JUSTICE CAJUN
ÉPISODE 17 : EN SERVICE
Je dois faire aussi attention qu’avec les gardiens de prison. J’attends derrière le coffre que le chauffeur ouvre le hayon, mais Madame dit :
— Assieds-toi là, sur la banquette arrière.
Je fais ce qu’on me dit, pas besoin de se demander pourquoi…
On roule bientôt sur une highway et je vois un panneau qui indique « Monterey : 207 miles ». Mais… c’est au Mexique, ça ! Oui, on arrive à la frontière. La voiture se place dans une file. Quand c’est notre tour, le chauffeur donne nos passeports. Le douanier salue, puis nous fait signe de passer. C’est pour ça que j’ai dû apprendre une stupide biographie ? Comment je m’appelle encore ? Ah oui, Lilou Plumtree ! Il y a de quoi rire, sauf que je suis assise sur mes fesses et que j’ai mal…
Nous roulons sur la highway qui devient bientôt une petite route… On finit par arriver en vue d’une grande ville. Nous n’y entrons pas, on se dirige vers des montagnes, le chauffeur suit des panneaux indiquant « Reserva Natural de la Silla ». Les montagnes sont couvertes de forêt, sauf à leurs sommets. On finit par prendre une route de terre jusqu’à une grande grille. De chaque côté, il y a une haute palissade avec des barbelés sur le dessus, plus ou moins dissimulés par des plantes grimpantes. Une prison ? Non, la grille s’ouvre, on roule un peu et j’aperçois une grande maison de style colonial, comme on en voit dans le sud des États-Unis.
Au bord d’une piscine, des gens discutent. Ils font des signes à Madame qui leur montre sa main avec les doigts écartés, je suppose que ça veut dire « Je viens dans cinq minutes ». Il y a un large escalier pour pénétrer dans la maison. Se faisant face, des servantes en uniforme sont là pour accueillir les maîtresses. Ce sont toutes des Occidentales. Tao, le chauffeur me prend par le bras en disant :
— Toi, viens avec moi.
Oui, je ne suis pas une invitée… hélas ! On se dirige sur le côté de la maison, il me dit :
— Attends ici.
J’ai envie de faire pipi tellement je suis stressée. À quelle sauce vais-je être mangée ? J’attends… peut-être 10 minutes. C’est long, quand on doit vraiment pisser ! Enfin, une grande femme rousse se dirige vers moi. La quarantaine, mais l’air aussi anglaise qu’une assiette de fish and chips, avec une pinte d’ale. Je fais une révérence en disant poliment :
— Bonjour Madame.
— Tu t’appelles ?
— Jill, mais Mademoiselle a changé mon nom pour Lilou.
Elle pousse un gros soupir, puis répète :
— Tu t’appelles ?
— Lilou, Madame.
— Tu vas passer une semaine ici, comme fille de cuisine. Ensuite, c’est moi qui te dirai ce que tu as à faire. Je vais te montrer l’endroit.
— Je pourrais passer aux toilettes ? S’il vous plaît.
— C’est pas le moment, serre les fesses !
Aïe, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps. On contourne la maison et elle me montre un petit escalier en disant :
— C’est là.
Elle s’en va… Je descends quelques marches et je me retrouve dans une vaste cuisine. Il y a un grand foyer avec une broche, une cuisinière, un large évier, des étagères avec différents ustensiles de cuisine. Autour d’une longue table, il y a une très grosse Chinoise, à mon avis la cuisinière, deux jeunes servantes blondes qui épluchent des légumes et un Mexicain qui a l’air d’un homme à tout faire ou peut-être jardinier. Tao, le chauffeur, est là aussi. Il dit à la toute grosse :
— Voici le nouvel achat de Mademoiselle, Madame Wang.
— Encore une blonde… Décidément, elle fait une fixation.
Ne sachant pas ce qu’il faut faire, je regarde mes pieds… Elle m’interpelle :
— Et alors ?
Je fais une révérence en bredouillant :
— Bonjour Madame, je ne sais pas encore…
— On va t’apprendre, petite. Pour commencer, enlève tes vêtements.
Ça, je sais le faire. J’attrape le bas de ma robe et je l’enlève par le haut. Elle me dit :
— Tourne-toi.
Elle s’adresse au jardinier :
— Beau petit cul, hein, Emilio ?
— Super Madame Wang. On l’a fessée ?
Elle me lance :
— Réponds !
— Oui Madame, je n’avais pas réussi à apprendre un texte par cœur, alors…
— Ça va, on a compris. Dis donc Wendy, c’est comme ça que je t’ai appris à éplucher une pomme ?
Sa servante répond :
— Je… j’ai essayé de faire des épluchures très minces, mais…
— Mais tu as préféré observer la nouvelle. Tu connais le tarif !
La fille gémit :
— Oui, Madame.
— Vite ou je double la punition !
La fille apporte à la grosse femme une cuiller qui se trouve sur un buffet, puis elle se met de profil et tend ses mains, paumes vers le haut.
Madame Wang m’explique :
— C’est ta première leçon. Il y a des règles ici, donc, pour chaque transgression, il y a une punition. Dans ce cas-ci, cette idiote doit éplucher des pommes. Regarde les épluchures, qu’est-ce que tu constates ?
Je m’en fous, moi, de ses épluchures. Mais n’ayant pas le choix, je réponds :
— Elles sont trop épaisses, Madame.
— Exactement !
Elle lève la cuiller en la tenant par le large bout et donne un méchant coup en travers des paumes de la fille. Celle-ci pousse un cri et se met à agiter ses mains en gémissant. Madame la regarde un moment en souriant, puis elle dit sèchement :
— En position et ferme les yeux !
La fille tend les mains, yeux baissés. Je suppose que c’est pour éviter qu’elle amortisse un peu le choc en baissant les bras juste avant le coup. Madame Wang vise bien et une autre ligne rouge parallèle à la première fait crier et danser la fille, tout en agitant ses mains. Madame Wang me dit :
— J’adore les voir danser comme ça… En position !
Le manche de la cuiller vient à nouveau frapper les deux paumes dessinant une troisième ligne parallèle. La fille se remet à danser et commence même à pleurer. Elle reçoit encore deux coups parfaitement ajustés. Après le cinquième, Madame Wang lui dit :
— Tu feras plus attention ?
Toujours sanglotante, la fille se jette à genoux et embrasse les mains de la grosse femme en promettant… des tas de choses.
Quand elle se relève, je vois que le jardiner coupe son téléphone : il a tout enregistré. Wendy va se rasseoir et, les mains tremblantes, elle recommence à éplucher des pommes. Madame Wang se lève. La pesanteur, c’est traître quand on pèse 120 kg, ses seins s’étalent sur son estomac tandis que son énorme ventre cache presque son pubis. Elle dit :
— Cette petite salope m’a excitée en dansant… Je vais essayer la petite nouvelle. Emilio, tu veux bien surveiller les filles ?
— Avec plaisir, Madame Wang.
Elle me fait signe du doigt en disant :
— Viens avec moi.
On parcourt des petits couloirs sous la maison. C’est ce qu’on appelle les communs. Normalement, les chambres pour les domestiques doivent être en haut. La grosse me fait entrer dans une pièce qui ne doit pas être sa chambre mais son baisodrome. Elle me prévient :
— Si tu ne me satisfais pas, il y a une punition spéciale pour ça.
— Je ferai tout ce que vous me dites Madame…
— Bien… humpf.
Là, n’y tenant plus, je lui dis :
— Je dois faire pipi, je vous jure Madame, terriblement fort.
— Prends le pot de chambre qui est sous le lit.
En tâtant, je trouve ce que je cherche : un pot de chambre propre. Je m’accroupis et, une demi-seconde plus tard, on entend la musique caractéristique. Quand j’ai fini, je me secoue un peu, vu que ça manque de papier. Elle me dit :
— Essuie-toi avec ta main et lèche-la.
Alors ça, après ce que j’ai été obligée de faire, c’est rien du tout. Je mets ma main entre mes cuisses, puis je lèche le dessus.
Elle soupire en retirant sa robe noire. En dessous, elle est nue. On dirait une femelle hippopotame, tout est gros et tremble au moindre mouvement… Ses cheveux qu’elle défait sont noir foncé comme les poils de sa chatte. Elle se couche sur le lit avant de me dire :
— Je suis la maman et toi mon bébé. Viens me téter !
Je m’allonge à moitié sur le lit et à moitié sur elle. Chose positive, je m’enfonce dans ces chairs molles, c’est plutôt agréable, par contre elle sent fort la vieille transpiration… Elle prend sa mamelle (ce ne sont pas des seins !) et me tend son téton noir et long. Je le suce aussitôt. Pouaah ! J’ai le goût salé de sa sueur en bouche… Elle me donne une bonne claque sur la tête en disant :
— Suce mieux que ça, bébé !
Je suce tout ce que je peux, je la tète en faisant un gros effort pour éviter les hauts le cœur. Elle dit :
— L’autre mamelle, bébé.
Je m’occupe docilement de l’autre côté.
— Maintenant, tu descends lentement jusqu’à ma chatte en m’embrassant avec passion. La punition, si tu fais ça mollement, c’est 20 coups de baguette en bambou sur la fente.
Elle est là, étendue sur le dos, bras et jambes écartées comme une énorme méduse rejetée par une mer dégoûtée ! Je descends et j’embrasse passionnément son estomac, son nombril, son ventre recouvert d’un réseau de vergetures du plus bel effet. J’arrive plus bas et là, c’est : Marseille, marché aux poissons, fin d’après midi, un jour de canicule. Mais tout sauf des coups de baguette sur la fente… Alors, le bébé commence à téter son clito qui est anormalement développé, on dirait un de ses tétons en plus gros.
Le service de nettoyage du marché arrive et ils gueulent « Vous êtes dégueulasse de laisser traîner des poissons et des crabes morts en plein soleil ». Faites pas attention, je perds un peu la tête dans cette chatte. Suce Jill, non Lilou, suce… pauvre Prunier (Plumtree).
Je sens sa masse qui frémit, un tremblement de terre dans ses chairs molles se prépare… Son pied vient me frotter le dos tandis qu’elle bredouille des mots en riz gluant, je veux dire en chinois. Son pied bloque ma nuque et elle jouit sur mon visage. Pourvu qu’elle soit satisfaite ! Elle s’étire en bâillant, au-dessous de moi, des douzaines de kilos de chair blafarde se mettent à bouger : ça fait peur ! Elle se lève en disant :
— La prochaine fois, faudra y mettre plus d’ardeur, sinon… le séjour en prison te semblera aussi doux qu’un koï dans un foulard de soie.
Charmant. C’est un proverbe chinois où une invention de la grosse ?
À suivre.
voilà notre bonne Jill, oups, Lilou au Mexique pour une aventure SoB (south of the border)…ça promet
Si Jill devait lecher une jolie femme, elle aurait sans doute obéi avec plaisir, mais quand il s’agit d’une chinoise hippopotame qui sent comme un marché aux poissons un jour de canicule… ça change! On espère au moins que la prochaine fois ce soit au tour de la fille de Madame Wang.