Pétula aimait beaucoup cette période, douce et tranquille, annonçant l’été mais sans avoir à supporter déjà les fortes chaleurs. Les fenêtres de l’appartement, toutes grandes ouvertes sur l’extérieur, la fraîcheur de courants d’air vivifiants, la montée de la sève et l’annonce du premier match de rugby de la saison qui annoncerait – sans faille – la victoire du RC Carcassonne sur ces mous d’Agen, tout ce climat plein de testostérone mettaient la jeune femme de bonne humeur. Depuis quelques temps, elle se sentait bien, très bien même; libre et dépassionnée, elle prenait la vie comme elle venait, prête à la goûter sans trop faire la difficile. Son objectif étant de ne rien projeter et de laisser le destin la mettre sur des routes neuves et suaves.
Ce soir, tout Paris semblait avoir déserté la capitale, seuls les accrocs au rugby gonflaient les bars et les bistrots en manque de meutes et de corps à corps. Il faisait tranquille et Pétula, au régime, se lançait dans le nettoyage de sa petite salade verte et de quelques tomates écarlates. Les mains sous le robinet, tout entière à sa tâche, elle songeait: C’est fou ce qu’ils mettent comme saloperies sur les fruits et légumes. Il faut vraiment les frotter et frotter encore. Elle s’attaquait maintenant à une épaisse carotte qu’elle astiqua si bien que la comparaison avec un sexe d’homme ne lui échappa nullement. Rien qu’à la pensée de ce qu’elle pourrait faire de ce légume elle se sentit fébrile et impatiente d’être à ce soir. Elle appréciait de se donner du plaisir avant d’éteindre et de voguer vers des rêves souvent très érotiques. Ce n’est que lorsqu’elle eut terminé qu’elle se sentit observée. Relevant le nez, elle découvrit, au travers de ses vitres, un individu la scrutant. Depuis son appartement situé juste en face du sien, ce type – pas-mal d’ailleurs – la regardait sans saillir. Torse nu, baraqué, il restait là à la chaleur du soir, en arrêt comme un chien de chasse. Pétula se sentit mise à nu par cet observateur impudent. La chose était si nette qu’elle ne sut quelle attitude prendre. Instinctivement, elle porta ses deux tomates et sa carotte entre ses seins. Ce geste de pudeur, finalement obscène d’une énorme carotte et de deux tomates logées au creux de ses nichons débordant de son tee-shirt en V, elle l’imagina ridicule : Qu’est-ce que je suis bête. Que veux-tu qu’il comprenne ? Il va débouler vite fait et te faire ta fête ! Elle abaissa donc son verger jusqu’à l’évier et, intimidée, entreprit – comme si de rien n’était – un nouveau nettoyage de ses légumes. Désormais, du coin de l’œil, elle aussi zieutait l’immeuble d’en face. Mais c’est qui ce type ? Et canon avec ça ! En plus, je parie qu’il est à poil. Vas-y mon vieux, recule-toi un peu que je vois ta zigounette !
Charlie, elle l’appela Charlie, n’en perdait pas une miette. Soudain, comme s’il l’entendait, il se retourna et, s’éloignant au fond de son appartement dévoila ses fesses petites mais musclées. Putain ! Mais putain, mais qu’est-ce qu’il fait ? Oooh ! Mais il ne sait pas que je ne suis qu’une femme moi ? À ce rythme, je ne pourrai jamais tenir ! Le crâne de Pétula enflait comme un ballon tandis que sa chatte s’humidifiait à la recherche d’une copulation animale. Oh ! Une bite, il me faut une bite ! Charlie, apparemment toujours en phase avec les pensées de Pétula revint, une serviette vaguement nouée à la taille. Il éteint la lumière de son salon, ouvrit la porte fenêtre de sa terrasse et s’installa sur une chaise longue, bien logé dans le viseur de Pétula. Le visage de Charlie était maintenant masqué. La jeune femme ne voyait qu’un corps offert à ses regards, vautré sur sa terrasse. À la chaleur de la nuit, Charlie dénoua sa serviette et l’envoya balader. Il découvrit une bite énorme, gonflée comme du bois bandé, impudique, offerte aux yeux de Pétula. Puis, jetant ses bras derrière la nuque, il souleva son bassin pour faire comprendre à la fille qu’il était fier d’être pareillement monté. Pétula n’eut d’yeux que pour le vit surdimensionné de ce type. Elle comprit qu’au lieu de rester ainsi, la bouche ouverte, elle devrait plutôt prendre une attitude. Mais laquelle ? Celle de la fille qui en a vu d’autres et souffle, blasée : Mais, elle est toute petite ! Ou celle de la nana platement intéressée par le joystick de Musclor et qui peine à retrouver ses esprits ? Il fallait réfléchir à la situation avant de… avant de… de quoi exactement ?
Il faisait si chaud que Pétula, au retour de son travail, s’était automatiquement délestée de ses habits, ne gardant qu’une petite culotte blanche, échancrée, et un tee-shirt en V plongeant, humidifié par l’eau de l’évier. Un vrai concours de tee-shirt mouillé. Pétula sentait bien son émoi. Le regard fixé sur le zob du voisin, sa chatte s’ouvrait comme une fleur au soleil de l’été. Sa foufoune s’offrait sans pudeur, coulante de plaisir. Déjà, ses doigts fouillaient son intimité avide et impatiente d’être remplie.
Sûr de son effet, Charlie se saisit la queue comme d’une quille. Il offrait un spectacle et se mettait en scène. L’inspiration était totale et le gaillard entièrement voué à son art. Sa main allait et venait tranquillement autour du vit fougueux. Cette nonchalance eût raison de Pétula. En un instant, elle éteignit la lumière et courut vite, très vite, jusqu’à sa chambre. De son lit, et au travers d’une immense verrière, la vue était magnifique sur le balcon d’en face. Coquine, Pétula s’éclaira d’une simple veilleuse. Impatiente d’offrir ses formes au voyeur, elle écarta les jambes et attendit. Charlie, lui, avait été un peu décontenancé par la disparition de la fille. Il était maintenant rassuré de la distinguer, affalée, nue sur son plumard. La salope jouait le jeu. Certes, il ne distinguait pas bien son visage, mais pour le reste il y avait de quoi se régaler. De toute évidence la nana l’observait avec attention; elle était à poil et déjà à l’oeuvre. Accoudée sur son lit, une main titillant un bout de ses seins, ses doigts visitaient une chatte magnifique et ouverte à qui voudrait la prendre. Charlie banda plus encore et mit de l’huile sur le feu en se branlant la bite et exhibant ses couilles au regard de la chaudasse. Il s’agissait d’une excitation mutuelle : « Regarde comme je bande en t’observant ! Et toi, regarde comme ma grotte est ouverte en voyant ta queue! N’as-tu pas envie de me sauter ? Ne vois-tu pas comme mes doigts entrent facilement dans mon con ? Je suis trempée, j’ai envie de sentir ton sperme sur moi !
Une même longueur d’ondes anime les amants exhibitionnistes.
Pétula saisi la carotte qui, tout à l’heure et déjà, l’avait fait fantasmer. Elle joue avec le bel engin et se caresse le clitoris du bout du végétal. Que c’est bon! Un délice ! Et le mec d’en face toujours en train de s’exciter le machin en la regardant faire. La voici devenue star du porno. La carotte va et vient au fond de sa chatte. Cette belle carotte veinée comme un vieil arbre dépravé. La sensation est merveilleuse de se sentir prise. Pétula la sent bien cette bite improvisée. Voilà une masturbation dont elle se souviendra; Charlie aussi, sans doute, au point où il en est, la trique érigée comme un totem sacré !
Pétula est prête à jouir quand Charlie – ce bon vieux Charlie – arrête tout, saisit sa serviette, et se relève. Mais que fait-il ? se demande la jeune femme. C’est que j’allais jouir moi ! Et, confuse, se perd en conjonctures. L’homme revient bientôt suivi d’une superbe jeune fille. Évidemment, se dit Pétula, une blonde magnifique, jeune, dotée d’une poitrine à faire frémir de jalousie toutes les bonnes femmes. Quel scandale. Pfff !!! Et moi là-dedans ? Mais Charlie embrasse la fille et, se tournant ensuite vers l’appartement de Pétula, montre du doigt ses fenêtres. La blonde regarde à son tour en direction de Pétula et, passant la main sous la serviette de Charlie, commence à le branler. Elle se montre effrontée. D’un mouvement assuré, elle arrache la serviette du mec et met à nu cette pine que Pétula connaît déjà bien. La pétasse ! grogne-t-elle. En une seconde la blonde est à genoux à sucer l’engin avec ardeur. Elle lape le gland de sa langue, suce le chibre de toute sa longueur, donne des milliers de petits coups sur le membre sensible, bleu, déjà prêt à exploser. De temps à autre, la fille jette un regard vers Pétula qui se caresse à nouveau. Mince, mais je n’aime pas les femmes moi ! Mais c’est trop sexy ! Hard au possible ! Putain, il me faut contrôler ma respiration !
De toute évidence, plus cette blonde ressent l’excitation de la voisine et plus elle suce la bite sur deux jambes avec entrain. Charlie est en extase. Ni tenant plus, il retourne la nana sur la table de la terrasse. De l’index, il lui écarte la culotte qui semble si fragile et présente sa bite au cul de la pouliche. Le phallus de Charlie cherche un passage entre les fesses de ce mannequin ambulant et la prend comme ça, en une saillie parfaite. La blonde ne cesse de regarder Pétula qui n’en peut plus, mais se sent un peu abandonnée. Vas-y Charlie, mets-lui ta bite dans son fion… qu’est-ce que je donnerais pour être à sa place, la connasse ! La fille fixe toujours Pétula et soudain lui fait un signe: « Viens, viens ! » Mais Pétula ne réagit pas. Les trucs à trois, un mec avec deux filles, ce n’est pas son film. Elle n’est pas lesbienne pour un balle. Mais enfin, elle respecte. Ils sont beaux tous les deux. La blonde réitère son invitation. Pour un peu, Pétula craquerait bien… mais enfin, vous savez ce que c’est, il manque le petit Je ne sais quoi ! La fille est déçue. Les amants semblent parler un peu et abandonnent leur position. Charlie rejoint l’appartement et revient bien vite avec un grand et énigmatique carton qu’il laisse sur la table de la terrasse. Il s’assoit. Comme tout ceci est étrange, s’étonne Pétula. Mais déjà, la blonde enjambe Charlie, écarte ses fesses et, visiblement, positionne la bite de son amant au niveau de son cul. Le vit de Charlie écarte à nouveau la culotte et pénètre l’anus de la fille. Il l’encule. Il l’encule, et apparemment l’un et l’autre aiment beaucoup ça. La blonde va et vient sur le membre du mec; elle se caresse les seins et en devient presque folle. Soudain, continuant toujours ses mouvements de haut en bas , elle saisit le carton apporté par Charlie et le montre à Pétula. En grand est inscrit un 06, un numéro de portable, celui de Charlie très certainement. Pétula se pince les lèvres. Va-t-elle craquer? mais les trucs avec les filles, ça ne lui dit pas trop. Et puis, elle est bien là, à regarder. La blonde insiste. Pétula fait signe non de l’index. La blonde hausse les épaules, semblant dire : dommag e! Et c’est à ce moment là que Pétula fixe l’entrejambe de la blonde qui, soudainement, semble dotée d’une chatte volumineuse. Charlie, entre deux assauts d’enculage, saisit la culotte de la magnifique blonde et découvre aux yeux de Pétula la queue de sa maîtresse. Une bite énorme qui prend toujours plus d’ampleur. Pétula à du mal à saisir la situation. Elle se rend compte que cette fille, si belle, est en fait un transexuel. Comme à son habitude, elle en garde la bouche ouverte. « Cette fille si canon… qui va et vient sur la bite de Charlie… Euh ! Et en même temps cette bite énorme qui s’agite dans tous les sens, prête à prendre! Mais qui s’en occupe ? » Pétula saisit son téléphone et appelle. C’est la blonde qui décroche et dit simplement :
— Allo ?
— Oui. Allo? Oh, je suis folle. Je ne sais même pas pourquoi je vous appelle !
— Tu ne sais pas pourquoi ? Ce ne serait pas pour ma bite ? Arrête un peu ! Et viens. Viens t’amuser avec nous ! Tu vas t’amuser toi aussi. Le code en bas est 2632 et l’appartement est le 2. Tu n’auras qu’à pousser la porte… Oui, oui, oui, vas-y mon chéri. Mets-là moi bien à fond! Excuse-moi ma chérie, je parlais à cette bête en rut qui me pilonne ! Allez viens vite, on t’attend !
— Ok !
Sans se poser plus de questions, Pétula habillée légèrement se retrouve devant la porte de Charlie. Elle pousse le battant, certaine d’être au bon endroit (grâce aux mots crus, du genre vas-y salaud, encule-moi bien, j’ai le cul en feu) et se dirige vers la terrasse.
La blonde est toujours sur le membre de Charlie et sa bite, libre de toute contrainte, s’agite comme un gourdin prêt à s’introduire dans toute cavité. Le mec (la fille) semble au bout du rouleau. Charlie (que nous continuerons à appeler Charlie) lance à Pétula : C’est bien que tu sois venue. Vas-y suce la bite de Joane, elle adore ça pendant que je la prends.
Sur cette injonction, Pétula saisit l’énorme membre du trans. Elle ne pige toujours pas cette incongruité de la nature. Cette fille est vraiment magnifique, mais pour l’instant elle préfère séparer le haut du corps du bas et profiter juste de cette bite de folie posée sur deux jambes. Sans plus hésiter, elle engloutit la verge au fond de sa gorge. Comme c’est bon se dit-elle, ça fait si longtemps. J’adore la sentir jusqu’au fond de ma glotte. J’ai failli rater ça ! Elle saisit le membre, le fait valser de gauche à droite, en suce le bout, le presse de ses doigts experts et l’enfourne à nouveau dans la bouche tout en lui titillant la hampe ! Quel plaisir ! Pétula perd le sens de qui est qui et qui est quoi. Elle se sent remplie d’un membre rêvé. Dieu, quelle bite !
Charlie, sentant sans doute son heure arriver, stoppe sa saillie et se relève. Son membre semble lourd, farci d’un jus épais et sublime. Pétula, déjà se met à genoux pour gober le zobe de Charlie, et Joane profite du mouvement pour lui retirer une mini-jupette insolente sous laquelle il n’y a strictement rien. Complètement nue, Pétula se met au travail et se sent chienne. Charlie, le mâle, fait glisser son sexe dans la bouche de sa voisine. Je savais que tu aimais ça, petite cochonne. Ca fait longtemps que je te reluque et d’ici on voit tout. Je t’ai déjà surprise entrain de te branler dans ta chambre et je me suis promis de te la mettre bien profond. Je voudrais que toutes les deux vous me suciez en même temps. Allez, viens Joane, viens aider ta nouvelle copine!
Et en deux secondes voilà Pétula partageant le bazooka de son voisin avec une fille à bite. Les langues se délient et astiquent le membre avec passion quand, dans la mêlée, elles se touchent et s’embrassent goulument. Pétula ne sait plus où elle en est. Elle embrasse une fille et en même temps elle lui branle la bite. Finalement, j’en suis toute chaude ! se dit-elle. Les filles reprennent la bite de Charlie. Mais sous la main de Pétula, la trans est prête à jouir. Ah, je ne tiendrai plus longtemps ! grogne-t-elle. Pétula rétorque: Attends, lève-toi donc, j’ai envie de deux bites au fond de ma gorge.
Pétula fantasme et se prend pour la pute d’un magnat du pétrole, ou encore au service d’un comédien riche, célèbre, mais dépravé. Elle se donne à fond, les deux chibres dans sa cavité buccale. Et Joane lâche la sauce, envoie la purée. Notre pute d’un soir lèche le sperme du trans qu’elle utilise pour en lubrifier la bite de Charlie. Quel instant merveilleux. Pétula est toute à son affaire et se sent libre et belle. Elle suce, et son cul va et vient en fonction des mouvements des deux engins. Tout va bien. Tout est pour le mieux quand soudain elle entend :
— Mais c’est à qui ce joli petit cul que je ne connais pas ?
— Mais, c’est à moi, arrive-t-elle simplement à sortir.
Le type qui vient d’entrer dans la salle est grand, très grand, très fort aussi. En un rien de temps il saisit Pétula par les hanches et illico s’introduit en elle. Elle jouit ! Elle jouit si fort et si vite que c’était inattendu. Un flot immense se déverse qui inonde tout le monde. Elle ne sait si elle jouit ou fait pipi tant ce qu’elle donne est inconnu. Une jouissance à se damner. Pétula supplie: « Mes seins, mes seins, palpez-moi les seins ! » C’est alors six mains qui la palpent, et trois bites qui la flattent. Mais le nouvel arrivant en veut plus et crie : Les salopes, à genoux ! Et voilà Joana et Pétula à genoux, côte à côte, prises toutes les deux sous les coups de butoir des deux mâles. Notre amie est loin maintenant, ne discernant plus la limite entre plaisir, vie, rêve, un véritable cauchemar épicurien. C’est à peine si elle se rend compte de l’arrivée d’un groupe impressionnant d’hommes, tous invités pour la baise. Charlie leur avait bien dit qu’il y aurait une petite nouvelle, une chaudasse de ses voisines.
Un espèce d’animal représentant certainement une tonne de muscles saisit notre amie comme un jouet. Ses mains viriles glissent jusqu’à son ventre et la soulèvent ; elle n’est désormais plus qu’un fétu de paille. Le gars se sert d’elle et se masturbe en elle à la recherche de son plaisir. Elle est si légère et soumise.
Cette fois, elle monte un type couché sur le sofa. Ils s’embrassent goulument. Pétula va et vient sur sa bite conquérante. Bientôt elle sent une langue fouineuse, avide, étancher sa curiosité et lui fourrer le trou du derrière. Cette langue est bien hardie et chaude. Son cul s’ouvre en grand, ouvert, offert, n’attendant plus qu’une saillie bien méritée. Pétula est maintenant embrochée, une bite dans la chatte, une bite dans le cul, mais elle en demande encore. Et ces hommes en veulent tous à son corps. Ils la caressent, lui disent qu’elle est bonne. Elle qui n’a bientôt plus de mains, ni de bouche pour satisfaire toute la demande ! Et ces types qui ne cessent d’arriver, toujours plus nombreux. Elle est maintenant couchée sur le divan et, les jambes bien écartées, accueille les nouvelles bites qui la pompent et la ramonent, les unes après les autres. Son corps est couvert de sperme, elle en a avalé des litres, s’est faite traitée de pute, de salope; s’est faite enculer simultanément par deux grands gaillards et a joui à n’en plus pouvoir. Mais au matin, tous l’ont appelée Madame et c’est heureuse qu’elle s’est sentie femme et satisfaite! Il faut bien avouer que jamais elle n’aurait imaginé de sa vie devenir, le temps d’une nuit, le cadeau de victoire de toute une équipe victorieuse de rugby.