le retour de la rippeuse partie 1

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frederic mancini


gode-ceinturelesbien


Ca a pété d’un seul coup. Le vendredi matin tout allait bien. Le lundi, on était en grève.
Oui, c’est le vendredi sur le coup de dix heures que ça s’est vraiment mis en marche. On avait quasiment tous finis notre service. On aurait pu rentrer chez nous. Pourtant, ça ne s’est pas fait.
On n’avait d’ailleurs rien calculé.
Mais tout s’est déclenché très rapidement. Max et Daniel ont attrapé une pile de palettes, et les ont entassées les unes sur les autres, pour faire une estrade improvisée. Et René est monté dessus. On s’est instinctivement tous rassemblés en cercle autour de lui. Aucun d’entre nous n’était syndiqué, mais on était conscients, tous, de nos droits, et du fait qu’ils n’étaient pas respectés. Ca tenait à plein de choses, que l’on voyait s’accumuler depuis des mois. Une grille indiciaire qui ne bougeait pas. Des primes qu’on aurait du nous verser, et qu’on ne nous versait pas, un problème de budget soi-disant.
—Ca ne peut plus durer…Il faut qu’on fasse quelque chose.
Ce qui avait vraiment tout déclenché, c’était qu’une semaine plus tôt René et Stéphanie, qui étaient nos représentants, s’étaient rendus à la com d’agglo pour parler de ce qui nous préoccupait tous. Le déclencheur, sans doute, ç’avait été le fait qu’on aurait du toucher un rattrapage à la fin du mois précédent, et on n’avait rien vu. On en avait parlé ensemble. Ca ne pouvait plus durer, effectivement. On était tous d’accord là-dessus.

—C’est pas vraiment compliqué, je crois, j’ai jeté. Il y a une solution très simple. La ville a besoin de nous . Ils n’en sont pas conscients, parce que les choses se font naturellement. Donc demain matin, au lieu de partir ramasser les ordures, on va se rassembler ici et on va attendre. Il se passera bien quelque chose.
—Oui, parfait, on va faire comme ça, a dit René.
Et voilà, ça s’était bouclé en quelques secondes. Celui qui nous dirigeait, François, on le savait tous, se tenait à l’écart. Il n’approuvait pas. Il ne pouvait d’ailleurs pas approuver. Il était aux ordres de l’administration. Il s’est éloigné, et, sans trop de discrétion, il a attrapé son cellulaire pour passer un coup de fil.
Je suis rentrée. Ca me faisait tout drôle, et je n’étais sans doute pas la seule, de penser que le lendemain, pour la première fois depuis très longtemps, je viendrais, mais pas pour travailler.
Pour la plupart d’entre nous, et d’évidence parce que nous sommes conditionnés, le travail c’est une obligation, et ne pas en avoir ou y renoncer, même provisoirement, nous met mal à l’aise. Et c’était vrai que l’idée de ne rien faire le lendemain ne me convenait pas. En même temps…Nous étions exploités…Si nous ne faisions rien nous ne serions pas mieux payés. Déjà que même avec hausse de salaire et prime, il n’y aurait rien de miraculeux.
Vingt ans plus tôt, on m’en avait parlé, il y avait eu une grève pour des motifs identiques. Elle avait duré deux mois. On était peut-être engagés pour la même durée.
Je suis parti vers la ville. Les quartiers pavillonnaires du nord. Ce n’était pas habituellement, ma zone de travail, mais j’avais rencontré, en plein effort, une blonde avec qui une attraction mutuelle faisait que nous nous retrouvions quasiment tous les midis, et que le sexe passait avant le repas partagé. Il y avait une attirance mutuelle, une fascination mutuelle. Je ne savais pas combien de temps cela durerait, mais tous les moments que je passais avec elle étaient agréables, et me rendaient la vie plus douce.
Elle laissait généralement la porte ouverte quand elle savait que j’allais arriver, je n’avais qu’à la pousser et aller la rejoindre.
Elle avait le bon goût, une sorte de cadeau pour moi, de se mettre en scène dans une situation érotique souvent très hard. On basculait très vite à partir de ce point.
Je l’ai trouvée dans le living. Elle s’était posée sur le canapé, avec pour tout vêtement une chemise ouverte sur son corps.
Si j’avais été un homme, j’aurais été en pleine érection. J’étais une fille, alors j’ai senti mon sexe s’entrouvrir et mes sécrétions couler, pour venir mouiller mes chairs. Elle avait beaucoup de charme, avec ses cheveux blonds coupés très courts, à la garçonne, sa quasi absence de seins, il y avait juste des aréoles, et deux tétons, qui, par contre, comme pour compenser le manque de chair les précédant potentiellement, étaient volumineux, aussi longs que durs. D’ailleurs, à ce moment précis, ils étaient bien épais et bien longs. J’adorais les mordiller, la main sur son sexe, prenant celui-ci quand il était encore clos, le  sentant s’ouvrir, et se mettre à suinter d’abord, couler ensuite. Ses deux tétons étaient une prodigieuse source de plaisir, et, ainsi qu’elle me l’avait confié, elle pouvait jouir uniquement en jouant avec.
Mais pour l’heure, ce n’était pas le cas. Elle faisait aller et venir un vibromasseur entre les lèvres de son sexe, s’abandonnant au plaisir qu’il lui procurait. C’était un objet de plastique rose, avec une base plutôt large, mais qui devenait plus serré en remontant, et un socle noir, par lequel elle le tenait.
D’où je me tenais, je pouvais voir bien voir le mouvement du vibro qui allait et venait entre ses lèvres, et qui était arrosé par ses jus intimes qui coulaient dessus, venaient dégouliner au bout du pénis factice et de ses doigts. Ses lèvres étaient étendues hors d’elle, toutes gonflées.
Elle a retiré le gode d’elle. Son sexe était bien ouvert d’excitation. On voyait son intérieur tout rose. Elle a joué de la provocation en venant glisser ses deux index en elle pour s’ouvrir plus encore. Ainsi, je pouvais apercevoir son utérus au fond.
—Si tu venais me fouiller?,  j’ai envie que tu me fasses jouir.
C’était le genre de proposition qu’on ne refusait pas. J’éprouvais pour elle un désir intense que le temps n’avait pas encore usé. Elle me manipulait d’ailleurs plus ou moins avec. Elle faisait de moi ce qu’elle voulait.
Je suis venue me pencher sur elle, commençant par ramasser le vibro. Je l’ai glissé dans ma bouche, et sucé, ses goûts intimes me remplissant. C’était bon, mais moins sans doute que de venir sur son sexe. Même s’il était nettement entrouvert d’excitation, et d’avoir fait aller et venir le gode en elle, j’ai, comme elle l’avait fait, mais sans doute de manière moins accentuée, glissé mes doigts dans l’entrée de son sexe pour l’ouvrir. Mon regard a glissé, au plus près, vers son intérieur, ses parois roses, luisantes de ses sécrétions. Elle a crié quand j’ai plongé ma langue en elle, aussi loin que possible pour venir la caresser sur cette zone ultra-sensible. J’avais une langue assez longue, et surtout j’avais trouvé la bonne technique pour la fouiller. Elle adorait ça. La meilleure preuve, c’était autant les jets de sécrétions qui venaient couler dans ma bouche que le fait que son clitoris se décalotte tout seul et pointe, en haut de ses lèvres, prenant plus de volume à chaque nouvelle caresse. Je poussais ma langue aussi loin que je le pouvais, caressant  non seulement ses parois, mais également tous ces replis de chair qui font l’intérieur d’une fille. Dans un même temps, alors que je m’appliquais pour lui donner du plaisir, et c’était apparemment le cas, à en juger par la manière dont elle se tordait au bout de ma langue, je me suis défaite, descendant mon jean et ma culotte pour venir me caresser en même temps que je la fouillais. En quelques minutes, j’avais eu le temps de tremper ma culotte en coton, et mon sexe était largement ouvert, sans qu’il le soit autant que le sien, que j’ai caressé en tournant sur mes lèvres, avant de glisser deux doigts en moi et de les faire aller et venir dans des bruits visqueux. Elle avait cette capacité que n’avaient pas d’autres filles de pousser mon excitation au plus haut très rapidement.
Je suis remonté sur son clitoris. C’était la première partenaire que j’avais que la nature avait doté d’un clitoris aussi gros. Si au tout début, il restait timidement en retrait dans sa gaine de chair, quand l’excitation venait, il avait tendance à sortir très rapidement, et il gonflait de manière exponentielle. Ca lui faisait une mini bite. Je n’étais pas sûre que des hommes qui avaient des micro pénis aient de queues plus longues.
J’adorais le sucer, autant parce que cela lui procurait un plaisir intense, et j’aimais lui procurer du plaisir, mais comment n’en aurait-il pas été ainsi avec un bout de chair aussi innervé, que parce que la sensation était troublante. Quand son clitoris envahissait ainsi ma bouche, c’était un peu comme si j’avais eu une queue dans la bouche, et c’était aussi perturbant qu’excitant.
—J’ai envie que tu me prennes comme un homme prend une femme. Maintenant.
Elaine avait une passion pour les jouets de tous ordres. Elle en avait des tiroirs entiers, et elle en achetait constamment de nouveaux. Quand on s’était connues, et que notre relation était devenue plus intime, elle m’avait avoué qu’elle adorait se donner du plaisir avec des jouets mais elle avait ajouté que c’était aussi bien pour prendre du plaisir à deux. Je m’en étais rendue compte très vite.
Je suis parti chercher ce qu’il fallait dans le tiroir d’un meuble bas. Elle en avait disposé dans chaque pièce. J’ai trouvé le jouet que je cherchais, elle ne l’avait pas déplacé. Il y avait deux parties, des lanières de cuir, il fallait un moment pour comprendre comment ça fonctionnait, et un gode, moulé sur une queue, plutôt long, avec une paire de couilles que j’avais déjà eu l’occasion d’utiliser. Mais le plaisir serait aussi fort.
En me harnachant, mon esprit a dérivé sur cette grève que nous avions décidé d’entreprendre. Si dans un premier temps, j’avais été optimiste, je me sentais soudain assaillie par une prémonition très sombre, comme une vague qui m’aurait submergé. Non, ils ne céderaient pas si facilement que ça, et nous allions devoir affronter des temps difficiles.
Il me fallait profiter intensément de ce moment présent, l’avenir proche serait sans doute moins heureux.
Il y avait tout un cérémonial à faire, attacher la ceinture, mais aussi fixer les lanières pour que l’ensemble tienne bien. Car le fait que la harnachement soit vraiment bien fixé était le gage d’un double plaisir, celui de la partenaire mais aussi le sien propre.
Ca me faisait toujours un drôle d’effet quand je me harnachais ainsi. C’était vraiment troublant, parce que ce n’était pas comme s’il s’était juste agi  d’un simple postiche, à la limite du déguisement. J’avais l’impression étrange qu’une queue m’était réellement poussée qui, allait me permettre de me glisser en elle et de lui donner du plaisir, mais aussi d’en prendre. C’était une sensation dont je pensais qu’elle s’épuiserait, mais ça n’était pas encore le cas.
Je me suis approché d’elle, alors que ses doigts glissés en elle, elle s’ouvrait à nouveau, comme un appel, au cas où j’aurais changé d’avis.
Je me suis posée près d’elle sur le canapé. Le gode de plastique me faisait une bite obscène, dressée. Je l’ai attrapée par la taille, et elle est venue se positionner sur mes cuisses, juste devant le gode. Elle l’a pris au creux de sa main, et avec un sourire sur le visage qui disait le bonheur de ce moment partagé, elle s’est mise à masturber la queue, comme elle l’aurait fait avec une bite de chair. Ce n’était pas un geste si innocent qu’il y paraissait. En effet la base du gode appuyait contre mon sexe, et le moindre frémissement du pénis de plastique se répercutait contre mes lèvres et mon clitoris. Ca pouvait paraître bénin, mais répété des dizaines de fois, c’était du plaisir et la montée vers la jouissance.
—J’ai toujours l’espoir de voir du sperme jaillir de cette queue quand je la branle. Heureusement que l’imagination vient au secours de nos envies…
—Ca serait bien…Ma queue fichée en toi, et je te ferais jouir en crachant des jets de semence…
—C’est quand même bien comme ça, elle a dit en se redressant de quelques centimètres, guidant la tête du gode vers l’ouverture de son sexe, et se laissant retomber dessus, en l’avalant.
Elle a poussé une espèce de soupir de contentement. Autour du gode, je sentais la masse de son corps, tout autant que la manière dont sa vulve venait gainer la queue de plastique. Mes mains sont venues autour de sa taille, pour glisser jusqu’à ses fesses, dont j’appréciais le charnu tout autant que le rebondi. Je l’ai faite aller et venir sur la queue de plastique, qu’elle arrosait de ses jus. Au début, j’avais toujours le sentiment de tout contrôler, et puis très vite, le plaisir s’emparait de moi. C’était l’effet boomerang. La queue de plastique lui donnait du plaisir en caressant ses chairs intimes, mais chaque vibration revenait vers moi en retour, et le plaisir était très vite partagé, ainsi que la montée vers la jouissance. J’aimais ces moments où les contours de la réalité, toujours moche, se dissolvaient, et où on se rejoignait dans le plaisir, s’abandonnant totalement et jouissant de concert. Un moment précieux où nous étions projetées l’une vers l’autre, et nous ne faisions plus qu’une quand la jouissance nous prenait, nous faisant crier et cracher nos jus intimes.

 

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