LE CLUB LIBERTIN

Je m’appelle Eric et j’ai 43 ans. J’ai une femme, Sylvie, qui a 40 ans.

Ma femme n’aime pas trop le sexe. Nous avons encore des rapports sexuels ensemble, mais assez irrégulièrement et l’impression que j’en ai, c’est qu’elle le fait pour moi plutôt que pour elle-même.

Un jour, j’ai eu la surprise de constater qu’elle regardait des vidéos pornos en cachette. Je m’en suis aperçu en fouillant l’historique de ses recherches sur internet (je sais, ce n’est pas bien d’espionner son conjoint mais je n’ai pas pu m’en empêcher).

Ce qui semblait l’attirer, c’étaient les situations de soumission. Par exemple, elle avait visionné un clip où une femme attachée et masquée se faisait prendre par plein d’hommes à la file.

Cela allait à l’encontre de que ce que je pensais de ma chère et tendre épouse.

De mon côté, je n’étais pas offusqué par ce que je venais de découvrir. Au contraire, ça m’excitait plutôt. Ce n’est pas que je souhaitais voir ma femme se faire prendre par toute une troupe, mais j’aimais savoir qu’elle avait des fantasmes.

Sans lui révéler ma découverte, je lui parlais d’un club libertin qui existait à une trentaine de kilomètres de chez nous. Mon idée était de lui donner l’opportunité de mettre ses rêves plus en accord avec ses actes. Je n’avais pas de plan particulier en tête quant à ce que nous ferions une fois là-bas mais je comptais bien la convaincre d’y aller, ne serait-ce qu’une fois. Par exemple, je n’avais pas envisagé de prêter ma femme à d’autres hommes.

Fidèle à son image, Sylvie haussa les épaules et me dit que le libertinage, ce n’était pas sa tasse de thé. Je lui proposais néanmoins d’y aller le samedi soir suivant, pour voir ce que c’était. J’ajoutais que pour les couples, l’entrée était gratuite et que le thème cette fois était le gang-bang.

Elle me fit valoir que dans ce genre d’endroit, il fallait porter des tenues sexy, et que nous n’avions rien de tel dans notre garde-robe. Je sentais que nous progressions dans la bonne direction. D’une part, elle n’opposait pas un refus catégorique, mais elle mentionnait des obstacles. De plus, j’étais un peu surpris qu’elle sache des choses sur les clubs libertins et en particulier qu’on y prenait soin de sa lingerie. Enfin, elle ne me demanda même pas ce que c’était que le gang-bang.

Je réglais le problème de la tenue en proposant un style sportif pour moi et une robe d’été pour ma femme, ce qui était de saison. Pour les sous-vêtements, je suggérais qu’elle n’en porte tout simplement pas. Bien évidemment elle renâcla et je la vis passer en revue ses tiroirs de culottes et soutien-gorges. J’en fus heureux, parce que cela voulait dire qu’elle prenait ma proposition de visite au club au sérieux.

Le samedi finalement, Sylvie ne mit pas de culotte ni de soutien-gorge. Ce n’était pas habituel pour elle mais j’ai pensé que ça avait dû faire son chemin dans sa tête et qu’elle devait trouver ce choix commode, plus sexy que ses sous-vêtements au style pas très libertin et enfin, ma foi, assez excitant. Cela avait en plus l’avantage de ne faire apparaître aucune marque de slip sous sa robe. Quant à sa poitrine, elle se tenait encore suffisamment, aucun souci de ce côté là.

Nous sommes partis vers 22 heures, après dîner. En arrivant au club, nous avons été accueillis chaleureusement. Nous avons précisé que c’était notre première visite dans ce genre d’endroit et on nous prit en charge de façon très attentionnée. On commença par nous amener aux vestiaires où je pus poser mon veston et ma femme, son sac à main. Puis, elle en robe et moi en chemise, nous sommes allés prendre une boisson au bar. C’était le lieu idéal pour commencer à observer. Ce qui était surprenant, c’était qu’il y avait beaucoup d’hommes. J’ai pensé que le thème de la soirée en était sans doute la raison. Pour qu’il y ait gang-bang, il fallait qu’il y ait gang.

La salle où nous étions se composait de petits coins salons avec fauteuils, canapés et tables basses et une piste de danse. Les canapés étaient propices aux flirts et certains couples se caressaient et s’embrassaient sans beaucoup de pudeur. De même que ceux qui se pelotaient faisaient preuve de pas mal d’exhibitionnisme, les hommes en retrait, soit debout dans la salle, soit au bar, pouvaient satisfaire leur penchant pour le voyeurisme. On pouvait découvrir, par-ci par-là, une robe un peu trop relevée, une paire de cuisses un peu trop ouverte, une main qui disparaissait dans un décolleté ou qui malaxait une protubérance. Apparemment, Sylvie n’était pas la seule à ne pas porter de culotte. Cependant, il n’y avait pas d’acte sexuel en cours, apparent ou caché.

Une hôtesse vint nous rejoindre pour nous expliquer ce que le club proposait. Mis à part cette salle, il y avait des salons privés où on pouvait se retrouver à plusieurs. Ensuite, le club était équipé de jacuzzis, hammams et saunas. Il y avait encore une salle de soumission et une cabine de glory-hole. Pour ce qui était du code de conduite, on pouvait faire ce qu’on voulait, en particulier se mettre nu. Mais pour s’insérer dans un groupe, il fallait le demander avec courtoisie et ne pas insister en cas de refus. Enfin, le club pouvait nous fournir des préservatifs si nous le souhaitions.

De façon surprenante, Sylvie ne posa aucune question, n’éprouvant pas par exemple le besoin de savoir ce qu’était un glory-hole. Peut-être en avait-elle déjà vu sur les vidéos qu’elle regardait sur internet et cela n’avait-il plus de secret pour elle.

Je constatais que ma femme attirait les regards. Nous étions assis sur des tabourets hauts et sa robe découvrait assez généreusement ses cuisses. De plus, nous étions tournés vers la salle plutôt que face au comptoir. Notamment, je voyais qu’un homme assis dans un fauteuil semblait hypnotisé, les yeux pointés vers l’entrecuisse de mon épouse pour ne pas manquer l’instant où elle décroiserait ses jambes, ce qu’elle faisait régulièrement. Il avait dû s’apercevoir qu’elle n’avait pas de culotte.

Une fois nos consommations avalées, nous nous sommes mis d’accord pour faire un tour du côté de la salle de soumission. C’est là que se tenait le gang-bang.

C’était une pièce très bien équipée. Il y avait une croix de Saint André à laquelle on pouvait attacher les quatre membres d’une personne avec autant de menottes. On trouvait aussi accrochés à l’un des murs tout un attirail de petite torture : martinets, liens de bondage, menottes, bougies, sondes urinaires, godes de toutes tailles, avec ou sans ceinture, plugs anaux et même trois modèles de fucking machines.

Au centre de la salle, il y avait une sorte de billot. Une femme y était attachée, le buste sur le plateau, les jambes en position debout et écartées liées à deux des quatre pieds et les bras étendus en croix et eux aussi fixés à la table. Elle était nue. Un homme était derrière elle, le pantalon sur les chevilles, en train de la besogner en lui tenant les hanches à pleines mains. D’autres hommes la caressait. Ceux-là semblaient attendre leur tour. Ils avaient la braguette ouverte et entretenaient leur érection avec une masturbation légère.

Sylvie regardait de tous ses yeux. Elle semblait intéressée à la fois par le sort de la femme, les mouvements de bassin de l’homme avec ses fesses qui s’agitaient d’avant en arrière et les sexes de ceux qui patientaient. L’homme et la femme soufflaient, marquant ainsi le rythme. Puis, on comprit qu’il éjaculait. Après quelques soubresauts, il se dégagea en faisant un pas en arrière, retira le préservatif qui recouvrait sa bite, remonta son pantalon et s’écarta de la table. On pouvait constater qu’il l’avait enculée parce que l’anus était encore un peu ouvert.

L’un des hommes qui attendait le remplaça. Il ne prit même pas la peine de se déshabiller. Il fourra la femme directement avec son sexe qui sortait de sa braguette. Lui aussi avait mis une capote. Cela semblait assez compréhensible pour un gang bang. Il se mit à pilonner sa partenaire plus vigoureusement que son prédécesseur et assez vite il se soulagea. Puis il sortit son sexe, le remit dans son slip et referma sa braguette. On vit que cette fois, elle avait été baisée par la chatte.

Un autre se présentait déjà pour prendre sa place. Il se déculotta complètement, exhibant une belle queue toute raide qui fit l’admiration des autres femmes présentes, y compris la mienne.

Je vis qu’un homme était derrière Sylvie et lui caressait discrètement les fesses à travers sa robe. J’étais très surpris qu’elle le laisse faire, elle qui est d’ordinaire plus farouche. Il descendit sa main pour atteindre la peau nue au milieu de la cuisse. Puis il la remonta doucement, en passant sous le vêtement. Je ne voyais plus exactement quels attouchements il faisait à ma femme mais on pouvait deviner en observant le mouvement de la robe et celui de la protubérance en dessous, qu’il la pénétrait avec ses doigts, profitant de l’absence de culotte. Je vis même Sylvie fléchir et écarter légèrement les genoux, sans doute pour faciliter le passage et permettre une pénétration plus profonde.

Après quelques va-et-vient, l’homme sortit sa main, la sentit puis en nettoya consciencieusement chaque doigt avec sa bouche. Il devait aimer le jus de mon épouse.

Sylvie se rapprocha de moi et m’avoua qu’on venait de lui caresser la chatte. Je lui ai demandé si cela ne l’avait pas importuné mais elle me dit la vérité : elle était très excitée par ce qu’elle voyait. La femme offerte et les hommes qui se succédaient pour se soulager en elle, tout cela la mettait dans un état très vulnérable.

L’homme qui l’avait caressée vint vers nous et nous demanda si ma femme accepterait de se faire attacher à la croix de Saint André. Elle rougit et se tourna vers moi. En somme, elle semblait très attirée par cette proposition puisqu’elle ne protestait pas et que même, cela lui empourprait les joues. Mais elle s’en remettait à moi. Je l’interrogeais du regard pour déterminer si elle était simplement surprise de cette offre ou si elle était vraiment prête à franchir le pas, sachant qu’elle serait alors à la merci de tous les hommes présents.

Je questionnais alors l’homme pour qu’il m’explique comment il allait s’y prendre. Il ne me répondit pas, mais interpréta ma question comme une acceptation. Il prit Sylvie par la main et la mena vers la croix. A ce moment, les personnes dans la salle étaient surtout intéressés par la femme sur le billot, qui continuait à se faire prendre, tantôt par l’anus, tantôt par le vagin. On ne faisait pas encore attention à ce qui allait arriver à Sylvie.

L’homme lui fit lever les bras, pour les attacher aux deux montants supérieurs du X de la croix. Cela lui releva sa robe, découvrant assez largement ses cuisses. Puis, il se baissa et attacha le pied gauche. Il prit sa cheville, écarta ses jambes à soixante degrés et attacha le pied droit. Ma femme tenait sur ses pieds écartés, légèrement adossée à la croix. L’angle des cuisses faisait encore relever la robe.

L’homme vint ensuite nouer un bandeau autour des yeux de mon épouse. Puis, il s’éloigna et annonça à la cantonade que madame était servie.

Aussitôt, un autre homme s’approcha et pelota la poitrine de Sylvie. Il sortit le sein et le téta en aspirant le téton. Je ne sais pas si c’est ce suçon ou bien l’excitation, mais le téton était vraiment très érigé. L’homme le titilla avec sa langue, puis l’étira avec ses doigts.

Un troisième homme vint s’occuper de la partie basse. Il s’assit par terre. Dans cette position, il voyait parfaitement le sexe nu de Sylvie sous sa robe. Il semblait se contenter de se rincer l’œil. Puis, il se remit debout et leva la robe au dessus de la ceinture. On voyait que Sylvie avait la chatte humide. L’homme écarta les lèvres pour regarder la vulve. Elle était toute rose. Il n’y avait plus de doute pour personne : elle était très excitée.

Il caressa les lèvres avec ses doigts, puis pénétra le vagin. Il approcha sa langue du capuchon du clitoris et se mit à en lécher tout le pourtour. En même temps, il pistonnait la chatte avec ses deux doigts tendus. Il le fit de plus en plus vite, jusqu’à ce que Sylvie jouisse. Comme à son habitude, elle émit un petit jet d’urine. Étant donnée sa position, c’était comme si elle venait de pisser debout. L’homme retira aussitôt sa main et la laissa se soulager sur le sol. Mais elle l’implora de continuer et il reprit sa masturbation, la langue stimulant le clitoris et les doigts frottant la cavité vaginale. Peu après, Sylvie émit un second jet, l’homme sortant ses doigts mais ne cessant pas son cunnilingus, se faisant pisser sur le menton.

Sylvie faisait durer le plaisir, à chaque fois stoppant presque immédiatement sa miction. Elle se vidait la vessie, mais par petites doses. Chaque jet était déclenché par les contractions vaginales de l’orgasme. Elle ne pouvait s’empêcher de pousser une plainte à chaque fois qu’elle giclait.

Puis, son plaisir étant terminé, elle demanda à ce qu’on la détache. Les hommes présents qui commençaient enfin à s’intéresser à cette partie de la salle furent très déçus. Mais je vins délivrer ma femme et j’expliquais que c’était notre première visite et que nous devions nous habituer. Dans un club libertin, l’atmosphère est toujours très cordiale et il n’y eu pas de protestation.

Je commençais par baisser la robe et y rentrer le sein. Puis je dénouais les quatre membres et en dernier je lui ôtais le bandeau. Je l’embrassais alors et elle me serra dans ses bras.

Visiblement, c’était assez pour elle pour ce soir. Nous ne tardâmes pas à partir.

Sur le chemin du retour, je la questionnais pour savoir si cela lui avait plu. Elle me dit qu’elle avait été affreusement gênée de faire pipi par terre devant tout le monde. Je la rassurais en lui rappelant que l’homme avait continué à la branler et même à lui lécher le sexe pendant qu’elle se soulageait. Je lui indiquais également que les autres personnes présentes étaient toutes éblouies par le spectacle : sa position en offrande, l’obscénité de la scène avec cette femme troussée et dépoitraillée qui faisait sous elle, tout cela mêlé à son très long orgasme et au travail soigné de l’homme qui lui triturait et lui dégustait le con.

Elle me demanda si cela ne m’avait pas embarrassé de la voir se faire toucher par d’autres hommes. Je lui répondis qu’au contraire, j’en avais été très excité. Je le lui prouvais en ouvrant ma braguette et en sortant ma queue tout en tenant le volant. Elle n’eut aucun doute sur ma complaisance puisqu’elle pu s’assurer, avec sa main gauche, que je ne mentais pas (la conduite à gauche de nos automobiles ne permettent à la passagère de masturber le conducteur que de la main gauche, alors que la conduite anglaise permet une manipulation de la main droite, plus habile chez une droitière). Elle me branla jusqu’à ce que j’éjacule sur mon pantalon. Heureusement, la route était assez droite au moment de mon orgasme.

Je voulus ensuite savoir si elle souhaitait retourner à ce club un autre jour. Elle me répondit indirectement en me disant qu’elle avait été fascinée par la femme offerte, par cette succession ininterrompue de mâles la prenant sans considération, se soulageant en elle.

Tu aurais voulu être à sa place ?

Elle m’expliqua qu’elle avait imaginé pour nous un scénario légèrement différent. Je fus intrigué qu’elle parle de nous et je lui demandais de m’éclairer. Elle voulait elle aussi être sans défense, sans possibilité de se soustraire aux saillies, mais elle voulait voir les hommes la prendre, donc avoir une position ressemblant plus au missionnaire qu’à la levrette. Ensuite, elle voulait que je sois tout aussi contraint qu’elle, pour en quelque sorte assister impuissant au spectacle de ma femme forcée et y prenant plaisir.

Mais dès qu’elle m’eût raconté son fantasme, elle se protégea et tenta de me rassurer en me disant que ce n’était qu’un rêve et que nous pouvions retourner là-bas juste pour voir, sans vraiment participer. Mais plus je réfléchissais, plus je m’identifiais au personnage du mari neutralisé.

Ma chérie, nous allons regarder quand ils organisent une nouvelle soirée gang-bang et nous irons faire un tour puisque ça te fait plaisir.

Une fois à la maison, le site internet du club nous apprit qu’il nous faudrait attendre deux semaines. Nous n’avons pas reparlé de notre future visite, ni du scénario. Mais je suis certain que dans sa tête, ma femme mettait en place tous les détails, comme je le faisais moi-même à ma façon.

Quand il fallut se préparer, je vis que Sylvie sortait de ses tiroirs un nouvel ensemble slip et soutien-gorge très sexy. Je lui en fis la remarque et elle m’apprit qu’elle avait consacré les deux dernières semaines à la recherche de ces sous-vêtements. Elle me surprit encore en me tendant un petit paquet cadeau, qui contenait un joli caleçon pour moi.

Au club, on nous accueillit comme des habitués, même si ce n’était que notre seconde visite. Nous étions arrivé assez tôt dans la soirée et le patron nous dit que les choses sérieuses ne commenceraient que dans une petite heure. Nous en avons profité pour faire le tour des autres aménagements du club, que nous pouvions visiter sans déranger personne puisque tous étaient inoccupés. La cabine de glor-yhole sembla intriguer Sylvie. Elle y resta plusieurs longues minutes, essayant sans doute d’imaginer une femme accroupie en train de faire une fellation à un sexe. Pas à un homme, mais seulement à un sexe. En revenant vers le bar, je me rendais compte qu’elle était très troublée.

Je lui rappelais son scénario et lui demandais comment elle comptait s’y prendre pour le mettre en œuvre. Elle me proposa d’en parler au patron, qui nous aiderait certainement dans nos préparatifs. Je la laissais et me dirigeais vers la salle de soumission. Je vis qu’elle entamait ses explications, que le patron l’écoutait très attentivement et qu’il semblait vivement intéressé. Ils me rejoignirent et le patron nous dit de nous mettre en place sans plus attendre, pour que les autres clients, au fur et à mesure de leurs arrivées, découvrent la scène. Déjà, plusieurs couples et plusieurs hommes seuls étaient au salon.

On commença par dégager un grand espace central. Puis le patron plaça Sylvie debout, les bras levés et écartés en V. On lui attacha les poignets à des anneaux suspendus au plafond. On la prit par les pieds et on souleva ses jambes pour attacher ses chevilles à deux autres anneaux tout aussi éloignés que ceux des bras. Heureusement pour elle, les attaches étaient rembourrées et semblaient ne pas blesser la chair. Sylvie avait les quatre fers en l’air, les fesses étant la partie la plus basse, à hauteur de ceinture des hommes qui l’installaient. Ainsi, elle ressemblait à un hamac. Sa robe était retroussée sur son ventre et on voyait sa culotte. On lui mit un bâillon, une sorte de grosse boule qui lui obstruait toute la bouche, fixée par un caoutchouc solide qui faisait le tour de sa tête. On ne lui mit pas de bandeau sur les yeux, selon son souhait.

Puis, on s’occupa de moi. On me demanda de retirer mon pantalon. On m’accrocha à quatre autres anneaux, dans la même position que ma femme. Nous nous faisions face elle et moi. J’étais aussi bâillonné.

Une fois que tout fut installé, le patron informa l’assistance que nous étions à leur disposition pour satisfaire toutes leurs envies, sans brutalité. Je fus assez surpris par la tournure de la situation. Je savais que Sylvie serait offerte, mais je ne me doutais pas que je le serai aussi. Or ma position était une invitation claire à abuser de moi autant que de ma femme. Mais je ne pouvais pas protester, seulement manifester une éventuelle hostilité en grognant, ce dont je m’abstins, ne voulant pas en plus me ridiculiser.

Un couple s’approcha de nous, l’homme venant se placer du côté de Sylvie et sa conjointe se rapprochant de mes fesses. Ils nous faisaient face et se tournaient le dos. La femme baissa mon caleçon, ou plutôt le releva le long de mes cuisses étant donnée ma position, découvrant mon anus, mes couilles et mon sexe. Je vis que son époux faisait de même avec la culotte de Sylvie. Nos slips restaient bloquées à mi-cuisse mais c’était suffisant pour découvrir nos orifices.

Je vis l’homme trousser la robe de Sylvie jusqu’aux épaules, dégageant ainsi sa poitrine, qu’il se mit à caresser sans vergogne, à deux mains. Il malaxait à pleines paumes, pétrissait et de temps à autres, il pinçait les tétons et les étiraient. Cela pouvait sembler un peu rude comme traitement, mais Sylvie était visiblement excitée. Sa fente s’humidifiait et ses pointes de seins étaient bien dressées.

La femme se mouilla le doigt et se mit à me badigeonner l’anus avec sa salive. Je comprenais qu’elle allait me pénétrer et je voulus l’en empêcher. Mais je ne pus que bouger le bassin de gauche à droite, inutilement et émettre un râle inefficace. Néanmoins, elle devait lire une certaine panique dans mes yeux. Mais elle n’en tint aucun compte et rentra son majeur bien lubrifié dans mon rectum.

Elle continua ainsi à abuser de mes fesses, se crachant dans la main pour mouiller d’autres doigts et m’enculer plus largement. Sylvie me regardait et me voyait souffrir.

Puis la femme sortit de mon champ de vision. L’homme avait délaissé les seins pour s’occuper de la fente. Je constatais qu’il n’avait aucune peine à entrer ses doigts dans la chatte. Pourtant, il le fit sans aucune préparation. En les ressortant, il nous montra qu’ils étaient tout enduits de jus.

La femme revint vers moi. Elle était nue, avec une sorte de porte-jarretelle en cuir. Elle tenait une bouteille de lubrifiant et quatre godemichés, de formes et de tailles différentes. L’un d’eux, le plus grand, avait un aspect étrange mais je n’eus pas le temps de comprendre. Elle en posa trois par terre, hors de ma vue et fixa le plus petit à sa ceinture, qu’elle enduisit copieusement. Elle vint se placer devant moi et exhiba fièrement son outil en cambrant les reins et en pointant le faux phallus dans ma direction. Puis, elle s’approcha, mit le gode sur mon trou, écarta mon sphincter avec ses doigts et commença à entrer en moi.

Pousse pendant que je t’encule, ça te fera moins mal. Voilà, le gland est rentré, le reste va suivre plus facilement tu vas voir.

Elle me tenait fermement les hanches et poussait inexorablement. Je sentis effectivement assez vite le contact du cuir sur mes fesses, ce qui voulait dire qu’elle m’avait tout mis dans le cul.

Tout à ma souffrance, je n’avais pas vu que l’homme s’était déculotté pour enfiler Sylvie. Pendant que son épouse se maintenait au fond de mon rectum, le mari besognait ma femme à grands coups de reins, le pantalon tire-bouchonné sur les chevilles. Il s’agitait si fort qu’on voyait ses couilles ballotter au gré des mouvements de bassin. La femme qui m’enculait commença à son tour des va-et-vient, beaucoup plus lents, mais de grande amplitude. Elle caressa mes testicules avec sa main droite, me tenant toujours la hanche avec la gauche.

Tu commences à aimer ça, n’est-ce pas ? Je vois que tu bandes mon cochon. Tu vas voir, tu vas jouir mieux qu’avec ta femme.

Elle me décalotta le gland et je vis que moi aussi je mouillais.

L’homme poussa un grognement de jouissance. Il eut quelques dernières secousses et il se retira, emmenant avec lui un peu d’urine qui se répandit par terre.

Elle m’a pissé dessus la salope. Mais j’aime ça. Ça fait tout chaud à la bite.

Il enleva son préservatif plein de sperme.

Au suivant. Mais je vous préviens, elle a encore plein de pisse dans le con. Ou alors faut l’enculer elle aussi.

Sylvie venait de se faire baiser par un autre homme et j’aurais dû en être meurtri. Mais ce n’est pas l’âme qu’on blessait, mais mon cul. Et bien que chaque pénétration me fasse souffrir, je bandais. La femme me prenait jusqu’au fond, marquait une pause pendant laquelle elle me branlait une dizaine de fois, puis me reprenait les hanches à deux mains, ressortait presque totalement de mon cul et s’y enfonçait à nouveau.

On va changer de calibre.

Je la vis se retirer et remplacer le gode par un second, un peu plus gros. J’en fus effrayé mais je ne pouvais toujours pas protester.

Pendant ce temps, un autre homme s’est agenouillé devant Sylvie et lui a bouffé la chatte. Il agissait comme un goinfre, collant tout son visage sur le sexe trempé de mon épouse. Je voyais qu’il la labourait de l’anus jusqu’au clitoris, avec de grands frottements de toute sa face. J’imaginais le nez forçant le vagin et sillonnant la vulve et les lèvres. Il devait aussi y avoir la langue. On entendait le bruit de la succion. L’homme visiblement se régalait des sécrétions de Sylvie. Il se mouilla les doigts avec sa bouche, le visage toujours enfoui dans le cul et il perfora l’anus.

La femme lubrifia le gode et le plaça sur ma rondelle. De nouveau, elle poussa, écarta ma raie et fit entrer la bite jusqu’au fond. Elle était plus grosse mais aussi plus longue. Elle reprit son alternance de sodomie et de masturbation. Deux ou trois aller et retour dans mon cul, une dizaine de va-et-vient sur ma queue. Et on recommence.

L’homme pistonnait le cul de Sylvie avec son doigt et continuait de lui lécher la chatte. Il semblait vouloir la faire pisser parce qu’il lui appuyait sur le bas ventre. Je savais que ça ne tarderait pas. Nous entendîmes ma femme émettre une plainte, d’abord feutrée, puis allant crescendo à chaque respiration. L’homme arrêta son mouvement, sortit ses doigts, recula sa tête et on vit un geyser jaillir. Il reprit sa position et recommença à défoncer Sylvie avec trois doigts. Il buvait littéralement ce qui était resté dans le vagin. Le gémissement s’amplifiait. L’homme ressortit sa main et un nouveau jet fusa qu’il prit en plein visage, n’ayant pas eu le temps de se dégager. Il se passa la main sur la figure pour s’égoutter au mieux et reprit sa dégustation et son pilonnage. Ma femme rugissait désormais, à pleins poumons. L’homme déboucha l’anus une troisième fois et il y eut une nouvelle gerbe. Mais cette fois, Sylvie se soulagea sans retenue, à flot continu jusqu’à ce que sa vessie soit vide.

La femme qui m’enculait laissa ma bite pour me tenir au niveau des côtes. Elle restait en moi mais donnait des petits coups en avant. Elle me maintint d’une main et de l’autre me titilla les tétons. Elle était penchée entre mes cuisses et ses seins s’écrasaient sur mon ventre.

Je vais t’ouvrir encore un peu plus mon chéri. Il faut que ton sphincter soit distendu au maximum et ton rectum plein comme un œuf pour que tu appelles ta mère quand tu jouiras.

Elle se retira et prit le troisième gode. Celui là était vraiment très gros, probablement du diamètre d’un concombre et j’eus peur qu’elle me fasse saigner. Elle dû sentir ma crainte parce qu’elle me rassura.

J’irai doucement, ne te fais pas bile. Ça va rentrer comme dans du beurre. Tu as le cul plus accueillant que tu ne penses.

J’observais Sylvie. L’homme qui l’a fait jouir et pisser s’est branlé très rapidement, à côté d’elle. Elle le regardait faire. Un autre homme est venu, cul nu, déjà raide et encapuchonné, s’est craché dans la main, a frotté la raie de ma femme et l’a enculée. Je voyais ses doigts s’enfoncer dans la chair molle des flancs tellement il la tenait fermement. Celui qui se branlait a rapidement éjaculé en dirigeant son jet de foutre vers le ventre de Sylvie. Il étala sa semence sur les seins puis finit de s’essuyer la main sur la bouche de mon épouse.

La femme forçait mon cul avec son énorme mandrin. Je sentais que mon sphincter était déjà dilaté au maximum, mais le gland n’avait apparemment pas encore franchi la porte. Mon enculeuse fit tomber de la salive sur le gode, la répartit tout autour du trou qu’elle agrandissait, tira la peau à gauche, tira la peau à droite, poussa un peu et progressa de quelques millimètres.

Ça vient mon chéri. Tu vas bientôt tout avoir dedans.

Elle me caressa les bourses pour m’encourager et recommença sa technique de pénétration : élargir le passage en tirant sur les chairs à droite et à gauche avec ses pouces, lubrifier le cylindre et l’entrée du trou, pousser encore un peu plus. Je sentis enfin mon muscle se refermer sur le bord du gland. Le gode était pris, fixé en moi. La femme le fit avancer rapidement jusqu’à ce que son pubis bute contre mes boules.

Sylvie et moi nous faisions enculer tous les deux. Elle, à un rythme qui s’apparentait aux trépidations d’un marteau-piqueur et moi, d’une façon qui évoquait le marteau-pilon. On me bourrait le cul à petits coups de reins réguliers. L’homme se figea soudain au fond du cul de Sylvie, la tenant pressée contre son ventre et lui écrasant les fesses. Il se vidait les couilles. Puis, il se retira, ôta sa capote et vint la vider dans la bouche maintenue ouverte par le bâillon. C’est sans doute son prédécesseur qui venait de l’inspirer.

Une file s’était formée près de Sylvie et déjà une dizaine d’hommes attendaient leur tour. Ils avaient tous leur queue en main et se maintenaient en érection. Le premier de la file prit son tour. Il s’agrippa aux cuisses de Sylvie et la força par le vagin. Il était assez gros et soufflait fort. Il donnait des coups de reins lents mais puissants. Il lâcha les cuisses pour attraper les seins. Il s’en servait de point d’appui en tirant dessus pour tracter Sylvie vers lui, puis il appliquait une force contraire pour la repousser. Il créait un mouvement de balançoire qui lui permettait de baiser sans plus bouger son bassin. Il se frottait la queue dans le fourreau à sa disposition, la poitrine lui servant de propulseur.

La femme continuait de me bourrer à petit à-coups.

Je vais maintenant te mettre le plus gros. C’est là que tu vas jouir.

Elle décula et prit le quatrième gode, celui qui m’avait intrigué par sa forme. C’était une main, prolongée par un avant bras, en plastique. Mes yeux devaient sembler vouloir dire que jamais ça ne pourrait rentrer.

Mais si tu vas la prendre, tu vas voir. Tout entière dans ton cul, jusqu’au coude, promis. Et tu vas aimer. Après, je te fisterais. Comme ma main est plus petite que celle là, ce sera une douceur pour toi.

Elle s’enduisit toute sa main droite de lubrifiant. Elle me massa l’anus, entrant directement trois doigts. Mon trou devait être béant. Elle assouplissait le passage en faisant aller et venir ses doigts à l’entrée. Elle ajoutait du lubrifiant et il devait en entrer une forte quantité dans mon rectum. Elle joignit son auriculaire aux autres doigts, puis parvint même à y accoler le pouce. Elle tournait ses cinq doigts enfoncés jusqu’à la troisième phalange.

Elle fixa la main artificielle à sa ceinture, la maintint en position horizontale et l’entra assez profondément dans mon cul. On était cependant loin d’avoir franchi les jointures, le point le plus large de la main. Mais elle ouvrit mon anus plus largement encore, donna des petits coups d’avant en arrière pour assouplir l’anneau avant de progresser à nouveau. Je ne contrôlais plus mon sphincter depuis longtemps. Mais millimètre après millimètre, elle entrait dans mon cul.

Je m’intéressais peu à Sylvie, tout entier accaparé par ma douleur, impatient de sentir la main à l’intérieur pour soulager enfin mon sphincter. Néanmoins, je voyais les hommes se succéder, la prenant par l’un ou l’autre de ses deux trous. Certains la léchaient avant de la baiser, d’autres étaient plus directs, se contentant de sortir leur queue pour la rentrer, sans même se déculotter. Selon leur taille, ils devaient soit se tenir sur la pointe des pieds, soit fléchir les cuisses pour être à bonne hauteur. Une fois qu’ils avaient fini, tous venaient lui verser leur capote pleine de sperme sur le visage. C’était devenu un rituel instauré par celui qui l’avait sodomisée en premier.

Puis c’est arrivé. La femme m’annonça fièrement qu’elle avait franchi le Rubicon. La partie la plus large était passée et je sentais effectivement que la paume de la main glissait dans mon rectum et que mon cul se refermait sur le poignet. Elle se pencha et pris mon gland dans sa bouche.

Tu l’as bien mérité mon chéri. Maintenant que tu en as pris une fausse, je vais t’en mettre une vraie. Tu vas voir, c’est beaucoup mieux. La vraie, elle est plus douce. On peut la faire bouger de l’intérieur, refermer le poing pour remplir ou au contraire, étendre les doigt pour fouiller.

Elle tira le gode vers l’arrière, tout aussi lentement qu’elle l’avait entré en moi. Je sentis à nouveau ma rondelle s’élargir au fur et à mesure que la main progressait vers les articulations des doigts. Mais ce second passage fut un peu moins pénible que le premier. Mon cul devait déjà être un peu entraîné à un tel calibre.

La femme se graissa la main gauche et me caressa ma pastille endolorie. Elle procédait par des mouvements circulaires, le bout des doigts caressant l’entrée du rectum. Progressivement, elle accentua sa pression et sa main s’enfonça. Les cinq doigts furent facilement à l’intérieur. Puis, elle poussa un peu et je sentis qu’elle rentrait la partie la plus large. Ce n’était plus douloureux, mais au contraire une sensation agréable de sentir l’anneau s’écarter, un peu comme quand on fait caca, mais avec une progression dans l’autre sens.

Enfin j’étais fisté, pour la première fois de ma vie. Comme elle me l’avait annoncé, c’était une drôle de sensation de sentir ce poing en moi. Elle le déformait au gré de ses envies. Elle me pistonnait un peu, elle ouvrait sa main, du moins autant que le confinement le lui permettait, elle essayait d’aller plus profond en s’enfonçant plus loin que son poignet. Je voyais son avant-bras disparaître de mon champ visuel en entrant dans mes entrailles.

Avec sa main droite, elle commença à me branler, massant mes couilles puis la bite. Elle savait y faire. Elle tenait ma queue dans sa main. Elle avait son index sur le frein. Elle ne frottait pas la verge mais elle faisait descendre et monter la peau sous le gland et elle me stimulait avec son index. Elle a approché sa bouche et a placé le bout de sa langue sur le méat.

Comme je te touche ta prostate de l’intérieur, tu éjacules du liquide pré-séminal. Pour moi, c’est comme du nectar. J’adore le tirer et l’avaler comme un spaghetti translucide.

Le rythme de sa masturbation s’accélérait et je sentais le plaisir venir. J’essayais de serrer mes fesses mais c’était impossible avec ce bout de bras qui distendait mon sphincter. La femme a senti que le sperme allait gicler et elle appuya sa main enfouie pour accentuer mon éjaculation. Simultanément, elle goba ma bite et aspira de toutes ses forces. Le plaisir était indescriptible. Je poussais une plainte incontrôlable, qui dura la dizaine de secondes de mon orgasme. Puis la femme sortit rapidement sa main, libérant mon cul qui se referma. Ma queue était luisante mais il n’y avait pas une goutte de perdue. Elle avait tout avalé.

Tout ne fut pas fini pour autant. Sylvie continuait à se faire baiser. Tous les hommes de la soirée voulaient se la faire. Elle avait le visage et les cheveux maculés de foutre. Ça tombait par terre en larmes de chandelle. Elle en avait aussi dans la bouche : la boule en caoutchouc qu’elle mordait en était recouvert. Quant à moi, plus personne ne s’intéressait à mon sort. Je restais suspendu et regardais ma femme se faire mettre à la chaîne. Elle n’avait plus d’orgasme mais elle continuait de prendre du plaisir. Cela se voyait à son regard, à sa tête qu’elle tendait vers la capote qu’on déversait, pour placer sa bouche juste en dessous. Je ne la savais pas si friande de semence.

Je n’ai pas compté, mais je dirais qu’une trentaine d’hommes la possédèrent ce soir là.

Une fois que tous furent assouvis, on nous détacha. Sylvie alla à l’espace de bains se refaire une beauté, surtout le rouge à lèvres et un shampoing. Moi, je suis allé me laver les fesses qui étaient très grasses. D’ailleurs, j’avais encore du lubrifiant qui me sortait du cul.

Pendant la route du retour, j’évoquais avec ma femme la séance de bukkake qu’elle venait de subir. Je lui dit mon étonnement de la voir si désireuse de recevoir tout ce sperme sur son visage et plus particulièrement dans la bouche. Je fis le lien avec la cabine de glory-hole et lui demandais si elle serait d’accord pour essayer. Elle me répondit qu’elle y avait pensé elle aussi pendant qu’on la recouvrait de foutre. Elle m’avoua qu’elle avait regretté de ne pas pouvoir en avaler à cause du bâillon. Je sus ce qui nous attendait pour notre prochaine visite au club.

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  1. Perrotte Guillaume le à
    Perrotte Guillaume

    Ultra bandant : cum cum cum !!!

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