L’année dernière fut exceptionnelle. Une année de canicule. Célibataire, j’avais été invité par un couple d’amis à passer quelques jours d’été, en Bretagne, dans le manoir familial hérité récemment des parents d’Axel mon ami d’enfance. Axel est ce que l’on nomme « un gosse de riches ». D’autres personnes étaient là, des amis du couple, parfois des relations d’affaires, et ce que je compris finalement être : des Messieurs accompagnés non pas de leurs épouses mais de leurs maîtresses.
L’été était donc très chaud et nous passions notre temps dans la piscine, à nager, à bronzer – parfois nus – à jouer comme des enfants, et à boire, à boire même beaucoup. Plus tard, dans la soirée, nous organisions des barbecues et trop contents de goûter à un peu de fraîcheur nous mangions, buvions à nouveau et, l’ambiance aidant, nous finissions toujours par raconter quelques histoires où anecdotes ; une façon d’agrémenter le temps. Évidemment, c’était une occasion en or pour chacun de raconter des histoires, souvent vraies, de coucheries et autres grivoiseries. La majorité des convives étant libertins, la soirée finissait généralement par de la baise… à gauche ou à droite selon le désir de chacun. Oh, rien n’avait été projeté en ce sens, mais voilà, le soleil, la piscine et toutes ces histoires faisaient de ce lieu ce que sans vergogne j’appellerai un lupanar.
Personnellement, je ne suis pas quelqu’un de dévergondé et dans cette tribu je faisais plutôt pâle figure, celle d’un homme un peu trop sage… Un soir, il arriva que ce soit à mon tour de raconter une histoire salace et, afin d’être dans l’ambiance, j’avais avalé quelques bons whiskys. Heureusement, quelques mois auparavant, j’avais recueilli les confidences d’une femme biologiste à l‘hôpital militaire où j’exerce en tant que médecin chef. Il s’agissait d’une affaire particulière dans laquelle jamais cette collègue n’aurait cru tomber un jour. Anne, à la suite d’une soirée bien arrosée avait voulu se confier car, disait-elle, il fallait qu’elle se libère d’un poids. En fait, elle ne savait quelle importance donner à une aventure qui lui était arrivée récemment. Je crois qu’une partie d’elle-même se sentait coupable d’une chose alors qu’une autre assumait pleinement ce qui était arrivé. Mais il serait peut-être plus simple de vous raconter son histoire.
Anne donc est biologiste à l’hôpital des armées de Toulon. Bien qu’elle ne porte pas l’uniforme, on peut dire qu’elle est aguerrie aux blagues et avances des hommes de la troupe. Elle est mariée à Paul, un spécialiste en matériel médical, quelqu’un de pas toujours facile mais qu’elle aime. Il faut ajouter que son mari est vraiment un bel homme. La perfection sans doute. Celui qui au lycée se les tombait toutes. Question caractère certes, c’est autre chose… Mais dans l’ensemble Anne est heureuse, même si son mari travaille beaucoup et est finalement peu à la maison. Il faut s’imaginer une belle femme de cinquante ans, pulpeuse et féminine. Le couple possède une magnifique villa contemporaine où tout est irrémédiablement rangé et plutôt minimaliste. Le mari à une passion, les voitures anciennes, il possède notamment une Triumph Spitfire de 1974, rouge, rutilante, de toute beauté à laquelle il tient plus que tout au monde. Et voilà bien l’engin à l’origine du désarroi d’Anne. Tout a commencé lorsque Benoît, son neveu, est venu passer quelques jours à la maison. Il s’agit du fils de son frère, un bon garçon mais perturbé depuis le décès de ses parents dans un tragique accident. Anne s’est toujours sentie responsable de ce garçon difficile ; elle lui trouve 1000 excuses et est toujours prête à le défendre. Je dirai pour ma part qu’il le sait et qu’il en profite bien. Toujours est-il qu’un soir ce benoît en question s’est servi de la Triumph de Paul pour aller parader sur les plages alentour. Évidemment, il n’en n’avait pas la permission et ce qui devait arriver arriva, il embouti l’avant du véhicule brisant net le phare droit. Anne se senti prise dans une sorte d’étau, le dire à Paul et plus jamais il ne recevrait le jeune garçon ; il irait sans doute même jusqu’à porter plainte contre lui à la police. Anne ne pouvait envisager telle infortune pour Benoît et le dire était donc inenvisageable. Lui restait la solution de réparer l’engin au plus vite, avant le retour de son mari quatre jours plus tard. Heureusement, elle connaissait un petit garagiste qui était prêt à effectuer la réparation. Hélas, lui dit-il, il n’avait absolument pas le temps de se mettre à la recherche d’un phare d’occasion. Il comptait donc sur elle pour le trouver et lui donna quelques adresses de spécialistes. La recherche fut difficile mais elle trouva une casse où, lui dit-on, ils avaient le Saint Graal ! Elle s’y rendit l’après-midi même avec la ferme intention de le ramener et que tout soit réparé au plus vite. Paul avait justement appelé Anne sur son portable et s’était plaint, en autres, de la fainéantise de Benoît. Ce n’était pas de bon augure. Dans un pareil contexte, plus vite les choses seraient réglées et mieux se serait pour tout le monde.
Une casse, ce n’est pas Versailles. Elles sont généralement situées dans d’épouvantables endroits. Celle-ci, quoi qu’en pleine campagne, était entourée d’usines pétrochimiques. Un amoncellement de vieilles bagnoles au travers desquelles poussait parfois des arbrisseaux et autres herbes folles. Une montagne de vieux pneus. Et enfin une sorte de local sur la porte duquel on avait écrit le mot « Burau » au gros feutre. Anne avait garé sa BMW sur un terre plein, entre nids de poules et pièces métalliques, et était entrée dans la pièce vide. Un comptoir métallique, un bureau encombré de papiers, quelques étagères contenant des pièces mécaniques et les murs encombrés de photos de filles nues. Les bas-fonds. Elle avait patienté et lasse d’attendre avait appelé. Un type était finalement sorti de ce qui sembla être une cuisine se frottant les mains grasses dans un vieux chiffon.
— Et pour la petite dame, qu’est-ce que ce sera ?
— Bonjour, dit-elle, j’ai appelé ce matin pour un phare de Triumph.
— Ah oui, ah oui ! Je me souviens grommela le bonhomme. J’ai dû le mettre par là…
Et il chercha, ou fit semblant, autour de lui. « Attendez, attendez. Ne cessait-il de dire. J’l’ai par là-bas… mais je crois qu’il y a un p’tit problème avec c’t’engin… Oui, voilà, je l’ai. Belle pièce, n’est-ce pas ? »
— Mais dites-moi, Monsieur, vous me parlez d’un problème. Quel est-il ?
— Ben, répondit goguenard le patron, c’est que je l’ai déjà réservée pour un autre client.
— Oh non, ne me faites pas ça, vous ne comprenez pas, c’est une question vitale pour moi. Si jamais mon mari revient et trouve sa voiture comme ça… Je n’ose même pas y penser…
Le type la regarda des pieds à la tête, il prit l’engin et vint se placer devant Anne afin qu’elle voit au combien la pièce était en excellent état. « C’est que c’est vraiment un très bon client, un régulier qui paie bien, et puis il a appelé juste avant vous. En quelque sorte, il est prioritaire. Si vous voyez ce que je veux dire. »
Anne se demanda où exactement le type voulait en venir. Si c’était une question d’argent on pourrait discuter mais enfin, elle n’était pas crésus non plus, lui lança-t-elle. Le type restait toujours là à cinq centimètres d’elle. Il sentait l’eau de Cologne. Il était habillé d’une salopette bleue de mécanicien dont la moitié seulement des boutons était fermée. Tout son torse, bien visible, était si poilu qu’elle eut du mal à distinguer la chaîne en or et la grosse médaille qui s’y cachaient. Anne ne savait plus que dire, elle avait usé de tous les arguments – y compris féminins – et c’était maintenant à ce rital de décider. Il la regardait toujours et bientôt une sorte de lumière brilla dans ses yeux. Anne se dit que le vent était peut-être en train de tourner en sa faveur. De toute manière, il fallait coûte que coûte qu’elle obtienne cette pièce !
— En tout cas, se lança-t-elle, ce serait vraiment très gentil de votre part.
— Oui mais jusqu’où ça serait-il gentil ?
— Et bien, très très gentil !
Anne ne voyait pas très bien où le gros type voulait en arriver. Ce n’est que quand il sorti son sexe de sa salopette qu’elle comprit à quel niveau il voulait placer la barre. En dessous de la ceinture. L’homme souriait maintenant. Défiant Anne, il dit : La pièce est à mon Popaul, c’est lui qu’il faudrait remercier !
— Mais, mais, je… Ne savait que répondre la femme.
— Ah mais arrête de faire ta mijaurée et tiens plutôt ma bite.
En deux seconde, il lui plaça son gourdin dans la paume de la main. Les choses étaient claires. Il lui montra le phare de la Triumph et fit simplement oui de la tête. La queue du type était épaisse, vivante, en sueur. Anne, honteuse, et se demandant ce qu’elle faisait là, entreprit timidement des mouvements de va et vient de la main. La bite grossit au fur et à mesure des aller et venues. C’était chaud. Le mécano l’encouragea : « Vas-y, vas-y, moi j’aime les bourges dans ton genre. Vas-y branle-moi la queue ! Plus vite ! »
Anne serra les fesses et se dit que s’il fallait passer par là, elle branlerait ce type, prendrait le phare et se casserait sans demander son reste. Personne, ne le saurait jamais. Ce serait comme un petit service rendu à ce gros lard. Après tout, il le méritait aussi. La vie n’est pas toujours facile et est parfois semée d’embûches. Une branlette, rien qu’une branlette.
— Encore, j’aime ça salope. Moi je les connais les femmes dans ton genre, ça se donne du style mais finalement ce qu’elles aiment c’est de la bonne grosse baise. Une pine dans le cul, voilà ce qu’elles veulent toutes. Allez, allez, branle-moi la queue, vas-y plus vite, plus vite !
Anne décupla ses efforts et se dit que plus vite il jouirait et plus vite elle aurait sa pièce. Mais voilà, il tardait à éjaculer. Anne s’impatientait de voir le sperme couler, gage de la fin de la transaction. Elle se pencha sur l’engin et reprit du tonus, changeant de main au besoin. L’autre criait maintenant des insanités, la traitait de salope, de petite pute bourgeoise et d’autres noms salaces. Il lui intima l’ordre de cracher sur sa bite, lui dit qu’il adorait ça. Anne cracha faisant reluire la queue. Faire jouir l’homme devenait une sorte de challenge pour elle qui perdait un peu le sens des choses. Elle se mit, elle aussi, à crier : « Vas-y jouis, donne-moi ton sperme !!! ». Mais le gars tardait toujours à envoyer la purée. Anne se disait que jamais personne ne lui avait résisté. Sauf celui-là, avec sa grosse bedaine, ses yeux de gros vicieux, cet obsédé sexuel, cette sorte de bête de sexe… Et sa façon de la traiter !? Jamais personne ne se serait permis de la traiter comme ça, de traînée, de pute de trottoir, de salope suceuse de sperme,… Anne cherchait maintenant des manières de venir à bout de cet animal. Elle lui prit les couilles et, tout en lui branlant la tige, elle lui pressa les bourses. « Vas-y cochonne, prends-la en bouche, je sens que ça vient ! ». Mais elle eut à peine le temps de se poser la question que la pine gicla des litres de sperme. Elle en reçu un peu sur le menton qui dégoulina bientôt ainsi que sur les mains. Ouf, l’homme avait lâché la sauce, il goûtait d’ailleurs le plaisir de la jouissance avec délectation. Elle se dit que maintenant elle pouvait prendre sa pièce ; qu’elle était sauvée ; et que bien vite elle pourrait oublier cette scène incompréhensible ou elle avait accepté d’être le jouet d’un gros pervers. Sur la route, de retour à la maison, elle eût le temps de réfléchir. Comment elle, une universitaire, épouse et mère de famille, à près de cinquante ans, toujours fidèle, avait-elle pu accepter pareille transaction ? Comment comprendre que, perdant pied pour cet homme gras, elle avait été prête à prendre la bite d’un inconnu au fond de la gorge pour le faire jouir ? Que de le faire jouir soit devenu essentiel, qu’elle aurait été prête à tout ! Qu’au son de sa voix elle devienne finalement la pute et la vide couille dont il la gratifiait ?! Certes, elle n’avait pas eu le choix. Elle avait bien fait, au moins avait-elle sa pièce. Demain le phare serait réparé et tout serait comme avant. Quand à ce qui lui en avait coûté, il valait mieux qu’elle oublie au plus vite. Ça avait été une sorte de jeu, elle pouvait en rire maintenant. Elle avait satisfait un homme en manque et ça ne porterait pas à conséquence… d’autant plus que pour lui, elle n’était qu’une inconnue.
Mais comme me confia Anne, ce ne fut pas aussi simple. Tout d’abord, elle ne put oublier cette expérience. La nuit, elle rêva qu’elle était à nouveau le jouet du gros pervers. Dans son phantasme, il la jetait complètement nue dans une forêt où bientôt plusieurs hommes se mettaient à lui faire la chasse pour la violer. L’adrénaline se mêlait à la peur, l’excitation à l’envie d’être attrapée ! Anne, folle de désir s’était alors caressée dans son lit à l’idée d’être baisée par 5 mécanos en rut.
Enfin, Lorsque Quentin, le petit garagiste prêt à lui placer le phare, lui dit que celui-ci ne correspondait pas, elle défaillit. « Tu comprends ma belle, le phare c’est le bon, mais de l’année 1975. Moi, j’ai besoin d’un 1974… Si tu veux que ce soit fait, t’as intérêt à retourner vite fait à la casse, à te faire rembourser et à reprendre le bon… »
Anne retrouva le bout de papier sur lequel elle avait noté les infos concernant la voiture : 1974. Comment avait-elle pu être négligente à ce point et se tromper d’une année ? Elle n’y connaissait rien et pour elle, à une année près, c’était kif kif ! Elle se dit qu’elle ne pourrait jamais retourner dans cette casse et refit le tour des concurrents : sans succès. Finalement, il était inéluctable qu’elle devrait recontacter « Karl Méca. Italian motor. » et passer à nouveau dans cet endroit chargé de souvenirs. Afin de se donner du courage, Anne se servit 2 verres de rhum et, tendue malgré tout, appela la casse. Elle tomba illico sur l’homme dont elle reconnaissait la voix. Contrairement à ce qu’elle pensait, il ne fit aucune allusion à la veille et, très professionnel, dit qu’elle pouvait passer à sa guise afin de pratiquer l’échange. Encouragée, elle ne prit pas la peine de s’habiller pour sortir. Un short très court, une chemise nouée au-dessus du nombril, elle s’habillait toujours de cette manière à la maison. Elle saisit donc les clés de sa voiture et fonça droit jusqu’à l’entrepôt. Évidemment, rien n’avait changé, toujours le même décor de vieux film américain. Les cadavres de vieilles bagnoles en décomposition, des flaques d’huile, la carte « Burau » épinglée sur la porte du bâtiment et le gros homme derrière son comptoir.
— Alors ma p’tite dame ? On s’est trompée ?
— En tout cas, ce phare n’est pas le bon, répliqua-t-elle. Il me faut celui de l’année d’avant.
— Un 1974 alors ?
— Oui.
— C’est que… moi vous m’avez fait perdre une vente hier. Et que le 1974, j’ai un acheteur sur internet qui le veut.
— Mais, mais ce n’est pas ce que vous m’avez dit au téléphone.
— Je sais, je sais, mais c’est la loi du marché. L’offre et la demande. Venez par ici, faite le tour, je vais vous montrer.
Anne, pas très rassurée, fit le tour du comptoir et se campa devant les racks métalliques où s’entassaient une dizaine de phares. L’homme en saisit un et, le montrant à mon amie, entreprit de lui expliquer les différences entre les deux années. Ils se tenaient maintenant côte à côte. Anne ne pouvait chasser de sa mémoire la branlette qu’elle avait accordée au type, la veille. Sa satisfaction à le faire jouir. Son excitation la nuit à l’idée d’être soumise à la perversité du patron de la casse. Sans en avoir l’air, elle fixait son entrejambe, la bosse que faisait son braquemart. Ce ventre rond, le torse poilu. Il avait dû être pas-mal ce type dans le temps ; et en baiser des petites salopes dans sa vie, pensait-elle. Anne avait de plus en plus de mal à rester concentrée. Elle pensait qu’une femme comme elle, dans sa situation, mariée à un type si beau, se devait de rester sage et ne pas fantasmer comme ça sur ce pervers. Elle se rappelait le sexe chaud du bonhomme giclant au creux de sa main. Elle transpirait. Était-ce sexuel où le rhum ?
Quand soudain, il lui annonça le prix de la pièce, 2 à 3 fois celui de la veille… Anne sentit ses jambes défaillir. Il la laissa mijoter quelques secondes avant de planter ses yeux dans les siens. Elle soutint le regard du type, mais se sentait prise au piège, un peu comme une biche prise dans les filets du chasseur.
— Oui, je sais, c’est cher ! dit-il. Mais c’est parce que j’ai conscience de ce que tu es venue chercher ici, petite vicieuse. J’accepte de t’échanger purement et simplement ta pièce contre l’autre, mais il faudra passer par la case baise. C’est bien ce que tu es venue chercher n’est-ce pas ? Une grosse bite, c’est bien ça ?
Anne était tétanisée. Elle luttait de toutes ses forces pour ne pas se laisser dominer par le gars, mais c’était impossible. Elle était ici, au milieu de nulle part, inconnue, à la merci de ce bonhomme qui ne voulait qu’une chose : la sauter ; et elle, de voir l’envie lubrique du type de la prendre et d’en faire sa chose, ça l’excitait ! Loin de son univers bourgeois, de son mari trop beau, au caractère difficile, loin de toutes convention, elle perdait ici toute raison et sans plus de volonté se laissa couler dans le stupre.
L’homme lui tint les épaules et l’abaissa jusqu’à la mettre à genou. Il lui saisit alors la nuque et lui pressa le visage contre sa braguette. « Tu la sens ma queue ? Tu sens comme elle gonfle déjà prête à te fourrer comme la petite bourge que t’es ? Dis-moi oui ! » Elle fit oui de la tête, mais ce n’était pas suffisant pour l’homme qui lui lança : « Allez, fais pas ta timide, dis-moi : oui Karl, c’est ce que je veux !
— Oui, marmonna-t-elle.
— C’est ce que tu veux ?
— Je, je le veux…
Karl sortit son engin qu’il écrasa sur le visage d’Anne, comme il l’aurait fait d’une poupée. Elle sentait la chaleur de la bite du bonhomme contre sa joue et monter son excitation. Elle mouillait. Sa chatte, était déjà toute trempée. En un instant, la biroute du gros s’engouffra dans la bouche d’Anne qui commença à la sucer avec attention. De larges mouvements de langue elle happait le membre et l’enrobait de ses bons soins. Elle entreprit de faire glisser le phallus au fond de sa gorge et de sortir ensuite l’engin de sa bouche. Et de recommencer. Encore et encore. Comme la bite du gros lubrique coulissait bien dans sa bouche. Parfois, elle lui titillait le gland du bout de sa langue ou parcourait sa bite depuis les couilles jusqu’au sommet du membre. Elle plaqua ses deux mains sur le ventre rond de gros homme et commença un travail de pied à coulisse d’enfer. « Vas-y, vas-y cochonne, tu sais y faire petite pute. Moi, j’les connais bien les femmes de ton espèce. Avant quarante ans, elles ne sont bonnes à rien, n’ont pas d’expérience. A cinquante, elles ont plus peur de rien. Elles aiment la baise tout comme toi. J’ai tout de suite vu qu’il te manquait de la bite. T’es une vraie goulue, tu aimes ça et je vais te baiser comme la traînée qu’au fond tu es !!! » Anne était très excitée par les paroles de Karl. Sa chatte était maintenant grande ouverte. Elle plongeait dans le stupre en sachant que de toute façon son mari ne l’apprendrait jamais et qu’elle ne prenait aucun risque. Alors, plonger pour plonger, autant y aller à fond. Du ventre, ses mains glissèrent sur les fesses de l’homme et, saisissant celles-ci à pleines mains, elle introduit l’index dans le cul du gros. Karl réagit : Wouaih ! t’aime vraiment ça plus que je ne pensais encore ! Maintenant arrête, il ne faut pas brûler toutes les cartouches trop vite ! Et viens par là. » Avec dextérité, il saisit Anne et la releva : « Maintenant, enlève-moi ce short de petite salope. Je veux te voir ! Et regarde-moi bien dans les yeux ! » Anne plongea son regard dans les yeux du gros, ouvrit son short qu’elle baissa jusqu’aux chevilles. Elle s’en débarrassa enfin. « Un string, j’le savais que tu cachais bien ton jeux. Glisse-le entre les fentes de ta chatte. Oui, comme ça ! Et tourne-toi maintenant. Cambre-toi et montre-moi ton petit trou du cul ! ». Anne, maintenant se laissait bercer par les ordres du gros et, l’alcool aidant sans doute, elle voguait dans un autre univers. Perdue à la merci du pervers.
Il lui plaqua le ventre contre le comptoir métallique et lui dit : « Tu la sens bien ma bite contre ton petit cul ? Dis-moi que t’aime ça !
— Oh oui, j’aime ça !
— Et là, tu la sens ma bite prête à rentrer dans ta chatte ?
— Oui, oui, elle est grosse… J’aime ça ! Tu vas me la mettre hein gros PD !?
— Gros oui, mais PD ? tu vas voir si j’suis un PD !
En un coup de rein, il lui défonça la chatte. A la dure, il la prenait à la dure. Du cul, du vrai ; un engin la pénétrait avec vigueur – une vigueur disparue chez son mari qui bandait mou. Comme elle aimait ça. Elle se sentait vivre, et mourir certainement un peu aussi. Le gros y allait sans retenue. Il glissa ses mains sous sa chemise et entreprit de lui caresser les seins. De larges palettes lui massaient les nibards, que c’était bon, elle se sentait prise de partout, prisonnière, le jouet sexuel d’un gros pervers de mécanicien. Il sortait sa bite complètement de sa chatte avant d’à nouveau l’assaillir de grands coups violents. « Sale chienne ! » Répétait-il avec assurance. Il la travaillait comme un marteau pilonne le fer devenu tendre sous la chaleur. « Crie-moi des trucs cochons ! Dis que tu aimes ma bite et que tu aimes te faire baiser comme une salope. » « Oui, oui, je suis une chienne, vas-y mets-là moi bien à fond, traite-moi comme une petite pute que tu soulèves au fond de ta casse ! Dis-moi encore que je te fais bander et que tu vas me faire jouir ! »
Karl était comme fou, sa bite gonflée de sève prenait des proportions jamais atteintes. Il aimait ça, les bourges salopes qui viennent chercher chez-lui du cul avant de rentrer à la maison, comme si de rien n’était, auprès de leur petit mari. « Oui, j’ai un peu mal à la tête ce soir Chéri, désolée ! » Lui, ne connaissait pas ça. Il avait le meilleur. La moitié des femmes qui venaient ici, c’était à la suite d’un accrochage. Il ne fallait surtout pas que leur mari soit au courant. Karl était alors leur sauveur, le coup de queue en prime. Parfois, elles revenaient encore et encore, trop heureuses d’être prises pour des putains et des salopes ; un rôle qui leur était interdit dans la vraie vie. Ici, elle pouvait jouer à… Ici, elles se faisaient troncher sans retenue, le cul bien ouvert ; et elles en redemandaient.
Des deux mains, Karl fit sauter les boutons de la chemise d’Anne. En un mouvement expert, il l’expulsa, laissant Anne ne porter que chaussures et string couchée sur le comptoir. Il plaqua ses mains sur les fesses de la femme et, voyant qu’elle réagissait bien, il recommença : « C’est que t’as l’air d’apprécier ta petite fessée, hein salope ? » Elle fit oui de la tête. « Allez, écarte tes fesses maintenant, je veux voir ton trou du cul bien ouvert ! » Anne s’exécuta, gênée de sa posture mais toujours soumise au mécano. « Écarte plus fort, ouvre bien ton petit cul de chienne ! » Anne écartait plus fort ses fesses afin de contenter le garagiste. Comme je l’ai dit, elle était dans un autre monde et à la merci du bonhomme. C’est à ce moment là qu’entra un jeune garçon. Il resta planté là à regarder l’anus dévoilé d’Anne, bien ouvert, présenté sans pudeur. « Tiens, voilà Denis, mon apprenti. Ne bouge pas petite, ne bouge pas. Je lui fais toujours découvrir le meilleur de la vie au petit. Alors, ne bouge surtout pas. » Anne, ne savait plus que faire. Elle n’osait bouger car elle ne voulait pas que le jeune garçon discerne son visage et risque de la reconnaître. Pour le moment, il ne voyait qu’un cul bien ouvert et le dos d’une femme mature. Karl reprit : « Allez petit, tu vois la petite chienne ? Elle aimerait bien que tu lui lèches le cul. Vas-y ! Ne vous inquiétez pas petite dame, Denis est un expert. Aucune salope ne s’est encore plainte de ses services. Continuez bien à écarter vos fesses. » Anne, un peu honteuse, enfouissait toujours son visage sur le comptoir. Tant qu’elle resterait comme ça, il ne pourrait pas la voir. Elle sentit la petite langue du jeune sur son cul et cela fit comme une grande fraîcheur. C’était bien agréable. Après les coups de butoir du patron, cela faisait comme une récréation. La langue du jeune se fit plus dure au bout et perçante. Il essayait de la pénétrer de sa dague comme il l’aurait fait de sa bite. A dire vrai, il l’enculait de sa langue. Excitée, Anne ouvrait maintenant largement son cul tant était agréable la caresse. « Vas-y petit, je veux que tu humidifies bien la zone, jute dans son trou d’cul !!! » Et l’apprenti de ne cesser d’humidifier le trou, allant finalement jusqu’à cracher sur l’anus d’Anne. « Où suis-je tombée ? pensait-elle. Mais c’est tellement bon, je suis vraiment une catin, c’est trop génial d’être traînée dans la boue. Encore petit vas-y j’adore ! »
Karl lança : « Assez ! Au maître d’enculer la biche. Regarde bien petit. » Et le gros, s’avançant vers Anne, glissa sa main vers sa chatte. Wouaih, je suis satisfait. Elle mouille à point, la garce. Elle est chaude. Tiens petit, glisse ta main sous sa fesse et introduis là dans sa chatte. Tu sens comme elle mouille ? Oui, c’est ça, branle là bien maintenant. » L’apprenti, à genoux, glissait sa main dans le sexe d’Anne et, sans complexe mais avec douceur, la branlait. Karl alors saisit les hanches d’Anne et entreprit de l’embrocher. « Tu sens ma bite contre ton anus ? Et bien voila, elle glisse, parfaitement bien huilée par la jute du petit. Hmm, on sent que t’aimes ça ! » Anne n’en pouvait plus, la chatte en feu par les mouvements de la main fine de l’apprenti et maintenant sodomisée par le gros gaillard. « C’est trop bon, Vas-y Denis, lèche-moi les couilles quand tu les vois passer !!! » Cette vision de Denis en train de sucer les couilles du gros excita Anne perdue dans son délire. Karl le senti bien et commença à rentrer sa bite bien au fond du cul d’Anne. Sa queue prenait de l’ampleur, le sang circulait avec force, Karl maintint la femme avec rudesse et se mit à l’enculer de grands assauts de bites. Il y mettait toute sa force tant il sentait le cul d’Anne ouvert comme un tunnel. Elle criait, n’en pouvant plus : « Vas-y encule-moi bien comme une petite salope, j’adore ça ! Vas-y, vas-y ! J’adore ça ! » Denis, lui, continuait d’emplir le vagin d’Anne, il y mit tout son poing qui prenait l’espace dans son entièreté. Anne n’en pouvait plus d’être prise avec autant de vigueur par tous ses trous. Où presque, elle aurait aimé une bite dans la bouche. Elle imaginait même que c’était le cas et qu’un troisième larron lui limait la gorge de sa pine. Anne n’était plus qu’une loque à jouir, et elle aimait ça avec passion. Elle eut plusieurs orgasmes du cul qui lui firent perdre quasi connaissance. Karl décida alors de sortir de son cul et coucha Anne sur le bureau. Il lui écarta les jambes et la baisa comme ça. « Vas-y petit, caresse-lui les nichons ! Oui, comme ça ! Et maintenant, donne-lui ta bite, elle va te sucer. » L’apprenti se déboutonna et fut visiblement heureux de fourrer sa queue dans la bouche de la dame… Anne, complètement ouverte, fit une pipe digne du paradis au jeune homme, s’acharnant à le faire jouir dans sa bouche : « Je veux ton sperme, vas-y jouis dans ma bouche, donne-moi tout ! »
Karl, en bon sportif, en coureur de fond, lima et lima Anne jusqu’à ce qu’épuisé il sorte sa bite et lance la sauce sur le corps de son esclave complètement partie. L’apprenti jouit de concert au fond de la gorge de la mature qui le bu comme si ça avait été du champagne. Elle lécha chaque goutte de sperme restant sur le manche du jeune.
Et c’est ainsi qu’Anne rentra chez-elle, le string tout détendu, son short enfilé à la hâte, le chemisier – ses boutons disparus – noué à la vaille que vaille, les cheveux d’une folle, le regard lubrique et sentant le sperme à 50 km à la ronde. Le principal étant, la bonne pièce cette fois sous le bras.
Le lendemain, la voiture fut réparée et, de retour, Paul ne trouva rien à redire. Sinon : « Écoute ma chérie, pour ma Triumph, je voudrais ajouter un spoiler. J’en ai trouvé un sur internet. Tu ne voudras pas aller le chercher ? Il s’agit d’une casse perdue dans la campagne, non loin d’usines de la pétrochimie… Tu vois où c’est ? Tu me rendras un fier service !
— Si tu y tiens, lui avait lancé Anne, une petite étincelle dans le regard.
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Les spoilers s’installent à l’avant, par contre à l’arrière on peut ajouter un porte bagage chromé, j’en ai un en bon état, vous pouvez m’envoyer la petite dame….
Excellent scénario, bien écrit…et quel rythme!
erreur d’adresse mail dans mon commentaire,
celle ci dessous est la bonne
Une bien belle histoire ….!
Quel style ! Quel garagiste cochon !
Quel apprenti deluré !
Quelle madame salope !
Quel plaisir de lire …!?! ???