Partie 1
La voix de Phil, son meilleur ami, se fit entendre à l’autre bout du fil.
— Alors, c’est bon, finalement ?
— Passe d’ici une heure.
— Elle est d’accord ?
— Elle s’occupera de nous.
Cette phrase, simple, était lourdement porteuse de sens. Depuis le début de la matinée, Michel bandait par intermittence à la pensée de cet après-midi que lui et son meilleur copain Phil allaient passer avec Julie. Il bandait toujours avant que Julie ne passe, bien sûr, mais cette fois ce serait différent. Car c’était son anniversaire aujourd’hui, et, avec l’accord de Julie, il allait réaliser un rêve, qui s’était lentement dessiné dans son imaginaire avant d’apparaître avec netteté.
Encore quelques minutes et Julie serait là. Sa mère n’était pas encore partie, qui croisait toujours Julie, et lui laissait des consignes. A 20 ans, étudiant, Michel vivait encore chez ses parents, car son IUT, où il étudiait le packaging se trouvait près de chez lui. Il aurait certes pu prendre un appartement, mais il appréciait de rester pour quelques temps encore chez lui, sachant qu’à un moment il lui faudrait partir. Cela lui permettait de profiter encore de ses parents, qu’il adorait, d’un certain confort, et de mettre de l’argent de côté. Et puis il y avait Julie, bien sûr. Partir ce serait certainement la perdre. Cela faisait deux ans qu’il la connaissait. Il tenait énormément à elle, même si ce n’était pas réciproque, d’évidence. Il avait une petite copine, il en avait eu d’autres avant, mais il n’éprouvait pas pour elles ce qu’il éprouvait pour Julie. Il s’était amouraché d’elle. Il aurait fait n’importe quoi pour elle. Comment cela s’était-il produit ? En grande partie parce que, dès le début, elle lui avait donné spontanément tout ce qu’il voulait, sans aucune retenue. Il s’était bien rendu compte que les filles qu’il fréquentait posaient des limites. Julie, elle lui donnait tout. Il avait autant de souvenirs qu’il évoquait quand il se sentait seul ou triste, et qui lui remontaient le moral. Il aimait par exemple, quand elle faisait du repassage aller lui ficher les doigts ou la langue dans ses parties intimes, et jouer comme cela, tirant sur ses lèvres, se glissant en elle, lapant son clitoris. Cela aurait d’ailleurs pu la laisser indifférente, mais ça n’était pas le cas, et la meilleure preuve qu’il en avait, c’était que son sexe coulait d’abondance, libérant ses sécrétions vaginales qu’il voulait boire jusqu’à la dernière goutte. Il aimait aussi, quand elle passait l’aspirateur, pliée en deux, aller planter sa queue en elle, et la fouiller jusqu’à jouir. Elle interrompait sa tache le temps de se laisser besogner et de jouir aussi, avant de reprendre sa tâche. Mais ce qu’il aimait aussi, c’était quand elle prenait l’initiative. Combien de fois était-elle venue, alors qu’il travaillait tranquillement dégager son sexe de son pantalon et le sucer jusqu’à le faire jouir, buvant son sperme comme un précieux nectar, parce que, comme elle le disait ‘J’ai envie de sexe…’ ou plus simplement, dégager sa queue et s’empaler dessus jusqu’à la garde, après avoir descendu un pantalon ou un caleçon ou retroussé une robe ou une jupe. Il aimait la sensation de sentir sa chatte le gainer, de ses sécrétions qui coulaient sur lui, et sa manière de jouir, sans retenue.
On sonna à la porte. C’était Julie. Sa mère, qui était sur le départ, alla ouvrir. Julie avait beaucoup de qualités, mais au moins une, celle d’être toujours sensuelle et sexy sans paraître se forcer. Elle n’était pourtant pas très grande, mais avec des formes parfaitement équilibrées, et sa crinière rousse entourait un visage plus harmonieux qu’il n’y paraissait au premier abord, d’une grande beauté, certes classique. Sa discrétion était un atout. Elle savait faire exploser ses charmes pour ceux qui la regardaient vraiment.
La tenue qu’elle portait aujourd’hui était celle qu’elle portait la première fois où ils s’étaient rencontrés et cela redoubla son érection. Il estima heureux d’avoir sur le dos un hoodie qui descendait bas, et dont l’épaisseur masquait son trouble. Oui c’était bien la même tenue, une jupe en laine très courte et très moulante qui dégageait bien ses cuisses pleines, gainées par un collant, et des bottes noires à talons aiguilles qui montaient jusqu’au genou, luisantes et plissées. Et aussi le même débardeur abricot, lui aussi en laine, sous un perfecto, tendu par une poitrine lourde, d’évidence libre sous le débardeur.
Pendant que sa mère lui parlait, elle releva la tête et lui fit un clin d’œil, marque de complicité entre eux. Il se souvenait parfaitement de sa première venue. Sa mère et son père géraient chacun une PME et ils avaient peu de temps pour eux, préférant consacrer ce temps à d’autres occupations que des corvées ménagères. C’était une voisine qui avait recommandé Julie à sa mère. Elle est très efficace, avait-elle dit. Il avait eu le sentiment bizarre, assistant à la conversation, que ces paroles avaient une implication autre que son efficacité dans les tâches ménagères. Il avait bien vite compris pourquoi.
Il se souvenait de son arrivée. Sa mère était déjà partie, elle avait eu Julie au téléphone, elles étaient tombé d’accord, elle avait tenu malgré tout à laisser une liste de consignes.
Il avait ouvert la porte, la tête ailleurs. Quand il l’avait vue….Il lui avait semblé qu’on avait versé de l’acide dans ses veines. Il avait éprouvé un désir immédiat pour elle. Il avait pourtant une copine à l’époque, pas la même aujourd’hui. Mais, bien que plus jeune, elle n’avait pas le dixième de la sensualité de Julie.
Ils s’étaient serré la main. Elle avait une main douce et chaude. Il lui avait tendu la liste.
Dans l’entrée, il y avait un tabouret. Elle s’était posée dessus le temps de lire le listing. La jupe courte, s’était relevée. Il avait ainsi eu une vision impeccable de ses jambes pleines, mais bien dessinées, de son collant, et de son absence de culotte dessous. Si certains collants prévoyaient un empiècement qui masquait, au moins en partie, le sexe, ce n’était pas le cas de celui-ci, qui était d’une seule pièce, et on voyait parfaitement son bas-ventre. Une toison rousse au dessus d’un sexe clos dont dépassaient deux bouts de lèvres, le reste étant replié à l’intérieur. Un peu plus bas, la fente qui coupait sa croupe en deux. Absorbée dans sa lecture, elle s’exhibait sans complexe. Il avait pu mater de tout son saoul. Quand elle releva la tête, il s’efforça de masquer son trouble. Elle lui expliqua qu’elle allait se mettre au travail. Il fut surpris de ne pas la voir mettre au moins une blouse sur elle, mais il préférait au final qu’elle reste comme cela.
Il travaillait mais faisait des pauses régulières moins pour la surveiller que la mater. Le hasard faisait qu’il arrivait à des moments clefs. Elle ajustait le tuyau de l’aspirateur à genoux, les jambes écartées. Elle passait de la cire sur un meuble, penchée en avant.
Une heure s’était déjà écoulée quand il la trouva devant l’évier, buvant un verre d’eau. Avec simplicité et naturel, elle se tourna vers lui et lui proposa :
— Je vois que tu bandes depuis que je suis arrivée. Tu penses à ta petite copine ou à moi ?
Il fut surpris de son audace, lui répondant :
— Je te trouve très sensuelle.
— Confidence pour confidence moi je te trouve très beau. Tu sais, l’avait-elle encouragé, parfois, il suffit de faire un pas vers une femme, et tout se passe très bien.
Il avait pris ça pour un encouragement, et il avait avancé jusqu’à elle. Il avait posé ses mains sur elle, maladroitement, il s’en rendait compte aujourd’hui. Il avait envie de mettre ses mains partout. Il avait exploré, sur et sous les vêtements. Elle avait souri en se laissant caresser, pour finalement poser sa main sur son bas-ventre à travers son pantalon de survêtement. Elle l’avait massé doucement.
— Tu veux que je te branle ? Ou que je te prenne dans ma bouche ? Si tu veux rentrer dans ma chatte, c’est d’accord, mais il faut que tu mettes une capote.
— Les trois, c’est possible ?
— Bien sûr, mon chéri.
Cette première fois avait eu un goût d’incroyable et établi les bases de leur relation. Avec les filles, il fallait toujours ramer. Pas avec Julie. Ce jour-là, elle avait sorti sa queue de son pantalon, l’avait d’abord caressé. On voyait bien qu’elle y prenait vraiment du plaisir, il n’y avait rien de forcé. Elle s’était finalement agenouillée et avait amorcé une fellation, variant les techniques, et le menant au bord du plaisir justement pour cela. Elle avait finalement tiré une capote de son décolleté, et l’en avait gainé d’un seul mouvement, geste qui à lui seul disait son expérience. Le tenant par le poignet, elle l’avait entraîné vers le premier lit venu, dans une chambre d’amis. Elle s’était faite glisser sur le lit, se positionnant à quatre pattes, retroussant sa jupe pour s’offrir. Le feu avait coulé dans ses veines. Il avait déjà essayé bien des positions, surtout avec Julie, mais il savait qu’aucune ne l’excitait autant, pour des raisons qu’il avait du mal à s’expliquer, peut-être parce qu’ainsi la partenaire était plus offerte, qu’elle donnait l’intégralité de son cul, aussi bien les plissements de son anus que sa vulve, peut-être aussi parce que Julie lui avait confié, ce qui lui donnait de nouvelles perspectives :
— Pour une fille, même si elle ne l’admet jamais, il n’y a rien de meilleur que de se faire prendre comme ça, parce que la queue du garçon rentre plus loin, plus profond, c’est du moins l’impression qu’on a, on a la sensation d’être embrochée par la queue qui va et vient en soi, et elle touche des zones qu’elle n’effleure même pas dans d’autres positions. Alors oui, c’est bon, c’est délicieux.
Il était venu poser son gland sur les lèvres de Julie, suppliant le Destin pour qu’il y ait encore plein d’autres fois. Il avait le sentiment qu’elle pourrait lui faire découvrir le monde de la sexualité plus et mieux que toutes les filles qui avaient déjà partagé ses activités sexuelles. Il avait eu l’idée de frotter la tête de sa queue contre ses lèvres sans rentrer en elle. Une idée qu’elle lui avait inspiré. Comme ce fut le cas par la suite. Puis il glissa en elle, gémissant, mais la faisant aussi gémir. En y repensant, plus tard, il dut bien convenir que jamais, avec aucune autre fille ça n’avait été aussi bon. Il avait tout fait pour que cela dure longtemps, avant d’exploser dans une jouissance qui avait entraîné celle de Julie.
Ça n’avait été que le début. Ces moments qu’il passait avec elle, trois fois par semaine, étaient les meilleurs. Il était heureux dans ce rapport qu’il avait avec elle, essentiellement le sexe. Pourquoi se le reprocher ? Cela les unissait plus que la plupart des gens qu’il voyait autour de lui.
Un mois plus tôt, alors que, comme il aimait le faire, il fouillait son sexe de ses doigts, pendant qu’elle repassait, elle lui avait dit :
— Qu’est-ce que tu veux pour ton anniversaire ?
Elle n’avait pas oublié que c’était dans trois semaines. Il y avait déjà pensé bien sûr, son anniversaire approchant. La première année, ils avaient fait une petite cérémonie, elle avait amené des cupcakes, qu’elle réussissait à merveille, avant de basculer sur du sexe. Leur relation était fondée sur cela, et le cadeau ne pouvait être que quelque chose d’inédit. Elle l’avait pris entre ses seins. Il n’avait jamais encore essayé une cravate de notaire avec aucune de ses petites amies, soit qu’elles aient des seins trop petits, soit qu’elles ne connaissent pas cette pratique. On ne pouvait pas attendre la même chose d’une fille de 18 ans et d’une femme de 39 ans… Elle avait simplement commencé à le caresser, puis elle avait défait son soutien-gorge, dévoilant deux masses parfaitement bien dessinées, ovales et fermes. Elle l’avait amené près de lui, avant de gainer sa queue dilatée de ces deux masses de chair… La sensation l’avait immédiatement submergé, délicieuse. La peau de ses seins étaient d’une grande douceur. C’était en même temps semblable et différent de ce que l’on pouvait éprouver quand on était dans le vagin d’une femme… Elle avait empoigné ses loches et elle s’était mise à le masser doucement, allant et venant sur son sexe qui s’épaississait ou bien écartant légèrement ses seins puis les ramenant sur lui. Sa queue était douillettement nichée au creux de son décolleté, engloutie par ses seins, et il aurait voulu que ça dure pour l’éternité. Il avait déjà vu ça dans des films pornos, il n’avait jamais pensé que cela puisse être aussi bon. Et la suite n’avait pas été plus médiocre, au contraire. Si sa queue était jusqu’à présent totalement enfoncée dans ses seins, elle l’avait dégagée pour que la partie supérieur, le gland, dilaté et quelques centimètres supplémentaires dépassent. Elle s’était penchée dessus, et s’était mise à donner des coups de langue dessus. Était-ce la double sensation, la douceur et la chaleur des seins autour de la partie basse de sa queue, et les petits coups de langue sur la partie supérieure, qui l’avaient amené, lentement mais sûrement à la jouissance, ou bien cette vision tellement excitante qu’offraient à la fois la queue gainée par les seins et l’application de Julie, le visage penché sur sa queue, sa langue rose sortie ? Toujours était-il qu’il était arrivé un moment où il n’avait pas pu tenir plus longtemps, et il l’avait arrosée, visage et seins, de multiples traits de semence , la faisant rire.
Deux minutes plus tard, sans avoir débandé, il se glissait dans son vagin dilaté d’excitation, percevant la différence entre l’environnement précédent et celui-ci, plus humide, et lubrifié. Quoi qu’elle lui fasse, il savait qu’il préférerait revenir dans le sexe de Julie. Il était bien là, mieux que dans aucun autre sexe de fille. Il aurait voulu l’avoir à lui très longtemps encore. Il savait que ce ne serait malheureusement pas le cas, et qu’il devait profiter d’elle, et de chaque moment.
L’année suivante, le moment du cadeau d’anniversaire avait débuté de la manière la plus classique qui soit. Elle l’avait sucé comme elle seule savait le faire, des caresses lentes et longues avant de venir s’asseoir sur sa queue, son sexe en elle jusqu’à la garde, englouti par le vagin élastique. Elle avait bougé sur lui, et il pensait qu’ils allaient jouir ainsi, mais elle s’était redressée, et extirpé d’elle la queue dégoulinant de ses jus, pour l’ajuster sur les plissements de son anus. Elle lui avait jeté un regard qui portait plusieurs messages, je vais te faire plaisir, semblait-elle dire, c’est ton cadeau d’anniversaire, tu vas voir, ça sera différent mais aussi très bon. Il avait toujours pensé que c’était un effort que de sodomiser une femme, pourtant, il était rentré en elle avec une facilité étonnante. Un moment, son gland était appuyé contre le dessin délicat de son anus, la seconde d’après, il voyait son sexe glisser dans l’étroitesse de son conduit rectal, un mouvement qui ne s’interrompit que quand il fut entièrement fiché en elle, la racine de sa queue reposant contre ses fesses. Il y eut un blanc, avant que les sensations ne l’envahissent, celle du conduit étroit, qui comprimait sa queue bien plus qu’un vagin. Lorsqu’elle se mit à bouger, la caresse fut délicieuse qui l’amena très vite au bord d’un orgasme qu’il s’efforça de contrôler. Elle-même paraissait éprouver plus de plaisir qu’à l’accoutumée, de sentir le sexe travailler ses chairs. Elle lui en donna la raison, le souffle court, en abordant l’orgasme :
— C’est bon comme ça, je sens ta queue qui perfore mes chairs…
Cet orgasme là avait été bon, mais les orgasmes suivants, chaque fois qu’il l’avait sodomisée, avaient été tout aussi puissants.
Il aimait à se souvenir comme un après-midi, elle l’avait appelé de sa voix douce, et comme il l’avait trouvée dans le living, à quatre pattes sur le tapis, la jupe retroussée, sa croupe tendue vers lui, appel irrésistible, ouverte sur son anus et plus bas sur son vagin tout gonflé. Tournée vers lui, elle lui disait ‘Viens’ de son sourire et de son regard. Vision qui l’avait rendu à moitié fou. Il n’avait plus été qu’une queue, qui n’avait trouvé d’apaisement que quand elle avait été fichée dans ses muqueuses, d’abord l’élasticité et l’humidité du vagin, puis l’étroitesse plus sèche de l’anus. Ils avaient joui en hurlant, preuve que c’était aussi bon pour elle que pour lui.
Il lui avait dit ce dont il rêvait pour son anniversaire. Elle avait souri et dit oui. Il avait pourtant craint un instant, même si elle avait l’esprit ouvert, qu’elle puisse lui dire non.
Cela faisait trois ans à présent qu’il connaissait Phil. Il était arrivé au lycée, de la région parisienne, l’année de terminale. Immédiatement, il s’était noué entre eux un lien bien réel, une amitié qui avait perduré les années suivantes, car ils s’étaient engagés dans la même poursuite d’études, en BTS, dans le même établissement. Ils étaient différents, mais malgré cela, ils s’entendaient bien, suffisamment en tout cas pour passer pas mal de moments ensemble, que ce soit pour travailler sur des sujets communs ou des révisions, passer des soirées entre amis, ou faire du sport ensemble.
Leur amitié s’imposait comme une évidence, ils ne s’étaient jamais posés de questions. Ce qui s’imposa aussi comme une évidence, ce fut l’évolution de leur rapport l’un à l’autre. Il n’en fut même pas surpris, car c’était une sorte d’enchaînement logique, qui aurait pu très bien ne pas avoir lieu, rester un possible, mais qui prit forme un mercredi soir où il rendit visite à Phil. Ce dernier vivait avec ses parents dans une villa du centre ville. Il n’avait comme projet que de passer la soirée à discuter en buvant deux ou trois verres, mais les choses prirent ce soir-là un autre aspect.
*****************
Retrouvez la série complète :
Épisode 1 : https://blog.meshistoiresporno.com/histoire/julie-bonne-a-tout-faire-lanniversaire-partie-1/
Épisode 2 : https://blog.meshistoiresporno.com/histoire/julie-bonne-a-tout-faire-lanniversaire-partie-2/
Épisode 3 : https://blog.meshistoiresporno.com/histoire/julie-bonne-a-tout-faire-lanniversaire-partie-3/
Épisode 4 : https://blog.meshistoiresporno.com/histoire/julie-bonne-a-tout-faire-lanniversaire-partie-4/
Retrouvez les autres histoires de Frédéric Gabriel : https://blog.meshistoiresporno.com/author/frederic-gabriel/
Super extra génial