L’été ! Quelle belle saison ! Avoir la chance d’aller à la mer pour se baigner, bronzer ou tout simplement observer les gens dans les tenues les plus intimes !
Cette année là, je partie à la plage seule, sans personnes à mes côtes, à part peut-être ce mystérieux colocataire, je ne l’avais vu qu’une fois et c’est à mon arrivée :
Il était grand, la peau assez blanche car il ne sortait pas (préférant rester dans un bar ou dans sa chambre) ses cheveux étaient châtains clairs et ses yeux noirs, un sourire charmeur, même si ses dents se rapprochaient plus du jaune que du blanc.
J’avais 10 minutes de retard et il m’attendais déjà sur le seuil de la porte l’air assez mal à l’aise.
Ses yeux se sont d’abord dirigés vers mes yeux verts puis mes cheveux blonds foncés, il avait l’air sous le charme !
– « Vous êtes en retard Mademoiselle » !
-« Excusez moi, vous savez ce que sont les grèves de la SNCF ! »
-« Vous n’auriez pas pu prendre un taxi ? »
-« Je ne roule pas sur l’or MERCI ! »
Nous étions tous les deux sur la défensive, une ambiance pesante s’installant dans la salle.
-« Où vais je dormir ? »
-« Dans le canapé, j’ai déjà réservé le lit deux places »
-« Vous attendez quelqu’un ? »
-« Non ma porte est ouverte, sauf pour vous d’ailleurs ! »
-« Et pourquoi ça ? »
-« Vous avais l’air d’être une sacrée chieuse ! »
Je sortis donc laissant mes affaires et ne prenant qu’une serviette.
La plage était bondée mais je réussi à me trouver une place parmi les transats.
Je suis partie me baigner et en revenant je me suis rendue compte que ma serviette était celle que je devais utiliser pour la douche.
Je devais donc rentrer pour chercher ma serviette de plage.
Arrivant devant l’appartement, je me suis rendue compte que la porte était fermée je devais donc passer par la fenêtre.
Utilisant les talents d’escalade et ma grande taille pour rentrer en effraction dans ma propre colocation.
La seule fenêtre entre ouverte était celle de la salle de bain, or elle l’air occupée.
Je ne pu m’empêcher de jeter un oeil par dessus la vitre :
Mon coloc était sous la douche nu en train de se branler…
Choquée et gênée, je fis un pas en arrière et tombais au sol, sonnée.
Je me réveillais quelques minutes plus tard sur le canapé.
Mon coloc était à côté, gêné car il savait que je l’avais vu, du moins il le devinait.
Nous nous lançâmes un regard puis il detournit les yeux.
-« Je suis navrée, j’aurais dû toquer au lieu de faire du voyeurisme … »
-« Je ne t’en veux pas… Mais … J’ai une idée pour rétablir une bonne entente entre nous . »
-« Quoi donc ? »
-« Mon plus grand fantasme serait de me faire surprendre pendant ma pignole et que ça finisse en …. Tu vois ! »
-« Euhhhhhhhh… »
-« Je pourrait te payer ! »
-« Je … C’est inutile de payer, je dois me faire pardonner. Mais alors tout ceci ne sortira pas des murs ! »
-« Promis ! »
-« Marché conclus, demain même heure même scénario mais par la porte d’entrée OK ? »
-« OK »
Le lendemain j’arrivais sur les lieux et passa par la porte, la salle de bain au fond était occupé et je pouvais entendre un léger courant d’eau.
J’ouvris la porte et le vis, cette fois ci je pouvais admirer la scène :
Il avait de légers abdos avec une ceinture d’Apollon marquée, ses cheveux étaient mouillés et son corps aussi mais pas qu’avec de l’eau, son pénis était en érection … Il était d’une bonne taille, je ne pus m’empêcher de me mordre les lèvres en pensant à son engin rentrant dans mon vagin faisant des vas et viens.
Il me lança un regard et s’approcha.
Il me prit par la taille et approcha ses lèvres près des miennes en m’embrassant fougueusement.
Je pris sa bite d’une main en essayant de créer un rythme sensuel.
Ses yeux noirs me transperçaient comme pour me dire sans les mots son excitation (même si je l’avais déjà devinée).
Tandis que mon mouvement allait de plus en plus vite, il respirait et m’embrasser de plus en plus fort.
Il était dans un état difficile à définir tout voulais dire qu’il appréciait et pourtant je me sentais mal de lui faire ça.
Il agrippa mon sein droit et l’enleva de mon bikini le léchant et faisant pointer extrémité.
Je commençais enfin à prendre du plaisir.
Il me souleva pour me plaquer contre la porte de la douche et m’embrassa partout où il pouvait et commença même à me doigter.
Je le branlait de plus belle jusqu’à ce que nous ayons finis en même temps.
Épuisés, cette première baise fut fascinante mais ce n’était pas là dernière.