ses moments de solitude. Je vais en chercher un dans son tiroir à collants. Elle a une collection aussi fournie que la mienne. Je m’en gaine. Je me sens nue sans collants.

Je pars dans la nuit jusqu’à ma voiture. Je vais finir la nuit chez moi. Demain une autre journée. Avec collants, bien sûr.

CETTE HISTOIRE VOUS A PLU ? N’OUBLIEZ PAS DE LA COMMENTER ET DE LA PARTAGER !

***

Retrouvez les autres histoires de Frédéric Mancini :

https://blog.meshistoiresporno.com/author/frederic-mancini/

Vous avez aimé ce texte, vous aimerez sûrement ...

  1. Patoc950 le à
    Patoc950

    Merveilleuse histoire qui m’a bien existé et fait rêver aussi.
    Merci beaucoup. Patrick

Donnez nous votre avis !

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *