La grande distribution

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Voissou


à plusieursgang-bangtabou


Elle ne connaissait pas ce nouveau magasin, mais toutes ses amies lui avaient expliqué qu’elle y trouverait une grande quantité de bons produits à des prix très intéressants. Le shopping n’était pas vraiment sa tasse de thé, généralement elle faisait ses courses rapidement et détestait perdre son temps dans les allées des supermarchés. C’était cependant l’occasion de faire ses achats pour les deux semaines à venir et elle se dit qu’il fallait en profiter. Elle gara sa voiture au fond du parking, il restait peu de place et elle imaginait déjà devoir affronter la foule du week-end et passer beaucoup trop de temps à faire la queue pour payer. Résignée, elle prit un caddie, vérifia que sa carte de crédit était bien dans son sac et entra dans le magasin sans vraiment imaginer qu’elle allait y passer un bon moment.

L’endroit n’était finalement pas si bondé, les allées restaient praticables et la disposition des produits les rendait très accessibles. Elle se dit qu’elle allait faire vite et ainsi éviter de perdre son temps. Elle avançait sans vraiment réfléchir et se retrouva au rayon des alcools. La, elle aperçut un groupe de cinq garçons qui faisaient le plein de boisson en prévision d’une fête bien arrosée. Ils étaient en pleine discussion sur ce qu’ils devaient acheter. Ils étaient jeunes, entre vingt et vingt-cinq ans, certainement des étudiants. La discussion était animée, ils parlaient fort, riaient en se moquant les uns des autres et occupaient toute la place sans vraiment se soucier des autres clients. Elle comprit qu’elle devrait se frayer un chemin en s’aidant de son caddie. Elle décida d’avancer sans hésiter pour leur faire comprendre qu’elle voulait passer. Au moment où le chariot frôla un des gars, ils s’arrêtèrent tous de parler et elle sentit que leur attention venait tout à coup de se porter sur elle. Le garçon qui avait senti le caddie lui frôler le dos se retourna, et elle se retrouva face aux cinq types qui lui adressaient un large sourire. Ils s’écartèrent poliment et sans qu’elle ne comprenne comment, elle se retrouva en une fraction de seconde au milieu du groupe qui maintenant se rapprochait d’elle et l’entourait. Elle senti tout de suite qu’elle devenait leur centre d’intérêt et les regards de ses hommes la troublèrent immédiatement.

Elle n’était pas habillée très sexy ce jour-là, juste un joli décolleté qui visiblement attira l’attention des jeunes mâles. Elle pouvait maintenant les voir de près, en face d’elle, le plus grand avait de grands yeux noisette, un pull à rayures et un pantalon légèrement moulant. Elle ne put s’empêcher de jeter un coup d’œil rapide sur la belle bosse qui remplissait généreusement le pantalon. À sa gauche, deux autres garçons semblaient un peu plus jeune, quelques traces d’acné sur leur visage renforçant leur aspect juvénile. À droite, le plus petit des cinq était aussi le plus musclé, son tee-shirt laissant deviner des pectoraux bien dessinés. Soudain, un des garçons se déplaça rapidement derrière elle et elle sentit tout à coup le contact de son corps sur son dos et ses fesses. Visiblement, celui-là était le plus téméraire et avait décidé de prendre l’initiative. Elle pouvait sentir son torse se frotter contre elle, et perçut les effluves de transpiration qui émanaient de lui et cela la troubla en une fraction de seconde. Curieusement, elle ne bougea pas et resta immobile comme tétanisée. Les quatre autres types la regardaient avec insistance et ils comprenaient tous qu’elle n’était pas intimidée. L’étreinte se fit encore plus serrée jusqu’à ce que le grand gars aux yeux noisette ne vienne lui aussi se placer contre elle et lui caresse délicatement la fesse gauche.

La situation devenait à la fois terriblement excitante et follement déplacée. Elle se retrouvait entourée de cinq mâles visiblement conquérants, au beau milieu d’un supermarché ! Elle jeta un coup d’œil rapide autour d’elle mais l’allée était vide, personne ne pouvait les voir. Elle était prise entre deux beaux mecs, un qui lui faisait sentir son sexe au travers de son pantalon et l’autre qui lui caressait la fesse. Enfin le dernier type, qu’elle n’avait pas encore dévisagé, saisit le caddie, le déplaça et vint se coller à elle en appuyant son torse contre sa poitrine. Cela lui provoqua une décharge électrique qui parcourut son corps. Elle se sentit totalement vulnérable, tout en ayant paradoxalement l’impression d’être une reine abeille entourée de bourdons en rut.

Vite, il fallait reprendre le contrôle et s’échapper avant que la situation ne dégénère. Elle poussa un « Ouh la ! » et se dégagea rapidement de l’étreinte de ses cinq mâles en attrapant son chariot. Elle partit rapidement, son pouls battant à cent à l’heure, totalement troublée par ces corps, ces odeurs de mâle, leurs regards et le fait qu’ils puissent s’imaginer qu’elle était disponible à leurs caresses. Elle termina son shopping sans vraiment réfléchir à ce qu’elle achetait et vérifiait régulièrement qu’elle n’était pas suivie par les cinq garçons, se disant qu’elle était folle de les avoir laissé faire. Curieusement, ils avaient disparu du magasin. Elle reprit son souffle, fit trois minutes de queue à la caisse et pris la direction de sa voiture.

En arrivant à sa voiture, elle vit que les cinq gars étaient en train de finir de charger les bouteilles dans un camion garé deux véhicules plus loin. Dès qu’il la vit arriver, le plus grand se dirigea vers elle. Elle sentit la panique l’envahir mais curieusement elle ne bougea pas. Le gars lui attrapa le bras, doucement mais fermement et l’emmena avec lui en direction du camion. Les portes arrière étaient ouvertes, c’était une sorte de camion de chantier avec une banquette en bois qui faisait tout le tour de l’habitacle. Les quatre autres avaient fini le chargement et étaient assis, ils la regardaient tous arriver. Il la fit monter dans le camion et ferma les portes derrière lui. Elle se retrouvait la, au milieu de cinq mâles qui visiblement n’étaient pas insensibles à son charme. Le grand se plaça derrière elle et fit glisser ses mains le long de son torse, caressa rapidement ses poignées d’amour, fit glisser son pull décolleté vers le haut et dégrafa son soutien-gorge qui tomba sur le sol. Elle se retrouva les seins a l’air, complètement désemparée dans ce camion qui sentait la sueur. À ce moment un des deux jeunots enleva sa ceinture, fit descendre sa braguette, sortit sa queue et commença à s’astiquer. Le gland était luisant, il était peut-être petit mais il avait un sexe plutôt bien fait, pas très long, large et puissant. Ce fut comme un signal, les trois autres garçons firent de même et tout à coup, elle se retrouvait au milieu, non plus de cinq gars comme dans le magasin, mais entourée de quatre bites tendues vers elle. Elle sentit l’odeur des sexes se mélangeant à la sueur envahir ses narines. Ces odeurs lui firent tourner la tête et sans savoir pourquoi ni comment, elle s’agenouilla devant un des types et se mit à regarder la grosse bite, là, juste à la hauteur de ses lèvres. Le garçon semblait tout à coup moins timide et lui ordonna de la prendre dans sa bouche. Elle ne pouvait pas lutter et quand le sexe se posa sur ces lèvres, elle ouvrit grand la bouche et englouti cette belle bite d’un seul coup. Tout à coup elle senti un spasme de plaisir traverser son corps, elle était là en train de sucer un parfait inconnu entourée d’autres bites prêtes à être sucées elles aussi. Deux autres garçons se rapprochèrent de leur copain, ils prirent ses mains et les plaçaient sur leur queue, lui faisant comprendre qu’il voulait qu’elle les branle pendant qu’elle suçait leur pote.

Elle était à genoux, une bite dans chaque main, une dans la bouche et elle suçait et branlait ces trois belles queues. Le gars de droite avait visiblement envie de se faire sucer lui aussi, il prit sa bite à la main et vint se placer devant son visage. Elle avait maintenant deux sexes à portée de ses lèvres et elle avalait et aspirait successivement les deux queues tout en continuant à branler les deux autres. Ils lui prenaient la tête à tour de rôle et ils lui enfonçaient leur queue dans la bouche à chaque fois qu’ils avaient envie de se faire sucer. Tout à coup elle sentit une grosse décharge de sperme envahir sa gorge. Le petit jeune n’avait pas résisté longtemps et venait d’éjaculer, un gros jet de foutre remplissait sa bouche et elle prit plaisir à avaler d’une traite ce sperme chaud et sirupeux.

Pendant ce temps, le grand gars était resté derrière elle mais il n’était pas inactif. Il se branlait en regardant ses potes se faire sucer et visiblement la situation l’excitait énormément. Le cinquième type faisait de même, il s’astiquait frénétiquement en regardant la belle sucer et aspirer les bites avec délectation. Ils se placèrent à côté d’elle et les deux se mirent à jouir rapidement. Un flot de sperme chaud inonda sa poitrine et elle sentit la liqueur couler tout le long de ses seins jusqu’à son ventre. Tous les deux avaient éjaculé, leur queue ruisselait encore de sperme et ils avaient très envie qu’elle vienne consciencieusement nettoyer le foutre qui perlait au bout de leur gland. Elle abandonna quelques secondes les deux sexes qui lui baisaient alternativement la bouche et se mit à lécher les deux queues, lapant les gouttes de foutre restantes avec gourmandise. Elle sentait les goûts des trois hommes se mélanger dans sa bouche, cela lui procurait un plaisir intense.

Les deux autres qu’elle avait abandonnés en pleine fellation continuaient à se branler, un peu frustrés d’avoir dû laisser la place à leurs potes. Ils se regardèrent tous les deux avec un regard complice et se reprochèrent doucement du visage de la belle qui était encore occupée à lécher les dernières gouttes du précieux foutre. L’un des deux dit à son pote « Yes » et ensemble ils se mirent à jouir sur son visage, deux puissants jets de sperme virent inonder les joues et les lèvres de la belle. Elle tira alors la langue et reçu alors une autre giclée de foutre. Le sperme dégoulinait de son visage, coulait dans son cou, jusqu’à ses seins déjà constellés du jus des autres garçons. Elle était en transe, le sperme qui coulait sur elle et l’odeur de foutre qui se répandait dans le camion la rendait folle d’excitation. Elle avait gardé son pantalon mais elle sentait bien que sa chatte était inondée de plaisir, elle mouillait comme jamais. Elle avait fait jouir cinq garçons et comptaient bien que ces vigoureux jeunes hommes n’en restent pas là.

Le grand se plaça derrière elle, dégrafa le bouton de son pantalon et le fit glisser en même temps que sa culotte le long de ses cuisses, jusqu’à ses genoux. Son sexe était enfin libre, les effluves de son excitation vinrent se mélanger à ceux des garçons. Le grand se mit à genoux derrière elle et commençait à caresser sa vulve toute humide. Elle sentit ses doigts la pénétrer, elle mouillait tellement qu’ils furent immédiatement recouverts de cyprine. Il explorait sa chatte, caressait les grandes lèvres, effleurait le clitoris et la pénétrait avec ses doigts. Le jus coulait de la vulve béante, elle adorait sentir ces mains sur son sexe et le sperme couler sur ses seins et son ventre.

Le grand avait retrouvé toute sa vigueur, sa bite était toute gonflée, son gland brillait tellement il était tendu. Il la poussa légèrement vers l’avant et elle se retrouva ainsi en levrette, au milieu du camion, entourée de ses cinq mâles en rut. Il avait un sexe assez long mais fin, elle ne l’avait pas remarqué, trop occupée à sucer les autres bites qui se présentaient à ses lèvres pendant qu’il se préparait à éjaculer sur ses seins. Il posa délicatement son sexe à l’entrée de sa vulve, caressant le clitoris avec son gland pendant quelques secondes, puis il enfonça sa bite en elle d’un seul coup. Elle sentit que cette longue bite venait de la pénétrer profondément, les couilles du grand qui maintenant tapaient contre son clitoris ne faisaient qu’amplifier son plaisir. Le sexe cognait au fond de son vagin, jusqu’à son utérus, et elle ne pouvait s’empêcher de pousser un petit cri à chaque allée et venue. Elle avait gardé son pantalon et sa culotte sur les chevilles, ce qui l’obligeait à serrer les jambes et amplifiait les frottements à l’entrée de sa vulve et contre les parois de son vagin. Les autres gars, très excités eux aussi par le spectacle de la belle en train de se faire prendre en levrette, avaient tous une magnifique érection. Deux d’entr’eux se placèrent face à la belle qui comprit tout de suite que deux bites s’offraient de nouveau à elle. Elle en prit une dans sa main pour la branler et avala goulûment la deuxième qui s’enfonça profondément dans sa gorge. Elle sentit les couilles frotter sur sa lèvre inférieure. Ces trois bites qui s’offraient à elle lui déclenchèrent un orgasme presque immédiat, elle eut l’impression de s’évanouir de plaisir tellement il était puissant. Le grand lui défonçait maintenant la chatte pendant qu’elle suçait alternativement une bite tout en branlant l’autre pour le plus grand plaisir des deux garçons qui ne tardèrent pas à éjaculer de nouveau. Le sperme gicla à travers ses doigts et elle reçut une belle dose de foutre sur la joue pendant que l’autre queue était bien enfoncée dans son gosier. Une autre décharge de foutre passa directement au fond de sa gorge, elle eut à peine le temps de sentir le goût du sperme sur sa langue. Ces nouvelles décharges lui donnèrent un autre orgasme, elle jouissait comme une folle en grognant, à moitié étouffée par le foutre.

Le jeunot regardait ce spectacle magnifique et sa queue avait elle aussi retrouvé toute sa vigueur. Elle était un peu plus courte que le grand mais elle était beaucoup plus massive, presque le double de diamètre. Le grand vit que son copain était très excité et il lui fit un clin d’œil tout en retirant sa queue de cette chatte qui l’engloutissait jusqu’aux couilles. Il en profita pour enlever le pantalon et la culotte, elle se retrouva nue au milieu de la bande de mâles déchaînes. Le jeunot compris dans le regard de son copain ce qu’il lui proposait. Il s’allongea sur le dos et se glissa tout en souplesse sous la belle qui était toujours en levrette. Elle ne perdit pas de temps pour profiter de la situation et s’empala directement sur la queue massive et charnue du jeune garçon. Sa vulve dégoulinait de plaisir et le membre la pénétra facilement. Elle sentit sa vulve se dilater, ses chairs s’écartant pendant que la bite commençait à s’agiter dans son vagin. Elle eut l’impression d’être totalement remplie par cette queue et elle bougeait son bassin de plus en plus vite pour mieux la sentir la pénétrer. Le grand se redressa, pris son sexe dans la main et le positionna délicatement contre l’anus de la belle. Elle comprit tout de suite qu’il avait l’intention de l’enculer et l’idée de cette double pénétration la fit frissonner. Il exerça une légère pression et le petit cul s’ouvrit doucement. Il introduisit progressivement sa queue, aidé par les mouvements du bassin de la belle, jusqu’à ce que ses couilles viennent taper contre la vulve. Elle poussa un cri de plaisir, elle sentait maintenant deux queues qui tapaient dans son ventre, dans son vagin, au plus profond de ses entrailles. Les deux garçons commencèrent à aller-venir en elle alternativement, ce qui lui déclenchait des bouffées d’orgasme ininterrompues. Le dernier mâle, celui qui n’avait pas joui, présenta sa queue devant la bouche de la belle qui encore une fois l’avala avec gourmandise. Il saisit sa tête entre ses mains et la guida le long de son sexe pendant qu’elle le suçait. Comme elle avait les mains libres, elle avait cessé de branler les autres bites, elle eut envie de se caresser en même temps, son clitoris était énorme, prêt à exploser sous ses doigts. Elle faisait bien plus que se caresser, elle agitait les doigts sur son clitoris avec frénésie. Un triple orgasme lui traversa tout le corps lorsqu’elle senti une longue giclée de foutre lui envahir le cul. Cette décharge chaude au fond de ses entrailles la terrassa de jouissance.

L’ambiance dans le camion était indescriptible. La belle jouissait de sa triple pénétration, les garçons étaient excités comme jamais. Le temps s’était arrêté, les orgasmes déformaient les perceptions. Juste après que le grand ne se soit retiré du cul dilaté de la belle, le jeunot était sur le point de jouir. Le troisième, celui qui baisait la bouche qui s’offrait entièrement, éjacula lui aussi lorsqu’il aperçut la queue du grand qui sortait du petit cul, légèrement souillée par les intestins de la belle. Ce devait être un bel amateur de sodomie, celui-là ! Il balança une longue giclée de foutre brûlant dans la bouche qui le suçait en laissant échapper un râle de plaisir. Le jeunot éjacula presque au même moment ce qui provoqua un ultime orgasme à la belle qui sentit la chaleur du sperme l’envahir par tous les orifices. Puis ils demeurèrent immobiles pendant de longues secondes, le souffle haletant. Le camion sentait le foutre, la cyprine, la sueur, on aurait dit que des dizaines d’amants y avaient baisé pendant des heures.

Elle se souleva légèrement pour se dégager de la grosse bite du jeunot qui était toujours en elle. Lorsque la queue, maintenant flaccide, se retira de la chatte béante, une flaque de foutre mélangé à de la cyprine coula sur le bas ventre du garçon. Il rougit un peu, esquissant un sourire, la belle fut émue par sa timidité et entreprit de nettoyer cette belle bite. Elle commença par lécher le sperme mélangé à ses propres sécrétions, méticuleusement, et finit en prenant soin d’aspirer tout ce qui restait collé aux poils du garçon. Finalement, les cinq mâles eurent droit à leur toilette, elle ne laissa pas une seule goutte de foutre, elle décalottait toutes les bites une par une, même celle qui venait de l’enculer, avalant tout ce qui pouvait rester dans les replis de leur prépuce, léchant les couilles avec soin, allant même jusqu’à passer le doigt dans la raie de leurs fesses pour vérifier que pas une goutte de foutre ne restait.

Elle observa son ventre et ses seins couverts de la semence des garçons, elle sourit et passa la main de bas en haut sur sa peau pour récolter une belle dose du précieux nectar. Elle lécha sa main goulûment, en regardant successivement ses cinq mâles les yeux dans les yeux tout en suçant ses doigts un par un. Elle ramassa sa culotte, la passa sur sa chatte afin de l’imbiber de ses secrétions et l’offrit au jeunot, avec un sourire. Lorsqu’elle vit que les queues recommençaient à gonfler et à se dresser, elle enfila son pantalon, sans culotte, son pull, pris son sac, y rangeât son soutien-gorge et ouvrit la porte du camion pour s’enfuir avant que les mâles n’aient encore envie de la baiser. Dehors, le soleil touchait déjà l’horizon, elle n’imaginait pas qu’elle était restée si longtemps dans ce camion, à se faire prendre, à jouir et à faire jouir ses cinq beaux mâles.

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