Je vais vous dire comment c’est arrivé. En fait, au confluent de deux états: l’envie qu’on peut avoir de quelqu’un, quelque chose qui s’était établi petit à petit, au fil de discussions qui avaient démarré sans doute par hasard et qui s’étaient prolongées, quelque chose était né, s’était établi, avait progressé entre nous jusqu’à l’évidence qu’on était attirés l’un vers l’autre, et qu’on avait envie d’aller vers autre chose, et la forte présence de ce lieu, où nous travaillions elle et moi. La ville dans laquelle nous habitions avait un patrimoine immobilier important, et elle avait signé un contrat de location avec l’organisme de mutuelle pour lequel nous travaillions. C’était une grande bâtisse en U, sur plusieurs étages, avec une multitude de niches et d’alcôves, d’autant plus protégées qu’elles bénéficiaient d’une végétation qui les masquait en partie. De la vigne, du lierre, des arbres qui plantés au sol, montaient à l’assaut des étages…Le bâtiment avait été rénové. Si les deux premiers étages étaient occupés justement par des bureaux, le troisième était inoccupé, offrant non seulement ces fameuses alcôves, mais aussi des pièces totalement désertées pour le moment.

On avait fait notre première rencontre justement là-haut. J’avais pris une pause d’une dizaine de minutes, j’étais monté, je m’étais calé dans une de ces alcôves, avec un café. J’avais été intrigué parce que je pensais être seul, et j’avais vu passer plusieurs nuages de fumée. Je m’étais levé, j’avais avancé sur le côté. Posée là, fine et délicate, une jolie brune tirait sur une cigarette. J’ai eu le temps, en quelques secondes, d’admirer sa beauté. Une longue chevelure brillante de vie, une silhouette fine, une jupe qui dévoilait très haut des jambes vraiment bien dessinées, gainées de nylon, mises en évidence par une jupe qui courte certainement à l’origine, était encore remontée quand elle s’était assise, elle avait beaucoup de grâce.

–J’essaie d’arrêter, elle m’a dit. J’y suis presque arrivé. Mais il me faut encore une cigarette le matin et une autre l’après-midi…Bientôt ca sera fini, j’arrête tout.

–Mais je n’ai absolument aucune critique à vous faire. Moi j’ai du mal à me passer de café, et je ne cherche pas à arrêter. Je peux vous tenir compagnie deux minutes? Chacun avec son vice…

Je crois bien qu’elle m’a plu dès la première seconde. Elle avait un corps fin, délicat, et quelque chose d’infiniment gracieux. Elle m’a souri, et on a fini nos drogues respectives, elle sa cigarette, moi mon café.

–Je m’appelle Vanessa. Je travaille au service événements.

–Dylan. Moi je gère la partie contentieux. Bon, faut y aller.

Ca a été au moment où la pause touchait à sa fin que mon regard a glissé le long de ses jambes Parce que la jupe était courte, avait remonté, et qu’installée sur le banc, elle avait bougé et ouvert les cuisses, je me suis rendu compte qu’elle portait un collant et que sous ce collant, elle n’avait rien d’autre. J’ai aperçu le trait qui coupait son sexe en deux, une simple fente. Ca m’a troublé.

Ca s’est passé en même temps. Notre rencontre et la découverte des lieux. Le lendemain, je suis remonté pour boire un café, en milieu d’après-midi. Est-ce que je pensais la revoir? Je m’étais dit que c’était un hasard. Tout le monde s’éparpillait pour faire des pauses, et il n’y avait pas grand monde qui montait ici. C’était totalement vide, et ça faisait fuir les gens, un aspect un rien désolé auquel beaucoup préféraient le vaste jardin entretenu qui entourait la bâtisse…C’était d’ailleurs pour ça que j’étais monté, pour être tranquille.

J’avançais le long des rampes de fer forgé qui délimitaient la terrasse et empêchaient de tomber. Le bâtiment me faisait un peu penser aux maisons traditionnelles de Louisiane. Il avait pas mal de charme. Je commençais à apprécier cet étage, et sa différence d’avec le reste de l’immeuble. Il suffisait de monter d’un étage pour basculer dans un autre monde. Il y avait quelque chose de profondément paisible ici.

J’ai senti une odeur de tabac, et je me suis retourné. Elle se tenait devant moi, séduisante et éclatante de beauté. Elle m’a souri. Le tailleur de la veille avait été remplacé par une robe toute simple, qui soulignait sa silhouette fine, Elle était plus grande, et plus élancée, parce qu’elle avait des escarpins avec des talons fins et hauts.

–Le hasard fait bien les choses. On pourrait se donner rendez-vous tous les après-midis ici et passer un petit moment ensemble.

Je l’avais crue vraiment très sage. Je m’étais sans doute trompé. On s’est posés dans une autre alcôve, sur ces bancs en pierre qui y étaient installés. Elle a tiré sur sa cigarette, a recraché une bouffée, avant de me dire:

–Aujourd’hui j’ai mis une petite culotte. Ca semblait te plaire hier que je n’aie rien sous mon collant, aujourd’hui le paysage est différent. Tu veux jeter un coup d’ oeil?

N’attendant même pas ma réponse, elle a écarté les jambes pour me laisser voir effectivement un triangle blanc, tendu par le renflement de son sexe.

–Mais on peut quand même jeter un coup d’oeil en dessous, si ça te fait plaisir.

Elle a écarté le tissu, pour me laisser voir son sexe. Un aspect différent de la veille, avec deux bouts de lèvre sortis. De son autre main, elle a glissé son majeur et son index en elle et elle s’est entrouverte quelques secondes, me laissant voir ses muqueuses internes.

–Tu y penseras ce soir, et ça te donnera une motivation pour remonter me voir demain.

Elle s’est éloignée, avançant le long de la passerelle. Je la regardais s’éloigner, rassuré qu’on ait maintenant un rendez-vous régulier. Mais il y avait quelque chose qui m’intriguait depuis que j’étais remontée ici. Je me suis retourné…On aurait dit…C’était curieux…Que le prolongement du balcon avait pris une autre dimension.

Je me suis avancé dans la direction opposée à la sienne. Ca a été curieux, parce qu’il y a eu un moment où j’ai eu le sentiment très net d’un glissement, une impression de chaleur et que je passais sur autre chose…Et le lieu qui se déroulait devant moi, alors que j’avançais, était à la fois semblable et autre. Ca tenait à des détails, mais des détails d’importance. La végétation était plus abondante, les alcoves plus grandes et les pièces plus grandes. Qui plus est, elles étaient meublées en pièces habitables. C’était difficilement croyable, parce que j’avais déjà fait le tour des lieux, et je n’avais rien vu auparavant. Surtout l’avancée ne semblait pas avoir de fin.

Je suis revenu sur mes pas, troublé.

J’y ai repensé le soir. Hanté à la fois par la fille, qui m’avait soufflé son prénom, Anne, et par ces lieux. Je vivais une vie de morne routine, seul, et je trouvais sur ma route cette fille magnifique, pas farouche, qu m’offrait une vue imprenable sur son corps…Un coup de chance? Ca arrivait parfois.

Et puis il y avait ce prolongement. Etrange…Un phénomène que je ne pouvais pas m’expliquer. Avant de partir, j’étais remonté. Il n’y avait plus rien.

J’ai repensé à l’étrange bien-être que j’ai pu éprouver lorsque j’avançais dans ce couloir. J’avais pensé qu’ici je serais bien. Un sentiment de paix, de tranquillité. Ce n’était pas que j ‘étais malheureux. Ma vie était morne. Et je n’éprouvais pas la félicité que j’avais semblé toucher du doigt en ces lieux.

Le lendemain, je suis monté plus tôt. J’ai avancé vers le fond de la terrasse, et il s’est produit la même chose. Le prolongement était infini. Personne, mais des lieux chaleureux, au propre comme au figuré, à l’image de cette pièce où un immense feu de cheminée allumé éclairait une salle à manger très classique.

Il n’y avait absolument personne ici.

C’est ce jour-là que l’idée m’est venue pour la première fois. Que je serais bien ici. En paix avec moi-même et le monde, dans la sérénité.

Je me suis retourné. Elle m’avait rejoint.

–C’est beau ici, non?

Elle connaissait aussi le lieu. Ce qui était étrange, c’était qu’il avait aussi un effet sur elle, un impact sur elle. Je l’avais trouvée magnifique dès la première minute. Mais là…Elle étincelait littéralement…Il y avait quelque chose d’irrésistible en elle.

–On est bien, ici, tu ne trouves pas ?

J’allais lui demander comment ça se faisait que ce lieu puisse être visible à certains moments, et à d’autres non, comment il était possible qu’il y ait ce développement quasi infini d’une bâtisse pourtant limitée par son architecture…Mais je n’ai rien dit. Je sentais qu’il y avait quelque chose ici qui ne pouvait être défini par des mots. Et qu’elle était parfaitement consciente de ce qui se passait, même si sans doute, elle n’aurait pas non plus pu mettre des mots dessus.

–Viens on va se poser là.

Elle s’est installée dans une alcôve, sur un banc. J’éprouvais une sensation de bien-être extraordinaire. Et aussi l’évidence d’être loin de ma vie de tous les jours. J’avais l’impression qu’elle se dissolvait jusqu’à ne plus exister.

Elle avait une très jolie robe, somptueuse et épaisse, en velours, bleu, qui lui arrivait aux chevilles. J’ai pensé un instant que ce serait frustrant de ne pas voir ses jambes et son ventre. Je me trompais totalement. Elle s’est penchée pour, dans un geste gracieux, relever la robe. Une forme de strip-tease, et j’ai compris comment celui-ci pouvait être troublant. Elle a dévoilé ses longues jambes, gainées de bas stay-up, et son absence de culotte. Elle s’est laissée tomber sur le banc, et, tenant la robe haut pour éviter qu’elle ne retombe, elle a écarté ses jambes fines.

–Si tu venais poser ta langue et ta bouche sur mon sexe? J’ai envie que tu me donnes du plaisir.

Et effectivement, la morphologie de sa chatte disait clairement son excitation et son envie, en contraste total avec la simple fente, totalement close, que j’avais pu voir le premier jour. Elle avait les lèvres sorties, étalées hors d’elle, fines et longues, on voyait son intérieur tout rose, et son gland clitoridien pointait, décalotté, en haut de ses lèvres.

Je suis venu me caler devant elle et j’ai plongé sur son sexe de la langue. Ca faisait longtemps que je n’avais pas fait un cunni à une fille, mais c’est le genre de chose qu’on n’oublie pas. Ca revient vite, moins avec la force de l’expérience que celle de l’instinct. Ma langue sur ses lèvres, ses liquides intimes ont coulé dans ma bouche, me remplissant d’une saveur subtile. Je me suis efforcé de donner le meilleur de moi-même, travaillant ses chairs en m’efforçant de tourner, de casser l’habitude et d’apporter la surprise. Vu ses réactions, ses jus toujours plus abondants, ses lèvres et son gland clitoridien qui gonflaient, je me suis dit qu’elle éprouvait du plaisir. Moi, pour soulager la tension qui m’habitait, j’avais sorti ma queue de mon pantalon, et je la caressais, aussi excité qu’elle. Sensible à la qualité de ce moment. J’éprouvais un sentiment de plénitude que j’avais rarement éprouvé, ma vie la plus commune et la plus habituelle me semblant tellement loin. J’ai pensé, pour la première fois que ce serait bien de rester ici pour toujours.

Elle s’est mise à jouir, criant, le ventre agité de spasmes, éjaculant des jets de liquide intime en même temps qu’à bout de la tension qui était en moi, je crachais ma semence, me vidant comme si je n’avais pas joui depuis des mois. Ce qui était le cas.

Elle m’a guidé, en pénétrant dans une des pièces, dans un labyrinthe, où on pouvait aller dans des couloirs, des escaliers, d’une pièce à l’autre, un univers qui m’a semblé infini, et où, cependant, on pouvait parfaitement s’orienter, elle en tout cas, puisqu’on s’est retrouvés sur la terrasse et que nous sommes revenus sur nos pas. Avec toujours cette sensation de passage d’un univers à l’autre.

Il m’avait semblé que ce moment avait duré des heures, et pourtant, il tenait dans les dix minutes de pause.

Le pli était pris, et les jours qui ont suivi se ressemblaient et étaient en même temps totalement différents. On se retrouvait pour ce moment court, mais qui, une fois la limite passée, était une éternité et nous donnait tout notre temps. Il y avait ces moments de sexe avec elle, sans tabou, sans limite, le lendemain de ce simple cunni, elle était venue se poser sur moi, et elle avait fait rentrer ma queue en elle, et m’avait chevauché, nous donnant du plaisir à tous les deux. Il y avait ensuite les balades dans ce lieu immense.

C’était une partenaire parfaite, chaleureuse, souriante, intelligente, sans problème, et qui m’offrait son corps ou entamait des techniques pour donner du plaisir comme je n’en avais que rarement connu jusqu’alors.

Je ne vivais plus que pour ce moment. Ces moments. Et ce lieu, cette fille, s’imposaient dans mon esprit alors que ma vie de tous les jours devenaient de plus en plus floue, inconsistante.

Il est donc arrivé le moment où elle m’a dit:

–Tu ne crois pas que ce serait bien si toi et moi on restait ici pour toujours. Pour l’éternité même. Tu serais avec moi. On n’aurait plus de soucis.

C’était quelque chose d’assez inimaginable. Et pourtant ca me semblait une option plus que tentante. Etre ici avec elle, dans ce labyrinthe…Ce serait bien mieux que tout ce que j’avais pu vivre jusqu’alors. Une volupté et un bien-être constants.

J’étais tenté de dire oui. Je concevais bien qu’on était dans une irrationalité quasi absolue, mais ça ne me posait pas problème. Je laisserais du monde derrière moi, ma famille,des amis, mais je m’en fichais bien. J’avais trouvé un havre de paix.

On avait une petite cafétéria installée au rez-de-chaussée et le matin, quand j’arrivais, je prenais un café avec un pote, qui avait fait une licence en droit avec moi, que j’avais perdu de vue et retrouvé ici…On s’était toujours bien entendus. C’était un gars sans histoires. Un matin, je lui ai dit:

–Tu ne trouves pas qu’elle est belle, la fille chargée de la com?

Il m’a regardé bizarrement, sans me répondre.

C’est le lendemain qu’il m’a demandé, en me montrant une photo:

–Elle ne ressemble pas à ça, des fois?

C’était une grande photo en N/B…Et le portrait craché de la jeune et jolie brune que je rejoignais tous les après-midis. On voyait bien pourtant à son grain, sa qualité, que la photo n’était pas récente.

–Elle est morte en 1987. A l’époque, ici, c’était un complexe hôtelier. C’était la fille du patron. On l’a retrouvée noyée dans la piscine. Elle avait trop bu, elle est tombée à l’eau, elle n’a pas pu remonter. Alors explique-moi comment tu peux la voir tous les après-midis. Et tu sais qu’il y a une rumeur qui traîne depuis cette époque autour de ce lieu. Raison pour laquelle tous ceux qui l’ont loué ou acheté pour monter un projet l’ont revendu. Une très belle jeune femme qui apparaît et tente de séduire un homme.

C’est l’après-midi, on était ensemble, et elle me donnait du plaisir, que tout s’est fragmenté. Elle avait sorti ma queue de mon pantalon, l’avait longuement caressée, la prenant dans sa bouche, venant sur mes couilles, avant de poser sa langue sur ma muqueuse anale. C’était la première fois qu’une fille me faisait ça. Dans l’aventure, j’aurais au moins découvert quelque chose, qu’on pouvait éprouver du plaisir par le cul. Elle a continué de me caresser de la langue,en même temps qu’elle me masturbait, d’un mouvement efficace. Le plaisir est venu très vite, et j’ai balancé ma semence dans les airs et sur elle en criant.

–Tu vois, elle m’a dit, un peu plus tard, si on restait ensemble ici, les moments de plaisir comme celui là, ce serait constamment.

Ce qui était curieux, c’était que ma pause durait toujours dix minutes, mais, durant ces dix minutes, dans l’univers parallèle, le temps s’allongeait.

La fiction selon laquelle elle était employée ici tenait de moins en moins. Clairement, elle appartenait à ce monde, et elle voulait m’y attirer. Pourquoi? Pour combler sa solitude? Et j’y pensais de plus en plus fort. La félicité éternelle, l’absence de soucis, les plaisirs du sexe…

Le lendemain matin, peut-être parce qu’il sentait les choses, Frank, mon pote m’a dit:

–On n’a peut-être pas des vies extraordinaires, mais on a quand même de bons moments…Comme toi et moi entrain de boire de café au petit matin…Dans la vie il y a beaucoup de bons moments, on ne sait pas forcément les voir…Penses-y…

Je l’ai revue, l’après-midi. Une fois de plus. Son sexe autour du mien, son corps bougeant sur le mien. Il y a des moments qui sont très forts…J’en vivais un…Elle a resserré ses muscles vaginaux autour de ma queue et a accéléré le rythme…J’ai hurlé en jouissant, crachant tout mon sperme avec l’impression qu’elle m’essorait totalement.

Elle était sombre, et il y avait de la colère en elle, quand elle m’a dit:

–Tu veux partir, n’est-ce pas? Tu vas me laisser seule…

–Je crois que ma place n’est pas ici…

Elle a poussé une sorte de hurlement déchirant, quelque chose de pas humain. Mais elle n’était pas humaine. Je me suis écarté, effrayé…Son apparence s’est dissoute, laissant place à quelque chose d’indéfinissable, d’ hideux, mais, qui, sans aucun doute, n’était pas humain. Je suis parti en arrière, avec la peur de me retrouver prisonnier ici. J’ai couru, terrifié. J’ai senti que je passais la barrière invisible, et je me suis retrouvé au bout du balcon. J’ai regardé derrière moi. Tout avait repris ses dimensions et son image habituelle.

C’était fini, j’en étais convaincu.

Le lendemain matin, j’ai pris mon café avec Frank, comme d’habitude.

–Tu avais raison, je lui ai dit. La vie est chouette, on se sait pas suffisamment l’apprécier.

Lucia est venue se poser près de nous. Elle était au service compta, blonde, charnue toujours souriante. Elle n’avait rien des charmes de la brune qui m’avait attiré dans ses rets. Mais elle, elle était bien réelle.

–J’ai deux tickets pour le festival métal de ce soir, malheureusement la copine qui devait m’accompagner m’a fait faux bond. Est-ce que l’un d’entre vous serait tenté de venir avec moi?

–Je suis sûr que Paul sera enchanté de t’accompagner. Il adore le métal.

Oui, la vie pouvait amener pas mal de satisfactions. Il suffisait de regarder autour de soi.

 

 

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  1. Assas le à
    Assas

    La première fois que j’ai lu une de vos histoires , j’ai été surpris par ce mélange subtil entre réalité et …
    Maintenant , à chaque fois que je commence la lecture d’une nouvelle histoire, je sais qu’il va y avoir ce mélange, et j’attends ce moment si particulier.
    Bravo. J’espère qu’il y en aura encore beaucoup
    Assas

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