La stagiaire (épisode deux)

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LA STAGIAIRE (2)

Très embarrassée d’avoir subit de tels attouchements de la part de sa patronne et plus encore par les réactions incontrôlées de son corps, Sophie se relève et se tient nue debout à côté de sa patronne. Celle-ci fixe ses doigts poisseux de mouille, puis regarde alternativement ses doigts puis le visage de Sophie, visage aussi rouge qu’une écrevisse. Sacrée vicieuse répète-t-elle plusieurs fois. Sophie tourne sa tête de droite à gauche, en signe de dénégation, incapable d’articuler un mot, lorsque sa patronne la pénètre à nouveaux de deux doigts qu’elle agite frénétiquement dans sa chatte, tout en frictionnant du pouce son bouton de plaisir. La belle se tortille sur place, fléchis les genoux, ondule du bassin, courbée sous le plaisir montant.

Et bien ma cochonne s’exclame la patronne, puis elle fait de la place sur son bureau, en face de sa chaise, repoussant tout sur les côtés. Elle tapote le bois du bureau face à elle et ordonne à Sophie de s’y asseoir.

Sophie obéit à contrecœur, que va encore bien inventer sa perverse patronne se demande-t-elle. Pourtant, elle continue à être envahie de sentiments très contradictoires, mélange de crainte, de douleur et d’excitation.

Une fois assise, sa patronne lui demande de se coucher sur le dos puis de poser ses pieds sur le bureau, et d’écarter les cuisses en grand.

Posant ses mains sur l’intérieure de chacune des cuisses de Sophie, la patronne exerce une pression pour la forcer à écarter ses cuisses au maximum.

Sophie sent son excitation encore monter d’un cran, d’être ainsi exposée à la vue de sa patronne, la chatte béante et dégoulinante. Le contact avec les doigts de sa patronne est comme une décharge électrique. Cette dernière laisse descendre doucement ses doigts le long des cuisses, jusqu’au pubis qu’elle effleure tendrement.

Dis moi ma petite fille, je t’ai interrompue ce matin, hum ?

Comme elle ne réponds pas, elle lui met une petite claque sur l’intérieur de la cuisse, tout en montant le ton :

Eh bien, tu réponds ?

Oui, murmure la jeune fille.

Tu es allée te finir dans mes toilettes ?

Elle rougit de plus belle mais ne réponds pas. Deux claques plus appuyées atterrissent sur ses cuisses.

Réponds.

De nouveau un petit « non » sort comme un murmure de ses lèvres.

La directrice ne peut retenir un sourire, la situation lui est de plus en plus plaisante, elle sent elle-même la mouille couler de sa chatte et imbiber sa culotte. Elle reprend la petite culotte de Sophie, l’exhibe tel un trophée, l’inspecte et montre bien à Sophie à quel point elle est imbibée de son jus intime.

Menteuse, crie-t-elle alors, et ça, c’est quoi si ce n’est du jus de chatte ? et pas qu’un peut hein, c’est qu’on est généreuse.

Oui, murmure-t-elle alors.

« Je me suis branlée comme une salope et me suis fait jouir dans les toilettes, Madame. » Répète, ordonne la directrice.

Et Sophie répète le rouge aux joues.

Eh bien, si tu reprenais ton activité là ou je t’ai interrompue ce matin ?

Quoi ? Ah non je vous en prie !

Clac, clac, clac

Les claques pleuvent sur ses cuisses jusqu’à ce qu’elle s’écrie :

Je vais le faire, je vais le faire, arrêter !

Et Sophie, le cœur battant, morte de honte, glisse doucement ses doigts sur son sexe baillant, fait glisser la pulpe du doigt le long de ses lèvres, passe sur son clitoris, ne pouvant s’empêcher d’émettre alors un petit gémissement tant elle est excitée, ses doigts continuent à parcours son sexe, caressent son bouton, elle se mord la lèvre pour essayer de ne pas gémir, ferme les yeux de honte.

Madame Lafleur s’impatiente :

Allez, mets-y les doigts et dépêche-toi un peu, on n’a pas que ça à faire, j’ai une punition à reprendre.

Elle glisse deux doigts dans sa chatte, les agitent, les bruits mouillés remplissent la pièce accentuant sa honte, malgré elle, ses hanches s’agitent, comme muent d’une vie propre et indépendante de la volonté de Sophie, elle ondule sous le plaisir montant, son bassin fait des petits mouvements à la rencontre de ses doigts, elle sent le plaisir monter, monter, …

Elle se rappelle que sa directrice est en train de l’observer, le nez littéralement dans sa chatte, elle essaye de refouler cette idée, et pourtant, bizarrement, cette idée l’excite terriblement. Elle y revient, y repense, le plaisir se développe, elle gémit plus fort mais son plaisir est stoppé lorsqu’elle entend sa directrice :

Allez ma fille, ça vient !

Elle est à nouveau morte de honte, une claque sur sa cuisse lui rappelle qu’elle doit s’activer à se donner du plaisir, elle poursuis ses caresses alors que Mme la directrice se mets à lui palper les seins, étirer ses tétons qui pointent à en devenir douloureux, encore cinq bonnes minutes et elle connaît un orgasme comme jamais auparavant.

Elle se sent particulièrement honteuse, d’autant plus que Mme Lafleur à entrepris de lui essuyer les cuisses et la chatte de toute sa mouille avec des Kleenex, elle se laisse faire comme un bébé à qui on se préparerait à mettre une couche. Cette idée qui lui traverse l’esprit lui fait piquer un nouveau fard, elle sent ses joues brûlantes mais se laisse faire.

Maintenant les doigts de Mme Lafleur caresse l’intérieur de ses cuisses, viennent effleurer son sexe, tourne autour sans le toucher, elle ondule spontanément du bassin sous les caresses, elle sent un doigt effleurer son clito, elle se raidit d’un coup, les reins creusés, les doigts poursuivent leur exploration, pénètre à nouveau sa chatte. Sophie se sent immédiatement mouiller à nouveau. Les doigts s’activent, pénètre la chatte, jouent avec ses lèvres intimes, remontent titiller le clito, provoquant chaque fois comme une décharge électrique.

Puis elle sent quelque chose d’autre, une sensation inconnue mais tellement voluptueuse, elle ouvre les yeux et n’en crois pas ses yeux, Mme Lafleur est penchée sur sa chatte, en train de laper son intimité comme un petit chat qui laperait son lait. Elle se sent sale, se dit que c’est contre nature, tente de la repousser de ses deux mains, deux claques et elle se laisse faire, tant cette caresse inconnue lui procure un plaisir tellement fort. Elle gémit de plus en plus fort, la langue de Mme la directrice parcourt ses lèvres intimes, pénètres sa chatte, vient lécher le clitoris, ses poings se ferme, elle agrippe ce qu’elle trouve qu’elle serre dans sa main sous l’intense jouissance qu’elle sent monter en elle. Elle sent la mouille dégouliner à profusion sur ses cuisses, elle se cabre en poussant un cri rauque quand la bouche visiteuse se met à suçoter son clito, le pince entre les lèvres, elle se tortille, sa main vient caresser machinalement les cheveux de sa patronne. Ses gémissements deviennent des cris, elle se laisse aller à un orgasme foudroyant, elle est secouée de spasme, toute surprise de ce qui vient de lui arriver. Jamais personne ne l’avait léchée « là ».

Bon, j’espère que maintenant tu es débarrassée de tes vilaines pensées et de ton stress sexuel, la punition va pouvoir devenir une vraie punition. Tu veux que je t’accorde cinq minutes de pause avant de poursuivre ?

Elle ne répond pas, se contentant de la regarder avec des yeux vides.

Je t’ai promis une punition exemplaire et c’est ce que tu vas recevoir ma petite fille, en attendant va donc reprendre tes esprits au coin, les mains sur la tête.

Comme la jeune fille se relève et s’éloigne, une claque sur les fesses l’accompagne.

Elle se retrouve au coin, les fesses chaudes mais nettement moins douloureuses. Elle est dégrisée et se sent honteuse. Elle sent à nouveau le regard de sa patronne matant son cul. Elle tourne la tête pour vérifier.

Le nez collé au mur c’est compris ? Ou je dois faire usage de la ceinture ?

Non, madame, répond Sophie reprenant bien vite sa position.

Après une dizaine de minute, Mme Lafleur revient derrière Sophie, masse ses fesses bien rebondie, arrachant des petites plaintes à Sophie.

Tu m’as l’air bien douillette, ma petite.

Ça fait mal madame’’

Remarque, c’est un peu le but de la fessée hein. Bon si tu veux je pourrais te proposer de te corriger en deux fois, la suite de ta fessée dans… Disons une semaine, tu préférerais ?

Oh, oui madame, s’il vous plaît.

Ce faisant, la main de Madame continuait à s’occuper de son arrière-train, s’infiltrait à nouveau entre ses cuisses, elle se sentait à nouveau prête à ‘’partir’’ et ondulait de la croupe.

Cependant, il y a quand même une contrepartie.

Une contrepartie ?

Hum hum, suis-moi.

Elle suit sa patronne qui retourne s’asseoir derrière son bureau.

La directrice surprend son regards, posé sur ses vêtements bien empilés sur le bureau.

Non non, pas encore, déclare la directrice, je consens à achever ta punition la semaine prochaine seulement si je suis satisfaite de tes services.

Mes services ? balbutie Sophie.

A genoux ma petite fille et passe donc là-dessous, déclare la directrice, pointant le dessous de son bureau du doigt.

Sophie se met à genoux, elle craint comprendre ou sa directrice veut l’amener, elle se retrouve au pied de sa directrice, nue et à genoux. Cette dernière relève sa jupe complètement avant d’ordonner à Sophie :

Enlève ma culotte tu veux bien ?

Sophie s’exécute, craignant la suite, qui ne tarde pas, Mme la directrice écarte grand les cuisses, pointe sa chatte poilue d’un index autoritaire et ordonne :

Broute.

Sophie est déboussolée, jamais elle n’a eu de relation avec une autre femme, si ce n’est lorsque sa patronne l’a léchée un peu plus tôt. Lécher la fente de sa patronne la dégoutte, elle recule.

Tu veux que je prenne la ceinture et que je m’occupe de ton cul ?

Non, s’il vous plaît, je ne veux pas, je n’aime pas…

Tu as déjà bouffé une chatte ma petite ?

Non.

Donc tu ne peux pas savoir si tu aimes ou non, allez, assez de comédie, dépêche-toi ou ça va aller mal.

Sophie se demande ce qui pourrait bien aller plus mal, mais lorsque sa patronne prend la ceinture en main et lui ordonne de se relever et de se pencher en avant sur le bureau, les fesses bien relevées en arrière, elle prend peur et promets de la faire. Mais trop tard, elle n’échappera pas à 10 coups de ceinture fermement appliqué sur son postérieur avant de se remettre à genoux et de s’avancer docilement vers l’entrecuisse patronale.

Mme Lafleur l’attrape alors par les cheveux et plaque son visage sur son entrejambe, n’écoutant plus les protestations étouffées de Sophie.

Sors ta langue, clame la directrice, tirant plus fort sur ses cheveux.

Sophie entreprend alors de satisfaire sa patronne, non sans dégoût, elle se mets à lécher les lèvres de sa vulve, elle vient donner des petits coups de langues sur le clitoris.

Allez, rentre ta langue, pénètre-moi de ta langue petite vicieuse.

Mme Lafleur avance son bassin, elle tient toujours Sophie par les cheveux et frotte vigoureusement son intimité contre le visage de Sophie, elle se masturbe littéralement sur son visage. Sophie sent la cyprine couler, son dégoût initial fait petit à petit place à de l’excitation. Elle respecte mieux les consignes de sa patronne, la pression sur ses cheveux, du coup, se détends, devient caresse.

Sophie est surprise de bientôt entendre sa patronne gémir et onduler du bassin sous ses caresses. Elle lèche maintenant voluptueusement cette chatte gorgée de sucs, elle s’en met plein les joues. Elle sent même une petite fierté quand elle finit par faire jouir Mme Lafleur, juste avec sa langue.

Elle est surprise quand Mme Lafleur ne la laisse pas sortir de sous son bureau, ne l’a-t-elle pas fait jouir comme elle le souhaitait ?

Mme Lafleur prends tout son temps, laisse sa nouvelle petite soumise mariner sous son bureau un moment avant de reculer son fauteuil et de l’autoriser à se relever. Une fois debout, elle doit rester les bras derrière le dos, subissant de nouvelles caresses de sa patronne, décidément peu encline à se passer de ses somptueuses fesses bien rondes et bien galbée.

Dis donc, avec un cul pareil ma fille, tu ferais bien de filer doux au bureau ; j’aurais vite fait de te courber cul nu sur mes genoux à la moindre faute, compris ?

Clac

Aie, oui Madame.

Les doigts s’insinuent à nouveau entre ses cuisses, trouvent à nouveau sa chatte trempée.

Eh bien dites donc, tu as un petit copain qui t’attends à la maison ?

Elle fait non de la tête.

Ben va falloir te débrouiller toute seule alors, parce que tu m’as l’air loin d’être rassasiée toi. Tu parles d’une vicieuse.

Elle montre ses vêtements en pile sur le bureau :

Je peux ? s’il vous plaît ?

Non non, pas encore, laisse-moi bien profiter de ce corps parfait. Tu vas gentiment m’attendre ici, à genoux sur mon fauteuil. Elle se lève et fait pivoter son fauteuil pour lui permettre de prendre place. Reste bien ainsi, à genoux et les mains derrière la tête.

Elle s’enfuit se nettoyer un peu dans les toilettes. Quand elle revient, elle lui ordonne de se remettre à genoux à ses pieds, puis elle lui tend sa culotte :

Tiens, puisque c’est toi qui me l’as enlevée, c’est toi qui va me la remettre, reculotte moi.

Sophie prend la culotte, la tends et fait passer un pied puis l’autre et fait remonter le long des cuisses et la remet en place.

Tiens, tu peux remettre ta jupe et ton chemisier. La culotte je la garde, ça fait partie de ta punition pour te branler comme une vicieuse au lieu de travailler.

Sophie rougit de nouveau et se rhabille, sa jupe est relativement courte, elle le fait remarquer à sa patronner en réclamant sa culotte, mais cette dernière reste inflexible.

Par contre, je vais te raccompagner.

(A suivre)

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  1. pervers le à
    pervers

    Tres bon mais fait peur… bravo!!

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