Laure découvre la soumission – Episode 3
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3- Week end à la mer – Laure découvre la soumission
Pour ceux qui n’ont pas lu, les épisodes précédents « Laure, ………. ».
Les épisodes sont indépendants mais les lire dans l’ordre permet de mieux comprendre le parcours de Laure.
Laure 38 ans propose à une amie, la mère d’Antoine 23 ans de l’accueillir chez elle pour
lui faciliter ses études en contrepartie d’une aide scolaire à sa fille Claire 16 ans. Très vite Antoine est séduit par cette quadra et Laure craque pour lui. Antoine convaincu des envies refoulées et des fantasmes de Laure décide de lui faire abandonner ses principes et de lui faire connaître des plaisirs inconnus.
Dans l’épisode précédent (n°2) Laure commence à se lâcher avec des choix vestimentaires sexy en privé, offre à Antoine sa première fellation et lui avoue que l’idée de lui être soumise l’excite
La météo prévue pour le week end prévoyant beau temps et soleil, Laure propose de partir samedi en fin d’après midi au bord de la mer, dans le bungalow qu’elle possède dans une petite station balnéaire à un peu plus d’une heure de la maison, pour revenir dimanche soir tard.
Je suis enthousiaste par cette idée. Nous ne sommes jamais partis depuis le début de notre histoire cet hiver et cela me rappellera mon adolescence quand j’y suis allé quelques jours en vacances avec ses parents.
– Je n’y suis pas allé depuis l’été dernier, mais je sais par les voisins que tout va bien et je vais leur demander de l’ouvrir avant notre arrivée, ce sera plus confortable. Tu verras cela a bien changé et j’ai fait des travaux dans le bungalow, il est très confortable.
Et si ça te plait, pourquoi ne pas venir passer une semaine en août, le salon sera fermé et tu m’as dit que tu aurais 1 ou 2 semaines de vacances.
Je me garde bien de lui dire ce que j’ai en tête pour ce week end.
Nous emmenons quelques victuailles pour éviter d’aller faire les courses, et Laure a préparé sa valise pour ne pas perdre de temps dès que le salon sera fermé. Elle me demande de charger sa valise dans la voiture pendant qu’elle prend une douche et se change.
Sans lui dire, j’ouvre sa valise et j’enlève tout ce que je juge inutile c’est à dire principalement petites culottes, soutien gorge, pantalon. Laissant trousse de toilette, trousse de maquillage et linge de maison.
Sur le lit je lui prépare 2 tenues avec un petit mot : « Tu mets la jupe, le chemisier, les petits talons et tu emmènes avec toi dans ton sac à main le short, débardeur, chaussures de vacances et rien d’autre. Je t’attends à la voiture, dépêche toi, ne m’oblige pas à te punir ».
J’ai choisi une jupe portefeuille très courte un chemisier transparent qui laisse visible ses seins et ses tétons, le short qui moule si bien ses fesses et sa fente ainsi que le débardeur ouvert sous les bras.
J’ai aussi emmené un short, un débardeur plus sage, une petite jupe d’été à fleurs très légère que j’aime beaucoup et une veste légère sans lui dire dans mon sac.
En l’attendant, je suis sûr qu’elle va faire ce que je lui ai demandé mais je ne suis pas certain qu’elle le prenne si bien que ça.
Elle arrive avec un grand sourire, et monte dans la voiture. La jupe portefeuille s’ouvre et elle ne fait rien pour l’en empêcher, ce qui me permet de vérifier qu’elle est fesses nues. Elle se penche vers moi pour m’embrasser sur les lèvres. Je lui dis que je la trouve superbe et très sexy.
Je démarre et je la vois un peu préoccupée.
– Je te vois préoccupée mon amour, qu’est ce qui te tracasse ? Tu as bien pris le short et le débardeur que je t’avais préparé, et que ça?
– Oui mon Maitre, vous n’avez pas confiance, vous voulez vérifier ? Vous avez bien pris ma valise.
– Oui ma soumise, j’ai bien pris ta valise mais avant j’ai enlevé tout ce qui était inutile. Je n’ai pas l’intention de vérifier ton sac à main, j’ai une totale confiance en toi, tu le sais bien. J’ai laissé dans ta valise, ta trousse de toilette, ton maquillage et le pull fin en cas de soirée fraiche. J’ai enlevé les petites culottes inutiles et le soutien gorge ainsi que les autres vêtements dont tu n’auras pas besoin. Je t’avais prévenue que parfois la soumission peut paraître difficile au début.
Elle rougit et puis reste silencieuse.
– Dis moi ce que tu ressens, et si tu ne te sens pas le courage de continuer, nous pouvons faire demi tour pour aller rechercher des vêtements plus sages de petite bourgeoise en week-end. Mais avant de me répondre, ouvre un peu plus ta jupe et ouvre deux boutons de ton chemisier.
– Je me sens à la fois anxieuse et excitée. C’est la 1ére fois que je sors sans culotte, et les seins bien visibles. Il faudra peut être nettoyer le siège en arrivant !
– Ne t’inquiète pas, laisse toi porter, tu sais bien que je contrôle la situation tu es la femme de ma vie et la personne qui compte la plus au monde.
Elle retrouve le sourire, un peu gênée tout de même et pose sa main sur ma cuisse en signe d’accord.
Sur une route calme et droite, j’ouvre le pli de sa jupette jusqu’à son minou et le caresse sa fente légèrement. Elle ouvre ses cuisses pour me faciliter ma caresse, sans que je lui demande.
– Mon amour soumise apprécie, je sens. Tu es trempée
Devant son sourire, je porte mes doigts à mes lèvres pour lécher sa liqueur.
En arrivant, je lui demande de ne pas descendre de voiture, j’ouvre le coffre et je lui tends la veste légère.
– Mets cette veste, je ne veux pas que les voisins qui te connaissent te prennent pour une … salope. Et tu as de la chance, il n’y a pas de brise, sinon ta jupe risquerait de leur montrer tes fesses.
– Merci mon Maître Chéri me dit elle avec un grand sourire.
Une fois les voisins salués et notre rapide installation, je lui propose de diner légèrement car nous sommes tous les deux affamés. Et j’ai bien l’intention d’aller nous promener le long de la mer avant de nous coucher.
Je l’emmène vers la chambre pour lui demander de se changer avec la petite jupe à fleur et le débardeur « un peu plus sage » moins ouvert sous les bras mais collant et qui offre aux regards ses seins et ses tétons avant d’aller marcher sur la promenade le long de la mer.
Tu es très belle, je suis sûr que tu vas attirer le regard des mâles sur la promenade.
Effectivement, les regards masculins sont insistants.
-Si tu étais seule, je suis certain qu’ils t’auraient abordés pour te proposer de prendre un verre.
– Ou de me sauter !
– Quand ils vont être rentrés à la maison, certains vont se prendre des remarques désagréables de bobonne !! Ils vont faire ceinture ce soir.
Nous rions de bon cœur
Sur le chemin du retour vers le bungalow, la nuit est presque tombée mais il fait encore chaud et je lui propose d’aller un peu plus loin dans l’autre sens. Elle semble un peu étonnée.
– Tu es au courant ? me demande t elle
– De quoi ?
– Tout au bout de la promenade, sur la plage, le soir c’est connu pour être un endroit libertin où des couples viennent faire l’amour, s’exhiber, ou chercher un autre couple pour la nuit.
– Non, je ne savais pas, mais tu as l’air d’être bien au courant. Tu y es déjà allée mater ou plus ?
– Juste une fois, mater comme tu dis. Et ce soir là, il y avait deux ou trois couples qui faisaient l’amour sur la plage, mais seulement côte à côte.
– Viens on y va, j‘ai envie de voir
Ce soir, c’est calme mais nous ne sommes qu’au tout début de l’été.. Nous nous accoudons à la balustrade. Un couple est sur la plage et ils font des câlins sans pouvoir en dire plus. Quelques couples comme nous se promènent et regardent. J’attends qu’un d’entre eux soit derrière nous pour passer la main sous la jupe de Laure et lui caresser les fesses, puis remonter le bord jusqu’à la ceinture pour leur faire admirer sa plastique. Un autre couple qui a vu mon manège s’approche pour nous regarder et s’appuyer sur la balustrade. L’homme relève la jupe de sa femme, écarte son string et la caresse en passant entre les cuisses. J’ai envie de voir la réaction de Laure si je l’imite.
Je lui demande d’écarter les cuisses sur un ton autoritaire et je plonge un doigt dans son minou. Elle est trempée. Je fais rentrer un deuxième doigt pour la masturber aves mon pouce qui appuie sur sa corolle anale.
Le couple nous regarde les imiter et j’intime l’ordre à Laure de regarder la femme sans cacher ses émotions. Elle mord ses lèvres puis commence à chercher de l’air.
– Vas y jouis, tu peux crier si tu veux.
Elle ne cache pas son plaisir avec son ventre et vient s’empaler sur mes doigts. Elle gémit. J’appuie de plus en plus sur sa corolle qui cède et mon pouce s’enfonce sans être arrêté dans sont petit trou, ce qui déclenche sa un cri de jouissance. Je la laisse revenir sur terre et je l’embrasse amoureusement.
– Merci mon amour.
Un sourire de connivence avec l’autre couple et nous rentrons.
Arrivés au bungalow, nous nous asseyons un moment sur la terrasse.
Elle vient sur mes genoux et se love sur mon épaule.
– Tu as été incroyable. Je n’avais rien prévu mais quand j’ai vu que le couple à coté de nous s’exhibait j’ai eu envie de leur montrer que toi aussi tu avais un joli petit cul et que tu aimais jouir. Je m’attendais à ce que tu protestes un peu, peut être encore par pudeur ou principe, mais non. Tu as accepté et même ta rosette était participante. Tu te rends compte de ton évolution ? Rappelle toi au début dans la cuisine quand j’essayais de te frôler. Bravo !
Elle m’embrasse et nos langues explorent nos bouches. Ma queue réagit sous mon short.
– Oui, je t’ai suivi sans crainte. C’est toi qui m’a transformée. Je me rends bien compte que je ne suis plus la même. J’étais excitée d’être en public cul nu et seins nus sous le débardeur aux yeux de tous. Tu me parles de pudeur ? Je n’en ai presque plus, tu es entrain de tout faire disparaître. La preuve !! Et puis je sens que tu as apprécié, tu es tout dur sous mes fesses. Ce qui m’a surprise c’est ton pouce. J’en avais envie mais il est rentré tout seul. Je me suis juste laissé aller. Une sensation extraordinaire de sentir ma corolle s’ouvrir, de céder sans aucune douleur et de sentir son avancée. A ce moment là, tu m’aurais demandé n’importe quoi, j’aurais obéi. Viens, j’ai envie de me faire baiser par mon amour et mon Maître ; Je suis prête à t’offrir mon pucelage si tu as envie de me baiser par la petite porte. La porte est entrouverte, tu n’as plus qu’à la pousser
J’éclate de rire.
– C’est si gentiment demandé que je vais te dépuceler. Rien que de le dire je suis impatient. Nous ne sommes pas prêt de dormir.
Laure offre à Antoine son dépucelage anal
Je lui enlève sa jupe et son chemisier en embrassant tous ses trésors et en jouant avec ses tétons qui réagissent immédiatement. Je sais que je peux l’emmener au bord de la jouissance, mais ce soir je veux qu’elle profite de toutes les nouvelles sensations qu’elle va connaître. Je l’entraine vers le lit et lui demande de se mettre dans la position d’Andromaque qu’elle connaît depuis peu.
– Je vous offre mon cul. Vous êtes le premier à en prendre possession. Mes 3 trous vous appartiennent, faites de moi votre pouliche soumise, mon bel étalon.
J’essaye de rester calme et attentif à toutes ses réactions devant cette superbe paire de fesses, cette fente déjà bien humide et cette corolle qui attend d’être perforée pour la 1ère fois. A genoux derrière elle, je prends ses 2 poires pour les caresser et agacer ses tétines qui pointent et deviennent rapidement dures. Ma langue passe de sa fente à sa corolle pour la mouiller de sa liqueur et l’assouplir. Petit à petit, je la sens devenir plus élastique et accueillir le bout de ma langue. Ma main quitte son téton pour jouer avec son clitoris, le pincer, le masturber comme une petite queue. Les deux doigts dans sa corolle pénètrent petit à petit puis librement. Je prends une noix de lubrifiant du tube que j ‘avais caché sous le lit et je l’applique sur sa corolle.
– Chéri, c’est quoi ?
– Juste un peu de lubrifiant pour t’aider à m’accueillir
Avec mes doigts j’explore l’entrée de son tunnel. J’appuie mon gland jusqu’à sentir au bout de quelques centimètres une résistance importante. J’attends que son muscle s’habitue et je continue à avancer millimètre par millimètre. Sans m’y attendre, c’est elle qui recule les fesses pour venir s’empaler avec un grand « ouiiii » de plaisir. Elle s’empale jusqu’ à ce que mon ventre vienne toucher ses fesses.
– Ca va, ma pouliche ?
-Oh oui, mon étalon depuis des jours j’attends ce moment.
Je la laisse reprendre son souffle et je commence des aller retour de plus amples. C’est vrai que son tunnel est étroit, un massage sur toute sa longueur de ma queue. Je vais avoir du mal à tenir.
– Vas y mon chéri, prends moi à fond, pilonne moi.
L’entrée est ouverte, je rentre et je sors sans difficulté, sa corolle ne résiste plus. Une fois sorti, la corolle réclame que je revienne pour l’investir
A chaque coup, je vois sa corolle envelopper ma hampe comme des lèvres intimes.
C’est elle qui impose un rythme effréné pour s’empaler plus vite et plus fort. Je la laisse faire pour m’occuper de son clitoris.
Je grogne quand je la remplis de ma semence, ce qui déclenche de sa part une succession de cris, comme je ne l’ai jamais entendue. Nous nous affalons l’un sur l’autre.
– Ne sors pas , reste. C’est bon.
Je m’approche de son oreille pour lui murmurer combien j’aime ma petite soumise adorée qui aime se faire enculer
– Oui et je suis fière de t’avoir offert cette porte dite interdite ou cachée. Tu peux t’en servir autant que tu veux et quand tu veux. Je t’appartiens pour toujours.
Exhibition au restaurant
Le dimanche, c’est grâce matinée et détente totale avant d’aller à la plage. L’eau est encore trop froide pour donner envie de se baigner.
En soirée, avant de repartir, je lui propose d’aller prendre l’apéritif sur une terrasse et si la brasserie lui plait de rester diner avant de rentrer à la maison.
– J’y vais dans quelle tenue me demande t elle ?
– La jupe portefeuille qui s’ouvre à chaque pas et le chemisier transparent ouvert sur deux boutons. Mets aussi ta petite veste, je ne veux pas d’émeute sur la promenade, et laisse là ouverte !!
Une fois encore certains promeneurs profitent de la tenue et doivent encore se demander si elle portait quelque chose sous cette jupe qui s’ouvrait à chaque pas sans tout révéler.
Arrivés à la terrasse, elle enlève sa veste à ma demande.
– Ouvre un peu ta jupe. Montre au serveur que tu as passé un bon week end.
Dès la prise de commande, le serveur plonge ses yeux dans le chemisier et laisse ses yeux trainer sur l’ouverture de la jupe.
– Quand il reviendra, ouvre un peu plus ta jupe. Tu lui montreras que tu ne portes rien dessous sans montrer ton minou
Laure sourit, s’exhiber lui plait. J’ai l’impression que plus rien ne l’arrête.
Quand il vient pour le règlement des consommations, Laure lui offre son plus beau spectacle. Son pantalon ne cache pas la formation d’une bosse
– Pouvons nous rester pour diner rapidement ?
Il nous répond ou plutôt il répond à Laure sans la quitter des yeux, et nous dit qu’il va appeler sa collègue qui s’occupe des diners, et finit par un « A bientôt j’espère » qui nous fait sourire avant de rire.
Sa collègue d’une trentaine d’années vient nous apporter les menus avec un grand sourire. Elle aussi s’occupe surtout de conseiller Laure. Elle ne cache pas ses regards appuyés sur la poitrine avec des tétons qui dardent sous le chemisier et ses cuisses entièrement découvertes qui ne laissent aucun doute sur l’absence de culotte, mais sans lui révéler sa foufoune.
-J e suis sûr que le serveur lui a parlé de toi et elle apprécie visiblement.
En effet, tout au long du diner la serveuse est à nos petits soins et vient plusieurs fois si tout va bien.
-Si tu veux me faire plaisir, à la fin du diner je prendrai un café et tu lui demanderas où sont les toilettes femmes. En partant, retourne toi vers elle avec ton plus grand sourire, et attends la dans une cabine ouverte. Tu verras bien. Laisse toi peloter ou toucher ou lécher, mais pas de baisers entre vous et ne la touche pas.
– Me savoir avec une femme ne te rend pas jaloux ? Je ne suis pas attirée par les femmes et je ne suis pas tentée. Peut être un jour, c’est trop tôt.
– Tu as raison mon amour, c’est toi qui choisit. Non je ne suis pas jaloux si tu me racontes ou si tu me laisses te regarder. Je veux te voir heureuse de repousser tes appréhensions en faisant de nouvelles expériences.
J’engage la conversation sur un autre sujet et lui parle des projets pour l’été. A ma grande surprise, quand je commande un café, Laure demande à la serveuse où sont les toilettes femme. En se levant, elle ouvre les jambes lui offrant une vue complète sur son minou comme par inadvertance et part vers les toilettes.
En remontant au moins 10 minutes plus tard, Laure a le rose aux joues.
-Ne dis rien, tu me raconteras dans la voiture en rentrant.
Nous repartons fermer le bungalow et reprenons la route du retour. Elle prend l’initiative de me raconter sans que je lui demande.
– Mon Chéri, je suis impatiente de te raconter, même si ça me remue un peu. Je ne me croyais pas capable de draguer une fille pour du sexe. Et en plus j’ai adoré ça, j’ai bien fait de t’écouter. J’ai commencé à me laver les mains le plus calmement possible car mon cœur battait la chamade. Je l’ai accueillie avec un grand sourire devant le miroir du lavabo et elle aussi me souriait
– Tu m’attendais ?
Elle m’a tutoyée tout de suite. Elle est venue se laver les mains à coté de moi, puis est passée derrière moi pour ouvrir mon chemisier en nous regardant dans la glace. Elle a attrapé mes seins et comme mes tétons étaient déjà tout durs, elle a commencé à jouer avec. Tu sais l’effet que cela me fait. Je me suis cambrée pour plaquer mes fesses sur son ventre. Elle a passé sa main sous ma jupe sur mes fesses pour les caresser et j’ai écarté les jambes pour la laisser passer entre mes cuisses. Elle m’a caressé mon minou qui était trempé et m’a rentré deux doigts.
– Tu aimes ça dis donc. Tu n’es pas qu’une allumeuse, t’es une vraie salope. Tu es gouine ?
– Non, c’est la 1èere fois pour obéir à mon Maitre.
-Elle a ressorti plusieurs fois ses doigts enduits de liqueur pour me les faire sucer, puis m’a retournée et accroupie m’a léché. Je n’ai pas eu le temps de jouir et m’a laissé frustrée. Elle m’a demandé si on était de passage et je lui ai dit qu’on allait revenir plusieurs week end en juillet août. Elle m’a dit que si nous revenions diner de passer la voir avant pour réserver. Elle a ajouté de rester la chatte trempée pour montrer à mon Maître que j’aimais me faire lécher par une femme. C’est vrai qu’elle s’y est bien prise. Je ne suis sûrement pas la 1ere qu’elle lèche.
– Elle ne t’a pas rejointe par hasard, elle savait bien ce qui allait se passer. Tu lui avais déjà proposé ta chatte en lui montrant en te levant. T’obliger à lécher ses doigts gluants de ton plaisir, c’est un signe de domination.
Il n’échappe pas à Laure que son récit m’a excité et que ma queue ne demande qu’à sortir du short.
A suivre …
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"Tout à coup, la bouche de ma belle-sœur se crispa. Une idée venait de la traverser, qui l’emplissait d’une joie malsaine. Une rougeur sombre était montée à ses joues. Sur la table de nuit, elle prit une brosse à cheveux au long manche de bois vei. Puis elle posa le pied sur le bord du matelas, et se toua de façon à faire bâiller largement en face de moi la corolle poilue de son sexe. Je fus incapable de comprendre comment elle avait fait. En un instant, le manche de la brosse disparut dans sa chair. Elle le ressortit, et l’absorba à nouveau. Ses yeux ne quittaient pas les miens. Un sourire un peu fou lui retroussait les lèvres. Nous entendions mon frère qui jurait à voix basse en déplaçant des objets au fond du placard."