I
En cette soirée du 4 juillet, Lorrie et Christophe regardaient un reportage sur les nouvelles orientations environnementales que nous tous pourrions mettre en œuvre dans nos maisons. Les produits proposés permettaient principalement d’éviter les nombreux emballages plastiques comme les shampoings, les bouteilles d’eau minérales, les yaourts, …. Tout un florilège de produits était proposé, du shampoing solide, en passant par l’utilisation accrue de vinaigre blanc en remplacement de produits chimiques, par l’utilisation de cup en lieu et place de tampon hygiénique, ou la fabrication de savons !
Les enfants étaient au lit et dormaient à poing fermé. Nos amoureux étaient sur le canapé du salon. Christophe était captivé par l’émission alors que Lorrie la regardait d’un œil et de l’autre, surfait sur le net. Elle aimait bien surfer sur tout type de site et elle s’attarda ce soir-là, sur un site de vente de jouet pour adulte en vue de mettre un peu de nouveauté dans leur relation.
Le couple était très ouvert dans le domaine de la sexualité, ce qui permettait à chacun d’eux de se sentir à l’aise dans la découverte de ces sites spécialisés. Il y a avait là une multitude d’objet qui la fis réagir. Ce qui conduit Christophe à se rapprocher pour regarder l’écran de l’ordinateur.
Après quelques pages observées, le panier s’était enrichi de quelques bibelots qui avaient favorisé une augmentation de la température ambiante pour nos deux amants ! Alors que Christophe finalisait la commande, il sentit la main de Lorrie se poser tendrement sur le haut de sa cuisse. Cette dernière engagea une légère caresse qui fît réagir le sexe situé à sa proximité. De son autre main elle commença à caresser le torse de son homme qui posa son ordinateur pour embrasser sa compagne. Les mains des deux amants commencèrent une danse de toucher aux endroits les plus intimes et érogènes de ses corps ayant faim de contact. Cette valse sauvage les conduire à frotter, puis pétrir les seins, les hanches, les cuisses les sexes qui finirent pour l’un à être aussi dur qu’un bambou, et pour l’autre aussi humide qu’une boule de coton imbibé d’eau tiède. La main de Lorrie s’engagea dans le boxer de son compagnon et fit rouler deux doigts autour du sommet du gland durci par le désir. Les baisers de nos amoureux étaient autant appuyés que leurs gestes étaient doux sur leurs intimités. Christophe, lui, avait engagé sa main dans la petite culotte de son amie et exerçait ses doigts autour du clitoris humidifié qui devenait de plus en plus sensible pour Lorrie. Les caresses habiles de ces doigts experts permirent d’engager l’éclosion des grandes lèvres qui étaient toutes chaudes, et dont les bordures se dessinaient de plus en plus franche. Leurs respirations avaient pris un rythme plus sonore et ils partirent dans leurs chambres pour se déshabiller mutuellement. Le petit minou heureux de ces caresses se retrouva tout ouvert et Christophe ne put s’empêcher de venir observer cette éclosion du bonheur. Il souffla légèrement sur le clitoris et sur cette vulve ouverte, qu’il vit s’ouvrir aussi délicatement que les pétales d’une rose, les petites lèvres, ouvrant ainsi un orifice d’où s’écoulait déjà un léger liquide qu’il dégusta avec délectation. Lorrie gémit. Elle était prête, Christophe qui l’était tout autant se releva et écarta les jambes de sa compagne pour présenter son sexe devant cette chatte tout offerte à lui. Il posa son gland sur les lèvres et sans aucune difficulté, s’introduisit en elle. La chaleur et l’humidité de l’orifice donna une sensation de confort agréable. Les va et vient étaient tellement facilité par l’excitation de Lorrie, que parfois les deux sexes eurent des moments de répits séparés, mais la gourmandise repris le dessus aussi rapidement qu’ils s’étaient extraits. Les aller et retour étaient rythmés et appuyaient sur un clitoris durci par l’envie. L’orgasme monta depuis le vagin de Lorrie et explosa dans tous les sens, irradiant son corps et celui de Christophe qui éjacula avec un plaisir apaisant avant de s’endormir avec le sentiment d’un bien être bienveillant.
II
Le samedi suivant, jour de repos exceptionnel pour notre libraire, après avoir fait le marché, Lorrie croisa la factrice qui descendait de sa voiture pour se diriger vers leur boîte aux lettres. En voyant Lorrie, elle changea de direction, laissant la boîte aux lettres sur le côté pour lui remettre un paquet. En voyant l’objet, Lorrie ne put retenir ses joues de rosir, se figurant de ce que ce dernier devait contenir. Une bouffée de chaleur l’envahie car elle était impatiente de recevoir les jouets commandés quelques jours auparavant. La factrice, toute aussi gênée, se mis elle aussi à rosir de timidité. C’était sûr, l’adresse de l’expéditeur ne devait pas lui être inconnu, et elle ne pu s’empêcher de souhaiter à Lorrie de passer un agréable moment. Le clin d’œil de la factrice confirma la pensée de Lorrie … elle avait deviné.
En prenant le paquet, le bruit de certains objet s’entrechoquant les fit sourire, d’un air gêné, et complice, mais, responsable.
Lorrie rentra dans la maison et cacha au plus vite le paquet polisson pour ne pas que son compagnon sache que ce dernier venait d’arriver. L’imagination de Lorrie était en effervescence ! Savoir que les jouets commandés étaient là, tout proche, commençait à l’exciter.
La préparation du repas était en bonne voie, en l’absence de Christophe qui était parti amener les enfants chez leurs grands-parents pour la journée. Tout en épluchant les carottes, elle eu une idée des plus coquine qui rendit sa petite chatte toute humide. Elle avait faim elle aussi ! Elle prit quelques-unes des carottes qu’elle venait de préparer, et les dirigea sous sa jupe pour débuter les présentations. Le sexe de Lorrie fit un bisou à ce légume inerte, qui la fit sursauter par la fraîcheur du baiser. Elle ne put résister, et une carotte s’introduisit dans le vagin avec une facilité déconcertante ! La pénétration était exquise et elle commença à se masturber devant le plan de travail de la cuisine. Après quelques va et vient, Lorrie sortie son objet pour le lécher. Elle adorait le goût de son sexe. Puis elle recommença son exercice de plaisir avec l’ensemble des végétaux, sans les goûter cette fois ci. Elle continua alors la préparation de sa salade d’ores et déjà assaisonnée pour le repas.
Au retour de Christophe, nos amoureux se mirent à table. Le repas se passa le plus agréablement du monde alors que Lorrie arborait un sourire malicieux. Christophe fit un festin sans en connaître l’assaisonnement particulier que sa compagne lui avait concocté.
Au moment du dessert, Lorrie découpa une poire que Christophe avait cueillie le matin même. Elle regarda sauvagement son compagnon tout en suçant et dégustant le premier morceau. Son compagnon, toujours avide de sexe lui aussi, ne tarda pas à sentir un début d’érection dans son boxer. Ce dernier lui répondit par un sourire tout aussi percutant qui permis au couple de comprendre que le dessert se terminerait sur le lit ! Lorrie, sous le regard attentif de son mari, découpa un second morceau de poire qu’elle regarda sous tous les angles. Puis, elle présenta le fruit aux yeux de Christophe qui s’avança et en dévora un petit morceau tout en laissant ses lèvres s’attarder sur les doigts de sa serveuse qui était imbibé de ce jus à la fois frais, abondant et sucré. Les yeux dans les yeux, elle dégusta la part qui lui restait et se lécha sensuellement les doigts. La respiration de Christophe avait changé de rythme.
Lorrie coupa un troisième morceau qu’elle présenta à nouveau devant son ami. Mais au moment où il allait happer le fruit, elle récupéra la part, et les yeux dans les yeux, elle dirigea l’objet dégoulinant sous la table. Elle fit en sorte d’exagérer les gestes pour que son convive comprenne et imagine le chemin parcouru par le morceau de poire. Elle recula sa chaise pour écarter encore plus ses cuisses, ce qui permit à Christophe de découvrir le massage que se prodiguait Lorrie avec le fruit. Elle le dirigea alors à l’intérieur de son vagin, pour le ressortir tiède et encore plus humide pour l’offrir à son compagnon. La scène se renouvela avec une seconde poire, au plus grand bonheur de Christophe. C’est alors que Lorrie l’informa qu’il avait fait un repas avec son assaisonnement intime. Il en était ravi, mais un peu vexé de ne pas avoir découvert la supercherie plus rapidement ! Il se dirigea alors sous la table pour poursuivre la dégustation de ce délicat mélange des sucs tièdes et sucrés de la belle et douce chatte de Lorrie qui s’était complètement imbibée du jus de poire. La langue passa dans tous les recoins de sa vulve, de l’intérieur de sa cuisse gauche à sa cuisse droite. Il lapa, suça, alors que Lorrie écartait au maximum ses cuisses pour faciliter l’accès à cette langue si vorace. Ses mains posées sur la tête de son amant appuyaient pour ne pas laisser ce supplice s’arrêter. Elle était aux anges, et toutes ses sensations la firent gémir et se cambrer. De plus en plus de liquide arrivait au niveau de la bouche de son homme, qui alternait entre la pénétration de la langue et de son nez. Comblée au plus haut point, elle se mit à lui dire d’arrêter, et elle essayait de retirer la tête de Christophe de ses cuisses, mais ce dernier n’était toujours pas rassasié ! Il prit, avec ses mains, les pieds de la chaise où était assise Lorrie, pour aider son visage à appuyer sur ce sexe chaud et rafraîchissant à la fois, ce qui interdit à sa mie de s’éclipser … ! Quelques convulsions commençaient à arriver dans le bas ventre de cette femme excitée au plus haut point. La vengeance de Christophe, par rapport au jeu de Lorrie, par l’utilisation de la mouille de sa partenaire était bien calculée … !
Elle n’en pouvait plus, mais il n’arrêtait pas de la butiner, de la boire, c’est alors qu’un râle plus important s’échappa de la bouche de Lorrie et au même moment, une vague de liquide tiède s’échappa de son sexe béant, mouillant complètement le visage de Christophe. Se dernier recula de surprise en fermant ses yeux, puis une seconde aspersion, une troisième et une quatrième le trempa complètement. Lorrie était complètement raidie, ouverte, et épuisée par cette série d’orgasme commun à ces femmes dites fontaines. Les deux amants se regardèrent et se sourirent avec une complicité amoureuse. Christophe se releva, encore trempé, et pris son épouse dans les bras et l’amena sur le lit de la chambre à coucher, où ils se couchèrent maculé de tout ce liquide, pour se reposer, se serrer dans les bras et ne rien faire !
Ils s’endormirent en amant complice et comblé.
III
Les jours, les semaines se succédèrent et la vie quotidienne reprenait ses droits. Les journées devenaient un peu longues au magasin et le besoin de retrouver de la sérénité et du temps à soi devenait de plus en plus important pour Lorrie. Et ce dernier week-end d’octobre tomba à point nommé !
En ce dimanche matin ensoleillé, alors que les enfants étaient chez leurs grands-parents et que Christophe repeignait les volets de la maison, Lorrie, au cours de sa douche matinale, eu envie de montrer le colis reçus quelques semaines auparavant par la poste, à son mari. Depuis plusieurs année, Lorrie était adepte des sex-toys et curieuse d’essayer tout type d’objet. Elle s’était acheté, un très beau rosebud qu’elle n’avait jamais montré à Christophe. Elle sortit l’objet en inox surmonté de son émeraude, de son doux écrin noir, pour le caresser et le chauffer avec ses douces mains. Ces mouvements commençaient à lui faire de l’effet, et elle sentit son bas ventre se réchauffer avec la même rapidité que l’objet de ses désirs. Elle descendit sa main gauche pour se caresser. Elle se tenait devant le miroir de la salle de bain, le pied droit posé sur le tabouret, pour offrir son sexe à cette main experte. Afin de libérer sa seconde main, elle mit le rosebud dans sa bouche. Puis sa main droite se dirigea plus bas pour aider sa partenaire. L’insertion de ses doigts dans sa chatte augmentait son excitation au point de les rendre humides à souhait. Elle profita alors de cette lubrification naturelle, pour préparer son bouton de rose qui était prêt et impatient de recevoir ces quelques goûtes de liqueur lubrifiante. Son anus y était habitué, mais une certaine préparation était néanmoins utile, et après quelques parcours timide autour de l’entrée interdite, un de ses doigts trouva le passage à son goût pour s’y engouffrer. Elle changea de doigt pour y déposer un maximum de mouille, puis, sa main gauche remonta pour récupérer le rosebud maintenant chaud de la température de sa bouche. Elle le dirigea sur sa vulve pour que ses petites lèvres y déposent un doux et baveux baisé. Elle fit tourner l’objet afin qu’il enrobe le galbe de cet as de pique. Puis, d’un geste tout aussi expert, elle enfonça l’objet dans son vagin. Un léger rictus se dessina sur le coin de sa bouche lorsque la partie la plus large passa sur la zone la plus musclée de son vagin. Puis elle le retira pour le diriger vers son proche anus qui reçut, avec bonheur, le divin métal. La sensation tiède de l’objet contracta l’orifice, et avec la plus grande des douceurs et délicatesse, appliqua une pression dans un premier temps léger, puis plus intense, permettant ainsi au bijou de se positionner dans son logement. Elle ajusta l’objet pour que son confort en soit assuré, puis elle se tourna vers le miroir pour observer la beauté de l’éclat émeraude faisant maintenant place au niveau de sa zone anale. Cette vue l’excitait terriblement, mais elle se ressaisit pour en garder le bénéfice pour plus tard, avec son compagnon. Elle s’habilla donc, le sexe tout humidifié !
Christophe n’était pas très loin, et Lorrie le trouva facilement devant ses volets, le pinceau à la main. Elle s’avança de sa façon la plus sexy possible et, en lui caressant le bras, lui fit comprendre ses intentions. Christophe finissait sa peinture, il la regarda d’un air gourmand, et lui dit de patienter le temps qu’il prenne une bonne douche.
En entrant dans la chambre, il découvrit Lorrie allongée sur le lit en nuisette vert émeraude. Appuyée sur son flanc, elle regardait à l’intérieur d’un colis posé à proximité de ses bras. Elle leva ses yeux de biche qui l’invitait à venir s’allonger de l’autre côté du lit. Christophe, munit d’une simple serviette autour de la taille, s’exécuta, tout en observant le colis d’un air interrogateur. Lorrie ne tarda pas à lui faire découvrir son contenu. Un à un elle sortit les objets commandés. À chacune de ses découvertes, ses paumettes devenaient de plus en plus rosées de gourmandise, alors que Christian, tout aussi intimidé arborait un magnifique sourire avec autant de rougeur sur ses jouent.
La première découverte fût de belles boules argentées reliées par une ficelle. Lorrie les déposa sur la couette devant elle. Le second objet ressemblait à un long tube plein et d’une souplesse calibrée. Sur ce dongle coloré d’un rose fuchsia, était gravé quelques nervures aussi précisent qu’explicites. Par la suite, la main de Lorrie trouva une boîte de préservatif et 3 tubes de gel anal qu’elle déposa à proximité des toys déjà offert au regard de Christophe qui se délectait de ces découvertes. Elle trouva ensuite 2 boîtes plus étranges. Elle ouvrit l’une d’entre elle, pour en sortir un objet courbe noir. Ce plug anal était livré avec une notice explicative lui permettant de se connecter à un smartphone. Le regard de Christian s’illumina et fut suivi du même effet par Lorrie qui découvrit dans l’autre boîte, un objet tout aussi connecté de couleur rose. Un œuf vibrant. Le dernier objet trouvé dans le colis à malice, fût un lot de 4 paires de menotte qu’elle aligna, en guise de trophée, devant l’ensemble des objets.
Cette séance de découverte avait émoustillé nos jeunes amants qui voulurent essayer sans plus attendre l’un de ces jouets pour adulte. Christophe, dont la serviette laissait deviner une érection digne de ce nom, s’empara du dongle en écartant l’ensemble des autres objets. Lorries, dont le sexe était tiède de par son excitation, s’empara avec la dextérité complice du moment, d’un tube de gel anal, alors que sa bouche trouva celle de son homme. Christophe l’embrassa, et avec sa main libre, dirigea ses caresses vers un sexe humide à souhait ! Les caresses expertes de cet homme fit accélérer le rythme de la respiration de Lorrie qui écarta les jambes pour lui en faciliter l’accès. La verge de Christophe était aussi dure que du béton lorsque le couple se détacha pour débuter un jeu d’acrobatie pour lequel ils s’étaient entraînés durant plusieurs jour.
Christian retira sa serviette et s’allongea sur le dos. Lorrie se positionna face à ses jambes qu’il fit remonter vers son torse. Lorrie, pris délicatement les jambes et engagea un délicat accompagnement pour essayer d’amener les pieds de son chéri de l’autre côté de sa tête façon roulade à l’envers. Pendant la réalisation de ce mouvement, les bras de Christian se positionnèrent pour soutenir ses reins. L’exercice que se prodiguait nos amoureux conduit le sexe de Christian au-dessus de son visage. Et avec la plus grande des douceurs, Lorrie aida son compagnon à orienter son sexe vers sa bouche pour que ce dernier goûte à cette sucette gorgée de sang. La vision de cette scène excita au plus haut point sa femme qui ne put s’empêcher de diriger ses doigts vers son sexe pour en caresser un clitoris brûlant et gonflé à l’extrême. Christophe était très souple, et il réussit à embrasser son gland. La position n’étant pas très confortable, et afin de soulager son homme, Lorrie repositionna les jambes moins hautes, laissant offrir les fesses à disposition. Lorrie déposa et étala de ses doigts fins, quelques larmes de gel anal sur l’orifice qui devint luisant et glissant. Elle fit de même sur une extrémité du dongle qu’elle positionna face à cet anus pressé.
Elle commença pas introduire l’index de sa main droite dans l’anus de son mari qui ne put laisser échapper un fort soupire. L’orifice était entraîné, mais offrait une légère résistance qui permis à Lorrie d’y ajouter un puis deux doigts de plus. Elle aimait fouiller l’intérieur de son homme en lui prodiguant des cercle et doux écartement. Lorsque celui-ci fut prêt elle présenta un côté du dongle à proximité de orifice enfin adapté et elle commença à le pénétrer. Christophe écartait quant à lui un peu plus ses fesses qu’ils tenaient de ses mains pour faciliter la pénétration de ce manche contendant ! Il se sentait bien et aimait beaucoup les mouvements de va et vient que prodiguait sa femme avec ce gode d’une longueur impressionnante, tandis qu’elle le masturbait tendrement.
Alors que Christophe se détendait et aimait ces caresses, il dirigea sa main droite vers la cuisse de sa femme et remonta vers ses fesses pour en titiller son petit trou secret. Il commença lui aussi avec son index et petit à petit ouvrit cet orifice interdit.
Quelques perles de bonheur commençaient à couler de son sexe qui voyait ses lèvres se gonfler aux rythmes des battements de son cœur.
Elle demanda à son homme de se mettre à quatre pattes sur le lit, alors qu’elle faisait attention de ne pas le blesser avec le dongle, puis elle se mis elle aussi à quatre pattes afin d’avoir ses fesses face aux fesses de son Christophe.
Elle Prit alors l’autre extrémité du dongle et elle se l’introduisit dans son anus.
Elle commença à réaliser des va et vient avec le dongle de sa main ce qui permis à masturber dans le même temps l’anus de son homme.
Le couple pris ensuite un rythme de croisière dans les coups de tampon entre fesses leur permettant le prendre leur pied anal. Lorrie qui avait son sexe complètement ouvert introduisait ses doigts pour se masturber avec délectation. Elle amplifia son plaisir pour l’appui et les frottements sur son clitoris qui la firent chavirer de bonheur en laissant échapper un ralle et cris d’extase.
Christophe, quant à lui, par cette scène et ces stimulations, éjacula sur les draps, et cria avec autant de plaisir que sa femme.
Repus, les deux amants finirent enliassé, s’embrassant et s’endormira dans ces draps souillés de sperme et laissant le dongle encore chaud de leur température corporelle, sur le sol.
IV
Ce dimanche avaient permis, à nos amoureux, de découvrir un des jouets que Lorrie avait acheté pour pimenter la sexualité de son couple. Le plaisir pris par les deux amoureux augurait de future activités intimes encore plus pimentées les unes que les autres … !