Laure se lâche – Episode 2

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Assas


confessioninitiationMILF


Pour ceux qui n’ont pas lu, le 1er épisode « Laure, une amie de ma mère ».

Les épisodes sont indépendants mais les lire dans l’ordre permet de mieux comprendre le parcours de Laure.

Laure 38 ans propose à une amie, la mère d’Antoine 23 ans de l’accueillir chez elle pour

lui faciliter ses études en contrepartie d’une aide scolaire à sa fille Claire 16 ans. Très vite Antoine est séduit par cette quadra  et Laure craque pour lui. Antoine convaincu des envies refoulées et des fantasmes de Laure décide de lui faire abandonner ses principes et de lui faire connaître des plaisirs inconnus.

 

J’attends avec impatience qu’elle vienne me rejoindre. Quand je la vois arriver, je reste bouche ouverte.  Elle porte un débardeur largement ouvert sous les bras, qui est très lâche et qui laisse ses deux jolis seins en poire vivre leur vie librement et un short porté au plus près de sa peau qui dévoile les courbes de son intimité s’insérant au milieu entre ses lèvres. En se tournant, pas une trace de slip, le short moule ses fesses.

– Comme me trouves tu ? Ca te plait, tu me donnes 10 sur 10?

– Ah non pas 10 sur 10, mais plutôt 100, 1000 et plus, beaucoup plus.

Je viens vers elle, et elle pouffe en voyant la déformation de mon short.

– J’aurais du regarder avant de te demander, j’aurais eu tout de suite la réponse. Mais dis moi, tu n’as rien en dessous ?

– Non, comme toi, c’est inutile parce que tu vas me l’arracher dans 1 minute pour découvrir ton joujou.

Elle me saute au coup et me dévore la bouche, je glisse une main en dessous du bras pour attraper cette jolie poire, la masser avec douceur et faire rouler son téton entre mes doigts. Elle est obligée de stopper son baiser pour gémir.

– N’oublie pas le deuxième, il te réclame.

Je m’assois sur une chaise et elle vient m’enjamber pour s’asseoir face à moi. Je passe mes deux mains par les ouvertures du tee shirt pour malaxer, soupeser ses deux beaux fruits et surtout exciter au maximum ses deux tétons entre pouces et index. Elle n’arrête pas de gémir. Je lui enlève son tee shirt pour m’occuper de ces 2 tétons bien tendus avec ma bouche, les aspirer, les titiller avec mes dents. Laure  se cambre autant qu‘elle peut pour frotter sa fente sur la bosse de mon short. Son short est trempé entre les jambes

-Je t’en supplie viens, je te veux en moi.

Je ‘emmène s’allonger sur le bain de soleil. Elle découvre l ‘état de son short et mets les mains devant ses yeux mais sans honte.

– Tu n’as pas à t’inquiéter mon amour, ton cœur et ton corps me réclament. Tout fonctionne bien.

– C’est toi mon Chéri qui en est la cause !  Sois doux, car ça fait très longtemps et je ne suis pas certaine que ce soit assez large pour ton joujou.

-Ne t’inquiète pas, je vais faire doucement, c’est toi qui va me guider.

Laure écarte ses cuisses et me laisse admirer sa fente dégoulinante de liqueur avec des lèvres roses gorgées de sang et son fin duvet mouillé.

Je m’approche de sa fente dégoulinante et je frotte les lèvres roses trempées avec le bout de ma queue mais Laure ne me laisse pas le temps de savourer en avançant son bassin pour s’empaler elle même. Sa bouche laisse échapper un feulement de plaisir. Une fois rentré, je continue à avancer tout doucement, sentant son minou serré s’ouvrir petit à petit jusqu‘à me laisser toucher le fond. Je stoppe quelques instants pour la laisser s’habituer. C’est vrai que son minou est serré.

-Ouiiiiii ! Oh comme c’est bon. Continue chéri,  fais moi jouir, je t’en supplie.

Je commence les aller retour sans ne jamais sortir. Laure s’agite de plus en plus, son souffle s’accélère jusqu’à exploser et pousser un cri. Je me stoppe au fond d’elle et pour m’empêcher de sortir elle croise ses jambes dans mon dos. Je la laisse reprendre son souffle avant d’investir sa bouche avec ma langue. J’espère qu’une prochaine fois, c’est avec ma queue que j’investirai sa bouche.

– Reste Chéri, c’est trop bon. Tu n’as pas joui ?

– Non pas encore mon amour, je t’ai dit que j’allais t’épuiser.

Petit à petit je recommence à bouger en petits allers retours, jusqu’à la pilonner sans exagérer. C’est elle qui me demande  de continuer encore plus fort !! Et à nouveau son souffle devient plus court et elle se cambre jusqu’à émettre de longs râles lors de mes va et vient puissants. Je découvre qu’elle aime être investie en douceur puis en force qu’à l’explosion. Cette fois ci j’ai eu beaucoup de mal à ne pas jouir en elle, surtout que mon dos est lacéré par ses ongles à chaque jouissance de ma belle.

– Mon amour, encore une petite fois, pour me laisser jouir en toi.

Je recommence, puis doucement pour la laisser savourer et me laisser le temps moi aussi de reprendre mon souffle, puis j’accélère sans ménagement. Nous explosons ensemble.

Elle découvre que mon dos est griffé dans tous les sens et me dit qu’elle a honte.

– Pourquoi honte ? C’est un cadeau que tu fais à ton homme,  une preuve qu’il t’a fait jouir en perdant tout contrôle. Regarde, rien qu’en en parlant, mon joujou se redresse tout seul.

Cela la fait rire et me dit qu’elle a encore envie d’en profiter avant de dormir. Nous allons nous doucher ensemble et nous nous lavons mutuellement. J ‘en profite pour explorer des endroits encore inconnus, son clitoris encore sensible et un point que certains disent « interdit ». Je suis surpris qu’elle me laisse faire, ce qui préjuge de moments encore plus débridés. Laure aussi n’est pas en reste en prenant plaisir à me caresser et me faire bander.

– Tu es sauvée, ça marche encore !!

Cela l’amuse beaucoup. Je laisse Laure remettre une petite culote mais lui demande de me faire le cadeau de diner les seins nus.

– J’aime tes deux si jolis fruits et je n’ai pas envie de les perdre de vue ce soir. Regarde comme ils sont beaux avec de si jolis « détails »  qui pointent.

Avec un grand sourire, elle ne remet pas de débardeur. Encore une barrière de levée. Elle m’étonne de plus en plus.

Affamés tous les deux, nous faisons honneur à l’apéritif et au diner délicieux qu’elle a préparé. Nous faisons honneur à la bouteille de Champagne.

-Si je te dis que tu es magnifique quand tu jouis, cela te choque ou ça te gêne ?

– Je suis sûre que tu te demandes ce qui m’arrive  et que tu as du mal à comprendre mon changement si rapide.

– Oui, j’avoue que tu m’impressionnes. J’ai l’impression d’être dans un rêve.

– C’est notre discussion d’hier soir qui m’a fait réfléchir et me dire que j’étais stupide de ne pas profiter de la vie. J’ai la chance d’avoir un homme qui m’aime et dont je suis amoureuse alors que je n’y croyais plus depuis longtemps. Alors zut, les a priori des autres j’ai décidé de ne plus  m’en occuper et de vivre.  Mais pas seulement. Quand je t’ai rejoins dans ton lit les deux soirs et que tu m’avais promis de dormir en amis alors que je sentais que tu n’avais qu’une seule envie c’était de me cajoler et de me faire l’amour, j’ai compris que tu étais l’homme que j’attendais et en qui je pouvais avoir totalement confiance. Et quand tu m’as proposé de montrer  à Claire que nous étions en couple sans la choquer, ton idée m’a séduite puisque nous pourrions vivre comme une vraie famille. Tu m’as choisie avec ma fille et pour moi c’est très fort.

Comme il commence à faire plus frais, nous décidons de rentrer. Sans lui demander, je vais chercher un tee shirt pour qu’elle n’attrape pas froid. Elle me fait remarquer que ce sont toutes ces petites attentions qui la séduisent. Nous prenons le café dans le salon entre deux baisers tendres.

Je lui propose d’aller dormir car il est tard et que demain j’ai envie que nous soyons en forme.

–       Oui, bonne idée d’aller nous coucher mais je suis sûre que l’on ne va pas dormir.

–       Ah oui ?  Tu as encore des envies ?

–       Comme toi chéri, oui j’ai encore des envies. Tu ne veux pas goûter à ma liqueur ? J’ai envie de sentir ta bouche et ta langue entre mes jambes.

J’éclate de rire et je lui dis qu’elle est insatiable.

– Oui, depuis le début de cette soirée, j’ai envie de te lécher et de boire ta liqueur.

Arrivé dans la chambre, je n doucement Laure sur le bord du lit pour qu’elle puisse avoir les pieds par terre et le dos sur le lit. Elle me regarde dans les yeux, mets ses bras au dessus de sa tête et écarte en grand ses cuisses.

–       Quel changement ! toi qui cachait tes formes, tes superbes fesses, tes si jolies poires, tu t’offres ton minou les jambes grandes écartées

–       Oui, mais c’était avant, avant, tu sais bien que tu as fait sauter tous les verrous et que je veux profiter au maximum de la vie, et de toi.

Je m’agenouille devant elle, je remonte avec des petits bisous sur l’intérieur de ses cuisses jusqu’à son coquillage. Je le trouve toujours aussi beau avec de fines lèvres et une perle qui reste cachée pour que je puisse la faire sortir à petits coups de langue. Je sais que pour faire jouir Laure, il faut aller doucement au risque de la frustrer. A  un certain point de frustration, elle devient incontrôlée. Mais ce soir j’ai une autre idée.

Je lèche ses grandes lèvres avant de chercher avec ma langue ses petites lèvres, je les titille avant de les tirer pincées entre mes lèvres. Très vite la coquille s’ouvre, et son intérieur rosé m’appelle pour que j’aille puiser la liqueur au plus profond. Elle est trempée et son miel coule entre ses cuisses. Je m’arrête avant d’agacer son clitoris et de l’aspirer. Elle gémit de frustration.

– Retourne toi mon amour, mets toi à quatre pattes avec les coudes sur le lit pour bien te cambrer. Tu peux aussi mettre ta tête sur un oreiller et poser les épaules pour être encore plus offerte.

J’embrasse ses fesses et les malaxe pour les ouvrir et me donner accès à son trésor secret. Je lèche à nouveau l’entrée de son minou et j’élargis petit à petit jusqu’à lécher sa corolle. J’ai envie de tenter de l’ouvrir avec la pointe de ma langue.. J’ai peur qu’elle me demande d’arrêter mais bien au contraire ce sont des encouragements

-Oh oui mon Chéri, tu es le 1er à toucher à cet endroit, ça me fait tout drôle, continue s’il te plait.

Avec ma langue pleine de sa liqueur, je continue au pointer au centre de la corolle, qui réagit et s’ouvre un tout petit peu. Je retourne m’occuper de son clitoris, sorti de sa gaine et qui me réclame. Avec mon doigt trempé de liqueur j’appuie tout doucement sur sa corolle qui à ma grande surprise, s’ouvre pour m’accueillir.

-Oh mon Amour, comme c’est bon, fais doucement car je suis vierge. Je t’offre mon pucelage, je veux t ‘appartenir toute entière.

Je sais qu’elle aime être léchée et son orgasme arrive d’un seul coup. Elle hurle de plaisir, et j’en profite pour essayer d’introduire deux doigts. J’y arrive presque, je ne veux pas lui faire mal.

Epuisés, nous décidons de nous coucher. Laure se met dans mes bras et c’est elle qui réclame des baisers. J’aime ce moment avant de dormir où  nous pouvons parler du plus intime dans les bras l’un de l’autre.

– Tu sais toute à l’heure, quand je t’ai dit que je voulais t’appartenir complètement, c’est vrai. J’ai beaucoup aimé cette position où je me sentais soumise.  J’espérais que tu me touches à cet endroit et je souhaite t’offrir mon pucelage. Je souhaite que tu me prennes aussi de ce côté.

– Tu as raison mon amour, cette position s’appelle la position d’Andromaque et c’est une position de soumission pour la femme. Je ne te l’ai pas dit parce que j’avais peur de te choquer.

– Avec toi, je suis prête à aller jusqu’au bout de nos envies et de nos fantasmes, je t’aime et j’ai une totale confiance en toi, me dit elle, je veux vivre de nouvelles expériences avec toi. Mais j’ai une question à laquelle je n’ai pas de réponse. Tu ne m’as jamais demandé de m’occuper de ton, ta …

– Ma queue tu veux dire ? J’aime bien dans l‘intimité et quand on fait l’amour, employer des mots crus. Cela m’excite

– Oui, de ta queue. Quand  l’autre soir, je t’ai dit viens alors que tu t’apprêtais à me lécher avant de me pénétrer, j’ai failli dire autre chose,  mais je me suis retenue par pudeur. Si c’était maintenant je te dirais de venir me baiser, de venir me pilonner avec ta grosse queue.

Eclats de rire !!

– Je ne te l’ai pas demandé c’est vrai, même si je trouve cela très agréable de voir une jolie femme se mettre à genoux pour m’honorer de sa bouche. C’est aussi une position de soumission. C ‘est un acte qu’une majorité de femmes n’aime pas et je ne voulais surtout pas que tu te sentes obligée. Tu sais bien que j’aime faire sauter tes verrous et t’emmener à chaque fois plus loin. Si loin j’espère, où tu n’as jamais penser aller ou faire, mais jamais par la contrainte.

-Quand j’avais 25 ans, un homme m’a quasiment forcée à le sucer et cela m’a écoeuré, en plus il était même pas rasé à cet endroit, et jusqu’à présent jamais je n’aurai pensé que je pourrais avoir envie de recommencer. Depuis plusieurs jours, j’y pense et je n’ai qu’une seule envie c’est de prendre ta queue entre mes lèvres, et de m’en occuper jusqu’à ce que tu exploses dans ma bouche. Moi aussi, je veux goûter à ta liqueur. Et puis … à ce moment là, tu appuieras sur ma tête pour m’empêcher de reculer à la dernière seconde. J’ai envie à certains moments que tu me traites en soumise. Cela m’excite quand j’y pense.

– Tu m’étonneras toujours mon amour. Toi la femme libre, avec des responsabilités importante dans la vie jusqu’à maintenant tu me demandes de te soumettre. Cela ne m’étonne qu’à moitié, tu as envie d’une vie intime l’opposé de ta vie professionnelle, c’est souvent le cas des soumises. Je te propose de partager nos responsabilités de couple et que dans l’intimité, je sois ton Maître. Tu risques d’être surprise et si ça ne convient pas, on arrêtera tout de suite Soumise Laure. Si tu te laisses guider, sans violence, à ton rythme, je t’emmènerai très loin dans des situations qui aujourd’hui te paraitraient inconcevables alors que c’est toi qui bientôt les réclameras.

 

1ère fellation de Laure

Nous avons de la chance, l’été est précoce et nous continuer à profiter du jardin chaque soir pour diner et passer du bon temps après des journées de travail.

Je rentre un peu plus tard que d’habitude et Laure a préparé la table dans le jardin. Elle est super sexy ce soir, petite jupette qui découvre à chaque pas le bas de ses fesses et débardeur largement ouvert qui laisse voir ses seins en toute liberté et ses tétons érigés qui frottent sur le tissu. Une belle soirée en perspective.

– Va te doucher, mon chéri, je m’occupe de tout.

En redescendant torse nu et short directement sur la peau, elle me propose un apéritif.

– D’accord, assis toi je vais chercher la bouteille.

Je la vois revenir avec un seul verre, ce qui m’étonne.

– Tu ne prends rien ? Ca ne va pas ?

– Si, si tout va bien, mais j’ai envie d’autre apéritif.

Elle me prend la main, et me fait asseoir sur un des fauteuils de jardin qu’elle a placé à l’écart, puis s’agenouille devant moi.

– Asseyez vous là, mon Maître chéri, J’ai envie que mon Maître accepte de m’offrir sa semence comme apéritif. Je souhaite que mon Maître utilise ma bouche comme il utilise ma chatte. Qu’il me remplisse par cette voie là. Certaines disent par « ce trou là » avant de me prendre par mon dernier trou, la porte secrète, la petite porte. Je vais offrir à mon Maître ma 1ère fellation et si elle n’est pas parfaite, je promets à mon Maître de m’améliorer. Mon Maître pourra rougir mes fesses ou me punir comme il le souhaite.

Elle m’impressionne encore une fois. Sans me laisser répondre, elle ouvre mon short et dégage sexe et testicules. Me regardant droit dans les yeux, elle lèche ma hampe en partant bas jusqu’au bord du gland, et recommence plusieurs fois, puis embouche le gland sans chercher à prendre plus. Sa langue contourne le gland, titille le méat, et descend petit à petit. Voulant aller trop loin la 1ère fois, elle s’étrangle.

– Doucement ma soumise adorée, prend ton temps, enfonce ma queue dans ta bouche petit à petit et si tu sens que tu ne peux pas aller plus loin remonte. Pompe moi comme ça. Tu es une bonne pipeuse. Tu manques juste d’entrainement.

– Elle reprend ses allers retours et ma queue dégouline de salive, puis elle va chercher mes testicules pour les lécher et les faire rouler dans sa bouche. Elle prend du plaisir à me pomper, et je veux le partager. J’attrape les bords de son débardeur et je lui enlève. Ses deux poires me narguent et je ne peux pas résister à les prendre dans mes mains pour les soupeser et les masser en douceur.

– Continue Soumise, je vais m’occuper de tes tétines et te faire gémir. Si tu me mords je te fesse.

J’attrape ses tétons et les fait rouler entre pouce et index, tirant dessus comme si je voulais les allonger, je sais qu’ils sont sensibles et qu’elle aime qu’on les maltraite un peu. Elle pompe entre deux gémissements, ce qui m’excite encore plus. Au moment où je sens que je vais venir, mon ventre palpite et je lui appuie sur la tête.

–       Avale et profite de ton apéritif, si tu en perds une seule goutte gare à toi.

Un flot de sperme remplit sa gorge, elle avale tout ce qu‘elle peut, mais un filet de sperme coule au coin de ses lèvres.

Je la laisse reprendre son souffle et je lèche le filet de sperme et l’embrasse. Je partage le goût de son apéritif dans sa bouche.

– Si tu ne m’avais pas dit que c’était la vraie première fois, je n’y croirai pas. Tu pompes merveilleusement bien ma chérie.  Et je te remercie d’en avoir laissé échapper, ce soir avant de nous coucher, je vais avoir le plaisir de rougir tes fesses avant de te baiser pour te féliciter.

Elle rayonne, tout sourire. Je la fais asseoir à cheval sur mes cuisses. Je lui prends la tête entre les deux mains pour l’embrasser amoureusement plusieurs fois et laisser jouer nos langues. Glissant ma main entre ses cuisses, je sens que son minou est trempé et que ses lèvres sont ouvertes.

– Dis moi, tu aimes ca pomper ma queue.

– Oui j’ai adoré, surtout quand j’ai senti ton sperme monter et me remplir la bouche. J’ai failli jouir sans même me toucher.

Nous dinons tranquillement. Je n’arrive pas à détacher mes yeux des siens. C’est encore plus fort que si nous parlions. Je ne peux pas m’empêcher de caresser sa joue à chaque pause.

Nous finissons de diner et nous n’avons qu’une envie c’est de nous retrouver au lit pour faire l’amour. Ni elle ni moi avons oublié la punition.  Arrivés à l’étage, elle me demande si je souhaite la fesser maintenant ou après sa douche.

– Maintenant, viens !

Je m’assois au bord du lit  et je la couche en travers de mes genoux. Je relève les quelques centimètres de sa jupe, et je caresse ses fesses avant de les palper.

– Si c’est trop fort ou si cela ne va pas, dis moi stop et j’arrêterai.

Je sais que son « orgueil » de soumise l’empêchera de dire stop. A moi de faire attention.

Je commence à la fesser doucement mais au bout de 3 claques sur chaque fesse, je m’arrête, impossible de continuer, je n’arrive pas à accepter que je puisse lui faire mal.

– Laure, je n’arrive pas à te fesser. Tu as de très belles fesses, trivialement je dirai que tu as un beau cul et je ne veux pas l’abimer. Mais la vérité, c’est impossible pour moi de penser que je puisse te faire mal. Je t’aime trop, je suis fou de toi, tu es la femme de ma vie. Ce n’est pas le moment de te faire une déclaration d’amour mais je ne peux pas garder cela pour moi à cet instant

– Ta déclaration à cet instant comme tu dis me touche beaucoup  Et si c’est moi qui te demande de me fesser ? Depuis que tu m’as parlé, rien que d’y penser m’excite, je suis trempée. C’est même moi qui t’ai relancé en arrivant à l’étage. Peut être un fantasme enfoui au plus profond ? Après la première claque, j’ai senti des papillons dans mon ventre. Maître, je vous supplie de rougir mes fesses.

Je recommence la fessée jusqu’à la sentir bouger et avoir le souffle court comme lors de ses orgasmes. Ses fesses sont bien rougies et les traces de mes mains sont bien visibles.

– Encore 10, et celles là seront plus fortes. Compte ! Et si tu te trompes je recommencerai à zéro, même si tu me dis stop.

Une fois la fessée terminée, j’embrase doucement chaque fesse et lui demande de rester à plat ventre sur le lit. Je vais chercher une serviette mouillée pour tamponner ses fesses et adoucir les rougeurs.

Une fois couchés, elle m’avoue avoir aimé cette fessée et qu’avec 10 ou 20 claques en plus , elle aurait joui.

A suivre …

 

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