LAURE , avant les vacances – Episode 7
bisexualitéen familleexhibition et voyeurismelibertinagesoumission et domination
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Pour ceux qui n’ont pas lu, les épisodes précédents « Laure …………. ».
Les épisodes sont indépendants mais les lire dans l’ordre permet de mieux comprendre le parcours de Laure.
Laure 38 ans propose à une amie, la mère d’Antoine 23 ans de l’accueillir chez elle pour lui faciliter ses études en contrepartie d’une aide scolaire à sa fille Claire 16 ans. Très vite Antoine est séduit par cette quadra et Laure craque pour lui. Antoine convaincu des envies refoulées et des fantasmes de Laure décide de lui faire abandonner ses principes et de lui faire connaître des plaisirs inconnus.
Dans les épisodes précédents (n°5 et 6) Laure retrouve Sophie, une amie dominatrice, pour un séjour de plusieurs jours chez elle et Alain, son mari, soumis. Sophie l’entraine un peu plus loin dans sa soumission avec la complicité d Antoine, son compagnon. Antoine en profite pour punir Laure pour le port d’une petite culotte interdit en toutes circonstances.
C’est la 1ère nuit de Claire à la maison après son retour provisoire de vacances. Nous allons nous coucher après avoir fini la soirée à la lueur des bougies dans le jardin. Notre chambre est située à côté de celle de sa fille, et nous allons devoir rester chaste ce soir, Laure ayant toujours le plaisir très bruyant.
– Bonne nuit maman, nous lance Claire avec un sourire malicieux. Ne soyez pas trop bruyant. Je réponds par un rire, mais sa mère est un peu surprise par son « bonsoir ».
Couchés dans les bras l’un de l’autre, je chuchote à Laure, que nous allons devoir être chaste pendant les 3 nuits à venir avant que Claire ne reparte en vacances chez sa meilleure amie. Laure n’est pas enchantée.
– Sois prudente sur tes tenues, cette après midi avec la petite robe à fleurs, c’était limite et 2 ou 3 fois, ton absence de culotte était très visible, c’est pourquoi je t’ai conseillé d’aller mettre un short en prenant pour raison la chaleur. Et demain reste en short à la maison et si vous sortez faire du shopping met une petite culotte. Tu as la clé du sac à culottes, tu la gardes. Ta fille est plus délurée que tu crois, mais quand même.
Le lendemain matin, nous prenons le petit déjeuner alors que Claire dors encore. Laure est en kimono ras des fesses, nue en dessous.
Laure me propose d’aller de nous installer dans mon ancienne chambre au rez de chaussée lorsque que nous ne partagions le même lit.
– Pour notre intimité, ce sera toujours mieux et après les vacances, on réorganisera la maison.
– Bonne idée, fais aussi attention avec ce kimono, les marques de la cravache même atténuées sont légèrement visibles et ta fille n’a pas ses yeux dans sa poche.
Réveillée, sa fille entre dans la cuisine pour son petit déjeuner alors que suis sur le départ.
– Bonjour, lance t elle, vous avez bien dormi. Vous avez été drôlement silencieux hier soir. C’est à cause de moi ? Le ton est gentil et ironique, nous esquivons en souriant.
Quand je rentre de l’hôpital, Laure me glisse à l’oreille qu’elle a plein de choses à me dire, et profitant que Claire est encore dans le jardin au téléphone avec une amie, elle me raconte leur journée.
– Tu as raison Antoine, Claire n’est plus une enfant. A 16 ans, je ne m’étais pas aperçue qu’elle était devenue une jeune fille et j’ai presque envie de te dire une jeune femme, bien plus délurée que moi à son âge.
Ce matin, j’ai aménagé notre nouvelle chambre et cela l’a beaucoup amusée. Elle m’a dit que ce serait mieux pour nous avec un sourire qui en disait long et quand j’ai voulu lui répondre, elle m’a dit qu’elle avait 16 ans et qu’elle n’était pas aussi innocente que je croyais.
Après le déjeuner dans le jardin, Claire lui a proposé de bronzer dans le jardin. Elle est allée se changer pour revenir seins nus et avec un mini string qui ne cachait pas grand chose et surtout pas la forme de sa fente.
– Ca ne te dérange pas Maman si je bronze seins nus, j’ai vu tu ne portais plus de soutien gorge y compris quand tu es venue à la gare. Et tes jupes ont bien raccourcies. Joli aussi le petit short, qui met tes formes en valeur. Tu es belle Maman, tu as bien raison. Antoine est un magicien, je ne te reconnais plus. Et en plus tu es plus cool, tu sembles apaisée.
– Oui Claire, tu as raison, c’est un magicien. Mais dis moi, tu n’as pas de marque de maillot ?
– Non, avec Sandrine et les amies on était seins nus.
Laure imite sa fille et n’a que son débardeur à enlever. Sa fille regarde sa mère bronzer et s’aperçoit que contrairement aux siens qui sont minuscules, sa mère a deux beaux tétons qui dardent au soleil. Derrière ses lunettes de soleil, Laure n’est pas dupe des regards insistants de sa fille, et à son tour la regarde différemment. Elle la trouve jolie avec de belles formes, plutôt 2 petites pommes que 2 poires et n’aperçoit pas de traces de maillot alors que celui qu’elle porte est minuscule.
Sa mère décide d’aller enlever son short pour mettre un maillot, mais la seule culotte disponible est dans le sac et c’est un shorty en dentelle très ajouré.
Devant le regard de sa fille, elle se sent obligée de lui dire qu’elle n’a plus de maillot à la mode et qu’elle a mis ce shorty sans chercher.
– Maman, ce shorty en dentelle te rend très sexy. On voit tout à travers. Je suis sûre qu’Antoine va apprécier en rentrant. J’aimerais bien faire un peu de shopping demain matin avec toi, et tu pourrais te trouver un nouveau maillot.
Laure accueille cette proposition avec joie.
– Mais dis moi Claire, c’est un nouveau maillot, je ne le connaissais pas.
– Oui maman, on a toutes achetées juste le bas le plus petit possible pour bronzer, enfin quand on en mettait un.
Laure est surprise, elle qui pensait sa fille très pudique. Tu as été sur une plage naturiste, lui demande sa mère
Avec un ton très naturel, elle lui répond qu’elles étaient entre copines, et qu’elles ont profité d’une plage naturiste familiale, et d’ajouter « c’était drôle de voir les garçons et les hommes avec leur truc qui se baladait entre les jambes, on s’amusait à les comparer ». Je t’ai dit ce matin, j’ai 16 ans et je ne suis plus une ado.
Laure est stupéfaite, et ne trouve rien à répondre qu’un sourire amusé.
Alors que Laure et Antoine disent bonsoir à Claire avant d’aller se coucher dans leur nouvelle chambre, Claire leur adresse une nouvelle pique,
– Bonne fin de soirée et bonne nuit. Je vous permets de faire un peu de bruit, mais pas trop !
Alors que Laure réagit en lui répondant en riant, « c’est quoi ça ? », Antoine éclate de rire.
A peine la porte de la fermée, Antoine projette sans violence Laure sur le lit, qui se retourne pour se mettre en position
d‘Andromaque.
– Depuis quand Soumise, tu proposes à ton Maître la suite de la soirée sans attendre que le Maître te donne l’ordre. Tu aurais du te mettre assise sur les talons face à ton Maître, la tête baissée en signe de respect et les mains derrière la tête pour offrir tes poires et tes tétines, les genoux écartés pour m’offrir ta fente. Cela mérite une fessée, ta fille étant là, ca attendra mais tu l’auras. Je voulais attendre septembre pour te dresser plus durement, mais je pense que allons commencer maintenant.
Antoine la fait attendre. La caresse sans chercher à l’exciter puis attrape ses deux tétines et les fait rouler dans ses doigts, lui assène de petites claques sur les seins et recommence à rouler les pointes devenues dures avant de les tirer. Laure serre les lèvres pour ne pas geindre. Il lui fait relever la tête pour avec l’ordre de le regarder et se penche pour l’embrasser et forcer ses lèvres.
– Soumise, tu mouilles ?
– Oui Maitre, répond Laure.
– Tu n’es qu’une chienne toujours prête à jouir.
– Oui Maitre, lui répond Laure et à vous servir.
– Retourne toi et mets toi en position d’Andromaque, je vais te lécher la chatte. Tu ne jouiras qu’avec ma permission
Laure sait qu’Antoine est capable de la faire jouir très rapidement, surtout s’il introduit ses doigts dans sa caverne, tellement elle est en manque au bout de 24 ou 48 heures. Si elle ne tient pas, elle sait aussi qu’il ajoutera une seconde punition. Elle aime de plus en plus ces punitions qui la font jouir.
Laure commence à jouir et après 2 cris lui plonge la tête dans l’oreiller pour étouffer un peu les cris suivants.
– Une 2ème punition, après demain quand nous serons seuls, tu peux t’attendre à une belle soirée.
Je vais te remplir la chatte avec la semence de ton Maitre. Tu peux jouir aussi fort, aussi longtemps et autant de fois que tu veux. Ta fille va découvrir le tempérament de sa mère.
Antoine n’a aucun mal à la pénétrer tellement elle est trempée, et commence à accélérer ses allers retours jusqu’à la pilonner. Au moment où Laure s’apprête à jouir, il ralentit jusqu’à presque s’arrêter, grognements de frustration de Laure. Puis il reprend son pilonnage jusqu’à à nouveau ralentir, elle est de plus en plus frustrée et ce sont des « nonnn, nonnnn » qui sortent de sa bouche, puis Antoine décide de l‘emmener jusqu’au bout. Ce sont cris et hurlements de jouissance pendant plus de 10 secondes. Antoine reste immobile en elle.
– J’ai honte Maître, j’avais dit que je ne voulais pas choquer ma fille, et je n’ai pas pu résister. Qu‘est ce qu’elle va penser de moi ?
– Elle te le dira demain matin sous forme d’une pique !! Qui me sera aussi destinée.
Elle t’a dit qu’elle te trouvait heureuse, sexy, plus cool, … Elle a 16 ans et est suffisamment libérée pour être seins nus et comparer la longueur des queues sur la plage naturiste. Je ne pense pas que tes cris la choquent. Qui te dit qu’elle est encore vierge, tu n’en sais rien. C’est une femme maintenant, elle n’arrête pas de te le dire depuis la gare. Crois là ! Demain en faisant du shopping, tu risques d‘être surprise par ses achats ou ses propositions pour les tiens.
Pour demain, je voulais te dire de te faire plaisir avec ta fille si tu trouves un haut ou un bas super sexy. J’aime quand les hommes et les femmes te regardent. Et si tu passes dans ta boutique de sous vêtements préférée, achète un maillot de bain haut et bas qui soit sexy et deux porte seins en dentelle. Je te les offre.
– N’oublie pas de prendre rendez vous chez ton esthéticienne pour après demain, quand Claire sera partie.
– Bonjour, vous avez bien dormi, nous demande Claire en arrivant dans la cuisine Vous devez être épuisés après cette fin de soirée un peu bruyante. Maman visiblement ça te réussi. Tu as l’air en pleine forme ce matin !
Dans la matinée, je reçois un sms de Laure pour me dire que tout va bien, et me proposer en photo sur elle deux porte seins en dentelle.
-Très excitant, je te les offre
– J’aurais encore plein de choses à te raconter ce soir.
C’est la dernière soirée avec Claire que sa mère va accompagner au train demain pour retrouver sa meilleure amie au bord de la mer.
Laure et Claire sont joyeuses. Laure a profité de ce moment « entre filles » pour la gâter.
Un appel téléphonique de cette meilleure amie et Laure en profite pour me raconter.
Claire a fait des choix sexy et de bon goût même si une jupe est ras des fesses et le haut ressemble à mon débardeur le plus ouvert. Mais c’est bien pour les vacances à la mer.
Ce qui m’a marqué le plus, c’est de la voir regarder les jolies filles de son âge et un peu plus âgées que l’on croisait.
– Tu sais, elle est à un âge où elle se cherche, et puis cela lui permet de voir ce qu’elles portent et ce qui est à la mode. Ne commence pas à te faire des idées.
– Oui, tu dois avoir raison. Mais aux regards, je ne suis pas si sûre. C’est dans le magasin de lingerie qu’elle m’a le plus surprise. Déjà, elle avait mis ce soir un string que je ne connaissais pas, et aucune trace blanche recto verso. Hier, elle m’a dit qu’elles avaient fait du naturisme avec ses amies et les petites culottes qu’elle a choisies sont vraiment sexy. Elle est épilée intégralement en plus, et pendant que j’essayais les porte seins, rideau ouvert, elle se promenait dans le magasin en string.
– Elle est juste bien dans sa peau et elle veut peut être te montrer qu’elle aussi est libérée.
Après le diner, pour le dernier soir je traine un peu avec Claire pour parler de son futur séjour chez sa meilleure amie qui vient de lui confirmer qu’une autre amie sera là. Elle est impatiente d’être demain soir. Quand je m’excuse du bruit d’hier soir, ça la fait rire et elle ajoute que ce sont les vacances et que nous pouvons aussi en profiter. Tu sais me dit elle, je suis heureuse pour Maman. Elle était si triste avant que vous vous aperceviez que vous vous aimiez, elle est transformée. Je peux partir tranquille, je sais que maman est heureuse. Moi aussi, j’espère que je trouverai un homme ou une femme ( !) qui me rende aussi heureuse. Heureusement qu’elle ne sait pas tout.
– Si tu as envie d’aller chez une amie un week end de temps en temps, si tes notes continuent à être au top, ça aidera. Tu peux compter sur moi pour continuer à t’aider. Le soir on continuera à travailler l’un à côté de l’autre.
Je laisse Claire nous dire bonsoir et monter dans sa chambre.
– Laure, tu montes dans la chambre, tu te mets en position d’Andromaque et tu mets sur tes yeux le bandeau qui est sur le lit. Tu m’attends pour t’offrir à ton Maître. Ta fille est totalement libérée et tes cris de chienne ne vont pas la choquer plus que ceux d’hier soir. Demain midi avant de partir à la gare, tu remets toutes tes culottes propres ou sales dans le sac, tu le fermes à clé et tu poses la clé sur mon bureau. Hormis tes culottes en cas de menstruation que je cacherai, je ne rouvrirai pas ce sac avant 3 mois. Cul nu pendant 3 mois même au travail, je vais te dresser à obéir et à devenir une bonne chienne soumise. Monte !
Laure ne pipe pas mot. Elle monte immédiatement et j’attends un bon quart d’heure avant de la rejoindre. J’aime la savoir en position d’attente
Je rentre sans dire un mot dans la chambre et je ne ferme pas la porte, je la laisse contre. Laure l’a remarqué mais elle ne bouge pas. Je vérifie le bandeau et vient flatter son dos comme avec un animal. Je passe la main par dessous pour caresser son ventre, l’intérieur de ses cuisses. Sans qu’elle s’y attende, je pince et tord ses tétons, Laure bouge et je continue jusqu’à la faire gémir.
Pas besoin de vérifier, sa chatte est liquide, je rentre deux doigts pour les enduire de liqueur et masser sa corolle anale. Son souffle s’accélère. Je reviens chercher de la liqueur et introduit un puis deux doigts. Son anus s’ouvre pour me laisser rentrer. Je fais de même avec ma queue, je vais la mouiller dans sa grotte et j’appuie sur son petit trou. Je recommence plusieurs fois jusqu’à la pénétrer a fond d’une seule fois. Un « hummmm » s’échappe de sa bouche. Après quelques secondes pour qu’elle s’habitue je commence mes allers retours de plus en plus fort sans m’occuper de ses réactions. Je ne m’occupe pas de son plaisir pour la 1ère fois. Je lui claque les fesses à chaque aller retour. J’entends sa respiration s’accélérer. Nous explosons ensemble. Des cris, et des cris…. Elle est toujours cambrée. Je me retire tout doucement avec un « ploc ».
Redresse toi, je vais te nettoyer, retire ton bandeau. Elle semble ne pas comprendre. Je lèche sa corolle qui coule, un mélange de sperme avec quelques imperfections. Cette pratique la choque.
– Tu m’appartiens, je veux que nous fassions qu’un. J’aime laper ta liqueur, j’aime nos goûts mélangés. Je ne veux plus de tabous entre nous. Tu m’offriras ta chatte quand elle sera rouge, et je te ferai jouir. Tu vas abandonner tes derniers tabous. Une femme magnifique totalement libérée, fière d’être soumise à son Maître, heureuse d’être dressée par Lui.
Je viens l’embrasser et elle m’ouvre sa bouche sans réticence.
Demain soir, tu seras fessée et fouettée, nous serons seul, tu pourras crier autant que tu veux. Je sais que d’ici là rien que d’y penser, tu seras excitée et mouillée
Après demain, à ton arrivée chez l’esthéticienne tu lui demanderas épilation recto verso complète sauf un petit triangle devant, avec la pointe orientée vers ta fente comme une soumise bien dressée qui s’offre à son Maître. Tu lui demanderas de laisser ouvert le rideau de la cabine à la vue des autres clientes. Si tu vois qu’elle se pose des questions à propos des marques sur tes fesses, tu lui diras la vérité et que tu aimes ça. Tu lui diras assez fort pour que les autres clientes t’entendent. Tu m’as demandé d’être dressée par moi avant peut être d’être confiée un jour à ton amie dominatrice, tu es exaucée. Te connaissant, cette humiliation va t’exciter et tu vas te mettre à couler pendant l’épilation.
– Maitre je vous aime à la folie . J’attends déjà impatience sentir mes fesses rougir et me brûler.
Le lendemain soir, quand je rentre, Laure est nue dans le jardin et à ma vue, elle pose le livre qu‘elle était en train de lire, pour se mettre assise sur ses talons, les yeux baissés.
– Bonsoir Maître,
– Bonsoir Laure, mets tes mains derrière ta tête et offre moi tes tétines.
Une fois cambrée, je commence à lui travailler les tétons comme elle aime. Les rouler entre mes doigts, les tordre, les tirer et les mordiller. Je les sens durcir, s’allonger et pointer un peu plus.
– Tu es mouillée, soumise Laure ? Plonge deux doigts dans ta grotte et montre les moi.
– Tu es trempée d’excitation, suce tes doigts et recommence jusqu’à ce que je te dise d’arrêter. Ne t’avise pas de jouir, et ne joue pas avec ton clitoris, c’est interdit.
Je l’entraine vers le salon, par la corde passée en collier. Elle découvre un petit banc, placé au milieu de la pièce et le martinet que j’ai acheté. J’ai fait gravé son prénom sur le manche.
– C’est le tien, il va t’offrir du bonheur. Ton Maître l’emmènera partout où nous irons et tu pourras le montrer avec fierté.
Assis sur une chaise, elle vient se coucher en travers de mes genoux pour recevoir une magistrale fessée. Très vite les fesses changent de couleur.
– Je t’ai promis une belle correction pour le début de ton dressage, tu vas pouvoir, ta fille n’est plus là.
Sans lui laisser le temps de respirer, elle est à 4 pattes, le ventre sur le petit banc, et les jambes écartées attachées.
– Embrasse le martinet, vous allez faire connaissance.
Les premiers coups de martinet sont doux, je ne veux pas la blesser. Je dois mesurer ma force. Très vite les coups se font plus forts et les lanières marquent les deux fesses. Je continue sur le haut des cuisses pour que les marques soient visibles sous une mini jupe.
Laure hurle, mais ce sont des ouiiii, ouiii, en continu.
Je pose le martinet devant ses yeux pour lui montrer que c’est fini, lui apporte un verre d’eau sans la détacher. Je l’embrasse et lui dit que son Maître est fier de sa soumise.
Sans trop effleurer ses fesses, doucement je masse ses lèvres. Comme je m’y attendais Laure est trempée, et il y déjà des gouttes au sol. Je plonge 2 doigts en elle, puis 3 tellement est ouverte et je frotte en cercle son clitoris. Elle se lâche, et ce sont des jets d’urine qui m’aspergent, mêlés à ses hurlements de jouissance.
Laure semble épuisée. Je la soulève dans mes bras pour la poser sur le canapé.
– Ne bouge pas, je vais chercher de quoi te rafraichir et m’occuper de tes fesses. Ce soir, je m’occupe de tout, tu es ma princesse, ton Maître va te servir.
– Maître attendez un peu, restez avec moi, me dit elle en me prenant la main et la mettre contre sa joue.
Après le diner, elle me fait écouter un message de Sophie qui me demande de la rappeler pour que nous venions diner et que Laure lui rapporte la clé de la cage de chasteté de son cocu de mari.
Je vois dans l’inquiétude dans le regard de Laure. Je la rassure. Nous irons ensemble rapporter la clé mais nous ne resterons pas. Le lendemain, après l’avoir eue au téléphone Sophie, j’appelle Laure pour lui dire que nous irons ce soir porter la clé et je lui demande de remettre la clé et sa chaine autour de son cou, de mettre son chemisier blanc transparent, et la jupe portefeuille la plus courte, ainsi qu’une paire de talons.
Arrivés devant chez Sophie, j’arrête la voiture, et j’ouvre tous les boutons de son chemisier pour écarter les pans, la jupe portefeuille étant déjà ouverte dès qu’elle est montée pour me permettre de caresser sa cuisse jusqu’à la fourche sans toucher à ses lèvres.
– Va sonner, elle t’attend.
Laure va jusqu’au portail, sonne et rentre, en laissant la porte entre ouverte. Je m’approche sans bruit.
– Bonjour Laure, tu vas bien ? Toujours aussi excitante.
– Bonjour Dresseuse Sophie,
Sophie ouvre les pans du chemisier et lui palpe les poires, et fait rouler les tétines déjà dressées. Elle insiste en lui pinçant plus fort. Laure résiste à ces attouchements mais quand elle passe sa main pour aller tripoter sa chatte, son souffle devient irrégulier.
– Tu aimes toujours mes caresses, dis moi et tournant autour d’elle, elle lui relève la jupe pour découvrir les traces du martinet.
– Oh mais je vois que ton Maître s’occupe bien de toi. J’espère que tu apprécies son dressage et qu’il te fait crier.
– Oui, dresseuse Sophie, je suis heureuse
Voyant la clé au bout de la chainette autour de son cou, Sophie lui dit de la garder.
– Mon cocu de mari ne mérite pas que je lui ouvre sa cage. Il passera ses vacances avec sa petite queue enfermée. Cela nous fera une occasion de nous revoir à notre retour. A bientôt Laure.
Nous repartons, et je fais la surprise de ne pas rentrer immédiatement.
– Que dirais tu d’aller diner en amoureux ?
En arrivant à table sur la terrasse d’un restaurant d’un restaurant au calme au bord d’un cours d’eau, je lui demande d’ouvrir l’écran que je lui tends.
– Cette chaine en or et cette médaille sont pour ma soumise adorée. Elle marque ton appartenance et tu la porteras en permanence. J’ai fait graver pour toi un cœur traversé par un martinet. C’est discret et si on te demande la signification, à toi de choisir. Mais quand Claire sera à la maison, pas question qu’elle puisse se douter, tu la remplaceras par la médaille qui est au fond de l’écrin qui est gravée d’un cœur.
– Maitre, vous me faites à chaque fois dépasser mes limites et j’en jouis malgré la crainte, la douleur … Si quelqu’un me demande je dirai rarement que c’est un cadeau, mais plus souvent j’ajouterai « de mon Maître », et si j’y arrive de « mon Maître qui me puni et me fouette pour son plaisir et le mien ».
Son entrée a été remarquée, en petits talons, jupe portefeuille ultra courte et chemisier avec un beau décolleté qui ne laisse aucun doute sur la beauté de son buste libre.
-Tu as remarqué que tu avais une admiratrice ? La femme dans la quarantaine qui est sur la table de deux avec une amie n’arrête pas de te regarder depuis le début du diner. Je la vois faire par reflet sur la baie vitrée du restaurant.
– Oui, je l’ai vue. En arrivant avec son amie, elle a plongé les yeux dans mon décolleté sans se cacher.
– C’est juste parce qu’elle te trouve jolie ou à son goût. Passe ta main dans ton décolleté et caresse ton sein sans lui montrer que tu la vois te mater. Et recommence en la regardant pour la chauffer.
La femme regarde Laure et a du en parler à son amie qui à son tour s’intéresse à Laure en reflet dans la vitre.
– Laisse la mijoter et quand tu auras fini ton dessert, écarte les jambes sans tout lui montrer, et sans la regarder comme inadvertance.
Un léger sourire apparaît sur son visage et elle essaye de capter le regard de Laure.
– Ouvre grand pour lui montrer que tu n’as pas de culotte et sourit lui. Attend encore un peu et arrange toi pour demander où sont les toilettes femme au serveur, tu sais faire, rappelle toi du diner au le bord de mer. Quand tu passes à coté d’elle, regarde là dans les yeux. Offre toi à elle quand elle te rejoindra. Obéis lui. Prend ton temps.
Laure fait exactement ce que je lui ai demandé et une fois remontée après deux cafés, elle me raconte
– Elle m’a vite rejointe, je l’ai vue arriver dans mon dos dans la glace du lavabo et je n’ai pas bougé. Elle a ouvert mon chemisier et a commencé à jouer avec mes tétons en me disant qu’ils pointaient sous le tissu et qu’ils l’avaient excitée. Elle continué de plus en plus fort.
– Ca te plait, t’aime ça. Je suis sûre qu’une belle salope comme toi sans culotte qui montre sa chatte doit être humide.
– Elle a passé sa main sous ma jupe et découvert que j’étais trempée.
– Je suis sure qu’une salope comme toi, ça aime lécher une chatte. Baisse ma culotte et bouffe moi.
Sa compagne est arrivée alors que je la dégustais
– On s’ennuie pas à ce que je vois, elle broute bien cette salope ?
Sa copine n’a pas pu répondre car elle jouissait déjà et poussait des feulements. Elle m’a tiré par les cheveux pour me faire relever et m’a penché sur le lavabo pour me claquer les fesses, avant de me dire qu’elle aussi j’allais la brouter. Après avoir jouis à son tour, elle m’a dit que j’étais un bon coup et m’a demandé qui tu étais et si j’étais lesbienne. Je leur ai dit que tu étais mon Maître, et que tu aimais m’offrir à des femmes pour leur donner du plaisir. Regarde, elle a pris un feutre et m’a marqué sur la fesse son numéro de téléphone. Elle ajouté « Dis à ton Maître de me téléphoner », on va se revoir et elles sont parties.
Nous partons à notre tour, je lui demande de remonter sa jupe jusqu’en haut avant de monter dans la voiture.
– Je vais noter le numéro de téléphone, ce serait dommage de le perdre.
– Maître, je ne pensais pas être capable d’allumer une femme en plein restaurant et aller la lécher dans les toilettes, au risque de me faire surprendre. Je suis encore trempée et je n’ai absolument pas honte.
– Tu es totalement libérée et tu viens de monter encore un échelon. Je me demande jusqu’où tu vas aller. Tu dois être frustrée. Ouvre ton chemisier et enlève ta jupe. Tu m’as montré que tu n’as plus aucune pudeur Donne toi du plaisir avec tes doigts, je ne t’ai jamais vu te masturber. C‘est un geste très intime, fais moi ce cadeau et si ca ne te suffit pas , en rentrant à la maison tu me diras ce que tu veux et te le donnerai.
Elle commence à se masturber et j’entends le « floc floc » tellement elle est trempée.
– Ouiiiiii, Ouiiii, Maître vous le savez bien ce que je préfère. Maître, enculez moi comme une salope, ne prenez aucune douceur, pilonnez moi jusqu’à ce que je n’en puisse plus.
A suivre…
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"Tout à coup, la bouche de ma belle-sœur se crispa. Une idée venait de la traverser, qui l’emplissait d’une joie malsaine. Une rougeur sombre était montée à ses joues. Sur la table de nuit, elle prit une brosse à cheveux au long manche de bois vei. Puis elle posa le pied sur le bord du matelas, et se toua de façon à faire bâiller largement en face de moi la corolle poilue de son sexe. Je fus incapable de comprendre comment elle avait fait. En un instant, le manche de la brosse disparut dans sa chair. Elle le ressortit, et l’absorba à nouveau. Ses yeux ne quittaient pas les miens. Un sourire un peu fou lui retroussait les lèvres. Nous entendions mon frère qui jurait à voix basse en déplaçant des objets au fond du placard."