— Est-ce que tu veux bien m’arranger un plan avec Vanessa ? Elle est tellement sexe, quand elle sourit à son Mathieu en se léchant les lèvres ! Et hier, sur la plage, quand elle a enlevé le haut de son maillot pour se crémer les seins ? ça m’a rendu complètement dingue, je n’en pouvais plus. S’il te plaît, Benoît, s’il te plaît ! Tu y es bien arrivé avec les deux sorcières, je suis sûr que tu vas réussir ce coup-là aussi. Allez, dit-oui ! S’il te plaît.
— Tu veux faire le troisième dans les dunes, c’est ça ? Tu veux qu’elle s’étouffe avec ton concombre dans la bouche pendant que son top-modèle la sodomise, et vice versa ?
Le gaillard acquiesce, en bavant la bouche ouverte, il attend le verdict.
— D’accord, je vais m’occuper de ça. Si, tu fais tout ce que je te demande, ça peut l’faire.
— Monsieur Benoît Lefran, vous êtes là ?
Benoît grimace et repousse son voisin d’emplacement de camping qui vient de lui sauter au cou. Il ose à peine sortir sa tête de la tente.
— Monsieur Benoît Lefran ?
— Oui ?
— Vous n’avez pas vu la feuille de convocation que j’avais posée hier, devant votre tente ?
— Heu, non, désolé Madame, elle a dû être emportée par le vent.
— Vous êtes convoqué à la direction, maintenant ! Pour un incident survenu avant-hier soir vers minuit. Suivez-moi s’il vous plaît.
Manu aide Benoît à remettre son short en vitesse et reste planqué, bien trop flippé de se faire virer lui aussi…
Benoît se rappelle très bien « l’incident », il était sorti nu et surexcité de la tente de son voisin, Manu, et s’était fait jouir en quelques secondes sans s’occuper des campeurs des alentours qui, à minuit, étaient censés dormir sans faire d’histoire.
— Ha, le voilà enfin ! Merci Erika. Est-ce bien lui, Monsieur Ernest ?
Benoît reconnaît le vieux qui a sa caravane à gauche de son emplacement.
— Oui Robert ! C’est bien le jeune voisin qui m’a presque giclé dessus, l’autre nuit ! De mon temps il aurait pris une sacrée fessée.
Le patron pose son regard sur les fesses rebondies du garnement et se lèche les lèvres avant de répondre :
— Ce serait mérité ! Qu’est que t’en pense jeune homme ? Une bonne fessée à l’ancienne ou l’exclusion immédiate ?
Benoît a démasqué le patron dès qu’il a posé un regard lubrique sur ses fesses, alors il se tortille, l’air faussement embarrassé, en caressant son ventre plat et duveteux tout en passant les mains dans ses cheveux. Il avait déjà fait ça cent fois devant son miroir, dans sa chambre, c’était sa pose préférée.
— Ho vraiment je suis désolé, monsieur, je m’excuse, je ne vous ai pas vu, il faisait nuit et j’étais trop…
— Oui, ça, nous l’avons compris, merci ! Alors maintenant tu vas t’allonger sur les genoux de Monsieur Ernest et prendre la punition que tu mérites !
Benoît le petit vicieux est surexcité, la fessée est l’un de ses fantasmes. Mais il avance timidement en espérant qu’on ne baisse pas son short, mais c’est ce que fait le vieux en premier avant de le tirer sur ses genoux, en faisant comme s’il n’avait pas vu la banane se dresser en quelques secondes. Elle est maintenant coincée contre la jambe osseuse du vieux. Chaque claque meurtrit à la fois ses miches et sa bite. Il couine sans rire. Heureusement le vieil homme fatigue vite.
— Allez redresse-toi ! Mais tu l’as bien mérité, celle-là ! Reste-là, je raccompagne monsieur Ernest et je reviens mettre un certain nombre de chose au point avec toi. Venez, Monsieur Ernest, ce jeune mal élevé a eu ce qu’il méritait.
Benoît se cajole la bite et les miches quelques instant puis remonte son short et attend le patron sans trop s’inquiéter, il a un plan.
Dès son retour il se plaint au patron et lui montre :
— J’ai mes fesses et ma banane en feu, il me faut de la pommade, quelque chose de sérieux, pour empêcher l’hématome, les urgences ! Vous avez une infirmerie ?
Robert reste bouche ouverte et le souffle coupé par l’audace du magnifique jeune homme.
— Oui, on a une infirmerie avec tout ce qu’il faut, remonte ton short, je t’y emmène. Je peux savoir ce qui t’a excité comme ça cette nuit-là ?
— C’est Manu, de l’emplacement voisin du mien, c’est le Rocco Siffredi du camping, si vous voyez ce que je veux dire.
Cette fois le cœur du patron s’emballe, il salive, se lèche les lèvres et perd son souffle à l’idée d’offrir le jeune étalon à sa femme pour une sulfureuse partouze à trois. Il pousse Benoît dans l’infirmerie et verrouille la porte derrière lui, le garnement l’achève en baissant son short et en lui tendant ses fesses pour qu’il les cajole avec la crème de son choix.
Pendant la saison d’été Robert et sa femme travaillent douze heures par jour, et sept jours sur sept. Chaque soir ils sont épuisés et ne pensent qu’à récupérer pour être en forme le lendemain. Si les jeunes baisent tout l’été, hélas pour eux, c’est le contraire, l’été est leur période d’abstinence. Mais la comédie érotique du p’tit Benoît a fait, au patron du camping, l’effet d’un shoot d’excitation. Il a bien failli gicler dans son short en crémant la chipo et les superbes fesses de ce démon lubrique. Sa femme s’est émue de son état, et a rougi en gloussant quand Robert lui à promis un fougueux étalon à dompter.
Le lendemain matin Manu et Benoît se présentent à la porte de la maison des patrons du camping, Manu est en maillot de bain, huilés comme un strip-boy . Robert, ravi, le prend par l’épaule pour le conduire jusqu’à leur chambre.
Benoît estime avoir déjà fait sa part, il laisse le couple se débrouiller avec son étalon, convaincu qu’il va les défoncer l’un après l’autre jusqu’à ce qu’ils implorent sa pitié. Il ricane sournoisement :
— Tant pis pour eux, ils vont avoir du mal à finir leur journée !
Ils sont terriblement excités d’avoir entre leurs mains ce docile jeune homme. La patronne, le cœur battant, le couvre de baisers, elle lui mordille la pointe de ses pectoraux, lèche ses superbes abdos.
Robert est à genoux, il lui caresse les jambes et remonte ses mains dans jusqu’à son slip de bain, malaxe ses bourses et sa verge qui s’enfle puis se raidie. Manu gémit, c’est le signal : Il aime ça, ils peuvent continuer. Alors il lui descend son slip et le couple déguste sa grosse queue. Le patron est à la limite de l’hystérie, l’érection devient douloureuse et le souffle court, il cherche l’anus de Manu et le masse délicatement. Puis le gros doigt de maçon force le passage. Manu grogne, et serre les fesses.
C’est Annie qui calme le jeu.
— Doucement, calme-toi chéri, embrasse-moi .
Ils s’enlacent et s’embrassent tout en se déshabillant fébrilement.
Nu tous les trois, ils glissent entre eux le bel étalon. Se collent à lui, l’embrasse dans le cou et le tripote un peu partout. Le couple se régale, haletant, tous les deux étonnés par l’intensité de leur émoi. Manu s’offre à leur caresse, mais il n’a pas prévu de s’éterniser.
Il prend l’initiative : retourne la belle et demande un préservatif. Le mari lui enfile et en profite pour le sucer quelques instants.
Puis Annie allonge son marie sur le lit pour un succulent 69 qu’elle espère volcanique quand il sera agrémenté des ruades de leur invité. Face à ces fesses offertes, Manu a déjà introduit ses doigts, la blonde se cambre, gémit semblant ainsi laisser au jeune homme le choix des orifices. Il grimace un sourire pervers, crache sur son anus et remplace son doigt par son pieu. Elle crie et se débat. Il la tient fermement. Accroché à ses seins, il enchaîne de profonds allers et retours.
Le mari s’applique à déguster son minou. Elle jouit maintenant, agitée de tremblements. Manu est en nage, il accélère ses coups de reins. Le patron n’en peut plus de mater le jeune homme défoncer le cul de sa belle.
— Je viens chérie, je viens ! Humm
Elle avale sa semence, puis cherche à épargner son cul. Manu se calme et se retire. Il n’a pas joui, mais il n’est pas venu pour ça.
Elle s’effondre et embrasse fiévreusement son mari.
Manu abandonne le couple ivre de trop d’émotions, retrouve son slip de bain et cours rejoindre Benoît au bloc sanitaire. Il arrive aux douches en même temps que lui.
— C’est fait. ils ont aimé, ils sont épuisés. Au début j’ai bien cru que je n’arriverais jamais à bander avec ces deux-là. Et le gros en avait après mon cul .
— OK, Manu, viens, entre.
Ils se mettent nus et Benoît le colle au mur et lui chuchote :
— Tu nous as sauvé, laisse-moi m’occuper de toi .
Il le pousse sous l’eau fraîche, et le savonne partout. Manu glousse de plaisir. Il le rince. Les mains habile de son copain de l’été glissent sur son corps et le submergent d’émotions, la gorge serrée, il murmure à son oreille :
— Je ne suis pas un gros PD comme toi, tu le sais, hein ? Si je te laisse m’embrasser, tu ne vas pas me demander en mariage ?
— T’inquiète !
— Embrasse-moi enfoiré de tarlouze ! Tu m’as envoûté, et j’te kiffe trop maintenant.
Le P’tit Benoît a la tête qui tourne, il s’accroche au cou de Manu lui offre un fougueux baiser et fond en larme. Son pote hétéro le cajole, l’essuie et le rhabille en riant puis il regarde sa montre : c’est l’heure du foot-tennis sur la plage.
Manu a obtenu sa récompense, il a rendez-vous avec le jeune couple sur lequel il fantasme depuis son arrivée au camping, il est arrivé aux douches vers midi, comme convenu. Mais le top modèle est tout seul, il lui fait la bise et il rougit.
— Viens champion, on va se doucher tous les deux. Je peux t’appeler comme ça ?
— C’est gentil, j’aime bien . Rit bêtement Manu le short de bain déjà tendu.
— Tu es sage, d’accord? On ne fait que se savonner.
Blague le beau Mathieu en le poussant dans la cabine de douche. Il savonne et caresse en riant l’étalon pris au dépourvu. Mat apprivoise sa proie, il l’envoûte pour en faire sa chose. Il a en tête un fantasme qui le surexcite : baiser l’équipe de foot du camping.
Il réussit facilement à rendre Manu fou d’excitation, mais il le laisse en chien en lui proposant quand même un rencart :
– Tu viendras dans ma tente, cet après-midi, après votre match ? Et surtout ne te douche pas, j’adore l’odeur des footeux en sueurs.
Manu est plutôt agile au football, mais cet après-midi-là, il joue avec deux pieds gauches. À 16h, il disparaît du terrain.
Salut Manu, entre !
Mathieu non seulement est seul, mais il l’accueille, nu et souriant. Manu s’inquiète, certes, il est dans la tente luxueuse du couple star de l’été, mais ils sont seuls, tous les deux. Le prince s’approche sans sa princesse, avec sa barre en étrave. Le footballeur se sent pris au piège, un peu comme avec les sorcières. Il serre les fesses et ne respire plus.
— Ne soit pas intimidé, je suis content de faire ta connaissance. Laisse-moi te mettre à l’aise, il fait très chaud.
Mathieu se place derrière lui et le caresse.
Tu as de belles épaules et la peau douce. Tu es très sexy dans ta tenue de foot.
— Manu a le visage en feu, tétanisé par l’émotion. Il se sent ridicule, mais il n’arrive pas à reprendre son souffle. Mathieu caresse ses épaules, puis ses mains glissent jusqu’à ses hanches, son ventre. Manu ne pense qu’à baiser la princesse, et il perdra toutes ses chance en contrariant son prince.
Quant Mathieu glisse les mains dans son short, il ferme les yeux et serre les dents pour empêcher son érection. Impossible. Au premier contact de ces mains sur son pénis, le traître se tend, gonfle et sort de son short. Mat lui chuchote son fantasme à l’oreille :
— Tu es très émotif, c’est adorable. Toi et tes copains du foot, vous êtes puceaux, hein ? Avoue ! Vous fantasmez sur ma copine ? Mais pour l’avoir il faut d’abord passer par moi, et m’offrir vos bons petits culs de footballeurs.
Manu sent la longue verge lubrifiée serpenter entre ses cuisses et caresser sa raie, il grogne, puis souffle des « ho putain » quand le prince s’excite entre ses cuisses pour forcer sa résistance. Il cède, se cambre, s’offre à la star du camping qui l’empale bien profond.
— C’est trop pour ton p’tit cul de puceau ?
Il se retire, libère sa proie qui tombe à genoux au sol à bout de souffle, puis à quatre pattes. Erreur fatale. Le top model surexcité force à nouveau sa rondelle qui s’ouvre, se détend, accueille l’intrus.
— Ta bite se tend, t’aime ça ?
— Ho putain, non, non ! Bafouille Manu trahi par sa bite et son cul.
Le bel athlète le baise cette fois sans ménagement, le couche, le retourne et pousse le footballeur aux aveux :
— Ce sont ces enfoirées de sorcières qui m’ont fait aimer ça ! Gémit-il en se branlant frénétiquement pour jouir sous les assauts du prince de l’été.
Ses coups de reins arrachent à sa proie des « non-non, c’est trop, attends, pas si fort, ho, pas si profond. » Mais le beau gosse s’excite de ses jérémiades, se retire pour mieux l’empaler et le harceler de rapides coups de reins, bien profonds en l’agrippant par son maillot de foot pour l’empêcher de s’enfuir, et, enfin, à bout de souffle, il inonde ses entrailles, suivi par le footeux qui gicle, arrose, éclabousse sans discernement.
— Je t’ai bien dépucelé, hein ? Maintenant que nous nous connaissons un peu, si tu en a envie, tu pourras venir jouer avec nous, le soir sur la plage. Si tu veux, tu peux même venir avec ton copain Benoît, il plaît bien à Vanessa.
Il libère sa proie, enfin ! Quelques coups de reins de plus et Manu tournait de l’œil. Il remonte son short de foot, s’enfuie en titubant et se précipite aux douches, il a la fièvre.
— A plus Manu. lui crie le top model.