C’était devenu un rituel pour moi, quand je rentrais du travail, en milieu de l’après-midi, que de m’allonger sur mon lit et de me caresser.
Il y avait de nombreuses raisons qui pouvaient expliquer que j’en sois arrivée là.
L’essentielle, sans doute, c’était qu’à 43 ans, j’avais été très déçue par les hommes que j’avais pu fréquenter, et je vivais une période de célibat que je n’avais pour le moment absolument pas envie d’interrompre. Je me sentais apaisée, loin des orages que j’avais pu connaître.
J’avais fait une sorte de régression. Le sexe, le plaisir, tenaient une place importante dans ma vie. Pour autant, je m’étais souvenue de mon adolescence, et des orgasmes qui avaient pu être les miens, lorsque j’avais exploré mon corps, et découvert les joies du sexe.
Il y avait eu un moment de mon existence où jeune ado, ça avait été une véritable obsession. Je passais mon temps à me caresser, dès que j’avais un moment. J’avais découvert le bonheur d’avoir un orgasme, et surtout, que chaque moment de jouissance était unique. Après un orgasme intense, on en recherchait un autre, mais ça n’était jamais le même. C’était sans doute cela qui rendait ce plaisir si fort.
Et puis j’avais basculé sur autre chose…Pour y revenir bien plus tard.
Je vivais seule depuis deux ans, lorsqu’un soir, au lit, ma main avait glissé sur mes parties intimes. Je dormais avec un grand T-shirt qui avait remonté, et, en voulant le redescendre, j’avais frôlé mon sexe. J’avais été surprise par la sensation qui avait été la mienne, comme une trace de feu qui était remontée dans mon ventre, et quelque chose de très fort. Qui m’avait procuré du plaisir.
Il fallait dire que je n’avais plus eu de rapports sexuels depuis deux ans, pas même un coup d’un soir, que je n’en avais aucunement envie, et que mon sexe était pour ainsi dire enterré, en tout cas dans sa fonction sexuelle. Et puis là, il y avait eu ce toucher bref, mais intense,  et je m’étais dit ‘Pourquoi ne pas aller plus loin?’
Ca m’avait fait un drôle d’effet, parce que cela me ramenait loin en arrière. En même temps, je ne trouvais pas ça forcément négatif de revenir vers le passé…Mon adolescence avait été une période heureuse, avant finalement d’affronter la vie d’adulte. Et puis je me suis dit que je n’étais pas condamnée à suivre le même chemin. Je pouvais me réinventer, faire quelque chose de nouveau. Les mêmes gestes, mais à présent, j’étais adulte.
J’ai laissé mes doigts glisser sur mon sexe. Il était encore clos, mais je l’ai senti s’ouvrir au bout de mes doigts, mes chairs intérieures vouloir sortir, et de l’humidité venir tremper ce qui était sec.
Je me suis caressée avec des gestes doux, et j’ai senti, contre la pulpe de mes doigts, mon sexe se transformer. Je voulais y aller lentement, mais je me suis rendue compte qu’il y avait derrière moi le poids de ces deux années où j’avais totalement ignoré le sexe, et la chair, à force de vouloir l’ignorer se rappelait à l’ordre, dans un retour plutôt violent…Mon sexe s’est ouvert à vitesse grand V, il s’est mis à suinter d’abondance, et j’ai senti que je jouissais très rapidement. J’ai eu un premier orgasme. En même temps, mon corps me criait de continuer, et c’est ce que j’ai fait. J’ai joui, plusieurs fois, incapable de m’arrêter, me massant comme une folle, avec un ultime orgasme qui a été plus fort, et qui a libéré un flot de liquide. Sous moi, les draps étaient trempés, et j’étais épuisée d’avoir autant joui. Je me suis endormie quasi immédiatement.
Les autres fois, ça a été plus calme. J’ai redécouvert les dizaines de manières différentes de caresser son sexe, et de se donner du plaisir. Avec à la clef des dizaines d’orgasmes différents.
C’était devenu, comme de par le passé, une drogue. Le matin, avant de partir au travail, je me donnais du plaisir. Souvent juste avant de partir…Je glissais la main dans un pantalon, sous une culotte, ou encore sous une jupe, sous un collant, et je me caressais furtivement. Et quand j’étais au travail, je savais qu’en rentrant, après un petit goûter, je me mettrais à l’aise, et je me donnerais du plaisir.
Et puis il y a eu cet après-midi-là. J’étais allongée sur le lit, en survêtement, mais le pantalon ainsi que ma culotte baissés, et je me caressais. Rien de nouveau. J’avais le sexe bien ouvert, j’étais bien mouillée, et j’étais dans une configuration qui me convenait bien, j’avais l’index de ma main gauche sur mon clitoris, et je le massais, j’avais un clitoris qui sans être énorme, avait de la consistance, et deux doigts de ma main droite, mon index et mon majeur, qui, réunis, allaient et venaient dans mon sexe. Ca faisait des bruits visqueux qui m’excitaient autant que les gestes eux-mêmes, qui mettaient ma chair à vif et me rapprochaient du plaisir.
Et il y avait ces bruits à l’extérieur.
La grande maison dans laquelle je louais mon appartement avait deux entrées. Une entrée par derrière, à laquelle on accédait par une petite ruelle, c’était celle que je choisissais souvent, car je pouvais en prendre le chemin en remontant du grand parking sur lequel je me garais souvent, et une deuxième entrée qui donnait sur une rue et une petite place, sur lesquelles mes fenêtres donnaient.
Je me suis demandée à quoi correspondaient ces bruits. Mais, en même temps, je poursuivais ma quête de jouissance. L’orgasme, le premier, parce que je cherchais toujours à jouir après avoir joui, est arrivé, et il a été bon, comme celui qui a suivi, et encore le suivant.
C’est quelques minutes après, la culotte remontée contre mes chairs trempées, et le pantalon  ramené à la taille, que je me suis mise à la fenêtre et que j’ai embrassé l’ensemble de la situation.
Un entrepreneur avait installé, certainement dans la matinée, car quand j’étais partie la matin, il n’y avait rien, sur la partie gauche de la place, là où ça ne gênait pas, une palette de tuiles neuves, à côté desquelles se trouvaient, mais en nombre bien inférieur, des tuiles abimées. Une petite grue permettait, commandée du sol, d’utiliser une petite navette et d’amener des tuiles sur le toit d’une maison inaccessible autrement, faisant partie d’un bloc, directement en face, et de ramener les tuiles qu’on enlevait.
Le toit de la maison se trouvait directement dans la perspective de mon appartement.
C’est comme ça que je les ai vus pour la première fois. Il y en avait un sur le toit, qui enlevait les tuiles usagées, les mettait dans la nacelle, faisait un signe à son compère en bas, lequel avait en main un bloc avec des boutons dessus. Il faisait descendre les tuiles usagées, et il les remplaçait par des neuves. Sur le toit, l’homme les récupérait et les positionnait, avant de recommencer un cycle…
J’ai du rester ainsi un moment avant de me rendre compte que, si je pouvais les voir, eux le pouvaient aussi. C’était en tout cas vrai pour l’homme qui était sur le toit, qui se trouvait face à moi, malgré la distance qui nous séparait. Il a d’ailleurs senti mon regard sur lui. Il s’est détourné un instant, m’a souri, et fait un petit bonjour de la main, auquel j’ai répondu, devenant toute rouge.
J’ai passé le reste de l’après-midi à les mater de manière plus discrète. Ils étaient tout jeunes, entre 25 et 30 ans. D’ailleurs, en fin d’après-midi, sur le coup de cinq heures, leur patron est passé les chercher. Un vieux type à qui il ne restait qu’une vague couronne de cheveux sur le crâne.
Les deux jeunes, eux, étaient vraiment attirants, dans tout l’éclat de leur jeunesse. Ils étaient très différents l’un de l’autre.
Ce qui m’a poussée vers eux, bien sûr, ça a été la frustration. Mais sans doute aussi le fait que je les trouvais séduisants. Et puis je voyais là l’occasion d’avoir exactement ce que je voulais: une relation avec juste du sexe, du plaisir, sans implication affective d’aucune sorte. Exactement ce qu’il me fallait.
J’avais conscience qu’ils ne seraient pas là éternellement. Trois, quatre jours, une semaine…Il ne faut pas un temps infini pour refaire une toiture. Il fallait que j’agisse rapidement.
Il se trouvait que le lendemain, j’étais de repos. C’était le moment idéal pour agir.
Le patron les a déposés sur le chantier sur le coup de sept heures trente. Ils allaient être là toute la journée. Et moi aussi.
J’étais sortie très tôt pour aller acheter des croissants. J’ai fait du café. J’allais leur proposer une pause, d’ici une heure. Quand on fait un métier difficile, on a besoin de temps à autre d’un moment de réconfort.
Mais bien sûr, je ne suis pas descendu en pyjama, et je me suis soignée. On n’attrape pas des mouches avec du vinaigre.
Ils déchiraient les plastiques enveloppant les lots de tuiles neuves quand je suis arrivée avec mon plateau porté à bout de bras. Ils ont senti une présence, et se sont retournés, alors que je m’approchais d’eux.
Je soignais toujours mon apparence, dans ma vie de tous les jours, pas forcément pour séduire, mais parce que j’aimais être féminine. Je n’avais donc eu aucun mal à trouver dans ma penderie de quoi les appâter. J’avais été bien au-delà des certaines limites, et le regard qu’ils ont porté sur moi d’abord surpris, puis troublé et excité m’a dit que je n’avais pas manqué ma cible. Les hommes sont facilement prévisibles, et ils n’étaient pas différents des autres. Au contraire. J’ai aussitôt senti en eux une capacité à désirer qui n’était freinée par aucune limite, et une envie d’assouvir ce désir sans attendre. C’était exactement ce qu’il me fallait.
J’avais passé une jupe en cuir, courte, avec des bas stay-up, et un haut très décolleté, avec des bottes à talons aiguilles, sous un manteau long ouvert, qui pouvait laisser penser que je voulait masquer mes charmes, alors que c’était une manière de mieux les offrir, une sorte d’écrin.
—Bonjour messieurs, je vous aperçois depuis hier, et j’ai pensé que vous auriez eu envie d’une petite pause. Du café et des croissants, ça vous tente?
Ils n’ont pas dit non, et ils ont momentanément délaissé leur chantier pour dévorer à pleines dents les croissants. J’avais posé le plateau sur le marchepied du camion et j’ai servi deux tasses de café. Le blond en a attrapé une. J’ai saisi l’ourlet de ma jupe, et je l’ai remonté très lentement, dévoilant mes jambes, que je savais bien dessinées, gainées par les bas stay-up, Mais je suis montée au-delà des accroches de dentelle, pour leur montrer que j’avais oublié de mettre un slip. Je leur ai bien laissé le temps de voir le dessin de ma fente. Si elle était close quand je m’étais habillée, sentir leurs regards sur moi a rempli mon ventre de chaleur, et je me suis sentie m’ouvrir et couler. J’ai finalement laissé la jupe retomber.
—Si vous avez envie de venir me caresser…Je ne dis pas non.
J’ai contourné le camion. Avec les piles de tuiles, il y avait un angle qui échappait à la vision, quelque soit le point où l’on se trouvait autour. Ils n’avaient pas fini les croissants, pas plus que le café, mais une autre faim était plus pressante. Je me suis calée contre le camion, offerte. Rien n’a été dit, mais tout s’est mis en place naturellement, comme c’est souvent le cas dans les moments de sexe, une sorte de télépathie et d’accord qui fait que tout se positionne de manière harmonieuse, sans qu’il soit besoin, sauf exception, de préciser les choses.
Et là encore, tout s’est fait en harmonie. Ils se sont répartis harmonieusement les zones à couvrir, selon leurs affinités. Le blond avait apparemment un goût pour les jambes de filles, et devait, à la manière dont il les a caressées longtemps, apprécier qu’elles soient couvertes de nylon, tandis que son partenaire avait lui une appétence pour les poitrines féminines. Le brun est donc venu caresser mon torse, tandis que le blond s’accroupissait, et laissait glisser ses mains le long de mes jambes. On aurait pu penser que leurs mains étaient rugueuses, mais c’était tout sauf cela, elles étaient pleines, chaudes et caressantes.
J’avais passé des bottes, noires et luisantes elles étaient ultra-sexy. Elle couvraient mes jambes jusqu’en dessous de mes genoux, mais ça donnait laissait une bonne surface de chair à caresser, et c’était bien comme ça.
Le brun, lui, est resté un moment sur moi à travers mon top, avant que je ne l’incite à aller plus loin en le soulevant. Mes deux seins ont jailli à l’air libre, leur volume suffisamment charnu pour le captiver. Il a plongé dessus de la langue, venant passer sur la surface de ma chair, avant de se concentrer sur un téton.
Quand j’avais décidé d’aller vers eux, c’était une envie, sans doute de casser un fonctionnement sur un seul modèle. Je comprenais, à présent que nous étions proches, et qu’ils étaient sur moi, que j’avais sans doute eu tort de m’enfermer dans un seul schéma. Le sexe en solitaire, c’était bon, contrairement à ce que beaucoup pensaient, j’avais des orgasmes puissants, et je n’y aurais renoncé pour rien au monde, mais il y avait d’autres plaisirs auxquels j’avais tourné le dos, et je comprenais maintenant que j’avais eu tort, parce qu’ils étaient aussi très bons. Des feux s’allumaient dans mon corps, au niveau de mes jambes, au niveau de mes seins, feux qui devenaient de la lave qui se répandait dans mes veines, et m’embrasait progressivement. La source centrale, c’était sans aucun doute mon ventre, qui était un brasier dont la température montait seconde après seconde.
Je percevais en moi des signes d’excitation s’enclencher les uns après les autres. Mes tétons gonfler, se tendre jusqu’à être douloureux, mon sexe s’ouvrir et se mettre à ruisseler. Je mouillais tellement que j’avais l’impression de me pisser dessus.
J’ai soulevé ma jupe, comme une incitation à venir plus haut. Le blond est enfin remonté le long de mes jambes et il a dépassé la limite des deux bandes élastiques qui comprimaient le haut de mes cuisses, pour venir sur ma chair nue. Il est remonté dans mon aine, zone sensible.
J’avais envie de gémir, mais je me retenais, consciente que notre invisibilité était vraiment toute relative. Des gens passaient, inconscients que nous étions là, mais une quelconque plainte aurait révélé notre présence.
Pendant que son camarade, après avoir érigé mon téton autant qu’il le pouvait, est passé à son voisin, son collègue a glissé ses doigts sur mon sexe. J’ai senti mes lèvres gonfler et s’étirer, des pointes de feu remontant dans mon ventre. Il a parcouru, d’un effleurement continu, avec une délicatesse qu’on n’aurait pas forcément soupçonnée, la finesse de mes chairs qui s’exprimaient à l’extérieur de moi, ses doigts de trempant du liquide épais et gras qui coulait de mon ventre. J’étais, prise entre deux feux, mes seins caressés et mon sexe travaillé, au bord de la jouissance. Ai-je voulu y échapper, ou la réserver pour plus tard? Je me suis dégagée, faisant se relever le blond, alors que le brun était déjà à ma portée, et je les ai défaits pour attraper leurs queues. Peut-être que je redoutais de jouir, parce que cela faisait trop longtemps que je n’avais pas joui en compagnie de quelqu’un, et je me demandais ce qui se passait, mais sans doute aussi, j’avais envie de voir leurs queues, de les toucher. Je prenais soudain conscience que ça m’avait VRAIMENT manqué de voir, de toucher, d’accueillir dans ma chair des queues dures, gorgées de sang, suintantes…D’une main puis de l’autre, j’ai récupéré deux membres que j’ai senti durs et chauds, au bout de mes doigts, et que j’ai extirpés du fond des caleçons où ils s’étiolaient. J’ai mis leurs sexes à nu, autant ravie de les avoir sous les yeux qu’au bout de mes doigts. Deux membres qui ne se dessinaient pas pareil, mais qui partageaient d’être en pleine érection, dressés, gorgés de sang, avec leurs glands suintants. Je me suis mise à les masturber, revenant sans doute loin en arrière, quand à l’adolescence, j’avais pris mes premières queues dans la main, et que je donnais du plaisir aux garçons sans compromettre mon intégrité physique. Je savais que ce pouvait être un plaisir très simple et très fort pour un homme que de sentir une main s’activer sur soi. J’avais très vite acquis une habileté que je retrouvais à présent. J’ai senti les tensions s’installer dans leurs queues et ils se sont mis à ruisseler, leurs liquides pré-sécrétifs inondant leurs chairs et mes mains. Ils avaient envie de se laisser aller à gémir et à crier, mais ils étaient bien conscients qu’il valait mieux éviter, pour rester invisibles.
La jouissance est venue, inéluctable. Ca a été avec un plaisir qui m’a surpris que je les ai vus se tordre, alors que leur sperme commençait à sortir, jet après jet, arrosant leur chairs, leurs vêtements, mes mains et ma tenue. Ils n’en finissaient pas d’éjaculer, comme s’ils avaient retenu leur jouissance longtemps, ou que j’aie la capacité par mes caresses de les vider. Je suis venu laper le sperme qui couvrait mes mains, un goût acide et sucré à la fois.
—Je vous attends à midi pour qu’on mange ensemble. Mais on ne fera pas que manger.
Je me suis arrêtée sur le palier du premier étage. L’immeuble était vide, rempli de ce silence qui lui donnait toute son épaisseur. J’avais envie de jouir, maintenant. Je me suis appuyée contre l’un des piliers de la lampe. Une longue tige droite qui se terminait par une grosse boule. Son ovale est venu appuyer contre mon clitoris, qui je le sentais mieux avec le contraste du bois, avait pris du volume, et mes lèvres, grande ouvertes. Si masturber des queues m’avait ramené à mon passé, c’était aussi le cas de ce mouvement. Quand la puberté m’avait prise et avait commencé à me dévorer, j’avais pris l’habitude de me frotter contre des coins de meubles, tout ce qui en fait pouvait se trouver à hauteur de mon sexe, et me donner du plaisir sans que j’aie besoin de me déshabiller. Je jouissais parfois à deux mètres de mes parents dans une autre pièce…
J’ai commencé à me frotter, en faisant aller et venir mon bas-ventre en feu de gauche à droite. Mon premier orgasme a éclaté au bout de quelques secondes seulement. Il m’a fait perdre conscience quelques instants, tellement il a été fort…Pourtant, obstinée, je n’en suis pas restée là. Je voulais encore jouir. Je me suis encore frottée, et j’ai encore joui, jusqu’à ce que je sois vidée de toute mon énergie, les jambes ruisselantes de mes éjaculations successives. Je suis remontée chez moi, momentanément apaisée.

 

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