Les découvertes de TIan’ et Noé 3

12345
Loading...

Aperroqu


première foisteen


Tania arrive dès le surlendemain dans la matinée, vive et enjouée. Le soleil est caché, mais elle porte un débardeur bleu et blanc à fines bretelles, qui moule parfaitement sa poitrine, et une jupe serrée un peu évasée sur le bas, de couleur jaune paille, qui s’arrête à mi-cuisse, et sous laquelle je crois deviner qu’elle n’a pas de sous vêtement. J’ai décidé ce matin de faire comme elle, et de laisser mon short en jean frotter mes parties intimes. Elle me fait deux bises et je les lui rends en mettant mes mains autour de ses épaules et en la serrant fort contre moi durant quelques secondes. Les bouts de nos seins s’agacent en faisant connaissance.

— Tu sais Noé… Tu permets que je t’appelle Noé ? J’aime bien Noémie, mais mon amie à moi, ce sera Noé, si tu veux bien. Moi, mes proches m’appellent Tian’. Tu peux le faire aussi.

Elle prend un air malicieux :

— Tu sais, Noé, je suis venue pour faire grandir notre amitié. Et chercher mon plaisir aussi, tu me le dois…

Je ne dis rien, je suis pressée d’aller plus loin. Je lui prends la main et l’attire vers le canapé. Elle s’assied. Je lui prends la tête à deux mains et l’embrasse goulûment. Elle me repousse un instant et me dis :

— Oh, tu en avais sacrément envie.

— Je t’ai attendue toute la journée d’hier…

Et je reprends la fouille systématique de sa bouche par ma langue. Puis je la pousse à l’épaule pour qu’elle s’étende. Elle se laisse faire. Dans le mouvement, ses cuisses se découvrent. Effectivement, elle n’a pas de culotte. J’aperçois furtivement quelques poils blonds. Mais ce n’est pas ce qui m’intéresse pour l’instant. Je relève son débardeur, passe une main autour de ses seins ronds qui sont souples et dodus. Je les caresse de la paume. Elle soupire. Puis je cherche à remonter encore son vêtement. Elle se redresse à demi et l’enlève complètement. Ses seins sont magnifiques. Autant je suis plate, autant elle est plantureuse, tout en restant d’une belle harmonie. La peau est soyeuse et lisse. Elle n’a qu’une petite aréole rose et deux étonnants tétons. Leurs extrémités se dessinent légèrement en creux sur le sein. J’ai tout de suite envie de savoir s’ils changent d’aspect quand on les stimule. Ma bouche remplace mes mains pour les caresser. Je lèche, de ma langue je happe le téton, je le sens peu à peu enfler. Ma langue laisse place à mes dents qui le mordillent à peine, amoureusement. Elle soupire à plusieurs reprises, avec un ample mouvement de la poitrine et se trémousse d’aise. Mes lèvres abandonnent son sein et je regarde l’effet de mes caresses. Le téton, déjà un plus ressorti, a pris la forme arrondie d’un pois chiche, gros comme le bout de l’index, mais de forme irrégulière avec un dessus plat. Il semble bien vivant, d’une vie frémissante que mon souffle lui a transmise. Je réattaque aussitôt l’autre sein avec le même traitement. Tiana respire plus fort, ce que je lui fais la transporte. Comme pour boire son souffle, je l’embrasse à nouveau, d’une langue nerveuse et exigeante. Elle entoure mes épaules, puis ses mains pressent ma tête, écrasant mes lèvres sur les siennes, plus fort encore si c’est possible. Une rage de plaisir l’envahit.

Pendant ce baiser fougueux, ma main descend sur sa cuisse, puis remonte et soulève sa jupe. Elle se loge au seuil brûlant de sa fontaine, sous les algues poissées de sa toison. Je quitte sa bouche, pose ma tête à même son ventre et respire son parfum pénétrant. Puis je me retire à nouveau et regarde le bijou qu’elle m’offre. Sous l’herbe sèche de sa motte, on devine les chairs fines toutes roses auxquelles les poils sont collés par sa mouille. J’y glisse l’index que je ressors gluant. J’ai tellement envie de le lécher ! Elle écarte un plus les cuisses et s’offre en toute simplicité. Tout, cependant, reste étroit dans cette chatte petite où les grosses lèvres sont minces et enserrent de petites lèvres encore plus minces qui demeurent rapprochées mais luisantes, comme collées. Le désir de les entrouvrir me taraude. Mais tout en haut, son clitoris couleur de fleur d’églantier émerge des poils follets. Je darde ma langue à la naissance de sa petite saillie, l’embrasse puis me retire, plusieurs fois à très grande vitesse. Je vois que Tania tend les jambes, raidie par l’impatience. Puis j’enroule mes papilles autour de ce pois dur que sous-tendent des chairs plus élastiques. Je lèche et j’appuie, je marque un temps d’attente. Je sens qu’elle se crispe de nouveau. Le désir est plus fort qu’elle. Ses deux index tirent vers le haut tout en ouvrant sa chatte pour que je me concentre sur son bouton. J’accentue ma pression, puis je lèche avec une grande envie, de bas en haut, du bas de la fente baveuse jusqu’au petit pois dardé, et le geste la fait haleter. À présent, elle ouvre grand ses cuisses. Tandis que mes doigts caressent ses seins et pincent un peu les tétons, je me repais de son élixir de fille et lèche de plus belle. Il n’en faut pas plus pour qu’elle parte. Elle se contracte à nouveau, expulse l’air de sa poitrine gonflée, puis se relâche, les yeux révulsés, secouée par une vague de plaisir qui la fait rouler des hanches et chercher encore ma langue. Son sexe coule un filet de mouille plus abondant qu’auparavant. J’en lèche quelques gouttes et fait relâche. Son visage retrouve son aspect lisse et serein. Je lui demande :

— Alors, est-ce que j’ai été à la hauteur ?

— Plus que tu peux imaginer. J’ai joui tellement fort que j’ai cru perdre le contrôle. Mais comment as-tu appris toute ces techniques pour utiliser ta langue ? Tu as déjà fait ça avec une autre fille ? Je suis épatée. Moi, je n’ai jamais utilisé que mes doigts, mais là, c’était divin.

Je lui adresse mon plus beau sourire.

— Non, je n’ai jamais seulement vu la chatte ouverte d’une autre fille, alors y goûter… Mais j’ai quelques connaissances de ce qu’il faut. J’ai beaucoup lu sur la sexualité, ce qu’il faut faire, à quel moment, et comment le faire. Et puis, je ne t’ai pas dit, mes meilleurs maîtres sont mon téléphone et mon ordinateur portable. Je rends visite assez souvent aux films pornos. Je sais que ce ne sont que des films, mais on y apprend beaucoup de choses, on pourra en regarder ensemble si tu veux…

— Oh toi, alors ! Tu mates ce genre de choses ? J’ai déjà regardé un film et j’ai été écœurée. Mais peut-être qu’avec toi, je réagirais autrement.

— Je te le promets. Ca excite et ça aide beaucoup à aller plus loin.

— On verra plus tard. Mais pour l’instant, je vois que ton short a une belle auréole au bon endroit. Tu as mouillé autant que moi et c’est passé à travers ta culotte et même ton short.

— Oui, tu m’as beaucoup excitée. Mais… non, pas à travers deux épaisseurs. Je n’ai pas mis de slip ce matin.

— C’est pour moi ?

— Oui, enfin, pour moi aussi. Je voulais être prête…

— Eh bien maintenant, on y est. Enlève ton tee-shirt, je me charge de retirer le short, tu seras à l’aise. Moi aussi, j’en fais autant.

Elle se libère de son haut roulé au-dessus de ses seins et dégrafe sa jupe qu’elle envoie valser plus loin. Puis elle dénude mon bas-ventre et mes fesses, tandis que je lui offre mon buste et ma petite poitrine.

— Magnifique ! s’exclame-t-elle. Tu as de mignons petits seins comme j’en toujours voulu en avoir. Moi, je trouve les miens trop gros !

Je soupèse et caresse cette poitrine gonflée qui m’a fait rêver rien qu’à la reluquer. Je me dois de la revaloriser à ses propres yeux.

— Ne complexe pas là-dessus. Moi je les trouve jolis. Leur peau est soyeuse et leur forme pleine peut combler tant de partenaires ! Tu ne crois pas que je trouve les miens trop petits ? On dirait ceux d’une gamine. Il n’y a qu’une chose à faire : en profiter comme ils sont, pourvu qu’ils soient sensibles et qu’ensemble on puisse jouer avec.

— Tu as raison, admets Tiana. Finalement nous avons de la chance. On croirait que nous sommes physiquement complémentaires. Explorons encore nos différences et tirons-en notre plaisir.

Je la fais étendre à nouveau, enjambe son corps et avance mon bassin près de mon visage.

— Toi, c’est ta chatte, Noé, qui est singulière. Ta toison est noire et serrée, et tes petites lèvres gonflées qui réduisent les grosses à une fine épaisseur sont aussi superbes que tes petits seins. J’en admire la couleur un peu mate et le filet sombre qui les borde, ainsi que la forme. Ce bourrelet me fait penser à une fleur, qui a un drôle de nom : l’amarante crête de coq. Je la connais parce qu’il y a quelques années, on en avait dans notre jardin. Mon plaisir va être de faire circuler ma langue à travers ces plis savoureux. Déjà, tu sens bon et je m’en régale.

Elle relève un peu la tête et me lèche avec application. J’avance mes genoux l’un après l’autre. Elle peut reposer la tête, car mon sexe est maintenant au niveau de sa bouche. Elle fait exactement ce qu’elle a dit, explorant les allées de mon jardin secret avec adresse et gourmandise. Sa salive vient s’ajouter à mes sécrétions qui mouillent son menton. Le plaisir m’étreint. Je gonfle ma poitrine, tente de soulever mes seins avec mes mains, mais je ne fais qu’en exciter le bout déjà dur. Elle pose les siennes sur mes hanches et me tire vers elle, comme pour pénétrer mon petit puits d’amour de sa langue. Je commence à chalouper au-dessus de son visage, mes parties intimes glissent sur sa langue et sa bouche, allant et venant sur la pente du plaisir. J’ai encore en tête l’image de sa chatte rose, ouverte et gluante. Le plaisir monte vite. Je sens à peine que j »arrive en haut du chemin, et déjà je sens comme une décharge. Un peu de liquide coule. Elle abandonne son léchage comme pour mieux le recueillir de sa bouche entrouverte. Les battements de mon cœur perdent de leur force. Je vois son visage écrasé sous mes fesses en rouvrant les yeux. Les siens me sourient d’aise et de contentement. Elle est sûre d’avoir atteint son but.

Mais j’en veux encore davantage. Comme je bouge, je sens qu’elle cherche à se relever.

– Attends Tian’, je change simplement de position.

Je me relève, me tourne dans l’autre sens et me mets à quatre pattes, tête-bêche, pour mieux profiter de son sexe et lui offrir le mien.

– Un petit 69 pour finir… S’il te plaît, ouvre grand tes cuisses en remontant tes jambes repliées. Moi, je de temps en temps je vais me cambrer. Regarde et déguste. Je suis sûre qu’on peut jouir encore…

Je ne lui laisse pas le temps de me répondre. Je passe mes bras derrière ses cuisses, l’oblige à soulever un peu le bassin et me donner d’elle-même le plus large panorama de son intimité. La mince fente de sa vulve s’élargit, laisse deviner la noire fossette de l’ouverture du vagin, et en prime me délivre une vue nouvelle : celle d’un œillet couleur lilas au milieu d’une raie que ne fleurissent que quelques poils. Elle aussi m’écarte les fesses, puis revient à mon nénuphar qu’elle aide à s’épanouir de ses doigts curieux. Je sens qu’elle savoure avant de goûter. Elle frotte l’index sur mes petites lèvres en crête, pinçote un peu mon berlingot, puis sa bouche vient au contact, et, de ses joues, elle pompe comme pour boire. L’instant de surprise passé, qui m’a fait ouvrir au plus grand, je me penche à mon tour sur ses appâts fascinants. Deux minutes de ce traitement réciproque nous font toutes les deux fondre à qui mieux mieux. Sur ce canapé couleur de mer, des houles de plus en plus prononcées nous assaillent et font accélérer notre sang dans nos veines. Elle part la première, quand ma langue descendue au plus bas, tout près d’explorer la raie interdite, plonge son velours dans le dans petit tunnel déchiffonné. La voir jouir avec une telle intensité déclenche aussitôt ma propre jouissance. Et nous coulons l’une et l’autre, comme des fruits trop mûrs, nos meilleurs jus. Ce n’est que notre premier orgasme partagé, mais je comprends que l’avenir nous en réserve beaucoup d’autres. Il y a deux semaines, je me demandais si je saurais jouir avec quelqu’un d’autre. Je crois que la partenaire idéale m’est soudain tombée du ciel. Tania me ramène sur terre :

— Tu fais une drôle de coquine, et j’adore ça ; je suis sûre que je vais en apprendre avec toi… Et peut-être que moi aussi je t’aiderai à découvrir du nouveau.

Je me redresse et m’assied sur le canapé. Elle en fait autant au plus près de moi. Nous restons nues assises côte à côte. Je lui donne de petits baisers sur les joues et elle me remercie en caressant mes cuisses. Puis, tout à coup, je me lève.

– Attends-moi, je reviens. Nous avons bien mérité un petit rafraîchissement après tant d’efforts.

Elle éclate de rires.

– Tu l’as dit, il faut payer de sa personne pour être heureux, et nous l’avons fait autant qu’il nous été possible.

Vous avez aimé ce texte, vous aimerez sûrement ...

Donnez nous votre avis !

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *