Antoine, j’ai 23 ans et suis en études de médecine. Dès mon plus jeune âge, je n’ai jamais voulu faire autre chose. Faire des études supérieures longues sont parfois difficiles à assumer financièrement pour les parents, même en province. Je n’ai jamais manqué de rien et toujours essayé d’aider mes parents autant que je le pouvais.
J’habite toujours chez eux dans un petit appartement situé à l’opposé de la fac de médecine. Temps de transport important et contexte familial parfois bruyant pour travailler au mieux mais je ne me plains de rien. Après avoir essayé de trouver une chambre, ou un studio indépendant, plus proche de l’hôpital ou de la fac, j’ai abandonné.
Un soir, ma mère rentre de chez sa coiffeuse et m’annonce qu’elle a peut être une bonne nouvelle.
– J’ai vu Laure cet après midi et j’ai peut être trouvé une solution pour que tu sois plus confortable pour faire tes études.
– Oui, j’ai vu que tu étais très bien coiffée, tu m’en dis plus ?
– Le mieux, demain soir avant de rentrer, passe la voir.
Laure et ma mère se connaissent depuis plus d’une quinzaine d’années, et elle lui est restée fidèle pour la coiffer jusqu’à ce qu’elle crée son propre salon de coiffure. Elles sont devenues assez vite amies, au point qu’adolescent j’ai passé de courts séjours au bord de la mer chez les parents de Laure qui emmenaient Claire, leur petite fille, en vacances pendant que Laure travaillait l’été, comme mes parents.
Je me rappelle qu’à 13 ou 14 ans, voir Laure en maillot de bain m’avait fait tout drôle et que plusieurs soirs je l’avais attendue à la sortie de la salle de douche dans le bungalow pour tenter de l’apercevoir nue, provoquant mes premiers émois.
En arrivant au salon, je retrouve Laure et son sourire, toujours aussi belle, fine avec de belles formes, dynamique et habillée avec goût. Cela fait 2 ans que je ne l’ai pas vue et je lui trouve un charme fou. Comment une aussi jolie femme de 38 ans peut être encore célibataire ?
– Bonsoir Antoine, comment vas tu ? Tu me laisses quelques minutes que je finisse de coiffer ma cliente. Passe dans la maison, j’arrive.
En effet, son salon occupe une partie du rez-de-chaussée d’une grande maison dans un quartier excentré mais proche de la fac de médecine. Je sais que mère célibataire, elle avait choisi cette maison qui lui permettait à la fois d’exercer sa profession et de pouvoir s’occuper de sa petite fille pendant la journée.
– Comment vas tu ? Ta mère m’a dit que tes études se passaient bien mais que les temps de transport et l’exiguïté de leur appartement te pesait un peu. Et puis, pas facile non plus t’avoir un peu de liberté avec ta mère. Je me trompe ?
Nous rions de bon cœur.
– J’ai pensé à quelque chose. Ca ne t’engage à rien, et je ne serai pas vexée si ça ne te convient pas.
– Claire a maintenant presque 16 ans et pour la 1ère fois, ses notes en classe sont en chute libre. Fatiguée le soir, si je tente de l’aider, on s’oppose tout de suite et nos relations deviennent difficiles. J’ai pensé que tu pourrais l’aider sans lui dire que cela vient de moi. Je sais qu‘elle t’a toujours apprécié depuis toute petite et qu’elle t’écoutera. En contre partie, tu viens t’installer ici. La maison est assez grande pour que tu aies tes aises et que tu puisses travailler au calme. Et le soir, je ne serai pas toute seule.
Je n’ai même pas besoin de lui donner ma réponse. A mon sourire, elle sait que la réponse est positive.
– Comment pourrais je refuser une telle proposition ? Et faite par une aussi jolie femme. Moi aussi je veillerai sur toi
– C’est ce qu’on t’apprend en médecine ? Faire des compliments aux femmes de 38 ans ?
– Pas seulement !! On s’est toujours bien entendus. Je suis sûr que tu n’es pas surprise, tu sais que je t’ai toujours admiré.
En quelques jours, me vie change. Un quart d’heure pour rejoindre la fac et un bus direct pour l’hôpital. Travailler dans une grande chambre, au calme et à côté de Laure le soir, toujours enjouée. Je suis sous son charme, je la trouve sexy. J’essaye de ne pas trop la regarder, je ne voudrais pas la gêner et tout gâcher.
Et pour Claire, comment vas tu faire me demande t elle au bout de quelques jours.
– Fais moi confiance, n’intervient surtout pas.
– Oui docteur, me répond t elle, ce qui nous fait partir dans un grand éclat de rire.
– Tu travailles encore, me demande Claire en venant me voir dans ma chambre après le diner.
– Eh oui, tu sais ce n’est pas facile et je veux réussir. Bientôt, j’ai des examens très importants et je ne veux pas les rater. Et toi, comment ça marche ?
La réponse est cash. Je la reconnais bien même si elle est devenue une belle jeune fille, pas une rebelle. Elle paraît plus que son âge. Elle me dit avoir décroché, après avoir eu de mauvaises notes car elle ne comprend pas la prof de math.
– Tu sais la journée est longue à réviser, ce n’est pas toujours agréable. Que dirais tu de venir me tenir compagnie quand tu rentres. Je me sentirais moins seul et puis je pourrais t’expliquer ce que tu n’as pas compris, si j’y arrive bien sûr.
Claire est emballée par ma proposition. Les jours suivants, il faut nous appeler plusieurs fois avant de rejoindre le diner. Laure n’en croit pas ses yeux et ne dit rien.
– Tu as fait comment ? Je ne la reconnais plus. Ton charme ?
– Non, pas mon charme. Il t’est réservé. Tu sais ce que l’on dit ? « Aidez la fille, et vous séduirez la mère »
La mère est déjà séduite, me répond Laure et puis se rendant compte du sens de sa réponse, elle éclate de rire pour éviter de continuer la conversation. Le rouge lui est monté aux joues. Je n’insiste pas.
Dès le 1er soir, Laure m’a proposé le soir après le diner de monter prendre ma douche dans la salle de bain contigüe à sa chambre. Elle plus confortable que la petite douche du rez-de-chaussée.
Heureusement, j’ai le réflexe de frapper avant d’entrer. Laure est dans la salle bain et me demande d’attendre une minute. En entrant, elle porte un kimono très court. Sa poitrine sous le peignoir est bien visible. Je la regarde à la dérobée avant de rentrer sous la douche. Elle a fait de même, je suis monté en boxer et je l’enlève de dos avant de rentrer sous la douche. Juste un petit coup d’œil pour m’apercevoir qu’en regardant dans le miroir du lavabo, elle n’a rien raté.
Les bonnes notes de Claire redonnent le sourire à sa mère. Je lui propose de fêter ça le samedi soir suivant tous les 3, et de m’occuper du diner.
Le diner est joyeux, la mère et la fille se sont fait belles. Laure est en beauté, avec une jupe portefeuille au dessus du genou et un chemisier blanc légèrement transparent qui laisse voir un soutien gorge tout en dentelle noire. A t elle mis aussi une petite culotte noire en dentelle ? C’est une question que je vais me poser toute la soirée, mais la jupe portefeuille ne s’est pas ouverte comme je l’aurais espéré sur le canapé après le diner.
Une fois Claire montée se coucher, je la remercie de s’être fait aussi belle pour ce diner.
-Oui, j’ai eu envie d’être belle pour ce diner, ça fait longtemps que ce ne m’était pas arrivé . Ma tenue t’a plus ? Mon chemisier n’est pas trop transparent ?
– Non, ton chemisier est très sage. Et puis tu as tous les atouts pour porter un chemisier un peu plus transparent avec un aussi joli soutien gorge en dentelle.
Elle se met à rougir et me fait remarquer qu’elle a bien vu que mes yeux étaient attirés par la dentelle.
– Tu aurais même pu ouvrir un bouton de plus, sans que cela me choque.
Comme d’habitude, elle se met à rire en me regardant.
En tout cas, les relations mère fille sont apaisées et je propose à Laure de laisser sa fille sortir certains soirs chez ses copines comme encouragement à continuer de bien travailler. J’aime quand nous dinons tous les deux. Le samedi suivant, nous serons seuls le samedi soir.
De plus en plus, une certaine complicité s’établit entre nous. Je la sens tout de même sur la réserve si je m’approche trop, ou si mon regard est trop insistant, elle baisse alors les yeux.
J’aime bien aller regardez par dessus son épaule ce qu’elle fait mijoter avant le diner et lui mettre la main sur l’épaule ou appuyer légèrement mon ventre sur son dos. Les premières fois, j’ai senti que cela la gênait mais très vite, cela est devenu naturel et je n’hésite plus à poser négligemment ma main sur sa hanche ou sur son bras, sans qu’elle se dérobe.
Une fois les examens passés c’est elle qui me propose de cuisine un petit diner pour nous deux.
– A mon tour de me faire beau pour toi, je vais me mettre en chemise blanche.
– Moi aussi, je vais me faire belle pour toi. Ce sera une surprise.
Le samedi soir, pendant que je mets la table pour nous deux, Laure monte s’habiller. Quand elle redescend, mes yeux ne peuvent cacher mon admiration. Le chemisier est nettement plus transparent et la lingerie de dentelle n’est plus noire mais bleue. Elle a remis une jupe un peu plus courte ce qui met ses jambes fines en valeur et ses fesses aussi, cambrées sur des hauts talons. Je sens une bosse se former dans mon pantalon.
– Tu ne dis rien ?
– Je n’arrive pas, tellement tu es belle et sexy.
Et m’approchant d’elle,
– Tu permets ? ouvrant un bouton de plus du chemisier.
– Oui tu as tous les droits ce soir, et se reprenant aussi tôt, presque tous les droits. Je ne peux m’empêcher de l’embrasser dans le cou, c’est la première fois. Elle ne se dérobe pas plus. Je suis certain qu’elle a senti la bosse qui déforme mon pantalon.
Après le diner, nous allons prendre le café sur le canapé. En mettant ma main sur sa jupe, je la remercie pour ce diner.
-Tu n’aurais pas préféré aller faire la fête avec tes copains et copines étudiants en médecine ?
– Les soirées étudiantes cela ne m’a jamais branché. Entre alcool, drague et coup d’un soir avec les élèves infirmières ou les filles des autres fac, c’est pas mon truc
– Je ne veux pas être indiscrète, mais tu n’as pas de petite amie
– Non, les filles de mon âge ne me séduisent pas du tout
– Ah bon, les filles …
– Ne te méprends pas, j’ai dit de mon âge, je ne t’ai pas dit les femmes. Et je ne suis pas attiré par les garçons ou par les hommes
– Oui j’avais compris, me dit elle en riant.
– Je préfère les femmes plus épanouies , avec quelques années en plus, qui ont envie de profiter de la vie, sans toujours penser à leur carrière, à chercher ce qu’un futur médecin peut leur offrir en niveau de vie.
– Pas une « vieille » proche de la quarantaine quand même, me répond Laure
– Ne dis pas cela. D’abord tu n’as pas 40 ans, tu te vieillis et tu n’es pas vieille, au contraire, tu es beaucoup plus jeune que certaines filles de 25 ans, Tu es belle, sexy comme ce soir, tu es dynamique et tu es toujours de bonne humeur. Enfin avec moi ! A mon tour de te poser une question, et si elle te gène, oublie. Pourquoi une femme comme toi est célibataire, enfin je crois ?
– Oui, j’ai eu des « copains » mais jamais rien de sérieux. Je me suis vite aperçue, qu’ils cherchaient un bon coup, ou un coup d’un soir ou de profiter de la maison.
– Ah oui ? Un bon coup ? Pourquoi, tu n’es pas un bon coup ?
– Je me rattrape aussi tôt en m’excusant et en lui disant que j’ai du abuser un peu trop sur le bon vin. Je rougis et cela la fait encore rire.
– Tu penses que je suis un bon coup ?
– Tu sais que tu me fais de l’effet et que tu n’aurais qu’un petit signe à me faire pour que je te prenne dans mes bras.
Un silence s’installe. Ni l’un ni l’autre n’a envie de stopper ce moment mais aussi n’a le courage d’aller plus loin.
Je lui propose que nous allions nous coucher car il est tard, mais avant je l’embrasse tendrement sur la joue, et comme elle tourne la tête à ce moment là, le baiser vient au bord de ses lèvres, sans y toucher.
L’été arrivant, nous allons pouvoir profiter du jardin et diner dehors dans des tenues décontractées. Sa fille Claire sera absente deux mois, invitée par les parents de sa meilleure amie ou en stage en école de voile, cadeau de sa mère pour ses bons résultats scolaires.
Une bonne nouvelle pour moi. J’espère profiter de ces deux mois tous les deux pour l’amener petit à petit à se lâcher.
Le premier soir de beau temps, je lui propose de diner dans le jardin car il fait de plus en plus chaud. Excellente idée me dit elle, et je vais pouvoir ressortir les tenues d’été. Je vais prendre une douche et me changer.
Quand elle me rejoint dans le jardin, je n’en crois pas mes yeux. Elle est en short ajusté aux fesses, mettant en valeur ses formes, avec un débardeur qui moule sa poitrine. Seul bémol, elle n’a pas osé le mettre sans soutien gorge.
– Alors, comment me trouves tu ? Ma tenue te plait ?
– Tu es superbe ! Même les oiseaux se sont tus à ton arrivée dans le jardin.
– Moques toi !
– Non je ne me moque pas, tu me plais, je trouve sexy.
– J’ai ressorti une tenue que je mets au bord de la mer au bungalow. Je n’ai jamais osé la mettre ici. Combien tu me donnes sur 10 ?
– Humm … disons 8 sur 10
– Seulement 8 sur 10 ? Je suis déçue.
– Tu es superbe, mais je trouve que le soutien gorge n’est pas joli sous ton débardeur, il fait des marques.
-Et sans ces marques, tu me donnerais 10 ? Ce soutien gorge masque un peu mes … détails. Je suis très pudique, surtout face à un homme… Tu es devenu un homme, je m’en suis aperçu plusieurs fois.
– Oui 10 sur 10 mais tu peux avoir 12 sur 10 et pour savoir comment il faut déjà avoir 10 sur 10. Et pour les détails, je les ai déjà aperçus sous ton chemisier transparent. Je me doute de ce que tu appelles tes détails, ils risquent surtout de trahir tes émotions, tu le sais bien.
Je n’ai pas envie de lui en dire plus. Je ne veux pas qu’elle se sente forcée à quoi que ce soit. Le début du diner se passe bien mais je vois qu’elle est revenue sur sa réserve.
– Laure que se passe t il ? Et ne me dis pas que tout va bien, je sens qu’il y a quelque chose qui te gêne. Pourquoi tu ne me parles pas, fais moi confiance.
– Tu n’es pas trop déçu que ne je sois pas allé enlever mon soutien gorge ?
Et puis j’ai plein de questions qui tournent dans la tête.
– Pourquoi je devrais être déçu ? Je dine avec toi, tu as mis une tenue pour me faire plaisir et tu as réussi. Pour la suite, c’est toi qui décideras si tu en as envie. Te forcer ? C’est pas ma façon de faire et je n’ai pas envie. Je veux juste tout faire pour que tu sois heureuse. Et si tu veux bien, pour les questions, on en parlera ensemble demain soir. Ce soir c’est notre premier diner en tête à tête dans le jardin, profitons en pleinement.
Je me lève et je vais déposer un baiser dans son cou, puis je viens me rasseoir pour voir que son sourire est revenu. Les verres de rosé libèrent les esprits et le diner est vraiment agréable. Nous sommes joyeux. A la fin du repas, je sens son pied nu qui effleure le mien sous la table, alors je fais de même et nous nous regardons en silence. C’est elle qui vient mettre ses 2 pieds sur les miens. Je lui prends la main et elle m’avoue qu’elle est heureuse mais qu’il lui faut du temps.
Nous allons nous coucher et au moment de la laisser rejoindre sa chambre, je l’embrasse pour lui souhaiter une bonne nuit encore une fois juste sur le coin des lèvre . A son tour en me regardant dans les yeux elle m’embrasse à son tour mais sur t les lèvres. Et avec un sourire, elle monte. J’ai du mal à rester en bas, quand je vois ses jolies petites fesses balancer en montant les marches.
Je n’ai pas envie de dormir tout de suite et j’en serai de toute façon incapable. J’entends Laure se lever une 1ère fois, puis une deuxième fois.
Depuis le bas de l ‘escalier, je m’inquiète si tout va bien.
– Oui, oui. J’ai du mal à dormir.
– Tu peux venir dormir avec moi tu sais. Dormir en bons amis, rien de plus. Si tu as envie de poser ta tête sur mon épaule ou de dormir contre moi ou sur ton coté loin de moi, c’est toi qui choisiras.
– Oui, Merci mais tout va bien.
J’éteins la lumière pour dormir et quelques minutes plus tard, je l’entends descendre à pas feutrés.
– Viens, je ne dors pas.
– Je ne voulais pas te réveiller, n’allume pas la lumière.
Je la sens se couler dans le lit, et très vite pose sa tête sur mon épaule. Je comprends alors pourquoi elle ne voulait pas de lumière allumée, étant juste en nuisette courte avec une petite culotte. Nous nous endormons.
Le lendemain matin, je dois partir de bonne heure et je me réveille avant elle. Le drap a glissé et je peux apercevoir ses trésors, ses seins en poires avec des tétons fins et tendus, mais aussi sa fente avec un très léger duvet blond coupé très court qui ne cache rein de ses lèvres joliment dessinées.
Avant qu’elle se réveille, je remets le drap sur elle en douceur. Quand elle se réveille à son tour quelques minutes après, tout est rentré dans l’ordre et je la regarde s’éveiller. Cela fait longtemps que tu es réveillé ?
– Non, je viens juste. Tu es belle quand tu dors.
Je lui fais un bisou sur les lèvres comme elle hier soir, et je file sous la douche avant de partir à l’hôpital.
Je rentre tard comme c’était prévu. Elle m’a attendu pour diner. Je suis fatigué mais avant de dormir, j’ai envie de tenter d’aborder les questions qui la tracassaient hier soir avant de dormir. Difficile de ne pas craquer en la voyant en kimono court juste fermé par une ceinture.
Je me doutais bien que c’est notre différence d’âge, mais aussi qu’elle est une amie de ma mère et aussi qu’elle me connaît depuis que je suis enfant. A chaque fois, j’essaye de la rassurer.
– Les sentiments cela ne se commande pas, et nous sommes adultes, je suis majeur. Dans pas si longtemps je serai médecin.
Une fois un peu rassurée, nous décidons d’aller dormir car la journée a été difficile pour elle comme pour moi. Arrivés au bas de l’escalier, elle hésite.
– Tu décides de passer cette nuit toute seule ou tu viens dormir en ami comme la nuit dernière ? Laure, tu crois que je vais réussir à m’endormir sans te sentir contre moi ?
– Je monte me déshabiller, j’arrive.
Elle redescend en nuisette un boxer en tulle transparent et ne me demande pas d’éteindre la lumière avant de se glisser dans le lit et de venir dans mes bras. Elle cherche mes lèvres et sans forcer ma langue vient faire la connaissance de la sienne. Nos langues s’enroulent l’une autour de l’autre et c’est elle qui maintenant explore ma bouche. Mon sexe réagit immédiatement à ce traitement et mon érection appuie sur son mont de vénus.
– Tu es fatigué, me dit Laure, c’est plus raisonnable de dormir. J’ai hâte d’être demain soir.
– Tu as raison, demain soir, je m’occuperai de toi.
Toute l’après midi j’ai du mal à rester concentré sur mon travail, heureusement pas d’urgence. Je n’ai qu’une seule idée, rentrer et la prendre dans mes bras
En rentrant Laure est dans la cuisine en train de préparer un diner qu’elle qualifie de « champêtre » et un apéritif.
– Tu as acheté du champagne ? presque étonnée.
– Oui, c’est un grand soir et je veux que cela soit une fête.
Je la prends dans mes bras et je l’embrasse goulument. Ni l’un ni l’autre n’a envie de se séparer des bras de l’autre.
– Depuis le début d’après midi, je n’arrête pas de regarder ma montre toutes les ½ heures m’avoue t elle
Nous sommes autant impatient l’un que l’autre de nous retrouver et de nous découvrir intimement.
Je monte prendre une douche et me mettre en short et tee shirt blanc.
En redescendant, le diner est prêt et je propose à Laure de mettre a table en allant chercher une belle nappe.
-Oui mon Chéri, mets la table et attends moi dans le jardin. Je me change et j’arrive.
Le « mon Chéri » est sorti tout seul, elle ne l’a même pas remarqué.
-Tu t ‘es trahie !!
-Oui je viens de réaliser, c’est sorti de mon cœur.
A suivre …
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Bien écrit, agréable à lire. On sent toute la retenue nécessaire à une belle histoire d’amour érotique. J’ai adoré.