Libertine bougeoise du jet-set

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Ivan


adultèrebourgeoisieMILF


Libertine bougeoise du jet-set

Préface

 

Une belle femme, bien proportionnée, dotée d’une forte poitrine. Blonde, elle a un joli visage, rond, bien fardé, des lèvres pleines et des yeux d’un bleu porcelaine. C’est une femme majestueuse et ses chairs ne sont pas flasques du fait de sa rondeur sans doute. Elle a une belle peau d’un blanc laiteux. Ils menaient une vie aisée à laquelle manquait un peu de piment. L’excitation lui vient du fait qu´elle souhaiterait le tromper avec son assentiment, elle aimerait qu’il l’offre à un autre homme. Une femme blonde, elle se serait fait sauter par le plus d’hommes possible, sans non plus tomber dans l’excès, mais elle veut dire que la morale, les bonnes manières, La blonde se serait assise dessus! Carlota aurait profité de ses atouts pour aguicher les hommes.

 

 

1

 

Il ne lui avait jamais vraiment été fidèle, tout au long de leur union. Mais la répétition de ces actes adultères en avait fait inconsciemment une chose qu’il en était venu à considérer comme normale. Presque la même silhouette qui a fait craquer son mari, dix ans plus tôt. Elle retourne au salon et se présente dans sa nouvelle tenue devant son mari.

 

          –Je dois te parler.

          – Je t’écoute. Tu as des problèmes?

          – Ferme les yeux, mon chéri.

          – D’accord.

         –Alors? Tu aimes? Comment tu me trouves?

         –Tu es magnifique. Le jean te va très bien et en plus, avec tes petits boots en daim beige clair, ça te donne une très belle silhouette. Tu es très jolie.

         – Merci, mon chéri, tu es trop gentil.

         – Pas du tout, c’est la vérité.

          – Allez, maintenant la suíte.

          – Ah, parce que tu as acheté autre chose?

          – Oui mon amour, tu sais, c’étaient les soldes, alors…

          – Euh, j’avoue que je ne m’attendais pas à ça. Tu es sublime. Bandante, mais… Mais tu ne peux pas porter ça en public.

          –Pourquoi? Je te fais honte?

          –C’est pas ça, mais enfin, tu es une femme mariée.

          – Je pensais te faire plaisir. Je suis déçue. Je ne te pensais pas si coincé. Le piment… Pense au piment!

          – J’ai peur de te perdre, moi.

          –Mais non, idiot, tu sais bien que c’est toi que j’aime. Pas un autre.

Elle est vraiment très jolie cette petite robe. Le petit morceau de tissu sur sa peau bronzée.

 

Le rouge lui monte aux joues. Le même rouge ou presque que cette mini robe dos nu qu’elle s’est décidée à acheter. Jamais elle n’a porté une robe aussi sexy. Elle dévoile beaucoup de choses, son dos bien sûr, mais aussi ses cuisses, très haut, sans compter le décolleté très plongeant. Pour compléter, elle a acheté les chaussures d’été à lanières et talons hauts… Rouges elles aussi. Elle hésite encore.          

 

         – Tu veux te changer les idées?

         – Je ne dirais pas non. Mais tu viens de le faire de splendide manière.

         –Tu sais que ces dernières années, j’ai vu d’autres hommes et que j’ai bien dû m’amuser quand tu n’étais pas là… Tu promets de ne pas me juger?

         –Bien sûr que non. Amusons-nous. Je crois que tu aimeras.

La mariée se serait promenée avec un immense décolleté, des jupes courtes, des t-shirts collants, sans soutien-gorge avec les tétons apparents sous le tissu de son chemisier, avec un soutien-gorge à balconnets pour mettre en valeur sa voluptueuse poitrine. Bref, elle aurait tout fait pour rendre fous tous les hommes qu´elle aurait eu la chance de croiser. La blonde se serait masturbée dans son lit, sur son canapé, dans sa voiture, les jambes grandes ouvertes. Elle se laisse faire avec délice, elle est dans une sorte de transe. Il fait d´elle ce qu’il veut et ça l’excite énormément. La mariée aurait sucé un maximum de belles verges bien drues, bien tendues, de belles dimensions, La blonde aurait regardé droit dans les yeux ses amants au moment de leur jouissance et Carlota aurait avalé leur sperme comme une récompense à sa technique. Totalement invraisemblable, mais totalement vrai!

Cette femme se laisse séduire par le jeune homme.  Cette riche bourgeoise, dans son excès de zèle, provoquent souvent des érections incontrôlées en Valério. Lorsqu’il s’agit de s’habiller classique et sexy… Provocante sans etre vulgaire… Léger bronzage toute l’année, Manucure parfaite, maquillage étudié.  Et si elles portent des bijoux ultime accessoire sexy chic, un collier de perle, une chainette en or à la cheville, dês boucles d’oreilles… Ou meme des piercings… Comment leur résister? Valério constatait que son intérêt pour elle ne la laissait pas de marbre mais lui tout en discutant il s’imaginait dégraffant son chemisier ou il fixait sa main imaginant ses doigts magnifiques, aux ongles peints se refermer autour de son sexe… L’agripper… Le caresser. Il sentait presque ses ongles descendre sur son torse lentement pendant que de l’autre main elle lui branlait énergiquement… Une phrase lui tira de ses… Rêves.  Il semblerait qu’une fantôme soit le maître d’un jeu coquin avec Maria Carlota devant son mari, son amant Valério, qui lui a proposé de participer à l’ouverture du futur club libertin appelé Bahamas. La boîte est une copie du studi 54 en New York décade de 80.

 

         – Mets ta jolie robe rouge, et aussi… Maria Carlota, j’aimerais bien te voir avec le beau collier de coquillages.

 

Elle se coiffe, se maquille. Elle a envie d’être belle. La petite robe rouge l’attend. Elle la glisse sur sa peau bronzée. Elle enfile le minuscule string et ses chaussures à talons. Elle se regarde dans la glace. Satisfaite, elle quitte la pièce.

La robe est courte… beaucoup trop courte. La blonde fais nettement plus jeune, que beaucoup envient ma poitrine bien ferme, ses hanches étroites.  La vie d´une socialite en´est pas que diamants et vin rosé. Mais ce devrait être le cas. L´argent ne donne pas, la classe, juste de l´argent. Montre la porte à ses ennemis. Elle se battue pour vivre là, elle y reste. Maria Carlota aimait s´amuser. Élégante et sensuelle, équilibre entre la réserve et la provocation. La belle blonde avait été superbe comme d’habitude… Et même plus! Sa sensualité ne s’était jamais aussi bien épanouie et le rouge de la robe fuseau dans laquelle elle s’était glissée la mettait magnifiquement en valeur. Rehaussée par ses talons aiguilles qui mettaient en valeur le galbe de ses hanches et la cambrure de son dos. Elle est habillée comme une véritable pute.

          –Allez petit cocu, regarde ta femme faire la chienne!

L’été était chaud et très agréable cette année-là. À 23 h 30 quand Ils arrivent. Ils arrivent dans la magnifique BMW. Son cœur battait à tout rompre tandis qu´elle approchait de l’enseigne, illuminée par un unique spot aveuglant, et indiquant « Le Bahama´s ». Malgré le fait qu´elle vive mariée, cette aventure avait pour elle le goût de l’interdit, et elle n’avait aucune idée de la teneur de ce qu´elle allait vivre, ni même qui elle allait rencontrer. La blonde avait entendu tant d’histoires sur ces lieux, À son entrée, la socialite Maria Carlota a attiré bien des regards. Il poussat la porte, ils font accueillis par le propriétaire, attentif à sa clientèle. Ils avaient pour habitude de terminer ainsi ses soirées dans le calme de cet endroit paradisiaque.

Il y a beaucoup de monde et sa tenue effectivement fait retourner aussi bien les filles que les garçons. Je trouve plus sexy et moins vulgaire que les tenues qui boudinent ou transforment une femme en saucisse. Admiratifs, ils avaient cessé de parler, savourant la vision des jambes fuselées, de la silhouette délicieusement désirable qui venait mettre un peu de vie et de rêve dans ce petit univers idyllique. Carlota prit place face à eux. C’est un choc brutal, accompagné de bruits métalliques et d’une sensation de froid et d’humidité, qui lui tira de sa torpeur. Maria Carlota ouvrit les yeux. C´etait un vale tout du sexe.

Maintenant… Son épouse avait traversé la salle d’un pas qui semblait très naturel mais qui laissait entrevoir la beauté de ses jambes entre les fentes de son vêtement. Ses cheveux sont longs, épais et ondulants, châtain foncé. Elle a une belle peau claire qui reflète le soleil. Elle est calme et sereine mais avec un tempérament de feu. Ses longues jambes sont sublimes et même ses pieds forts et puissants lui font frissonner.

 

 

 

2

 

Ils avaient toujours eu, sa belle et lui, le fantasme de la pluralité masculine; elle adore être dominée et lui, de l’imaginer au contact avec d’autres hommes l’a toujours beaucoup excite confortablement installés dans des canapés de rotin, intimement regroupés autour de petites tables basses. Seul un halo de lumière douce animait ces emplacements, irisant les boissons étranges. La musique bat son plein dans la pièce surchauffée. Tout un tas de corps inconnus se frôlent, s’attirent et se repoussent, tour à tour.

Un peu plus tard. Ils sont dirigés vers les fameux coins câlins que l’on retrouve dans toutes les boîtes libertines dignes de cette appellation. Il y avait du monde, ni trop, ni trop peu. Après avoir joué les voyeurs dans les différentes salles dédiées au plaisir. La discothèque est plutôt spacieuse et le décor est accueillant. Déjà, sur la piste beaucoup de monde se trémousse. Une majorité de personnes avec une moyenne d’âge de 30 à 35 ans, constitue la clientèle plutôt hétéroclite. Quelques personnes que l’on pourrait qualifier d’âge mûr sont regroupées avec quelques jeunes sur des banquettes à proximité de la piste. On dirait qu’ils sont là pour fêter quelque chose ensemble.

Ils pouvaient accéder au cœur du sanctuaire de toutes les promesses de plaisir. Regards voyeurs, appuyés, dans lesquels le désir parfois allume une flamme. Musique qui invite à la danse, danse lascive des femmes, d’abord seules, et puis les hommes. C’est comme si elle était seule, elle irradie tant de sensualité que tous les regards se braquent sur elle.  Un sourire angélique avec un regard de diablesse. est-elle gazelle ou bien lionne? Soumise ou dominatrice? Peut-être les deux? Tous ses mouvements sont empreints de sensualité : elle nous charme telle une magicienne.  C’est une femme grande, pulpeuse, vêtue d’une petite robe très sexy qui ne cache rien de ses appâts tentateurs. De grands yeux bien dessinés, un sourire éclatant, des lèvres pulpeuses, son visage est celui d’une star du porno américain. Son corps aussi d’ailleurs.

 

          –Parfait; j’ai tout mon temps pour te montrer qu’il ne faut pas s’exhiber et exciter les hommes.

          –  Chérie, j’ai l’impression que tu as des admirateurs, dis-je à voix basse. D’ailleurs je les comprends facilement car tu es splendide! Tu es encore plus belle. Tu es super belle dans ta robe. J’ai vu plein de mecs qui n’arrêtent pas de te regarder.

          – Arrête, flatteur. Tu as choisi de t’amuser, eh bien après tout je ne vois pas pourquoi je n’en ferais pas autant.

          –Ils doivent attendre de voir ta culotte.

          –Oh! Espèce d’obsédé (elle rit). Oui, je me sens libre. Bien.

          –Vous avez la peau très douce. Et cette robe rouge vous dévoile à ravir. Un corps comme le tien mérite plus et mieux.

          –C’est… C’est la première fois que je la mets.

          – Vous êtes très belle, vous savez.

  – Je me sens capable de beaucoup de choses… Je me considère comme sensuelle, gourmande, mais absolument pas nymphomane. J’ai eu besoin très jeune de me caresser souvent. Ajouta Carlota en riant.

 

 

Elle aime exciter les hommes. Elle doit aimer aussi les satisfaire… Non? C’est un beau black qui regarde Maria Carlota avec un sourire amusé.  Un Black d’une quarentaine d’années environ la regardait avec intérêt. Elle et son époux échangent un regard interrogatif. Une dizaine de minutes plus tard, ses regards se sont croisés. Découvert, il l’a souri avant de détourner le regard en saisissant sa coupe pour se donner une contenance. Elle revient vers lui avec un grand sourire aux lèvres. La scène l’excite terriblement.

 

          –Tu es prête à aller plus loin ce soir?

          –Oui! Je vois comment il me reluque. Et plus tard aussi… Son comportement reste cependant dans les limites.

          – Comme ça, on va pouvoir jouer… Tu veux?

          – Je ne peux pas ignorer que cela me trouble, c’est évident, je suis écarlate mais ne fais rien pour arrêter son entreprise de séduction. Pourquoi pas? J’ai une grosse envie.

          –Tu t’attends à quoi? Laisse-toi aller.Tu es faite pour l’amour, ma Jolie. Tu veux qu´il te prenne?

          –Oui. Certains fantasmes sexuels sont à la limite, alors imaginez avec cette drogue. Tu sais que c’est mon fantasme de…

          – Laisse-toi faire: tu vas aimer.

          –Quelle vigueur, Chéri, j’ai hâte de sentir la puissance de ton membre si viril. Il voulait me baiser!Tu es sûr de toi.

          –Oui ! Je veux vous voir prendre du plaisir, je veux qu’il te déshabille et te caresse… Et réciproquement.

          –Ok.  T’inquiète pas, je t’aime.

 

Puis elle se leva, se dirigea vers les toilettes, passant lentement devant le black avec une légère ondulation des hanches pleine de provocation. Elle fait un signe discret au homme. Son époux un peu ailleurs, il a l’impression de rêver. C’était très fort, très sexuel, très pimenté, enfin très… Tout. Ses jambes sont ouvertes sans pudeur, dévoilant une fente trempée et un clitoris érigé.

 

          –J’ai tellement envie de toi…

         –Hum, moi aussi

          –Tes seins sont jolis et bien fermes, comme j’aime, dit-il en les empaumant.

          –Merci!

          –Regarde la belle queue qui va me baiser, mon chéri! Branle-toi, profite du spectacle!

 

Maria Carlota a relevé ses cuisses.  Elle se laisse aller totalement.  Son sexe est gros, peut-être aussi gros que celui de Ricardo son mari.  Elle n’est plus qu’un objet de plaisir pour les deux hommes. Elle a du mal à respirer. Il s’enfonce en elle doucement en la fixant dans les yeux.  Elle se cambre sous les coups de boutoir.  Il s’enfonce à son tour dans le puits d’amour de la belle. Elles sont autour de la taille de de son baiseur qui la pilonne. Le mari Ricardo voit sa femme se cambrer, gémir et s’offrir. Elle gémit, ondule sous ses coups de boutoirs.  Elle sent le plaisir monter.

 

          –Continuez me défoncer la chatte, Mec, elle est en feu.

          –Allez, dis-nous que ça te plaît.

          –Oui, ça me plaît.

          –Tu veux qu’on te baise encore?

          –Oui, baisez-moi encore !

          –C’est bien, Maria Carlota.

Tu… tu veux que je couche encore avec lui? C’est ça?

          –Marie, tu couches avec qui tu veux. Tu es là pour t’amuser et en profiter.

          –Allez, baise-la. Défonce-la, c’est ce qu’elle veut. C’est bien ce que tu veux Chérie, oui?

 

Elle se mord les lèvres pour ne pas gémir. Le black sent les contractions du vagin de Maria Carlota. Au-dessus d’eux, le feu d’artifice éclate colorant le corps nu de Carlota en rouge, en bleu, en vert… Le black se déchaîne. Maria Carlota crie son plaisir. Elle jouit et jouit encore. L´époux se masturbait avec application en les regardant. Il voit le sperme couler de sa chatte, ça sent fort. Bouquet final, le noir se vide en elle. Il lui remet les pieds sur terre en l’embrassant sur la bouche, longuement. Le noir recule lentement et contemple le spectacle délicieux de cette blanche sans tabous qui l’a choisi. Du coin de l’œil, il aperçoit le noir qui remonte sa fermeture éclair et elle qui ramasse sa petite veste de laine tombée à terre, L´epoux placer son épouse face à lui, la forcer à s’agenouiller et il lui dit, d’un ton de commandement:

 

          –Ah, tu veux goûter de mon sexe, eh bien va! Prends-le dans ta bouche. Suce-le pour lui redonner sa vigueur! Allez suce!

          – Mais que c’est bon! Quel plaisir! Quelle jouissance. 

 

En effet, elle sentait que le sperme coulait le long de son sexe et qu’une langue avide s’escrimait à en récupérer chaque goutte. Elle aspira, lécha tout ce qui sortait du vagin de son épouse puis, sans hésiter, Carlota avec la bouche entrouverte et les yeux clos. Quand elle revient le black a fait monter sur la terrasse les trois autres en s’excusant pour le badge. Marie évite le regard de son mari.

Alors, ma chérie, ça devait être super, le feu d’artifice vu d’ici?

Oh oui, mon amour, j’ai vu plein d’étoiles.

 

Toutes les limites sont tombées depuis fort longtemps; l’obscénité, la perversité n’existent plus, tout n’est que plaisir.

 

Il était plus de trois heures du matin lorsqu´elle arrive chez-elle.. La vie est un voyage. Elle se découvre chaque jour. C´et trop canon, La blonde vit une période mouvementée, le revê. Son mari est arrivé. Alors, elle a gagné une Maseratti cadeau de son mari. Quand elle a ouvri la porte et vi le véhicule de ses rêves impossibles. Son mari savait que cette véhicule lui faisait envie. Alors, elle a fait un tas d´allusions sur cette Maseratti.

 

 

3

 

          – Elle est à moi? Demande Carlota.

          – Mais qui y a un noeud?

          – Je rêve, merci. C´est le bom modele. Je suis folle de joie.

          – Elle te plaît?

          – Je l´adore. Quelle sensation. Je l´adore.

 

La Barra da Tijuca au Rio de Janeiro, c´est chez-elle. Une belle femme, riche qu´adore le goût légèrement salé et l’odeur du sperme. Elle termine son travail correctement en léchant la queue encore dure.

Depuis plusieurs ans qu´ils sont mariés, l’idée de voir sa femme coucher avec un autre homme l’a toujours excité. Il voulait la voir jouir, la sentir heureuse et posséder par son amant. Lorsqu´elle retrouve son chéri, il commence immédiatement à fantasmer sur sa nouvelle robe et son dos dénudé, mais elle ne lui dit pas qu´elle ne porte pas de culotte, l´épouse préfère qu’il le découvre, elle pense qu’il appréciera la surprise. Il rêvait de pouvoir la prendre juste après cette autre. Il lui avaist souvent demandé, mais elle prenait toujours cela comme une plaisanterie. Il y a environ 6 mois, elle a fini par l’avouer que cette idée l’excitait et qu’elle s’était même plusieurs fois masturbée en pensant au le comptable de son mari qui habite plus loin dans leur quartier. La blonde l’admirait secrètement. Depuis leur première rencontre avec Valério puis celles qui suivirent, sa libido a pris comme un coup d’accélérateur.

 

     – Je me sens plus désirable, plus belle, déclenchant une petite impulsion électrique dans mon cerveau qui me poussait toujours plus loin,  j’ai des trucs à faire.

Tout ce que tu voudras ma reine.

Qu’est-ce que tu essaies de me dire?

Tu as envie de faire l’amour avec un autre homme.

     – C’est de la curiosité, rien de plus.

     – Tu as envie d’autre chose, c’est ça?

     –Mais bien sûr, c’est toi qui décides.

      - Tu veux y aller quand?

     – Demain soir, par exempleJ’ai envie de prendre un pied d’enfer et donc pour cela de faire monter la pression pendant toute la soirée pour finir en apothéose.

     –Tu sais ce qu’il te reste à faire, lui dit son mari.

 

C’est un jeune homme brun d’une vingtaine d’année, un visage aux traits fin mais dégageant un sentiment de puissance, des yeux presque aussi noir que ses cheveux court, mains toujours soignées et surtout habillé avec goût. Plutôt grand, de larges épaules et des bras plutôt musclés qu’il doit à la pratique de sport assez intensive. Maria Carlota aimait profondément son mari, elle se sentait soudainement attirer par un autre homme. Une attirance tout à fait particulière, c’est comme si son corps le réclamait. Cette idée me plaisait assez, finalement. Il pourrait lui choisir un étalon de revê.  Elle était de plus en plus conquise et très flattée d’être courtisée par un si bel homme.

 

          –Je suis inquiète, peut-être en me voyant faire l’amour à un autre homme tu ne voudras plus de moi ou tes sentiments ne seront plus les mêmes.

          –Bien au contraire, répondis-je en la serrant dans mes bras, je t’aimerai plus encore, même si je ne crois pas que personne ne puisse être amoureux de toi autant que je le suis déjà.

          –Tu es l’homme de ma vie, tu le sais ça?

          – Oui, mon amour. Es-tu excitée à l’idée de ce que nous allons faire?

          – Va jusqu’au bout, si tu veux.

          –Mon amour, je voulais essayer ce genre de lieu avec toi. Je ne sais pas moi-même si cela va me plaire. Mais si tu le désires, nous pouvons partir.

          – Visiblement, cela t’excite autant que moi. Alors, faisons-nous plaisir!

          – Il faut dire que j’étais habillée super sexy avec ma minuscule robe rouge… Tu sais, celle qui est si courte que je n’ai jamais osé la mettre en public. Je portais aussi des bas noirs accompagnés des chaussures rouges à talons hauts et mon décolleté était ouvert en grand… Je t’assure qu’on voyait mes seins sans que je me penche. De dos, ça ne devait pas être mal non plus, mes fesses étaient vraiment moulées. En plus, elle est tout le temps en train de remonter cette robe, du coup, tu imagines bien qu’on voyait mes jarretelles. Dis donc, ça t’excite, hein?

          – Mon cœur bat à deux cents à l’heure.

          –Eh mon cochon, je t’excite, hein! savoure, c’est ton moment! Tu aimes, hein? Imagine…

 

 

Lorsqu´ils sommes arrivés dans la salle de restaurant, il a été très fier de voir l’assemblée d’hommes se dévisser la nuque au passage de sa femme et le mari s´est amusé des regards furibonds que leurs jetaient les femmes de ceux qui étaient accompagnés. L’endroit est très agréable, les tables suffisamment éloignées les unes des autres pour avoir un peu d’intimité. L’ambiance est déjà très joyeuse. Un jeune homme les ont installés dans un angle de la salle. Le silence est d’or, désormais. Elle le veut, mais elle ne va quand même pas lui sauter dessus. Elle se laisse d’abord glisser doucement de sa chaise, presque comme si de rien n’était, et se reçoit sur les genoux, les talons dans les fesses. Il l’invite du regard à poursuivre. Le mari remarquait que le jeune serveur qui s’occupait d´eux avait les yeux irrésistiblement attirés par le profond décolleté de son épouse.

 

          –Je peux te traiter comme la dernière des chiennes tout en ayant énormément de respect et d’amour pour toi, tu sais! Fais ce que tu veux de moi, ce soir, je veux être ta pute!

 

Elle croise et décroise les jambes, finit par allumer une cigarette et le regarde avec un sourire étrange. Elle se détend complètement, désormais convaincue de sa compréhension et surtout de sa complicité. Il a réagi comme elle l’espérait, ni hypocrite ni sarcastique, de façon franche et directe. Le pacte est scellé, fut-elle obligée de se dévêtir devant luiIl doit dire que le service a été excellent, car le serveur n’était jamais très loin de leur table. Les mets étaient très raffinés et les vins qu’il l´avait conseillés s’y mariaient parfaitement. Arrivés au dessert, ils étaient passablement échauffés par l’alcool. . Elle ne prenait même pas le soin de remonter la bretelle de sa longue robe noire, qui avait glissé sur son bras. L’atmosphère vient de changer radicalement, comme si l’air s’était chargé de particules électriques. Ils se regardent fixement, et cette fois leur yeux se parlent sans détours. Elle lui envoie la flamme de son désir. Ses yeux à lui répondent en écho que tout est possible.Il dit alors à sa femme:

 

          –Tu m’as l’air bien excitée ce soir. Tu t’es habillée très sexy et tes yeux sont maquillés, comme tu sais si bien le faire, de façon très discrète mais les traits que tu as dessinés soulignent ce regard si noir et si brûlant. Tu portes une robe qui souligne tes courbes si merveilleuses mais qui est, en même temps, très évasée de sorte que lorsque tu tournes sur toi-même, c’est un peu comme Marylin Monroe qui fait voler sa robe pour découvrir ses jambes.

          –Mon amour, le charme… C’est souvent l’inconnu… Tu as choisi la boîte de nuit. Je ne connais pas cet endroit et je trouve que l’ambiance est très agréable.Je… Je crois que j’ai trop bu…

          –Je suis bien, je suis heureux, tu es diablement ravissante et désirable… C’est notre anniversaire de mariage et nous n’avons que peu d’occasion de nous amuser. Tu ne crois pas que notre jeune serveur mérite un joli pourboire?

          –Merci mon cœur. Si! Bien sur mon chéri, nous lui laisserons dix euros. Il n’y a pas beaucoup de monde mais suffisamment pour que l’atmosphère soit électrique et entraînante.

           – Non, je pensais à quelque chose de plus sexy.

          – Comme quoi par exemple? Dit-elle en souriant.

          –Je pensais à ce petit bout de tissu que tu caches sous ta robe!

          –Mais enfin! Tu n’y penses pas sérieusement tout de même?

          –C’est notre anniversaire de mariage, on peut quand même se permettre une petite folie.

          –Oui bon ! Je veux bien, mais tu m’en achèteras un autre.

          –Bien sur! Vas retirer ton string dans les toilettes. Tu lui donneras lorsqu’il apportera les cafés.

          –Tu as aimé? Tu aimes donc que je m’offre à un autre?

          –Oui, et toi?

          –Enormément. Je suis très excitée ce soir, tu as intérêt à être en forme!

          – Ne t’inquiètes pas pour cela mon amour, ce soir, ce sera ta fête!

– Voyez-vous, mon fantasme est multiple. Il ne s’agit pas simplement de tromper mon mari, mais de le faire avec son assentiment et même sa participation dans le jeu.

          –Mon amour, tu sais bien que rien ne peut me faire plus plaisir, mais une nuit n’est pas suffisante.T’as vu sa queue, comme elle est grosse?

          – Pourquoi tu me dis cela, ça t’excite?

          –Ce qui m’excite, c’est la façon dont tu l’as regardé!Regarde, il bande le salaud!

Je me sens toute drôle… Je suis vraiment une salope, pour m’exhiber ainsi.

          – Tu aimerais l’avoir dans ta chatte?

         – Je… Oui. Et toi, ça te plairait de le voir me la mettre?

         –Vas-y! Tu en meurs d’envie! Tu voudrais sa queue dans ton cul?

         –Oui. Oh oui! Partout!

 

 

4

 

Il a une flûte de champagne à la main et un sourire lãs. Elle quitta la table. Le mari la regardait s’éloigner, ses hauts talons la contraignait à faire onduler ses jolies fesses rondes. Chaque fois qu’un de ses escarpins à talons claquait sur le parquet et malgré son joli soutien-gorge qui devait la maintenir, sa lourde poitrine était ballottée par un lent mouvement dès plus sensuel. Le mari les regardait parler et il pouvait voir sa douce épouse se frotter le cou. Elle se retourna pour lui faire un sourire en baissant les yeux avant de franchir la porte des toilettes. Il sentait déjà sa queue devenir dure en le voyant toucher sa femme. Elle paraissait à la fois exciter et gêner par son future geste. Sur ces mots. Dans le cabinet il l’attrapa par les cheveux, l’obligea à s’agenouiller devant lui et l’ordonna de lui sucer le sexe encore flasque, couvert de sperme et d’autre trace suspecte. Il le pris en bouche malgré l’odeur, il imposa son rythme en la maintenant la tête. De nouveau elle ressentait cette sensation de soumission. Son sexe se mit à mouiller de plus belle.  Il écarta ses jambes, les bascula sur ses épaules. Il prit son sexe dans sa main. Mais il posa le gland à l’entrée de son vagin comme elle l’attendait, il le glissa contre son sexe et lui le colla brusquement dans le fondement. Il la bourra dans une cadence folle et lui pinçant fort les tétons. De nouveau il la fit souffrir, de nouveau il lui fit jouir dans son vagin ruisselant pour éjaculer.

 

         –J’ai adoré, jamais tu n’avais été aussi brutalement viril, et dans le noir les sensations étaient encore plus fortes!  Mon Dieu, j’ai joui comme une folle! Et toi, ça t’a plu?

Oui, ça me plaît. C’est comme ça que je l’imaginais.

 

Le jeune Black les quitta le cabinet quelques minutes plus tard et le mari a entré. Elle ouvrit grand les jambes et l’offrit la vue de sa chatte. Elle était gorgée de sperme, pleine, ruisselante. Elle lui offrait la vue de ses parties intimes souillé de sperme en écartant les fesses des deux mains. Elle était belle et impudique. Comprenant l’invitation… Alors, sa femme lui demanda de lécher son minou débordant de sperme pour qu´il puisse lui faire l’amour à son tour. Il se penchait sur son sexe dégoulinant de semence. Il se jetait dessus pour boire le mélange de sperme et de mouille de sa femme et la lécher passionnément. Après, Il plongeait sa langue dans cette mixture et pris un plaisir étrange à avaler les souillures d’un autre homme.

Il avait presque 22 ans et il étudiait à l’université quand il a vécu cette aventure. Il était fauché, à la recherche d’un petit boulot, lorsqu’un ami de sa mère l’a informée d’un couple qui recherchait un comptable. Puisque il avait été recommandée par une personne de confiance, il n’a pas recherché de renseignements sur ce couple. Maria Carlota était une femme séduisante, 1m72 dans la trintaine, avec beaucoup de charme. Ses longs cheveux blonds très légèrement bouclés, tombant sur ses épaules comme pour indiquer le chemin vers sa poitrine lui donnent un air angélique. Et quelle poitrine, deux énormes mamelons comme il en a rarement vus, ses seins ont manifestement été gonflés on distingue même ses boutons qui pointent, étirant légèrement sa petite robe.

Maria Carlota l’avait assortie à des dessous affriolants tout en dentelle fine bleue elle aussi qui se dessinait tout en relief sous le tissu de sa robe aux fines bretelles qui lui moule bien le corps  à sa façon ce qui à pour effet de faire remonter outrageusement sa robe sur ses cuisses. Pour accompagner de mignons petits escarpins blancs, des ongles vernis de frais, sa coiffure de danseuse, le tout relevé d’un maquillage à peine plus accentué que d’habitude et arrosé d’un parfum aux senteurs magiques.  Carlota se trouvait très mignonne, voire carrément top sexy!  Elle est habillée très classe, madame est une bourgeoise. Une bourgeoise bien aguicheuse à ce qu´il voit.


Que penses-tu de ma tenue?

          –Tu es superbe, répondit-il.Comment ça de l’effet ? Qu’est-ce que tu veux dire? Tu t’es montrée comme ça devant un inconnu?

         – T’es vraiment génial, fit-elle en venant m’embrasser sur la joue.

  - Tu vois que ce n’est pas si mal,Mais à quoi tu joues? Ca t’amuse de me rendre dingue, dit-il.

         – Il est mignon. J’aurai une surprise pour toi…

– Bonjour, Maria Carlota enchantée, dit Valério.

          – Moi aussi, Valério.

          – Ah, Valério, mais t’es bel homme encore, pas de ventre.

 

Valério aperçoit un chemisier sobre mais transparent qui laisse deviner ses formes, soutenues par un soutien gorge demi bonnets suggestion, envie il revient, tu le regardes avec envie, tu croises et décroises les jambes.

          – Tu n’as rien oublié?  Ta culotte, demande le mari.

          – Je l’ai oubliée aux toilettes. Qu’importe? Celle ci vivait dans l’aisance. il ne le remarquera probablement pas.

          – Je n´avais eu autant envie de sexe.

Son mari Ricardo était un solide gaillard qui paraissait un peu plus âgé à cause de sa chevelure poivre et sel. Ils formaient un très beau couple, aisés et décontractés, modernes.

          Il était confortablement assis dans un fauteuil d’une place et lui fixait d’un regard perçant tout en tenant une cravache de ses deux mains en signe de menace et de domination sur lui. Il etait sa proie tout en regardant bien attentivement son corps de haut en bas. Ricardo vient d´une riche famille sicilienne.

 

          – Asseyez-vous, cher Valério, fit-il en lui indiquant le fauteuil de cuir face à son bureau.Quelles sont vos intentions? Faire touner La tetê des femmes?

          – Ce n´est pas mon intention.

           – Tu as compétence, sagesse et est jeune. Tu es la personne ideal.

          – C’est un plaisir pour moi de vous rendre service. Je commence quand?

          – Demain, même heure, même endroit

 

Lorsque l’entreprise que Ricardo avait héritée de son père a déposé le bilan, j’ai pensé que c’était un homme fini. Après avoir passé onze longues années à travailler sans relâche dans cette entreprise pour réussir, et échouer si près du but. La concurrence, la conjoncture, les statistiques disaient que les faillites des petites entreprises avaient peu d’incidence. Mais Ricardo n’était pas une statistique. Ricardo, c’était son mari. Un homme qui avait mis toute son énergie, toutes ses forces pour faire grandir cette entreprise.  Pour qu´ils ayent une vie decente.

Le désir d’un homme jeune, beau, avec une belle prestance, un mâle dominant, cela les émeut, même si ils faisaient tout pour ne pas le montrer.

Maria Carlota avait épousé Ricardo Lefreuve, le jour de ses vingt ans et depuis il lui rend parfaitement heureuse malgré quelques fantasmes dont celui qu´elle vient d’exprimer dans sa tête de parler avec des mots orduriers..  La socilite avait la chance d’avoir épousé un homme d’affaire qui lui comble de toute part. Elle ne travaille plus depuis 15 ans. Ils avaient une superbe maison, une femme de ménage, un jardinier. La blonde ne fait que les grandes boutiques. Il avait son véhicule perso… Un petit cabriolet sportif. La voiture de son mari, une grande berline noire aux vitres teintées reste à sa disposition. La blonde ne porte que des vêtements de luxe, lingerie chic… Voilà en quelques mots l’image qu´elle peut renvoyer. Quel beau fessier, si joliement mis en valeur dans une robe noire… Quel facinant spectacle! Une bourgeoise très distinguée plantée sur ses talons hauts, inaccessible pour la majorité des gens. Malgré tout, Maria Carlota se sent ordinaire, sympa et ouverte, profitant simplement de ce que la vie a mis à sa porté.

A cette époque malgré la trentaine bien avancé, Elle avait eu peu d’aventures sentimentales et une misère sexuelle liée à l’éducation de son époque où parler de cul en famille était tabou.  Mais La blonde avait poussé sa recherche de dépravation bien plus loin. Son goût pour les hommes experimentes prennent les choses en main et decuple le plaisir. Maria Carlota avait toujours été fidèle à son mari malgré ses longues absences et le peu de temps qu’il a à la consacrer. Elle s´occupe donc ses journées entre son grand chez elle qu´elle décore à sa guise, sa salle de sport, sa piscine. Ses ballades de boutiques en boutiques et son cher mari qu´elle essaie de combler au mieux. Le décor étant planté, Elle en arrive donc à se qui l’amène ici. Tout a démarré il y a environ deux ans. son mari était absent, à l’étranger pour affaire.  Il faisait frais, Maria Carlota était en robe noire moulante et plutôt courte, de joli bas de soie noir et des dessous chic mais relativement simple,  Pour elle, c’est tout différent, La blonde a une poitrine assez développée, elle porte du 95C, et je sais donc pertinemment que si elle ne met pas de soutien-gorge, tout le monde se rendra compte qu´elle n’en porte pas.

 

5

 

La sonnette retentit gaiement. En ouvrant, Maria Carlota fut surprise de constater que c´était son Prince enchanté. La blonde avait les joues en feu. Il croit que la biologie de la femme est plus ambiguë que ça. Il y a un attrait instinctif de la femme à se soumettre à un mâle dominant. .Elle le fusillait du regard. Après les politesses d’usage, l´invité entra dans le vif du sujet:

 

          – Jean-Charles, vous ici, déjà.

          – Pardon, vous m’avez dit le nouvel comptable de son mari.

          – Vous aviez l’air dans vos pensées, je vous demandais d’aller me chercher le livre que je suis venu chercher.

          – Oui, troisième porte à droite dans le couloir en sortant de ce salon.
Allez-y seul, j’aime boire mon café presque tiède à l’opposer de vous qui l’avez bu bouillant.

          – Mon dieu, qu’il est grand, quand il a sonné et qu´elle est allée ouvrir,

 

Quand il est passé près de elle, sa taille l’avait paru normale. Il quitte le salon marchant comme un fauve, des dents magnifique.lui faisant une nouvelle fois rêver. Non, vingt ans de fidélité et de bonne manière, pourquoi les balayer pour un simple moment de plaisir surement éphémère. Quel jeune homme de bonne famille.  Un beau teint halé trahissant ses origines latines, un torse bien fait, une mâchoire carrée et un cou massif de buffle. Mais cette brutalité masculine était adoucie par un beau sourire franc, une élégante chemise en lin et un parfum sophistiqué et subtilement musqué.

Elle était absorbée par son téléphone portable, mais ces poses sensuelles et sa tenue provocante attirait les regards et invitait les pensées vicieuses.

 

         – Je l’ai trouvé, Au revoir, merci et excusez pour le dérangement, dit-il.

          – Revenez chercher des livres si vous le désirez, quand vous voulez, ils sont à votre disposition Valério.

 

Ça recommence, ce jeune homme chamboule ses sens et sa vie, bien qu’il ait une tenue exemplaire. Sa culture et sa sérénité me fascinait ,il expliquai ces opinions aux invités a proximité, il la transperçait avec son regard ,ces yeux lui figeait. Maria Carlota n’avait que rarement vu un homme aussi séduisant, instruit et charismatique. Quelques jours plus tard elle reçoit  dans sa maison  une rose avec un petit mot « tu est ravissante  » Valério. surprise et peu habituée a cela son esprit cherche mais elle voit qui aurait pu l’envoyé cette rose le soir chez elle. C´est Valério. Elle plutot habituée a des messages plus crus et obscène.

           – Beaucoup d’autres hommes me regardent avec convoitise, et, juste pour ça, je me sens plus vivante. Regardez-moi ce que ce salaud de Valério m’a envoyé…

           – Ahhhh je vois que notre ami Valério est intéressé. Il veut te baiser, c´est ça.

          – Et tu un cocu concentant, c´est ça?

          – Il m´a donné un enorme plaisir de m´aider éteint son feu sexuel.              

          – Je fantasmais déjà, une envie irrésistible montait en moi. Vous trouverez le jeu à votre goût.

          – Sois sans crainte ma chérie, laisse-toi faire.

          – Voyons Ricardo, tout va bien vous appréciez la soupe. Il est mon objet sexuel.

          – C’est délicieux Maria Carlota, tout à fait raffiné, essayant de maîtriser ma surprise et ma gêne.

          – Je sais combien t’aimes me regarder me faire baiser par d’autres.

Cela ne pourra que renforcer l’amour que nous portons l’un pour l’autre. Tu es si belle entrain de te faire baiser par Valério, tu vas aimer cela, sentir sa queue dans ton sexe.

Oui il est viril et je t’adore comme il est.  Mais, je t’aime chéri et je te comprend, rassures-toi. Tout ce que je veux est ton bonheur.

 

Maria Carlota se coiffait en mode métisse ,boucleé et magnifique irresistibles d’aprés les hommes. Coiffée ,elle enfile cette robe sexy qui se glissait sur la peau, Elle ne devait pas avoir de soutien-gorge en dessous. Vu que distinguait parfaitement ses mamelons par transparence, l’etole autour du cou mettait en valeur son décolleté. une paire de escarpins haut de 10 cm, ce n’est pas souvent qu´elle est invité dans club prive libertin select. Elle était habillée d’une robe sexy, légère et printanière qui mettait bien en valeur sa somptueuse poitrine. il pourrait bien voir qu´elle ne porte pas de culotte..Elle conduit pieds nu et gare sa voiture. Elle cherchait donc une idée pour satisfaire ses désirs sexuels de petits bourgeoise en mal de sensations fortes. Au arriver devant l’entrée, hesite ne sachant pas ou allé, Elle entre et un employé viens a sa rencontre .

 

          – Venez madame vous etes attendus.

 

Elle est surprise avec cet employé, il l’installe a une table isolée avec un bouquet sur la table.des roses a nouveau elle s’installe seule et admire la vue. je regarde autour de moi et on apporte 2 coupes de champagne a table. La socialite porte la flute a sa bouche… Ce n’est pas bien de ne pas m’attendre. La blonde se retourne c’etait Valério…

Magnifique en chemise blanche ouverte sur son torse decouvrant un jolie chaine en or. Il pose ces mains sur mes epaules et me fait une bise sur la joue. Elle ne pouvait plus parlé son charisme ,son sourire.

 

          – Alors Tu es très en beauté ce soir, Carlota.

          – C’est un peu grâce à toi

          – Je dois avouer que ton opération à bien réussi, mais quand bien même tu es une femme superbe..Ma belle surprise?

          –  Euh… non, enfin… Oui, et alors? Je t´attendrais. Et moi, je morris intérieurement à l´idée que tu ne vienne pas. Oui un peu Valério tu es trés beau comme ca.

          – Toi aussi Carlota tu es magnifique dans cette robe.

          – Mais ton mari? Est-il au courant de ce rendez-vous? Qu’est-ce qu’il en penserait? Et bien c’est-ce que je veux savoir.

– Arrêtez Valério avec vos questions cons. J’aime Ricardo, mais il ne sait pas me faire l’amour. Il est maladroit à force d’être attentif à mes désirs.

          – Je vois, tu es frustrée par ton mari qui ne sait pas bien te baiser. Tu veux me montrer tes qualités, maintenant?

          – Je n’arrive pas à en croire mes oreilles. C´est pour ça que j´ai prefere revenir vous voir. Avant de vous retrouver sur la corde raide. Un vrai danger. Je m´inquiete de sa securité.

          – Tu rêves ou quoi? Une anxieté absurde sans compte precise.

          – Tu sais que mon mari est bisexuel. Depuis son adolescence il était attiré par les hommes. Il s´est souvent masturbe et doigté em pensant à eux. Rien de ça change entre-nous. Alors, je fais des erreurs. J´ai commencé à me droguer.

          – Mais apparement le femme qui m´intéressse est prise, mais aime inflingir regles. Mon coeur s´emballe puis de cette nouvelle et tu ne sais pas pourquoi. C´est important que vous exprimez tous vos sentiments ici.

          – Tu es un putain d´obsedé et moi, j´ai constamment besoin de te voir et parler avec vous.

          – C´est une question de point de vue. Mais son mari est imprévisible. Je ne veux compliquer sa vie.

          – Vous êtes un petit malin. Ce truc n´est pas normal. J´ai vraiment te parler. Je te trouve plutôt bizarre. Mais tu cachês bien son desequilibre.

          – Les choses vont s´arranger. Mon amour pas connaître limite. Je bosse dans arrête par vous. J´aime toujours les femmes mariées.

 

 

6

 

Il lui tends la coupe de champagne en disant « à notre soirée ». Il l’hypnotisait ,cette voix douce et apaisante. Elle est superbe il l’embrasse langoureuseument passant sa main sur ma cuisse. elle ne pouvait pas dire non elle avait trop envie de lui de ces bras son parfum. avec ma main droite je baisse la partie avant de son boxer liberant une belle bite de plus de 18 cm et un bon 6 cm d’epaisseur noire avec un gland rouge. Pas toute a fait dure elle imagine.

 

          – Mon dieu, quelle queue, je n’en ai jamais vu d’aussi belle. Tu es venu sur terre pour donner du plaisir aux femmes, mon chou.

         – Tu me rends dingue, dit-il.

 

Elle boit son champagne debout attendant la suite .Valério fit même lui retirant son tanga lui laissant en talons sous tif et etole .il pose sa flute et se met a genoux devant elle ,passant sa main sur sa chatte ,la carressant. Elle se cambre lui offrant un acces il place ces deux mains ouvrant sa chatte et approchant sa bouche lui dit:

 

          – Je vais te goutter .

 

Sirotant son champagne je le laissait glisse sa langue l’ecartant la chatte avec ces doigts. Elle plissait les yeux de plaisir cette langue lui lechait doucement s’arretant sur son clito qu’il aspirait, elle suivait des hanches ces mouvements.

 

          – Regarde ce que je vais te mettre dans ta chatte. Tu la veux vraiment?

          – Comment aurais-je pu refuser? C’était la plus belle bite que j’ai jamais vue.

          – Tu l’aimes, ma bite hein, petite cochonne. Mais on va rattraper le temps perdu.

 

La blonde mouillait terriblement et remarquait que sa bite enorme faisait un bon 20 centimetre et que son gland rouge vif sortait decalotté elle kiffait de voir ça, Il la baisait sur la table et ecarta ses cuisses, versa du campagne sur sa chatte et recommenca a lui lecher ,un 69 sur la table. sa queue etait delicieuse et dure elle pompait son gland et lui lechait la fouillant a nouveau.  Une sensation vraiment inédite, électrisante. La blonde ne pensait plus qu’à cette grosse bite qui lui forait comme une excavatrice.. Il se mit des coups de bite au fond de la gorge lui laissant le lecher a tour de role. Il grognait la baisant et se retira avant de jouir. il place ses deux pieds sur ces épaules lui offrant un acces privilegié a monpuit d’amour. il prit sa bite et la frotta sur son clito, l’arrachant de soupirs, il pousse faisant entré ce gland enorme et hurla.

 

– T’es bonne putain qu’elle chatte? Oui, mais! Pour combien de temps?

          – Tu m’as fait vibrer tu sais. J’en suis toute retournée. Quel plaisir.

          – Tu commence à me connaître.

          – Tu es l´homme qu´a changé ma vie. Vous faites vraiment des miracles. Cette limite entra le désir et l´extase totale. Vous allez loin? ..

          – Comment ça?.J´ai  envie de toi que j´ai te vu. Tu as regard profond. Tu es si belle, si discrète.    

          – Mois, discrete? Je suis une vraie salope. Vous êtes Marie, Valério?

          – Non. Je n´ai jamais rencontré la femme.  Je préfères vivre seul maintenant et suivre ses envies sans blesser personne, enfin plus ou moins..

          – Vous croyez, maintenant?

          – Je ne sais pas.

          – Je suis sûre qu´une flopée de jeunes femmes sexy doit être à vos pied. Vous êtes um comptable important et seduisant.

          – Ça te fait peur, Carlota?

          – J´aime que tu me désire. J´ai l´impression de vivre ma vie sous deux identités.

          – Je n´em doute pas.

          – Je pense à toi constamment, mais c´est plus fort que moi. J´ai tombe amoureuse de vous.

      – C’est une règle d’or pour toute servante de ne rien voir, rien entendre, rien dire… Et idéalement de la discrétion en toute circonstance. Tu seras ma bonne petite fée, n’est-ce pas Carlota?

           – J’aime tout de vous, monsieur, même la grosseur de votre membre et la façon dont vous baisez ma chatte, s’il vous plaît, continuez, monsieur, n’arrêtez pas de me baiser, monsieur. Malgré ma chatte serrée autour de son membre, je sentais tout ces liquides s’échapper hors de moi.

          – Ne t’éloignes pas trop.

          – Je vous laisserai mon numéro et vous n’aurez qu’a m’appeler si vous… Le désirez.

 

Il se retire avec un filet de sperme enorme son gland gonflé. Son sperme commençait à couler le long des cuisses..

C’est un peu paradoxal et pourtant, pour lui la liberté, c’est aussi être à la disposition de son amant. Mais c’est aussi parce qu´il le veut bien. Elle s’est déjà arrivé d’être un peu fatiguée et ne pas accéder à son désir, mais c’est assez rare, Elle ai toujours trop envie qu’il lui prenne, dans toutes les circonstances, sauvagement ou délicatement selon les occasions. Il a gardé une âme romantique et Carlota est persuadée d’avoir trouvé le prince charmant. Et même si la blonde apprécie énormément les saillies brutales dont il est capable, elle adore aussi les longs coïts langoureux qu’il sait également lui prodiguer avec une infinie tendresse et une profonde gentillesse.

Le lendemain, Maria Carlota retrouva son mari pour leur thé, habituel. Après quelques propos anodins, la conversation évolua vers des considérations plus intimes. Sa femme lui regardait droit dans les yeux avec dans le regard quelque chose de très cochon et vicieux, elle ne m’avait jamais regardé comme cela auparavant. Il devenait un voyeur, son cœur battait très vite, la peur de se faire surprendre sans doute. Cà lui rendait dingue de ne rien avoir vu.

 

          –  Je suis venu te chercher tout à l’heure, mais je ne t’ai pas vue sortir. Tu peux m’expliquer pourquoi ta chatte est pleine de sperme.

          – Ah! Ben… Euh… Je suis sortie un peu plus tôt! Arrête! Tu dis n’importe quoi! Je vois que de me voir baiser avec un autre t’excite.

          –Tu me prends pour un con ou quoi?

          –Non, mais je vais t’expliquer…

          – Au fait, tu en es où avec ton dragueur? demanda le mari

          – Ok, je veux bien que tu as des amants, mais je souhaite que tu me raconte tout. Eh bien, j’ai conclu.

          – Comment? Tu as baisé avec lui?

          – Ben oui. C’est ce que tu voulais non? Alors ça t’excite de voir ta petite femme sous le sexe d’un autre mâle. Tu voudrais encore me voir bien remplie par sa grosse queue.

          – Oui, enfin, si tu veux. Tous ce que tu voudras ma chérie. Quand tu dis que tu as conclu, c’est plutôt lui qui l’a fait. Et comment ça s’est passé?

          – Il m’a défoncé le cul, le salaud. Je peux à peine m’asseoir. Il a une bite énorme, je n’en avais jamais vu de pareille.

          – Non, sans blague. Et ça s’est passé comment?

          – Heureuse de te l’entendre dire.

 

A voix basse, Maria Carlota raconta les circonstances de cet accouplement hors normes et plus elle avançait, plus la bouche et les yeux de son mari s’agrandissaient. Finalement, elle lâcha.

 

          – Eh ben dis donc, c’est une affaire, ton mec. Et tu comptes le revoir?
– Tu penses bien que oui mais pas tout de suite, faut que je me remette.
– Et en attendant.
 Plaisir, perversion même, mais respect, chacun a le droit à sa vie privée.

          – Je suis d´accord pour l´accompagner au Bahamas, club libertin plus célébre de la ville. Allons-y. Tu joues merveilleusement la comédie, ma belle aimée. Emmène-moi dans ton monde imaginaire, tu m’excites.

          –Monde imaginaire ? Tu l’auras voulu…

 

 

L’été était chaud et très agréable cette année là , profitant de chaque instant de liberté et de la chaleur de l’été.  Enfin prête, tenue mode chic, robe et escarpins, avec un ne sais quoi de fashion. Maquillage de star, robe mi-cuisse moulante, sans soutien-gorge, talons aiguilles, bas résille, porte-jarretelles. Il te fais remarquer comme à chaque fois, qu´il ne connaissait pas cette tenue, évidemment elle lui répond comme d’habitude que “ c’est vieux “ et qu´elle l’a depuis longtemps..

 

 

 

 

 

7

 

 

 

           – Tu va m’épiler le sexe pour que je sois bien douce pour mon amant.

           –Tu n’as jamais voulu le faire pour moi. À tout de suite.

           –Et bien maintenant je veux bien. C’est pour toi… Et pour lui. Comme tu veux!

          C’est exactement l’effet recherché. C’est son fantasme.

          –C’est débile.

          –Peut-être pour toi, mais moi, ça m’excite!

          – T’as voulu jouer à la pute, moi, je vais jusqu’au bout de mon fantasme comme tu me l’as demandé.

 

Il est neuf heures du soir, en ce mois de mai les soirées sont beaucoup plus longues, et beaucoup de gens sortent. On sent le regard des hommes sur nous. Sa chevelure blonde qui ondulait, ses grands yeux bleus attiraient les hommes. Elle se fit remarquer que certains hommes, émoustillés par tant de charme, risquaient de vouloir aller plus loin. Au salon tous les regards se tourneront vers moi, certains admiratifs, d’autres dubitatifs.  Elle vi dans ses yeux une interrogation… Admirative. Seul un regard excitera sa curiosité, son désir, leur plaisir à venir, peu importe les autres: il n’y avait que ça, que lui qui m’intéressait. Les yeux de la blonde fouillaient l’endroit dans tous ses recoins et s’arrêtèrent sur son amant. Elles installé à une table où était assis son amant dans le coin de la salle. Elle vient s’asseoir dans un fauteuil.  Elle croise ses longues jambes bronzées, sa voix est douce, sensuelle, presque protectrice.

 

          –Vous êtes vraiment belle, Vous êtes superbe comme ça. Carlota. Vous êtes la plus jolie des femmes.

          –Merci, mais je préfèrerais que vous vous occupiez de moi. Je suis vraiment ravi que tu sois venue… Tu peux me tutoyer, tu sais! Lui chuchotait à l’oreille avant de lui poser deux trois bisous bien mouillés dans le cou..

– Tu me t’amuses à me rendre dingue.

          – Cochon…. Tu es vraiment.

          – Hummm quoi. Chacun ses secrets!

          – Un petit vicieux… Elle te plait ma surprise.

          – Je vous sers quelque chose madame? fit le garçon l’air de rien.
– Amenez nous un demi litre de vin blanc avec deux verres » répondit il sans lui laisser le temps de réagir.

 

Ils s´installent dans le salon devant la télévision. Il prit sa main et la posait sur son sexe qui commençait à bien durcir dans son pantalon. Il gardit sa main sur la sienne, lui faisant bien sentir sa queue… Elle commença a lui masser a travers le tissu, sa main posée sur la sienne… Elle lui regardait avec un regard qu´il n’avait pas encore vu… Vraiment lubrique

 

          – Tu la veux vraiment? Alors la voilà sale garce!

          – Hummm Valério j’ai envie de toi.

          – Je commence à le sentir.

          – Fais moi des cochonneriesJe suis sûre que si tu m’amenais aux toilettes pour que je te suce, mon époux en serait très excité! J’adore se masturber lorsque je lui raconte des histoires avec les hommes.

          – Quelle idée avec une nana comme toi!

          – Une surprise! Vas voir!

          – Et toi, tu ne penses pas que c’est jouer avec le feu, mon petit cœur? lui dit-il.

Alors, on fera tout pour ne pas se brûler.

          – Tu es bien excitée mon amour.

          – Oh! Oui, mon cœur, fais-moi l’amour.

          –Je t’aime ma chérie.

 

Plus tard dans les toilettes et là tout devient surréaliste, Quand ils rentrent dans les WC, il y a un homme aux urinoirs et un autre qui se lave les mains. Ils allaient retrouver son mari Ricardo enculé par un énorme Black. Elle s´approche de lui avec la bite de Valério en main.

 

          – Eh bien tu vois cette grosse bite, Mon amant va me la mettre immédiatement! Pas vrai mon grand? Tu vas me la défoncer ma chatte
ou pas?

          – Ecoute-moi bien sale pute. Que tu veuilles te donner en spectacle à ton nouveau jouet, j’en ai rien à foutre.. Tu vas m’enculer, hein mon salaud? Tu sais que j’adore ça.

          – Pas du tout espèce de truie!

          – J’adore les grosses bites, dit elle.

 

Vers 4 heures du matin je l’ai rappelé.

 

– Allô chéri, ça te ferait plaisir si je te disais que tu es cocu? Nue, je suis Eve au Paradis, Vénus sortant de sa coquille. Nue. Nue avec mes seins, mes fesses, mon sexe qui ne demande qu’à s’ouvrir pour lui. Ça t’a pas plu ?

          – Bien sur… Cela à quoi il m’a répondu dans un élan d’orgueil:

          – C’est bien ce qui était convenu, non? Eh bien c’est fait, tu voulais une salope, tu l’as, et tu es cocu. Je ne peux pas te parler ici il y a trop de bruit, je te raconterais à mon retour.

          – Tu rentres quand?

          – Ben je sais pas, pas maintenant en tout cas.

          – Tu as fait quoi dis-moi juste une pipe ou tout?

          – Si j’avais juste fait une pipe, considérerais tu être cocu? Mais je n’attends qu’une chose, qu’il continue. Je le caresse, et ça finit au lit. Cela te fait plaisir?

          – Oui ça m’excite beaucoup, mais j’aimerais que tu rentres me raconter en détail..

          – Tu voulais que je sois salope et que je te trompe, et bien c’est fait.

 

Son haleine dégagea d’abord une odeur d’alcool, puis une odeur bien caractéristique, une odeur de sexe. Ce qui provoqua chez lui une érection difficile à dissimuler.

 

 

Fin

Ivan Ribeiro Lagos

Teresinapr@hotmail.com

 

 

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