Justice Cajun – 10 Miss Simonds

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mia michael


BDSMpolarsoumission et domination


JUSTICE CAJUN – 10 MISS SIMONDS

Elle pose un pied sur mon épaule pendant que je lèche l’autre pied… Elle me dit :

— Si mes pieds ne sont pas impeccables, je te fais fouetter.

Cette femme est un démon ! Je continue cette sale besogne. En regardant vers le haut, je vois qu’elle a fermé les yeux… Pourvu qu’elle ne fasse pas une petite sieste ! Non… heureusement. Elle me repousse du pied avant de me demander :

— Mes pieds sont propres ?

— Oh oui, Miss Simonds !

— Par contre, toi, tu sens les pieds, c’est un peu dégoûtant.

Rires serviles de sa cour. Dégoûtant, c’est le mot juste, j’ai l’impression que mes mains et mon visage vont avoir cette odeur jusqu’à la fin des temps ! Elle ajoute :

— C’est bon, rejoins les autres.

Je retourne à ma place et Kelly m’enchaîne. Miss Simonds annonce à tout le monde.

— J’dois pisser ! Trop de bière… burp…

Cette femme est jolie, mais c’est une vraie truie ! Elle ajoute :

— Les gars, vous pouvez me filmer et prendre des photos.

Elle veut une photo d’elle en train de pisser ! Même un porc ne voudrait pas monter cette truie narcissique. Après s’être levée de son fauteuil, elle trousse sa jupe jusqu’à la taille. Elle n’a pas de culotte et ses fesses blanches luisent sous le soleil. Elle s’accroupit un peu et pisse… On filme et on photographie son jet éclaboussant ses jambes poussiéreuses. Elle se redresse en s’exclamant :

— Putain, ça fait du bien !

Kelly lui demande :

— Je peux faire une suggestion, Miss Simonds ?

— Bien sûr.

— Quand les filles seront rhabillées, on pourrait également les faire pisser, comme vous. Neuf paires de fesses, ce serait amusant.

Ah ! ça lui plaît ça, à Miss Simonds ! Elle répond :

— Bonne idée. Je vais parler de toi au shérif, ta créativité me plaît.

Kelly se confond en remerciements, elle lui lécherait bien les pieds, surtout maintenant qu’ils sont propres… Miss Simonds dit à un membre de sa cour :

— File deux bières à chaque fille, elles pisseront mieux.

Oh merci Seigneur ! Deux bières… fraîches en plus ! Le but n’est évidemment pas de nous faire plaisir, c’est pour qu’on ait un beau jet sur leurs saloperies de photos.

D’abord, on passe toutes devant elle, à genoux, les mains croisées sur les reins. Il fait chaud, le soleil est brûlant… Elle est sous son parasol, une bière à la main. Nous aussi. Je parle de la bière, pas du parasol ni du fauteuil. Je vide ma bouteille à petites gorgées, sans écouter ce que répondent les cinq filles qui sont avant moi dans la chaîne. Quand c’est mon tour, voici ce qu’elle me demande :

— Tu es ici pourquoi ?

— J’ai percuté un monument classé en voiture et… il y avait de la cocaïne à bord.

Elle rit et me dit :

— Tu as l’air d’une petite dinde, mais en fait, tu es une vraie hors-la-loi… À ton avis, tu mérites ta condamnation ?

— Oui, mais les deux filles qui étaient avec moi aussi. C’était leur coke. Je crois qu’elles ont été arrêtées mais je ne les ai pas revues. Elles venaient de familles riches, alors…

Miss Simonds se tourne vers Kelly pour lui demander :

— C’est vrai ce qu’elle raconte ?

— Oui Miss Simonds.

— Tu me donneras le nom de ces filles.

Après, ce sont des questions banales :

— Les conditions sont dures ?

— Oh oui, terriblement !

— Est-ce que ça te dissuaderait de risquer de revenir ici ?

— Je ferai tout pour ne plus jamais avoir d’ennuis avec la justice !

— Dernière question : tu criais comme un putois quand on te fouettait, c’était de la comédie à mon intention ?

— Non, je vous jure, ça fait terriblement mal.

— On voit à peine les marques sur ton cul…

Je passe mes doigts sur mes fesses, les marques sont brûlantes et même un peu boursouflées, en disant :

— Vous ne pouvez pas imaginer à quel point ça fait mal.

— Mais si, c’est facile.

Elle se lève et relève sa jupe à nouveau. Elle est folle de montrer son cul tout le temps et elle est folle tout court de vouloir se faire fouetter ! Elle pose ses avant-bras sur les accoudoirs du fauteuil et se penche en avant, en disant à Kelly :

— Donne-moi un coup de fouet comme aux filles !

Elle a un beau cul, je dois le reconnaître, même s’il est un peu… opulent. Les cameramen et les photographes l’entourent. Un peu affolée, Kelly regarde l’homme bien habillé qui lui fait « oui » de la tête. Alors elle lève le fouet et envoie un bon coup sur les fesses. Miss Simonds ne crie pas, mais tourne la tête vers Kelly pour lui demander :

— C’est pour ça que la petite dinde criait comme si on l’écorchait ? Tape plus fort.

Le fouet siffle et là, ça doit faire mal… mais elle ne montre rien. Elle interroge juste son équipe :

— Bonnes images ?

— Super, Miss Simonds !

— Bien.

Elle laisse retomber sa jupe et se rassied. Ensuite, elle pose quelques questions aux autres filles, mais il n’y a rien qui l’intéresse autant que les deux filles dont je lui ai parlé.

Kelly nous détache pour qu’on se rhabille, puis nous attache à nouveau. Les cameramen et les photographes cherchent un endroit… photogénique. De dos, on baisse nos pantalons, on s’accroupit et on entend le bruit caractéristique des vessies qui se vident. Deux filles accompagnent leur miction de bruits… Ça fait rire Miss Simonds. Donc, elle est pas capable de rire. Mais oui, il suffit que deux filles enchaînées pissent et pètent en public pour lui arracher un petit « ha ha ». Elle dit à l’homme bien habillé :

— On augmentera le bruit des pets, ça amusera les gens… Bon, j’ai tout vu, on va aller dans un endroit civilisé où il y a l’air conditionné.

Elle se tourne vers nous pour annoncer :

— Vous allez devenir célèbres, les filles… Je reviendrai sans doute pour la fête du village.

Kelly lui dit :

— Au revoir, Miss Simonds, merci pour tout… On peut organiser pas mal de choses avec les filles.

— Oui, on verra ça.

Elle fait un signe de la main et repart suivie de sa cour… et puis elle se ravise et dit à Kelly :

— Je prends celle-là pour la nuit.

Elle désigne Ginger. Aussitôt, Kelly la détache et elle va rejoindre Miss Simonds… Je me demande bien ce qu’elle lui veut, à part se faire lécher… Ça m’ennuie pour elle, mais aussi parce qu’en rentrant au camp, toutes les corvées seront pour moi. Ah oui, et ce soir, on devait aller au mess gagner de l’argent pour Kelly et un peu se distraire aussi.

On remonte dans la camionnette et on retourne au camp, un peu sonnées de tout ce qui s’est passé. À l’arrivée, Kelly annonce :

— Pas de corvées pour Jill.

Je la remercie, tout en sachant bien pourquoi elle fait ça : pour que je sois en forme ce soir au mess…

Je peux me coucher sur mon lit et me reposer… Kelly sort de la tente. Personne n’ose me demander quoi que ce soit. Dix minutes plus tard, elle revient avec une très jolie Black. Elle nous donne deux uniformes propres et qui ont l’air d’être à nos tailles en disant :

— Ce soir, tu feras équipe avec Latisha. Allez prendre une douche et mettez ces uniformes.

— Oui chef.

Je sors de la tente, Latisha me dit :

— Tu sais ce qu’on doit faire ?

— Allez au mess, danser et gagner de l’argent pour les chefs. Tu sais danser ?

— Oui, bien sûr

— Si je me colle un peu à toi, ça t’ennuie ?

— Avec toi, ça ne m’ennuiera pas.

C’est gentil… j’en ai les larmes aux yeux et je lui prends la main. J’ai tellement besoin d’un peu de… d’amitié, d’amour… On va dans la salle de douche… et on se lave à deux. On se lave même l’une l’autre… Comme je sais qu’on ne va pas manquer de me charrier avec ça, je dis à Latisha :

— J’ai dû lécher les pieds d’une sale garce de la télé, ça ne te dégoûte pas ?

— T’es folle ! Moi, je dois lécher le cul de ma chef !

Je colle mon corps plein de savon au sien. On va s’enfuir ensemble… se marier et avoir beaucoup de… d’argent.

On se coiffe un peu et on s’habille. Quel plaisir d’être propre et d’avoir des vêtements nets ! Ils sont un peu juste, mais c’est sexy… C’est l’heure de manger, on va à la cantine. Il y a toujours deux gardes à l’entrée. Un des deux nous demande :

— Vous êtes Kelly et Latisha ?

— Oui, chef.

Deux filles, une Noire et une Blanche, lavées et dans des uniformes propres, il ne doit pas y en avoir d’autres. Il ne pouvait pas se tromper. Il me donne un sac en plastique en disant :

— Mangez où vous voulez, mais soyez à 20 h au mess.

Un pique-nique en amoureuses, chouette ! Latisha me dit :

— Viens, on va manger près du bureau, il y a une horloge.

On se trouve un chouette petit coin sur de l’herbe sèche… Dans le sac, il y a des pizzas… tièdes. N’empêche, comparé à la bouffe de la cantine, les pizzas c’est… un repas trois étoiles. On mange, on parle… on se raconte nos vies, comment on s’est fait piéger. Ce sont des banalités, elle me dit juste une chose qui me semble très importante :

— Ils nous mettent dans la chaîne jusqu’à la fête de la ville, ensuite on sera vendues aux enchères…

— Pour de vrai ?

— Non, pas vraiment, c’est une location, mais c’est comme une vente. Et nous qui sommes plutôt jolies, on ne sera pas envoyées dans les champs, mais… pour distraire des gens riches. Tu vois, ce que je veux dire ?

— Oh oui…

Des putes, quoi. Je lui dis :

— C’est toujours mieux que des esclaves enchaînées qui doivent creuser des tombes.

— En fait, y a encore pire.

— Tu rigoles ?

— Non, comme punition, certaines filles ont dû nettoyer chez le médecin légiste et aussi des scènes de crime après le passage des techniciens.

— Quelle horreur !

Après avoir parlé du pire, on parle tout bas d’évasion. On doit d’abord se libérer des colliers et ensuite voler un hydroglisseur… ce ne sera pas facile.

Quand il est près de 8 h, on se dirige vers le mess en se tenant par la taille. Je murmure à Latisha :

— Je suis contente d’être avec toi…

— Moi aussi.

Je reconnais un des gardes à l’entrée du mess et je me doute qu’il va un peu jouer avec nous avant de nous laisser entrer. Je lui dit :

— On peut entrer ? S’il vous plaît, chef.

— Non, vous êtes trop belles et trop propres. Allez dans un bar plus chic.

— Chef… je vous en prie…

— Nous, on n’a pas droit au spectacle, alors c’est non.

Je me mets de profil par rapport aux gardes et je dis à Latisha :

— Viens te mettre devant moi.

Je prends son visage entre mes mains et j’approche mes lèvres de sa bouche. Quand on n’est plus séparées que par quelques centimètres, je sors la langue et je lèche ses lèvres. Elle sort aussi sa langue, qui se met à tourner autour de la mienne… On mélange nos salives et nos ADN. Je me rends compte que les femmes me plaisent de plus en plus. Les deux gardes s’approchent de nous et nous caressent les fesses.

Yes ! Ça veut dire qu’ils nous laisseront entrer. On s’embrasse comme au cinéma avec du bruit et de la salive, sous les yeux des gardes. Quand nos lèvres se séparent, un fil de salive les réunit encore un instant. Un des gardes nous dit :

— Putain, si j’avais les moyens, je vous achèterais.

Je lui réponds :

— Pas besoin de nous acheter, chef, il suffit qu’on s’évade ensemble.

Ils rient tous les deux… puis nous laissent entrer.

 

A suivre.

 

Si vous voulez me dire quelque chose de gentil, je suis ici : mia.michael@hotmail.fr

 

Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 Mia sans dessous » sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …

Mes 6 livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0

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Retrouvez les autres textes de Mia Michael  :

https://blog.meshistoiresporno.com/author/mia-michael/

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  1. jeanphi le à
    jeanphi

    la pauvre Jill respire un peu dans cet épisode, mais on en découvre plus sur elle, comme elle-même, avec ses (nouvelles) attirances…toujours hâte au prochain numéro…

  2. Frédéric PONS le à
    Frédéric PONS

    Il est où l’érotisme dans cette histoire ?!

  3. Blonq le à
    Blonq

    Elle sait ce qu’elle dit, sait ce qu’elle veut
    et sait surtout manipuler les hommes.
    Bravo pour cette petite histoire coquine, bonne continuation

  4. Malinda de prieure le à
    Malinda de prieure

    Mia, suite. Les histoires et les personnages ont toujours ce goût délicat de fraîcheur et cette saveur surprenante de hard. De la jolie main d’une femme, ça peut surprendre. Mais Mia est celle qui vous emmène en voyage et vous emporte du paradis à l’enfer.
    Vite la suite!

  5. exes69 le à
    exes69

    j aime bien les aventures cajun, … comme d habitude Mia nous entraîne dans son univers de jeunes femmes sans défense, ballottées de droite et de gauche, et avec pour tout passeport leurs fesses… vivement la vente des esclaves !

  6. Marc Micaux le à
    Marc Micaux

    Miss Simonds aime jouer à sembler plus coriace des détenues, mais si elle restait dans cette prison au moins pour un moi elle ne serait plus très confiante.

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