Le vieil horloger-bijoutier et son frère

Ces faits se sont produits il y a seulement 6 jours, mais nous avions vraiment envie de les partager avec vous tellement ce fut merveilleux.

Il y a 2 semaines j’ai été porter l’horloge qui appartenait à mes grands-parents et dont j’ai hérité il y a 2 ans. A chaque heure elle perdait presque 10 minutes, je tenais à ce qu’elle soit réparée car j’y tiens beaucoup. Mon mari est client chez cet horloger-bijoutier et ses parents également depuis plus de 30 ans.

Bref, ce jour-là, sous un beau soleil, je me suis rendue dans ce magasin. L’horloge pesant un certain poids j’ai dû demander de l’aide pour la sortir du coffre de la voiture. L’horloger m’a aidée bien aimablement et nous l’avons déposée sur le comptoir.

Tout au long de mon explication sur la panne de l’horloge, l’homme ne cessait de me déshabiller du regard et je me demandais si il comprenait bien ce que je lui disais. C’était un peu de ma faute, vu le temps j’étais habillée très légèrement, juste une petite jupe et un top à bretelles.

Le fait d’être regardée ne me dérange pas, surtout quand c’est par des hommes d’un âge certain, mais là j’avais l’impression qu’il allait me sauter dessus dans le magasin !

Il aimait mater, j’allais le combler !

Lorsque j’ai pris congé de lui, et alors que j’allais ouvrir la porte, j’ai « accidentellement » fait tomber mon sac dont une partie s’est répandue à même le sol. Coquine, c’est en me penchant sans plier les jambes que j’ai lentement ramassé le tout. D’où il était (derrière son comptoir) il n’avait pu rater la vue offerte sur mes fesses. Je suis sortie du magasin et rentrée chez moi où j’ai tout raconté à mon copain.

Il m’a dit qu’il n’était pas étonné du comportement de l’homme, qu’il avait une réputation de pervers tout comme son frère.  » Si tu veux ta réparation gratuite tu n’auras qu’à lui remontrer tes fesses lorsque tu iras rechercher ton horloge, je suis certain que ça fonctionnera « .

Sans réfléchir ma réponse a fusé:  » Je ne suis pas une pute, si je baise avec cet homme ce ne sera pas contre la gratuité de la réparation « .

Mon homme m’a regardée assez ébahi et a ajouté:  » Tu as envie de baiser avec lui ? Pour me répondre ainsi c’est que tu y as pensé ! « .

Effectivement, en revenant du magasin je m’étais imaginée prise par l’horloger derrière son comptoir, je m’étais même caressée en y pensant. Il faut dire qu’il a tout pour me plaire, la soixantaine bien passée et de nombreux kilos superflus.

A part mon homme et quelques aventures de jeunesse, je ne couche qu’avec des hommes au minimum de 60 ans, c’est mon fantasme réalisé quantité de fois. Et jamais avec des maigres, beurk !

Mon homme m’a dit qu’il marquait son accord, mais qu’il aimerait être présent comme souvent.

L’idée et l’envie ne m’ont pas quittées les 2 jours suivant et j’ai compris que je ne pourrais pas attendre le délai qu’il m’avait fixée pour la reprise de mon horloge. Il me fallait un prétexte pour accélérer les choses.

Alors j’ai téléphoné à l’horloger et lui ai demandé si il acceptait que je vienne lui porter ma montre à nettoyer ( c’est son business, je savais qu’il ne dirait pas non mais je tenais à ce qu’il sache que j’allais venir ), il a dit oui et je lui ai dit que je passerai vers 17h45 ( sachant que le commerce ferme à 18h ).

Je voulais mettre toutes les chances de mon côté, j’ai enfilé ma jupe la plus courte (34 cm) et légère ainsi qu’un top ultra moulant sans rien dessous. Avec ça et mon air canaille il lui faudrait être gay pour ne pas succomber !

Lorsque je suis arrivée au magasin … SURPRISE !!! Il n’était pas seul mais avec un autre homme ( c’était son frère mais je ne le savais pas encore ). Mon homme m’avais dit qu’ils étaient pervers tous les 2, à ce moment-là j’ai deviné que ce n’était pas une coïncidence que sa présence.

J’ai déposé ma montre sur le comptoir et ai expliqué ce que je souhaitais lorsque j’ai vu le frère sortir du comptoir et se diriger, mine de rien, vers la vitrine près de la porte d’entrée.

Réagissant au 1/4 de tour, et malgré la courtesse déjà extrême de ma jupe, j’en ai rapidement relevé un bout que j’ai coincé dans mon string. Ainsi il avait une vue démoniaque qui devrait le ravir.

Il s’est rapproché de moi et m’a dit que j’avais vraiment une belle montre. Il a marqué un temps d’arrêt puis a continué en me disant que ce n’était pas la seule belle chose que je lui permettait d’admirer.

Avec un air coquin je lui ai demandé de quoi il parlait et, sans aucune gêne, il m’a répondu que mon petit string jaune garnissait agréablement mon fessier.

 » Peut-être devriez-vous venir derrière le comptoir afin de mieux regarder le mécanisme de votre montre  » me dit-il.

 » Si vous voulez  » ai-je répondu.

A cet instant je me suis posée la question de savoir si il avait déjà proposé ça à d’autres femmes.

Derrière le comptoir je me suis retrouvée entre les 2, pendant une petite minute ce furent des explications sur le mécanisme. Mais, alors que le frère venait de déposer une main sur mes fesses, une dame entra pour venir rechercher un bijou.

Cela ne gêna nullement mon peloteur qui continua ses caresses et insinua sa main entre mes fesses.

Lorsque la cliente fut sortie l’horloger alla fermer la porte et éteignit les lumières avant de venir nous rejoindre.

J’avais les 2 mains du frère en moi, une entre les fesses et l’autre me titillant le clitoris.

Le bijoutier s’exprima alors de façon très crue:  » Tu es une petite salope, je suis certain que tu es revenue pour te faire baiser, mon frère et moi allons nous amuser avec toi « .

 » Vous vous trompez un peu  » ai-je répondu sous leurs caresses,  » je veux bien faire l’amour avec vous 2, mais chez moi et en présence de mon mari « .

Sans cesser de jouer à 4 mains sous ma ceinture, ils m’ont regardée d’un air étonné et l’horloger m’a dit:  » Ton mari est un voyeur ?  » . J’ai acquiescé et ai spécifié que c’était seulement ainsi que j’accepterai de me donner à eux.

J’étais penchée sur le comptoir, une des mains me masturbait et j’étais proche de la jouissance.

 » Ok, me dit l’homme, mais quand ?  »

Je les ai invité pour le samedi 21h.

Mais ils n’avaient pas très envie de me laisser partir et se sont mis à m’embrasser tour à tour tout en s’amusant avec ma chatte.

Tout à coup, le frère a pris ma main et l’a amenée à son sexe qu’il avait sorti. C’était un beau calibre et bien ferme pour un homme de cet âge ( 68 ai-je appris ). Je l’ai branlé quelques instants puis il a appuyé sur mes épaules, j’ai compris ce qu’il désirait.

J’étais prête à me mettre à genoux, mais avant je leur ai dit que ce ne sera rien de plus qu’une pipe, que le reste aura lieu chez moi.

A genoux je me suis mise à les branler tous les 2, alternant ma bouche de l’un à l’autre. Le bijoutier est moins « gâté » par la nature que son frère, mais c’est lui qui m’a offert la plus grande quantité de sperme, comme quoi …

Je vous écrirai la suite dans quelques jours, si vous aimez.

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