Les découvertes de Tian’ et Noé 4

12345
Loading...

Aperroqu


à plusieurs


Ces trois semaines sont vraiment passées trop vite. Noé a pris tellement de place ! Depuis la séance du soixante-neuf, nous avons plusieurs fois renouvelé l’expérience, mais toujours chez elle, et toujours avec un plaisir immense. Mes parents sont revenus halés et plutôt de bonne humeur. Je leur ai dit que j’avais fait connaissance avec la voisine fraichement arrivée, qu’elle irait dans le même lycée que moi à la rentrée, et que j’avais passé pas mal de temps avec elle, sans leur dire évidemment ce que nous faisions. En réalité, je peux de moins en moins me passer d’elle. J’ai souvent besoin de son avis pour décider quelque chose. J’ai besoin d’échanger avec elle car j’en retiens toujours quelque chose. J’ai encore davantage besoin de son corps. J’ai toujours envie que nous trouvions le temps de vibrer ensemble, d’atteindre cette dimension intense de la vie, nouvelle pour moi, mais dont je ne peux plus me passer, et je pense que c’est aussi vrai pour elle. Et chaque fois que nous nous rencontrons, nous jouons la même partition qui nous donne le goût du bonheur. Je me suis même demandé si, au bout d’un mois de nos ébats, je ne suis pas devenue un peu dépendante. Mais ça ne fait rien, je l’assume. Je la trouve si belle, si libre, si pleine d’énergie, impérieuse aussi. Les sensations qu’elle me procure sont comme une profusion de fleurs ou fruits, une corne d’abondance dont j’ignorais l’existence avant elle.

Chaque fois que je me rends chez elle, l’émotion tend les pointes de mes seins dès que j’arrive à la porte d’entrée. Ils sont déjà durs quand elle les prend dans ses mains. Et ma source coule entre mes jambes aussitôt que sa langue touche la mienne. Je ne peux plus résister à mon désir dès qu’elle pose sa main sur moi. Hier encore, la séance a été intense. Très vite, après nous être repus de léchage l’une au-dessus de l’autre, ses doigts sont entrés en action. Elle a longuement caressé mes petites lèvres, les a écartées comme pour mieux contempler les chairs tendres de ma moule. Puis son index fouisseur a glissé dans ma terre humide. Attouchements de surface, puis exploration plus en profondeur. Je me suis sentie fondre entre ses lèvres. Deux doigts ont continué le va et vient, et c’était encore meilleur. Puis trois doigts en ont remplacé les deux. Un vide en moi était comblé, tandis qu’elle serrait ses lèvres sur ma petite framboise qui n’en demandait pas tant. Et j’ai dû arrêter mon propre léchage, emporté par le torrent du plaisir qui m’a ballotté durant de longues secondes. J’en suis revenu presque péniblement, tellement c’était bon et fort. J’aurais voulu que cet instant se prolonge des heures, mais j’ai pourtant eu la lucidité de revenir au réel.

— Excuse-moi, Noé, je dois repartir. Mon père va bientôt rentrer. Il avait un rendez-vous chez le dentiste, donc il sera là plutôt que d’habitude.

— Tu ne mas pas dit ce qu’ils faisaient tes parents, Tian’.

— Ma mère est infirmière au CHU. Elle a des horaires très variables. Elle a choisi depuis trois ans de faire des heures de nuit, et elle en fait fréquemment. Quant à mon père, il est représentant pour une marque d’appareils ménagers. Généralement, il ne débauche pas très tôt. Certains foyers, il ne peut les voir que le soir, après leur travail. Et toi, je sais que ton père est longuement et souvent absent, mais il fait quoi au juste ?

— Lui aussi se déplace beaucoup. Dans le grand ouest, c’est pourquoi il dort souvent à l’hôtel, mais aussi parfois à l’étranger. Surtout en Afrique, et là, il peut partir la semaine entière. Il démarche pour installer des réseaux informatiques dans les entreprises, et quand il a obtenu un contrat, il surveille l’opération d’installation de A à Z, ça peut prendre du temps. Moi, ça ne me fait rien. Quand j’étais en pension, je ne le voyais que le week-end, à peu près comme aujourd’hui. Et puis, avec toi, la solitude, j’ai tiré un trait dessus.

Ça m’a fait au chaud au cœur qu’elle me dise ça. Je suis tellement bien avec elle. Elle me fascine, son corps et sa personnalité, autant l’un que l’autre. Je manque de mots pour décrire ce qu’elle est et ce que nous visons ensemble. C’est tellement fort ! Je la quitte avec une bise bien pudique après ce que nous avons fait, mais il faut vraiment que je rentre.

Une autre fois, c’est elle qui est venue chez moi, dans ma chambre, en profitant des derniers jours de vacances alors que mes parents avaient repris le travail. Je l’ai fait asseoir sur le bord du lit. Puis nue, les cuisses ouvertes, elle s’est étendue en m’offrant ses trésors. À genoux devant elle, je me suis efforcée de reproduire ce qu’elle m’avait fait la fois précédentes. J’ai exploré son petit fourreau de chairs souples, avec un doigt, puis plusieurs. Au bout de quelques minutes, je les ai retirés humides et les ai portés à ses lèvres. Elle les a léchés, puis a tiré mon visage sur le sien. La pulpe de ses lèvres était parfumée de son odeur de fille, et j’ai eu grand plaisir à les mordiller. Puis elle a pris ma tête, s’est ouverte à nouveau d’un écartement maximal et l’a pressée sur ses plus beaux atouts, imprimant un mouvement circulaire qui lui a très vite tiré des gémissements, dont l’intensité augmentait. Sans cesser de sucer son sexe, j’ai de nouveau introduit deux doigts dans son vagin. Je l’ai aussitôt senti se contracter, puis expirer fortement, comme libérée, et un filet de cyprine a coulé sur ma paume, dans laquelle je l’ai bu avec ravissement. Cyprine, c’est elle qui m’a appris ce nom, qu’elle a découvert avec sur les sites de sexualité. Je sais qu’elle en connaît bien d’autres, et je ne demande désormais qu’à les apprendre par elle.

Il faut dire que Noé a réussi à me captiver avec des vidéos lesbiennes dont je ne savais même pas qu’elles existaient. Ces derniers temps, plusieurs fois, on a fait l’amour sitôt qu’on se retrouvait. Puis ensuite, en profitant nues dans le salon de la chaleur de l’été, on matait une vidéo porno, assises sur le canapé ou devant la table. La première, elle avait dû la choisir exprès, c’étaient une blonde et une fille métissée à cheveux raides et ondulées qui ne manquaient aucun effort pour parvenir à l’orgasme. Elles étaient magnifiques, la black à quatre pattes devant sa copine, ouvrant largement ses fesses que l’autre léchait avec applications, s’arrêtant pour examiner la rondeur du fessier, puis entrouvrir de ses deux pouces les orifices qui n’attendaient que ça. Puis elle recommençait sa dégustation, tout en chatouillant à quatre doigts son propre sexe, emmenant peu à peu la blonde au paroxysme, qui pressait la tête de son amie, sans paraître sentir qu’elle avait le nez tout près de son anus. Peut-être qu’elle aimait ça, en fait ! Le film s’achevait, sur son plaisir enfin atteint avec de petits cris de jouissance qui ne me laissaient pas indifférente. Toute cette excitation me remuait les sangs et il a fallu que Noé s’active à nouveau pour éteindre le feu qui me dévorait.

 

 

Vous avez aimé ce texte, vous aimerez sûrement ...

Donnez nous votre avis !

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *