Je ne voudrais paraitre présomptueux, mais il y a de bonnes fortunes qui méritent d’être racontées. Avec mon amie nous avions la nouvelle habitude d’aller à un sauna qui m’émoustillait. Je sentais bien qu’il fallait en tirer parti mais ne savait pas comment. J’avais arrangé avec Françoise une soirée régulière, qui devrait devenir coquine.
La première fois, le déshabillage avait été facile malgré le vestiaire commun. Nous n’avions vu qu’une autre femme jeunette accompagnée de son ami, qui veillait attentivement. Nue d’accord … mais un bon peignoir cache l’essentiel.
On l’a revue au sauna, où ses petits yeux fouillaient partout, mais sans attirer l’attention. Je n’avais pas aperçu de soutien-gorge, j’avais d’ailleurs exigé que Françoise n’ait ni soutien-gorge ni petite culotte dans le sauna.
Avec la chaleur les peignoirs avaient tendance à descendre pour les hommes, comme pour les femmes. Bientôt tous avaient le peignoir autour de la taille, et j’avais commencé à admirer les petits seins fermes de la jeune donzelle. Françoise n’était mal lotie non plus, mais j’avais inventorié complètement le panorama, seins et tout.
Lors du dernier sauna Françoise m’avait dit : « si tu veux que j’aille plus loin avec quelqu’un, à toi de me le dire ». Vous imaginez le plaisir ressenti ! Mais plus loin c’est quoi ? A poil devant lui ? A poil devant tous ? Accepter qu’il me touche. Bien sûr j’avais beaucoup d’images en tête… mais je n’avais pas encore montré davantage d’exigence, j’avais laissé son imagination galoper, et de ce côté elle en produisait.
Je voyais l’assistance s’échauffer. Huit personnes autour du fourneau cela fait beaucoup de libido en ébullition.
Soudain un mec se lève le membre tendu et dit à Françoise: « suce ». Une vulgarité que je n’ai pas acceptée, faisant un fort signe de dénégation des deux mains. Personne ne prononçait une parole, comme étranger à la scène… mais je voyais que cela n’était pas si inhabituel.
Bien plus tard, Françoise me dit : « J’aimerais faire l’amour avec lui », me désignant son voisin de droite grand escogriffe velu, qui sans que je le voie avait pris sa main pour lui faire apprécier la raideur de son membre prêt à l’accouplement. En disant « non » je me ravise et leur dit « d’accord mais à ma manière. On monte tous les trois ». Dans l’escalier nous sommes suivi par une demi-douzaine de spectateurs ou acteurs potentiels.
La salle en haut est couverte d’un sol doux qui doit avoir l’habitude. Je dis à l’escogriffe velu « Couche-toi sur le dos » au milieu. Elle arrive en peignoir : « Non, toute nue », puis : « Mets-toi à cheval sur lui ».
Malheureusement, comme son étalon a commencé à débander, j’enjoins à Françoise « Réchauffe-le ». je n’avais pas prévu qu’elle se coucherait sur lui, complétement à poil , et qu’elle le ferait à la bouche. L’excitation dans la salle est à son comble. Il y a maintenant une vingtaine de voyeurs et de voyeuses.
Rapidement son pénis gonfle et elle se place sur lui, s’empalant sur son membre qui est presque monstrueux, en tous cas bien plus gros que le mien. A ce moment je me place en tête de cortège… « Attention, je veux que tu jouisses ». Une autre fois elle avait subi un assaut sans joie aucune.
Petit à petit je vois son visage changer, devenir lubrique, puis sérieux comme pour un acte important, enfin tendu vers l’acte, et complètement décomposé au coït final.
Je la fais rouler sur le côté, la remercie, l’emmène à la douche, tous ensemble à poil, dans une certaine bonne humeur, sans ostentation. On rentre par le métro ou elle me reproche mes demandes implicites.
Jamais on n’en a parlé… Cela n’a pas nui à nos relations ni sexuelles, ni amoureuses… Et je me suis promis de renouveler une pareille expérience, dans un autre pays… Pourquoi pas ?
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