Justice Cajun – 15 Marquées, puis vendues…
BDSMexhibition et voyeurismefétichismehumiliationpolarprostitutionpunition
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Le lendemain, je me réveille péniblement… Il est tard, le cachet qu’on a reçu hier devait être un somnifère puissant. On doit avoir bonne mine pour la vente. Je me tâte pour être sûr qu’on ne m’a pas enlevé un organe. Oui, on devient parano, ici. Je passe la main sur la brûlure sur ma fesse. C’est sensible, mais nettement moins douloureux.
Un garde entre et dit :
— Ça pue ici ! (tu m’étonnes !) Celles qui doivent pisser ou chier, faites-le maintenant.
On fait la fille pour aller s’asseoir sur un des deux seaux : bonjour l’intimité. Il y a même pire, le garde vérifie si on a fait. Deux filles n’y arrivent pas. Le garde les fait se pencher et il leur fait un lavement avec une pochette en plastique pleine d’un liquide jaunâtre. Terriblement efficace, car après quelques minutes, les filles se tiennent le ventre en gémissant. Le garde leur dit :
— Dans cinq minutes !
Ouch ! Les filles se mettent à se tortiller en se tenant le ventre. Ce n’est pas comique, mais tout le monde rit de les voir danser sur place… même moi ! On change, ici, et pas en bien. Enfin elles ont l’autorisation de s’asseoir sur les seaux et de se soulager. Dès qu’elles ont fini, deux filles sont chargées d’aller jeter les seaux… très loin, j’espère.
On doit toutes à nouveau se laver au jet ! On restait une semaine sans pouvoir prendre une douche et ici, on doit se laver deux jours de suite. C’est sûrement pour être vendue propre ! Quand on est toutes lavées, des gardes apportent le petit déjeuner : des beignets et du café. C’est la fête.
À la fin du repas on voit arriver Madame Simonds suivie de sa cour. On se lève toutes. Elle nous examine d’un air dégoûté et dit à un garde :
— Elles ont été lavées, soigneusement ?
Le type fait presque une courbette et répond :
— Certainement, Miss Simonds.
— Bien… Tenez, voici les positions qu’elles doivent apprendre. Et n’oubliez pas de les fouetter, des marques sur leurs culs, ça plaira aux acheteurs et aux spectateurs.
Elle est le maître du monde ou quoi ? Elle a un talk-show bien racoleur, qui fait de grosses audiences et ça suffit pour que tout le monde rampe devant elle.
Elle repart… Elle ne voit pas le trou dans lequel on a vidé les seaux. Elle y tombe la tête la première et se noie. Hélas, non…
Les gardent prennent leurs fouets ! On doit se mettre par groupe de cinq, un garde se met devant chaque groupe. Il y en a un qui lit le papier de Miss Simonds et nous dit :
— Vous allez apprendre cinq positions. Debout, les mains dans la nuque, les reins cambrés, c’est la position un.
Sans doute pour le cameraman et le photographe, les quatre fouets claquent sur nos cuisses et nos fesses, tandis qu’un des gardes gueule, parce qu’une fille n’est pas assez cambrée.
— Tournez-vous ! C’est la position deux.
Là, toutes les filles se prennent un coup de fouet sur les fesses ! Merci Miss Simonds.
— À genoux, les cuisses écartées, les fesses sur le sol, les mains dans la nuque. C’est la trois.
Là, les fouets claquent de plus belle, avant qu’on ait toutes compris. Le fouet me brûle les fesses et les cuisses !
— À quatre pattes, les mains posées sur le sol et le front sur les mains. C’est la quatre.
Les cibles sont trop belles, on se prend toutes quelques coups de fouet supplémentaires, tandis que le cameraman s’exclame :
— Ne les ménagez pas, ça donne super bien !
Sale rat !! le garde crie :
— Position cinq. Debout sautez sur place.
Le fouet claque, on saute toutes. Je sens que mes seins et mes fesses dansent, montent et descendent. Quelques coups de fouet rendent cette gymnastique encore plus pénible ! Ça dure ! Le cameraman et le photographe sont ravis. On fait ça, sûrement pendant dix minutes avant que le garde ne dise :
— Stop.
Il se tourne ver le cameraman en disant :
— On doit les préparer, maintenant.
— On est toutes essoufflées et en sueur avec des belles marques légèrement en relief sur les fesses et les cuisses. Les gardiens apprennent sûrement à manier le fouet, car ils sont particulièrement habiles. Ils ont évité de frapper sur notre marque au fer rouge.
Ensuite on est prise dans un tourbillon : on est épilées, coiffées, maquillées. Une fille nous coupe les ongles des mains et des pieds. À midi, les filles vivant sous les tentes sans beaucoup d’hygiène se sont transformées !
Le cameraman dit au garde qui semble le chef :
— Tu veux que je commande des pizzas pour tout le monde ?
— Les filles aussi ?
— Oui, Miss Simonds pense que ça fera de bonnes images.
— Volontiers.
Le cameraman prend son téléphone et passe sa commande. Dix minutes plus tard, deux jeunes gars arrivent en scooter avec des cartons de pizzas et des bières ! Le cameraman va parler au garde, puis il dit aux deux livreurs :
— Vous voulez un pourboire ou qu’une fille vous fasse une pipe ?
Il leur faut le temps de comprendre, mais ensuite ils répondent presque ensemble :
— Une pipe, M’sieur !
— Choisissez une fille.
J’essaye de me cacher derrière ma voisine. Le plus âgé des livreurs dit :
— Moi, la petite rousse.
Ouf, c’est pas moi. L’autre, un boutonneux, me désigne en disant :
— Moi, la petite blonde qui essaye de se cacher.
Aussitôt, le cameraman me filme. J’essaye de ne pas faire de grimace ! Il est aussi appétissant que des chiottes d’autoroute mexicaine, le boutonneux. Je n’attends pas qu’un garde me file un coup de fouet, je vais me mettre tout de suite à genoux devant lui. Il a déjà sorti une bite qui aurait grand besoin d’une bonne friction avec la brosse dont on s’est servi pour nous laver tout à l’heure. Ici, j’ai appris quelques petites choses. Face à ce genre de situation : une fellation qui ne vous inspire pas du tout, il faut aller vite. Je tire sur la peau qui recouvre le gland et je mets le tout en bouche. Surtout ne pas regarder et retenir sa respiration. Pour accélérer les choses, je prends ses couilles dans une main et je les malaxe doucement. Ma tête va et vient sur son sexe. Quand le gland est près de ma bouche, ça va plus ou moins, mais quand il vient me chatouiller les amygdales, j’ai le nez dans ses poils. Au secours : mon royaume pour me retrouver dans un champ de jasmin.
Le livreur est jeune et excité et puis j’ai acquis une bonne technique, il ne faut que quelques minutes avant qu’il ne grogne et remplisse ma bouche de saccades de foutre tiède. J’avale… On dirait qu’il n’a plus joui depuis le jour où il a baisé une chèvre dans la ferme de son père ! Il m’en envoie un bol… Ouf, c’est fini… il se retire. Je respire à fond… L’autre livreur ne tarde pas à jouir aussi. Ils remettent leur matos dans leurs jeans cradingues et remercient tout le monde. En partant, le boutonneux m’annonce :
— Si j’avais les moyens, je t’achèterais, petite.
Ça fait rire tout le monde, même les filles.
Un assistant les rattrape, ils doivent signer une autorisation de diffuser leur image. Ils sont tout fiers à l’idée de passer à la télé.
Les gardes partagent les pizzas. Mmmh… c’est bon. On reçoit aussi une bière ! Elle diminue de quelques centimètres mon angoisse d’être vendue, pour autant que l’angoisse se mesure. La mienne doit faire six mille mètres de haut.
Ça y est, on emballe les marchandises, c’est-à-dire qu’on nous met de nouveau une corde autour du cou. En file, on se dirige vers la grand-place uniquement vêtue de sueur. Des spectateurs nous attendent. On est photographiées et filmées. Il y a même un drone qui vient nous photographier et nous filmer.
À nouveau, on serpente sur la place. Les gardes évitent qu’on nous touche pour qu’on reste propre. Il y a quelques spectateurs qui reçoivent un coup de fouet sur les mains. Comme hier, on se dirige vers l’estrade. Là, il y les gens importants : le shérif, Miss Simonds, le gouverneur, les notables… enfin, ce genre quoi. Devant l’estrade, il y a des spectateurs : des habitants de la ville et des gens de partout venus spécialement. Il y a aussi plusieurs caméras de télévision… Devant les spectateurs, il y a ce que je suppose être les acheteurs : deux rangées de gens assis sur des chaises. Derrière eux, une rangée de gardes. On nous conduit derrière une palissade. Là, on ne voit pas ce qui se passe, on entend juste un comique de la télé, Don « quelque chose », faire l’article. Dans la file, je suis la deuxième, derrière Miss Inmate. J’entends Don-le-comique dire :
— Achetez une fille, revendez-la, achetez en une autre. Les filles se revendent bien.
Donc ce n’est pas un genre de location, comme on m’avait dit ! Ça ne change rien, en fait. On est dans le système de la justice de ce bled et c’est tout. J’en sortirai ! En attendant, j’ai un problème, je « dois » faire pipi. Je m’approche d’un garde et je lui dis :
— Chef, si je ne peux pas faire pipi, ça risque d’arriver sur scène…
Il me montre une bassine en plastique rouge, dans un coin. Je vais aussitôt m’accroupir. Pisser en public est devenu un détail, la pudeur ne sied pas aux détenues. D’autres filles demandent pour pouvoir aussi se soulager.
Un garde vient chercher Miss Inmate et la fait monter sur l’estrade. J’entends le garde dire le numéro des positions qu’elle doit prendre, le claquement du fouet, les cris de la fille, et l’enthousiasme de la foule chaque fois que le fouet claque sur ses fesses ou ses cuisses. Tous des hyènes. Le présentateur annonce :
— Mesdames et Messieurs les acheteurs, si vous le désirez, montez sur la scène pour examiner Miss Inmate de plus près.
Ça dure longtemps… Enfin, le présentateur qui fait office de commissaire-priseur la met en vente :
— Cette superbe fille vient d’être élue miss Inmate. Elle est en bonne santé et vaccinée contre les MST. Mise à prix cinq mille dollars.
On entend les acheteurs enchérir. Pour finir, elle est adjugée dix mille dollars. C’est mon tour, puisque je suis la deuxième. Je monte sur l’estrade, un garde fait claquer son fouet en criant :
— Position un !
Aussitôt, j’écarte les jambes, je mets les mains derrière la nuque et je me cambre. Clac !
— Position deux.
Je me retourne et je me cambre bien pour exhiber ma « marque » comme un quartier de bœuf exhibe le cachet bleu de l’abattoir.
Je dois prendre les positions suivantes et je reçois une dizaine de coups de fouet, pour la plus grande joie des spectateurs. Pour finir, le garde fait claquer son fouet en disant :
— Position cinq, de face.
Je saute sur place. Mes seins montent et descendent. Cris de joie de la foule !
— Position cinq, de dos.
Je me retourne et je saute. Là, ce sont mes fesses qui dansent ! Je saute pendant plusieurs minutes. Enfin le garde crie :
— Stop !
C’est au tour du présentateur de prendre la parole :
— Mesdames et Messieurs les acheteurs, si vous voulez voir cette pouliche de plus près, je vous en prie…
Plusieurs personnes montent. Je suis essoufflée et en sueur. Il y a des hommes et des femmes qui m’examinent. Ils ne vont certainement pas acheter des fruits et des légumes au marché et pourtant, ils ont les mêmes gestes qu’une ménagère vérifiant si les fruits sont bien mûrs : ils me tâtent et me pincent les seins et les fesses pour vérifier la fermeté. Un Texan regarde mes dents, puis la plante de mes pieds, c’est ce qu’il doit faire avant d’acheter un cheval. Un autre homme me fait mettre à quatre pattes et enfonce son index dans mon derrière. Il doit s’agir d’un sodomite ou d’un proctologue !
Il y a des gens que je reconnais, dont une Chinoise et sa fille, que j’ai vues chez le shérif. La fille a certainement 18 ans, mais elle est petite et menue. Elle dit :
— C’est celle-là que je veux
Sa mère répond en chinois. La fille me caresse les fesses… Quand sa mère a terminé de parler, la petite répète :
— C’est celle-là que je veux.
Est-ce une bonne ou une mauvaise chose ? Qu’est-ce qui pourrait jamais être une bonne chose ici, à part une évasion ? Les acheteurs m’ont tous examinée. Le garde me lance :
— Position trois !
À genoux, les cuisses écartées, les fesses sur le sol, les mains dans la nuque. Le présentateur fait l’article :
— Et voici une ravissante blonde, dauphine de Miss Inmate. Mise à prix mille dollars.
Des acheteurs enchérissent jusqu’à trois mille cinq cent dollars. La Chinoise dit :
— Quatre mille.
Celui qui s’intéresse à mon anus surenchérit :
— Quatre mille deux cent cinquante.
— Cinq mille.
La Chinoise me veut. Enfin, c’est sa fille qui me veut et l’argent ne compte pas pour elle. Le présentateur clôture l’enchère :
— Adjugé à Madame Chang.
J’appartiens à une Chinoise… Je redescends le petit escalier.
***
"Tout à coup, la bouche de ma belle-sœur se crispa. Une idée venait de la traverser, qui l’emplissait d’une joie malsaine. Une rougeur sombre était montée à ses joues. Sur la table de nuit, elle prit une brosse à cheveux au long manche de bois vei. Puis elle posa le pied sur le bord du matelas, et se toua de façon à faire bâiller largement en face de moi la corolle poilue de son sexe. Je fus incapable de comprendre comment elle avait fait. En un instant, le manche de la brosse disparut dans sa chair. Elle le ressortit, et l’absorba à nouveau. Ses yeux ne quittaient pas les miens. Un sourire un peu fou lui retroussait les lèvres. Nous entendions mon frère qui jurait à voix basse en déplaçant des objets au fond du placard."
C’est la loi du marché: d’une part les chinois, qui désormais achètent toute chose en Occident, et de l’autre le « lot Jill », qu’avec ses qualités ne pouvait pas rester invendu!
Chaque fois qu’on crois qu’il ya pas pire MIA nous montre qu’il n’y a pas de limite a la souffrance et le sadisme
Radia