LA SOUBRETTE
Il est assis à l’imposant bureau de sa chambre quand la gouvernante frappe. Elle vient lui présenter la jeune soubrette qu’elle vient de choisir pour lui. Elle a respecté scrupuleusement ses consignes, et l’a choisie jeune, plantureuse, la peau très blanche, et l’air simple des paysannes de la région. Mal à l’aise, la jeune femme se tort les mains en regardant le sol. Il sourit en voyant qu’elle a tenté maladroitement de rendre convenable l’uniforme qu’il destine aux soubrettes. Elle a tiré sur la courte jupe qui a vocation à laisser apparaître la courbe de sa croupe quand elle marche, et mieux encore si elle se baisse . Les boutons de sa blouse blanche peinent à contenir ses seins généreux, et menacent de sauter.
Il remercie la gouvernante et fait asseoir la jeune fille face à lui, sur un fauteuil profond et un peu haut. Dans cette position la jupe ne cache plus rien de ce qu’il convoite, et il note en gourmand la culotte de coton blanc qu’il voit se dessiner dans le triangle face à lui.
— Comment vous appelez vous mademoiselle ?
— Angélique, monsieur.
Tandis qu’il lui pose quelques questions sur sa situation et ses références professionnelles, il se lève et se place derrière elle.
— Laissez moi vous aider à mettre cet uniforme correctement. La gouvernante a du vous prévenir que je ne tolère pas de soutien gorge sous les blouses.
Il déboutonne le chemisier tendu à l’extrême, y glisse d’autorité ses deux mains qui libèrent des seins lourds et blancs. Il les prend dans ses mains chaudes et les place sur la blouse, qui les accueille comme un balcon ouvert et indécent. La jeune femme n’ose pas bouger. Il caresse ses seins généreux , les soupèse, le mamelon large et d’un rose très pâle réagit lorsqu’il le glisse entre deux doigts connaisseurs, et se dresse malgré sa pudeur. La peau de la jeune femme frissonne et rougit tandis qu’il entend son souffle s’accélérer.
— Ne vous inquiétez pas Angélique, vous êtes une très jolie personne et je tiens à ce que la beauté de celles qui travaillent dans ma demeure soit révélée. Désormais, vous porterez votre blouse comme ça lorsque vous entrerez dans cette pièce. C’est compris ?
— Oui, monsieur.
— Mes caresses semblent vous faire du bien ?
— Oh oui, ça me fait tout chaud.
— Où donc ?
— Là, monsieur, fait-elle en lui montrant sa jupe courte.
Il tire d’un geste sûr la jupe vers le haut. Ses cuisses solides de paysanne apparaissent, il lui fait signe de les écarter d’une main ferme, tandis que l’autre continue à caresser ses seins. Il glisse doucement un doigt sur le coton de son slip. Il le frotte longuement de son pouce large, et sent la chaleur de son sexe à travers le tissus. Elle halète doucement.
— On vous a déjà touchée là, Angélique ?
— Oui, mon ami, parfois, mais pas comme ça, articule-t-elle difficilement.
Il continue de la caresser, sent le clitoris durcir, et voit avec gourmandise le blanc de son slip s’auréoler d’une tache qui s’élargit peu à peu sous ses doigts. Elle est trempée, ses lèvres gonflées se sont entrouvertes et laissent s’échapper un miel onctueux.
— Lève-toi et suis-moi.
Elle n’ose pas désobéir. Il la prend par la main et l’entraîne vers le lit qui trône au fond de la chambre. Il est entouré de quatre pieds hauts qui soutiennent de lourds rideaux, il la plaque contre l’une des colonnes et ordonne :
— Enlève ton slip et écarte les jambes.
Elle laisse glisser le triangle de coton blanc et mouillé au sol.
— Écarte plus grand, je veux voir ta chatte.
Elle s’exécute, et il glisse sa main largement ouverte entre ses cuisses offertes. Les boucles de sa toison sont trempées de cyprine, et ses doigts s’enfoncent sans peine dans son sexe offert. Elle gémit et manque de vaciller sous la caresse. Il la retient fermement, la plaque plus fort contre le bois du lit, en tétant ses seins lourds. Il a glissé deux doigts en elle et leur va et bien fait râler la jeune femme. Il les ressort pour enduire son clitoris de foutre, et elle tend son sexe vers ces doigts qui lui procurent un plaisir intense.
— Retourne-toi, à genou sur le lit.
Elle obéit, soumise désormais à ce plaisir qu’il lui promet.
Le spectacle de son cul blanc, de sa toison trempée et offerte, est splendide, et il le savoure un instant en connaisseur pendant qu’il écarte les pans de son peignoir de soie sombre. Son sexe est dur, long, il le tient d’une main et caresse de son gland les lèvres offertes avant de les forcer dans un grognement sourd. Elle est étroite, il y glisse d’abord son gland, et marque un arrêt, attendant en connaisseur le signal. Elle se cambre malgré elle, tend son sexe enflé et humide vers lui. Il s’y enfonce alors profondément, jusqu’à ce que sa propre toison se confonde avec celle de la jeune femme, boucles mêlées, puis ressort, frottant à nouveau son gland sur ses lèvres gonflées. A chaque entrée en elle, la jeune femme se cambre pour mieux offrir sa croupe, et gémit de plaisir. Il accélère le va et vient, force encore la cambrure de la jeune femme d’une main ferme posée sur ses fesses blanches, pour profiter de cette croupe soumise, tout en soupesant de l’autre main les seins lourds de la jeune femme, qui ondulent doucement au rythme de ses coups de rein. Il s’arrête de nouveau, attend que la jeune femme le supplie. Elle gémit longuement et tend plus encore son sexe humide vers lui, l’ouvrant de ses deux mains pour mieux le recevoir. Il la prend alors plus fort, il sent son gland taper tout au fond de son sexe étroit, de longs va et vient qui la remplissent profondément. La puissance de la jouissance la fait crier, son corps tremble, pendant qu’il l’a prend plus fort encore avant d’éclater en elle dans un grognement satisfait.
Il referme les pans de son peignoir, trempé de foutre, et, d’une claque distraite sur ses fesses :
— C’est bon, reviens demain.
Elle se redresse, encore tremblante de cet orgasme violent, resserre autour de ses seins blancs la tunique froissée, dans un geste pudique dérisoire, tandis que le sperme du châtelain coule le long de ses cuisses.
— Bien, monsieur.