Amia a décroché un emploi : communicante pour une grande marque de luxe. Accompagnée d’un collègue, elle sillonne la Russie à bord d’un train mythique, l’équivalent du Trans Europe Express.
Ce jour-là était particulier. Je voyageais dans un train de luxe en compagnie de Nicolas, mon nouveau collègue. Ce jeune cadre, toutefois déjà assez expérimenté, m’accompagnait pour ma première mission : représenter une marque prestigieuse de parfums français auprès de grandes firmes russes ! Quelle veine ! Nous filions à travers l’Europe de l’est, un verre de Dom Pérignon à la main : « Excusez du peu ! » Nous étions à l’aise. Imaginez le plaisir que je pouvais ressentir à voyager dans ce train mythique : le Golden Eagle ; à m’enivrer de ces paysages slaves ; tout ça au rythme saccadé de cet express mythique.
Nicolas qui, bientôt, partirait relever un challenge extraordinaire semblait très sympathique. « Tenir les rênes d’un bureau à l’étranger ! » Le pied ! Tout en discutant avec lui, j’avais compris que moi-même je pourrais espérer un bel avancement. À condition, bien entendu, de m’investir à fond. À dire vrai, j’étais prête à tout. En attendant, ce jeune homme et moi, nous nous prélassions, confortablement installés dans de superbes fauteuils aux tissus écarlates. Nous avions, l’un comme l’autre, une promotion à fêter et, le champagne aidant, nous riions et plaisantions bon train. Dans une sorte de délire alcoolique, nous avions fini par évoquer nos vies privées, et ce, parfois, dans des confidences les plus intimes. Nicolas avait lancé le débat.
¾ Alors, mariée ? Un compagnon peut-être ?
¾ J’aimerais dire : avec mon travail ; sinon, j’ai été mariée, je suis maintenant divorcée.
¾ Des amants de passage ? Excuse-moi d’être direct… La rumeur dit que tu es une femme libre.
¾ Et bien, je dois t’avouer que non. Un amant est quelqu’un avec lequel on a une relation. Mes rares relations ne dépassent pas la paire d’heures.
¾ Mais alors — ne ris pas —, comment fais-tu pour le côté… lâchage de pression, si tu vois ce que je veux dire ?
¾ Toute seule, je me débrouille toute seule. Si tu vois ce que je veux dire…
¾ Non !
¾ Toute seule, je suis même devenue une experte à ce jeu-là.
Nicolas me scrutait du coin de l’œil et il était clair que son imagination filait à vive allure. Les bulles de champagne aidant, les idées obscènes dérapèrent vite. Un sourire en coin, mon collègue reprit :
¾ Et on peut assister ?
Nullement décontenancée, j’avais rétorqué du tac au tac :
¾ Il faudrait que je te connaisse mieux, mais pourquoi pas, un jour ? C’est intime quand même ces choses-là !
Nicolas gardait son sourire au bord des lèvres. Je voyais bien qu’il cogitait.
¾ Oh, mais nous avons tous nos histoires intimes. Je te fais un deal. Je te raconte une de mes expériences — une histoire « très » intime — et, en retour, tu me laisses apprécier tes connaissances masturbatoires.
¾ Tu n’y vas pas par quatre chemins, OK, mais je te préviens : je ne me contenterai pas d’une petite histoire guimauve. Je suis d’accord de me caresser devant toi à la seule condition d’être impressionnée, « vraiment » impressionnée.
¾ C’est un défi ?
¾ Un fameux challenge en tout cas.
¾ Exactement, tu vas être servie.
Nicolas se mit à me raconter son histoire destinée à m’impressionner.
¾ Tout d’abord, commença-t-il, il s’agit ici d’un secret que je te demanderai de ne jamais divulguer. Tu comprendras bientôt pourquoi. Cette aventure est véridique et m’est arrivée il y a deux ans. J’étais un nouvel élément de la Firme. J’arrivais frais émoulu, j’étais plus jeune — bon, je le suis toujours —, une sorte d’épi tendre. Nous étions dans ce même genre de train, toute une bande du bureau, que des nanas. Bref, j’étais le seul garçon de ce team de cinq femmes dont l’une d’elles fêtait son enterrement de vie de jeune fille. Normalement, je n’aurais pas dû participer à cet événement — tu t’en doutes — mais enfin, je n’allais quand même pas me mettre au lit à vingt heures et attendre patiemment, isolé dans ma cabine, qu’elles fassent la nouba.
¾ Mais, dis-je, où est le problème ? Ça devait plutôt être sympa. Si ça se limite à ça…
¾ Arrête, je t’en supplie, laisse-moi finir, ce que je vais te dire n’est pas facile à sortir crois-moi.
¾ OK, vas-y, je te laisse.
¾ Je reprends. Donc, une de mes collègues déclara avoir la solution, je n’aurais qu’à m’habiller en fille et, de la sorte, je deviendrais la sixième du groupe. L’honneur serait sauf. Tu imagines bien que mes collègues étaient super-excitées et qu’elles ont applaudi à l’affaire.
¾ J’imagine aisément. Moi-même j’aurais adoré, ai-je ajouté.
¾ Oui, bon… L’esprit de la fête était là. Les filles ont entrepris, dans un brouhaha terrible et au milieu de grands éclats de rire, de me foutre à poil et de m’habiller comme l’une d’entre elles.
¾ J’aurais voulu en être, hihi !
¾ Ne ris pas. Effectivement, mon visage est assez féminin. Elles se firent donc une joie de me transformer. « Tu es la plus belle de nous toutes », dirent-elles en chœur.
¾ Hm ! Excitant !
¾ Oui. J’étais pris dans le jeu et, au fond, je trouvais ça drôle. J’en rajoutai même un peu. Après tout, nous étions toutes là pour nous amuser, moi y compris. Comme aujourd’hui, le champagne coulait à flots. Des jeux, des gages, la future mariée quasi à poil après un striptease dont, au passage, je me suis régalé ; tout y était, au point où un certain climat de luxure s’est installé. Une des filles s’est même mise à, je m’en rappelle, sucer la langue de la fiancée, du genre : « On est de grosses lesbiennes. » Bref, tout sentait le sexe, l’alcool et le cul. Je m’étais pris au jeu, j’arborais un rouge à lèvres impertinent, une jupe courte, des bas autofixants, un string mini mini et, pour rendre plus réaliste la transformation, elles m’avaient bourré de chaussettes un soutien-gorge épanoui. J’étais devenu une vraie secrétaire sexy, prête à tout dans ce genre de voyages où tout se fait et rien ne se divulgue une fois rentrés au pays. Les filles m’avaient fait marcher en remuant le popotin et certaines s’étaient laissé aller à passer la main sous ma jupe afin de me palper le membre. Il faisait chaud et à un moment j’ai voulu respirer un peu. Je me suis glissé en dehors du compartiment et éloigné du chahut des filles. Le nez contre une vitre, accoudé à la barre métallique, un peu dans les vapes, je contemplais le paysage. C’était en mai, et il faisait encore jour. Derrière moi, la porte d’un des compartiments a glissé et rien ne se passa de particulier. Je pensais à Sacha, une des filles, elle m’avait bien chauffé avec ses gros seins ; elle m’avait même lancé : « T’es qu’une petite pute et je vais venir cette nuit te croquer. » J’étais en chaleur, si tu vois ce que je veux dire ! Soudain, j’ai senti une main me frôler les fesses puis s’enhardir et me caresser le cul avec une volonté de plus en plus affirmée. Pensant à Sacha, j’ai voulu profiter du moment et, certain qu’il s’agissait d’elle, je suis resté, les yeux fixés devant moi, jouant le jeu jusqu’au bout. J’offrais ma croupe à ses mains habiles. Pour ajouter à ce moment érotique et faire monter la sauce, j’ai laissé échapper quelques gémissements suggestifs. Je n’aurais certainement pas dû. La main qui me pelotait glissa sous ma minijupe et continua son exploration. Sacha me semblait déterminée et bien vicieuse, mais après tout… Son index fouillait mon anus et le pénétrait légèrement ce qui n’était pas, je l’avoue, déplaisant. C’est alors que la main chercha — autre chose —, et croyant sans doute — je m’en rendis compte alors — trouver une intimité féminine, et découvrant une paire de couilles, se retira d’instinct. L’énergie retomba. De toute évidence, de Sacha il n’était pas question. J’avais plutôt affaire à un mec. Un sentiment de peur me submergea. J’étais honteux et plus que jamais plaqué à la barre métallique de la vitre, semblant absorbé par le paysage. Après quelques longues secondes, la main réentreprit la fouille de mon bassin. Je te l’ai dit, j’étais complètement tétanisé par cette expérience. Le type, passant outre la ficelle du string, saisit mes bourses et commença à les malaxer. Je me tordais ; à la fois de douleur et de plaisir simultanés, honteux certes de devenir le jouet sexuel d’un homme, moi qui n’étais pas homo. Lâchant mes couilles, il continua jusqu’à mon chibre — tout petit et craintif — et se mit à le branler comme l’aurait fait une femme. L’érection arriva, sans doute contre moi-même, et je dois te l’avouer je pris plaisir à sentir cette poigne me branler. De l’autre main, il chercha mon petit trou dont il caressait la région avec force. Mon cul était bien serré, mais je n’étais qu’une poupée face à la force de ce type ; il me tira à lui et m’écarta un maximum les fesses. Le cul à l’air, mon trou finalement céda à la force de ses doigts de la main gauche, alors que de la droite il reprenait possession de ma bite. Il y allait avec fougue. J’implorais que — surtout — personne n’arrive à ce moment dans le couloir et notamment pas Sacha. L’homme grognait, je pensais que, puisque nous en étions là, je devais me laisser complètement aller et qu’une fois terminée sa petite affaire il disparaîtrait. Je lui offris donc ce qu’il désirait, bien ouvert à toute proposition. Il cracha sur mon anus et, ainsi lubrifié, il y introduit un doigt après l’autre. La surprise du début passée, je goûtai, je te le confie, plaisir à cette intromission. Ma bite était gonflée comme jamais, mon gland endolori prêt à exploser. Ce qui devait arriver arriva, l’homme me prit d’assaut et ce n’était plus ses doigts qui me fouillaient maintenant, mais son énorme bite qu’il ajusta à mon anus. Il me ramona et me pompa comme la dernière des traînées. Je ne jouis pas : j’explosai plutôt. De sa main pleine de ma semence, il continuait à me branler ; c’est alors qu’il me souleva le cul, mes pieds ne touchant plus terre. Il m’enfila une dernière fois et juta son sperme dans mon intimité qui venait, à l’instant, de perdre sa virginité. J’étais à bout de souffle. Lui aussi. Il me reposa à terre comme il l’aurait fait d’une petite poupée et me massa les fesses de son sperme chaud. Chose étrange, il sortit une sorte de bâton de sa poche et me l’enfouit dans le cul. Il me donna une tape sur le postérieur et disparu. Tu dois te rendre compte, chère Amia, que je restai-là, les fesses toujours à l’air, la jupe soulevée, maintenue par cet objet bien planté dans le trou. Mon Rimmel avait coulé. Je devais être immonde, à faire peur. La paroi du train dégoulinait de mon sperme. J’avais vraiment l’air de ce que j’avais été les dix dernières minutes : une vraie poule. J’ai repris mes esprits, saisi l’objet toujours planté dans mon fondement et je sentis le jus du type me couler sur les jambes. Je te promets ne pas avoir demandé mon reste et avoir filé jusqu’à ma cabine. Lorsque j’ai enfin pu retirer l’objet du délit du fond de mon cul et que j’ai pris conscience de ce que c’était : un billet de 10 euros maculé de sperme, puant le cul et la fornication, je me suis senti « humilié ». C’était donc tout ce que je valais ? dix balles ? Moi qui pensais avoir été un super bon coup ! 10 euros ! Voilà ce que finalement j’ai retenu de cette expérience : ma valeur dans la voie transsexuelle ne montait pas très haut.
Après pareille confession, j’étais restée coite. Il me fallait reprendre mes esprits, des images me submergeaient qui n’étaient pas très sages. Le récit de Nicolas, riche en détails et porteur de représentations suggestives me faisaient mouiller la culotte. Machinalement, au cours du récit, j’avais approché la main de sous ma jupe et je m’étais caressée au travers de la dentelle. D’abord sage, j’avais pris un plaisir croissant à son écoute. Je l’imaginais très bien, ce jeune garçon assez féminin, métamorphosé en fille et tromper son monde sur son genre. Je me le représentais plus salope que les salopes, une grosse bite plaquée à un corps de femelle. Les jambes écartées, je me caressais à une allure progressive. Maintenant que Nicolas avait fini de déballer son histoire, j’étais trempée. Il avait fait fort ! Sans plus de réserve et les jambes écartées, je lui ai fait reluquer ma chatte. « Regarde comme je mouille, dis-je. Regarde comme je me frotte bien le clito en pensant à toi. » Mon souffle augmentait que j’avais le plus grand mal à contrôler. Visiblement, Nicolas appréciait :
¾ Dis donc, j’ai l’impression d’avoir gagné ma séance de branlette !
¾ Je crois aussi, dis-je. Mais je dois être folle. N’importe qui peut nous voir ; je suis la reine des exhibs, ce n’est pas possible.
¾ Tu veux qu’on aille dans la cabine ?
¾ Oui, pas ici en tout cas. Viens, mais tu touches pas !
¾ Je suis un peu… voyeur… je t’avoue.
Une fois dans la cabine, j’ai pris mes aises sur la couchette :
¾ Regarde ! Tu vois comme je me caresse les seins ? Je fais sauter les boutons de mon chemisier pour que tu les voies mieux.
¾ Tes nichons sont beaux, lourds, presque énormes. Putain, tu te les masses avec plaisir ; c’est évident que t’aimes ça et que t’as l’habitude de les tripoter.
¾ Mouiii, j’aime beaucoup ma poitrine ; elle fait bander les mecs.
¾ Tu es pleine de savoir-faire. Voilà deux melons bien ronds, ils doivent être doux au toucher…
¾ Pince-moi le bout des tétons, juste ça, pas plus.
¾ Comme ça ?
¾ Oui, voilà, tu me fais frémir.
Lâchant ma poitrine, je me suis soulevée afin de remonter ma jupe jusqu’à la taille. Ma culotte blanche était auréolée de liquide intime. Nicolas semblait apprécier l’effet causé par son aveu. Il avait su m’allumer. Vite fait, je me suis débarrassée de mon cache-sexe et, afin que les choses soient sans équivoque, j’ai écarté les jambes et lui fais à nouveau juger de mon excitation. « Contemple petit vicieux, comme j’ai le sexe bien ouvert. Admire ! » Le garçon était subjugué par ma chatte. Dans un but de contrôle, je l’ai ensuite sommé de me fixer du regard. « Attends, regarde-moi droit dans les yeux ! » Nicolas, contraint, obéit, tout en gardant conscience de ma chatte ouverte, humide et chaude ; un sexe impatient d’y accueillir quelque élément dur, utile au plaisir et à la jouissance. Je me sentais maîtresse du jeu et j’édictais les règles. Qu’il était bon ce pouvoir de sentir l’autre à ma merci. Je voyais Nicolas comme un jouet, voué à mon plaisir personnel. Il bandait, c’était la moindre des choses ! D’une main experte, je me frottais les lèvres du sexe ; puis, de la paume de la main et d’un mouvement ample, je me masturbais la totalité de la caverne. Le plaisir semblait sans limites. Du jus coulait. Mon clitoris esseulé me réclamait sa part de câlins. « Mmm, que c’est bon ! dis-je. Vas-y toi aussi, branle-toi, montre-moi ta bite, je veux la voir. Je suis une sale voyeuse. » Nicolas s’exécuta et, debout, laissa gonfler une bite charnue, épaisse et lourde. Il prenait des pauses pour, de toute évidence, mettre en scène la vue de son chibre. Un peu comme s’il choisissait son meilleur profil. Je m’amusais. Il contractait sa bite afin de me montrer son sexe en mouvement et l’énergie dont il était capable. L’effet sur moi était immédiat. J’introduis quelques doigts au cœur de mon vagin afin d’augmenter le plaisir. Puis ma main disparut complètement dans mon trou béant. « Ahhh, j’aime ça, j’aime ça ! » Nicolas n’en perdait pas une goutte. Il aimait regarder et cette femme en train de se branler et de se donner du plaisir l’excitait au plus haut point. Il avait le gland violet, au bord de l’incendie. Sa bite frétillait tel un thon mordant la ligne ; il manquait d’air. Je l’imaginais déguisé en fille se faire enfiler par un gros vicieux. J’étais excitée comme une détenue condamnée à vie fantasmant sur le directeur de la prison.
Je me faisais un film. J’imaginais son cul violé par une grosse bite d’obsédé et cela décuplait mon plaisir. Nicolas jouait avec la hampe de son membre et l’agitait en tous sens. Ses bourses voltigeaient et son zob, raide comme une saillie, s’agitait, gonflé de jus fécond. La main presque entière dans le con, je me branlais avec beaucoup d’énergie. Je ne pensais plus à rien, je n’étais plus qu’un sexe criant famine. J’en suis encore un peu honteuse, mais je braillais : « Vas-y continue à te queuter ; montre-moi comment tu te branles bien… ahhh ! » Nicolas s’astiquait le manche à l’ancienne. Il accompagnait son action par une sorte de danse du bassin destinée à m’exciter ; il avait dû voir ça dans des films pornos. Comme une condamnée à mort qui supplie qu’on lui laisse la vie sauve, je l’ai imploré : « Amène-moi ta flèche, c’est trop, je veux la sucer, je t’en prie donne-là moi ! » Mon partenaire ne se fit pas prier et, s’approchant de mon visage, il me fourra sa grosse bite dans la bouche.
Que voulez-vous ? J’aime ça ! Je lui ai pompé la bite avec vigueur. Parfois, j’engloutissais son chibre jusqu’au fond de la gorge ; parfois, je lui titillais le gland avant de l’avaler à nouveau. Je souffre de la peur de manquer. J’adore être remplie. J’adore cette extraordinaire sensation d’être comblée.
Rouge comme une tomate, mon salaud de compère en profitait bien. Un instant, nos regards se sont croisés et nous avons tenu ainsi, à distinguer le plaisir de l’autre dans nos pupilles. Me doigtant toujours la moule, je pompais le dard de Nicolas avec frénésie — les vitamines, ça marche bien — quand soudain, surprise par un orgasme magnifique, j’ai poussé un râle. Nicolas répondit à ce qu’il croyait être un appel et jouit de concert, me tapissant la gorge d’un litre de foutre saveur ananas. Il éructa : « Bois salope ! » Et je bus tout son jus. Je ne voulais surtout pas en perdre une goutte, je lui ai léché la crosse jusqu’à la lustrer, me régalant du nectar.
Le sexe de Nicolas perdait en puissance et, voyant que je ne pourrais plus rien en tirer, je me suis placée sur le ventre. Sans plus porter la moindre attention au jeune homme, je continuai à me tourner la salade, la main coincée entre le matelas et l’abdomen. Du fond de mes entrailles monta un second orgasme, plus intense que le premier. Mon Dieu, je serrai les dents afin de ne pas outrager les voyageurs des cabines voisines. Abattue, je gisais-là, sur la couverture, mon cul s’exprimant de temps à autre, sans retenue, sous les assauts de spasmes musculaires. Voilà, c’était fait. Nous avions couché ensemble. C’est ce que je voulais éviter… Immanquablement, nos relations changeraient ; mais au diable : Qu’est-ce que c’était bon !