Thibault avait vécu des événements difficiles ces dernières semaines – l’éloignement d’une ville qu’il avait toujours connue et surtout, la perte d’un être très cher – et avait besoin de s’isoler, de prendre de la distance avec son entourage qui ne pouvait comprendre ce qu’il traversait. Et pourtant, en lui, se nichait cette soif de l’essentiel, de vivre à fond le moment présent, le besoin de s’enivrer des plaisirs de la vie avant qu’il ne soit trop tard.

Éros et Thanatos. Vivre et aimer passionnément. Ce soir du 08 Décembre, pour son anniversaire, l’appel de la chair fut entendu.

Ses deux compagnes, Gaëlle et Célia, lui avaient réservé une surprise. Elles avaient soigné l’ambiance : dîner aux chandelles, Waldeck en fond sonore, tenues élégantes laissant deviner leurs formes sexy. Elles ne voulaient que son bien, pour leur plus grand plaisir ! Le repas, jusque là intime, se fit plus coquin au dessert. Elles mangeaient des grappes de raisin, détachant chaque fruit par un jeu de langue savamment manié, érotisant ! L’excitation et le désir montaient entre eux petit à petit, promesse d’une nuit intense…

Le repas terminé, Gaëlle et Célia prirent les choses en main et en bouche. Lui, assis dans le canapé, était le voyeur actif de leurs déhanchés et effeuillages lascifs. Elles se caressaient, se déshabillant, leurs mains et langues explorant chaque parcelle de leur peau. Leurs seins se dressaient, leur dos se cambraient. Nues, elles se rapprochèrent de Thibault. Une bosse sous son pantalon laissait présager de son excitation. Et tandis qu’elles continuaient de se toucher, il les caressait, explorant à son tour la moindre de leur courbes et leur chattes mouillées de désir. À leur demande, Thibault se leva et se laissa déshabiller, lentement, minutieusement. Les caresses étaient furtives, suffisantes pour l’exciter et le frustrer à la fois. Une sourde violence bouillonnait en lui.

Éros et Thanatos. Apprécier ce lap-dance et vouloir les posséder là, tout de suite, et les entendre crier et gémir sous ses doigts. Nu, il était offert, son sexe dressé et dur attendant son dû. Elles étaient soumises à son désir et dans un dernier baiser, il leur intima de le prendre. Gaëlle titilla de sa langue son gland, la hampe avant de revenir en une longue caresse et de le prendre en bouche. Thibault sentit une vague de plaisir l’envahir en sentant cette chaleur, ces pressions autour de sa queue. Célia s’était glissée sous sa compagne de jeu. Elle pouvait ainsi jouer avec les bourses de l’homme à ces côtés, les flattant de la main ou les gobant l’une après l’autre comme deux friandises. Elle pouvait aussi jouer en alternance avec les seins de Gaëlle, les empaumant ou les léchant pour en faire dresser les pointes. Thibault renversait le tête en arrière en fermant les yeux, soupirant d’aise… Éros. Les caresses étaient plus présentes, les rythmes et les pressions variaient. Son corps s’électrisait, se dressait chaque fois un peu plus de sa puissance de mâle, animal… De la main, il guidait leur tête, voulant être pris au plus profond. Les posséder. Les sentir… Thanatos.

Elles se relevèrent, nues contre lui. Gaëlle caressant toujours son membre dressé, tandis que Célia lui parcourait le dos, le torse. Et Thibault recevait cet appel de la chair, le besoin de vivre et de ressentir plus intensément encore. Il les caressait. Il fouillait de ses doigts leur chattes qui mouillaient chaque fois un peu plus de se sentir prises ainsi. Il s’agenouilla à son tour pour les lécher, sentir ce liquide sucré glisser sur sa langue, leurs contractions de plaisir tandis qu’il les fouillait.

Ce n’était que râles de plaisir et montées de l’excitation. Ils en voulaient chaque fois davantage et le jeu de cette nuit ne faisait que commencer…

Ils se dirigèrent vers la chambre. Les caresses continuèrent un moment mais Thibault sentait en lui cette colère, la peine de ces derniers jours. Il voulait les posséder, griffer, mordre. Être animal. Alors il les bascula sur le lit, sans ménagement. Elles s’offraient à lui.

Alors, puissamment, il pénétra Gaëlle qui se cambrait sous ses assauts, gémissant de plaisir. Il la maintenait par les hanches, assurant sa possession sur ce corps qu’il connaissait si bien et redécouvrait à chaque fois. Célia était lovée contre Gaëlle, excitée de la voir ainsi. Elle lui caressait les seins, le ventre, le clitoris tout en se masturbant. Elle sentait son fluide sur ces doigts, une odeur de plaisir se dégageait de son corps brûlant. Thibault le sentait et cela augmentait son désir, son besoin animal de les prendre encore et encore jusqu’à n’en plus pouvoir, jusqu’à ce qu’elles crient grâce. Alors, ce fut au tour de Célia de succomber sous ces assauts. Agenouillée sur le lit, cambrée, elle tendait son cul vers Thibault. Elle le suppliait de la prendre là, maintenant, elle voulait sentir sa queue en elle. Alors il la prit en levrette. Il s’enfonçait toujours plus profondément en elle. A chaque coup de rein, son pubis butait contre ses fesses qu’il aimait saisir et gifler. Et Gaëlle regardait Thibault baiser leur compagne. Elle voyait leur plaisir, elle ressentait sa puissance et cela l’excitait. Sa main se dirigeait vers sa chatte, ses doigts s’enfonçant dans son intimité aux rythmes des va-et-vient de Thibault. Mais cela ne lui suffisait qu’à peine. Alors, elle se rapprocha de Célia, caressant son dos, ses seins, l’embrassant. S’allongeant, elle lui intima de la lécher. Et Célia se pencha vers elle, soumise, fouillant de sa langue l’intimité de sa compagne. Et Thibault accentua sa prise.Il les avait à sa merci, tout à sa volonté de satisfaire ses envies.

Les masturbations, les assauts se firent plus puissants encore. Les souffles s’accéléraient. Les gémissements devenaient des cris de plaisir. Et dans râle, ils jouirent ensemble. Le foutre de Thibault gicla sur leur peau trempée d’excitation. Alors, elles le reprirent en bouche pour le goûter jusqu’à la dernière goutte. Et dans une dernière caresse, leurs souffles se calmèrent.

Mais le jeu de cette nuit ne faisait que commencer et d’autres surprises attendaient Thibault…

 

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  1. Alfonce le à
    Alfonce

    Apparemment, il y a des femmes qui produisent de la mouille sucrée.
    Si on se débrouille bien, il est possible de choisir sa femme en gouttant sa mouille, pour voir si le parfum plaît.
    On pourrait préparer des flacons appelés Rosée de Parfum pour en sentir plusieurs d’un coup.

  2. Vanda le à
    Vanda

    @Alfonce :
    il y a une odeur de mouille « naturelle », tout comme pour le sperme…et dans un cas comme dans l’autre, cela peut aussi (souvent) être modifié par l’alimentation, le tabac… Choisir sa femme en fonction de sa mouille, n’est-ce pas un peu réduire toutes les possibilités du plaisir à une seule ? Ceci dit, cette recherche va permettre des moments forts coquins pour l’un comme pour l’autre et personne ne pourra s’en plaindre…

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