Lingerie de femme partie 2

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Frederic Gabriel


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Le lendemain, en début d’après-midi, je l’ai accompagnée jusqu’à Lingerie de femme. Avant qu’on se sépare dans la soirée, je lui avais donné une enveloppe avec une carte d’anniversaire. Dedans, il y avait un bon bricolé par mes propres soins pour 800 euros de vêtements et de lingerie au magasin LINGERIE DE FEMME.
Elle m’avait dit le matin même par SMS que ce cadeau la touchait beaucoup. Elle connaissait le magasin, et elle passait souvent devant, fascinée par la belle lingerie exposée en vitrine, consciente qu’elle devait se contenter de moins. Mais on peut être coquet avec pas mal de débrouille. Elle y parvenait parfaitement. Toutefois, pour une fois, elle aurait accès à de belles étoffes, de belles coupes, et des vêtements et sous-vêtements sans doute plus pérennes  que ceux qu’elle portait habituellement. Quant  bien même elle était magnifique avec des parures de supermarché.
La patronne était là. En la voyant, j’ai senti mon sexe se durcir, priant pour que ma chérie ne le remarque pas, et si elle le remarquait, qu’elle pense que c’était à cause d’elle. Elle portait une fois encore, elle était sa meilleure publicité, une belle robe, verte et noire, qui soulignait son corps d’une manière précise. Dans cette féminité à son apex, elle était extrêmement désirable. Pauline et elle c’étaient deux mondes différents, qui n’avaient vraiment rien à voir et qui m’attiraient autant l’un que l’autre.
—Je vous attendais…Vous avez de la chance d’avoir une aussi jolie fiancée…
Tout est passé dans son regard. L’envie que lui inspirait ma fiancée, mais aussi, la prise de conscience que moi aussi, je pouvais constituer un partenaire intéressant, et que je ne la laissais  pas indifférent.
—Laissez-moi regarder…Vos mensurations..
Sans la toucher, l’effleurant seulement, elle a laisser glisser ses mains sur elle, dans un simulacre de caresse, qui visait à prendre la mesure de son corps. Ces années de métier, son expérience lui permettaient sans aucun doute de savoir exactement quelle bonne taille il fallait à n’importe quelle femme.
—Venez avec moi, elle lui a dit, en la prenant par le poignet, je vais vous trouver de jolies choses, qui vous métamorphoseront et feront naître un désir bouillant chez votre chéri, même si je me doute qu’à vos âges, il est bien présent…
Elle l’a entrainée vers son salon d’essayage, lui enjoignant de se déshabiller, sans même tirer le rideau. Nous étions seuls dans le magasin. Elle est passée de rayon en rayon, ramenant de la lingerie affriolante, j’ai vu une combinaison, une nuisette, des bas, des ensembles slip soutien-gorge…Effectivement de la belle lingerie, d’une autre gamme que celle que Pauline achetait habituellement en supermarché.
C’était bien finalement que j’aie décidé de l’amener ici. Il n’y avait pas encore de routine dans notre couple, mais je la redécouvrais sous un autre jour. C’était certain, et je l’ai vu dès qu’elle a passé le corset que Monique lui avait amené, sous le regard plein de désir de la femme d’âge mûr, cette lingerie de luxe la magnifiait, la faisait resplendir.
—Alors qu’est ce que vous en pensez?
Je me suis approché. Elle était irrésistible. Oui, sans aucun doute, nos relations allaient être pimentées. Je la voyais arriver vers moi portant un tel corset…Difficile de ne pas lui sauter dessus.
—Vous vous sentez bien dedans?
—Parfait. Comme une seconde peau. Vous avez l’oeil.
Oui l’oeil, elle l’avait, et il était collé à sa silhouette. J’étais certain que mille idées lui traversaient l’esprit…Sa bouche, ses mains sur elle…Et cette idée m’excitait encore plus. J’aurais voulu voir. Mais on n’était pas dans une bonne configuration. Les deux femmes se connaissaient à peine.
Elle et moi on se connaissait aussi à peine, mais ça ne l’a pas empêchée, dix minutes plus tard, alors que ma chérie après avoir passé une magnifique nuisette couleur chocolat, attachait un porte-jarretelles autour de son taille, et faisait remonter un bas, dans un geste teinté d’érotisme, le long de sa jambe, de me proposer:
—Si ça vous intéresse, j’ai aussi de la lingerie pour homme. Des T-shirts et des caleçons d’une bonne marque, bien coupés, et qui ne sont pas spécialement chers…
—Pourquoi pas,  j’ai répondu.
Elle m’a conduit sur la droite, un peu plus haut, dans un autre vestiaire, et est passée du côté homme, pour ramener des caleçons, avant de se glisser dans  le vestiaire avec moi, et de tirer le rideau. Sans que cela me surprenne.
—Je vais vous aider à vous défaire…Je suis sûre que vous avez besoin d’aide, elle a dit avec une sollicitude hypocrite.
Je n’ai pas bougé, alors qu’avec des mains habiles et vives, elle défaisait mon jean, le tirait vers le bas. L’issue je la voyais, mais j’en avais très envie. Je crois bien que ma queue n’avait jamais été aussi douloureuse de désir. Elle a d’ailleurs pu le constater quand elle a baissé mon caleçon. Elle s’est figée, le regard accroché à ma queue qui venait de jaillir à l’air libre et était venue se coller contre mon ventre, parfaitement raide, bien longue et bien épaisse, mon gland décalotté suppurant d’excitation.
—Tu as vraiment une belle queue, a-t-elle fait remarquer. Tu veux que je m’occupe de toi?
—Oui, j’en ai vraiment très envie, j’ai répondu, et c’était vraiment un cri du coeur.
Il ne fallait pas en dire plus. Elle s’est penchée sur moi, et elle m’a masturbé doucement. Pauline m’avait très souvent masturbé, et me masturbait encore, mais ces caresses-là avaient une saveur particulière. Il y avait là ce qui manquait, si habile soit-elle à Pauline. Enormément d’habileté, de savoir-faire. La capacité à me mener à un point de rupture, mais de savoir QUAND on arrivait à  ce point de rupture, et s’arrêter à temps, laissant quelques secondes avant d’amorcer une autre caresse, qui elle aussi m’amenait proche de l’orgasme, avant une nouvelle rupture, et un autre assaut. Ce qu’elle m’a fait m’a plu. D’abord simplement venir faire coulisser sa main, resserrée, de bas en haut de ma tige, puis descendre plus bas, et frôler doucement mes couilles, avant de resserrer et d’appuyer plus dessus, et de remonter sur mon gland dilaté, et de le caresser de ses ongles vernis et longs. Mon liquide pré-sécrétif est sorti d’abondance, comme d’une fontaine, inondant nos chairs.
Monique s’est reculée, et laissée glisser sur une chaise, retroussant sa robe pour se dévoiler. Je n’avais effectivement pas eu tort de l’imaginer nue sous sa robe. Elle avait des jambes impeccablement dessinées, sans l’ombre d’un défaut, malgré son âge, et tout en haut, il y avait son sexe, que j’ai aperçu pour la première fois. Si j’étais excité à l’extrême, elle n’était pas non plus indifférente à la situation, et il était loin de son état zéro, ouvert sur son intérieur, lèvres dégagées et gorgées de sang. On disait souvent que les femmes, à partir d’un certain âge ne mouillaient plus. Ce n’était pas son cas, ses sécrétions avaient largement humidifié ses lèvres, mais aussi sa chair bien au-delà. Elle coulait d’ailleurs d’une manière vraiment impressionnante, ruisselant littéralement.
—Est-ce que tu as envie de venir dedans?
—Je crois que rien ne me fait plus envie à ce moment.
Et c’était vrai. Je la désirais sans doute depuis la première seconde, mais là, j’en étais vraiment conscient, et je n’étais plus qu’une queue dilatée qui rêvait d’être frottée par une muqueuse. La sienne.
Elle s’est exhibée, pour faire monter encore mon envie d’un cran, glissant deux doigts en elle, et les écartant pour m’offrir une vision parfaite de son intérieur, des parois rouge vif qui conduisaient vers la bosse de son utérus.
On n’avait que peu de temps, mais elle m’en a quand même laissé suffisamment pour que je voie bien,  avant de retirer ses doigts. Son sexe s’est partiellement refermé.
Ca s’est fait très rapidement. Elle s’est levée, et a fait un détour par une table, sur laquelle elle a récupéré, dans une boite, un préservatif emballé. Elle avait calculé son coup, car je doutais que la boite de capotes soit là à demeure. Elle l’a dépiauté en avançant vers moi, et elle m’a gainé de la capote d’un seul mouvement, avant, sa robe accrochée à la ceinture qui entourait sa taille, de se laisser descendre vers ma queue. Elle l’a guidée vers son sexe. La jonction s’est faite, et elle m’a avalé, me faisant disparaitre totalement en elle. J’ai gémi en la sentant autour de moi, chaude et souple…Elle s’est cambrée, et a lâché un long soupir.
—C’est bon d’avoir une queue dans le ventre…Je ne serai jamais blasée…
Elle  s’est faite monter et descendre sur moi. Son visage était totalement métamorphosé, on pouvait y lire une félicité sans bornes, comme si le sexe, seul, pouvait la rendre heureuse.
Elle a fini par se laisser retomber sur moi, restant immobile. Mais pas pour longtemps. J’ai eu droit à un petit discours, une profession de foi pour ainsi dire, qui trahissait aussi une certaine amertume.
—Je peux te donner plus de plaisir que ta copine, et toutes les filles  de son âge. J’ai quelque chose qu’elle n’aura jamais, l’expérience. Tu veux que je t’en fasse la démonstration?
Je n’ai pas compris ce qui se passait immédiatement, seulement à la troisième ou quatrième impulsion. Elle contractait ses muscles vaginaux, pour me caresser, d’une caresse, dont, c’était certain, ma copine ne me ferait jamais profiter. C’était comme si elle m’avait tenu dans sa main, resserrant celle-ci, mais, en même temps, c’était cent fois mieux, parce que sa muqueuse vaginale avait une douceur incomparable, et qu’elle se moulait autour de ma queue.
Dès lors la jouissance était proche, une question de secondes. J’ai voulu maitriser les choses, mais la surprise m’avait déstabilisé, et ça a été une question de secondes avant que je n’explose en elle. Alors que le premier jet de sperme jaillissait dans la capote, et venait taper contre ses muqueuses, elle a amené ses doigts sur les hauteurs de son sexe, décalottant son clitoris, long et épais, dont les dimensions m’ont surpris, et le frottant fébrilement pour parachever sa jouissance.  Elle a explosé dans une sorte d’écho, m’inondant de sécrétions vaginales qui ont coulé sur moi, alors que je finissais de cracher mon sperme dans le préservatif.
Cette jouissance nous a sans doute rapprochés, car c’est avec un ton complice, se rajustant, qu’elle m’a dit:
—Il faut qu’on  y retourne, sinon ta copine va comprendre quelque chose…Mais avant…
Elle a arraché le préservatif de ma queue, qui n’avait pas vraiment débandé. Elle l’a amené devant son visage, et, étirant le latex elle l’a léché d’une langue avide et habile, jusqu’à ce qu’il ne reste plus la moindre trace de sperme.
Elle m’a fourré un paquet de caleçons dans les mains, et on a rejoint le magasin. Pauline était rhabillée. Elle avait une expression radieuse. ‘Je prends tout, si le budget prévu le permet. ‘
Monique Violette a pris le tas de vêtements dans ses mains, et redevenant la professionnelle qu’elle était, elle a additionné les prix. Ca faisait 733 euros sans compter les caleçons…Rajoutés, ça laissait quand même une marge. J’avais payé à l’avance. Elle a rajouté dans le sac plusieurs paquets de bas stay-up…
—Votre fiancé vous a fait un beau cadeau d’anniversaire, mademoiselle…J’ai une proposition à vous faire…Je vous trouve magnifique…Vous méritez d’être magnifiée…J’ai chez moi des modèles test qui ne sont pas supposés être mis en vente…On nous les envoie pour nous inciter à commander, et souvent, ils ne sont  pas totalement finis, il manque un ornement, ou les couleurs changent,  mais ils sont tout à fait portables.Ca vous dit?
Chacun a compris ce qu’il voulait. Ma copine que la femme d’âge mûr l’appréciait et voulait la faire bénéficier d’une lingerie dont elle n’aurait pas l’utilité, et qui la mettrait en valeur. Ma lecture était bien évidemment totalement différente. Mais les scénario qui s’esquissaient me plaisaient, et puis j’avais vraiment envie de revenir en elle, de connaitre de nouveau ce plaisir. Qu’elle resserre les muscles de son sexe autour de moi ou pas. En fait, j’avais le sentiment qu’elle pouvait me proposer tout un monde de plaisirs dont je n’avais pas la moindre idée. Et j’avais envie d’en profiter encore un peu.
—Je vais vous donner mon adresse…Passez me voir ce soir…Vers 20 heures…Je quitte le magasin à 19 heures 30…Le temps de rentrer chez moi.
Pauline était ravie de ses cadeaux. on est descendus jusqu’au grand parking où je m’étais garé. Nous avions le reste de l’après-midi pour nous.
—J’ai envie de te dire merci de bien des façons, mais on peut commencer par celle-là, elle a  dit une fois qu’on a été dans la voiture, en se penchant sur moi pour défaire mon pantalon.
Je venais de jouir quelques minutes plus tôt, mais j’avais encore le désir au creux du ventre. J’aurais voulu qu’on aille plus loin Monique et moi. Je craignais qu’elle ne sente que je venais de jouir, l’odeur du sperme, mais elle n’y a même pas fait attention. Elle m’a parcouru de sa bouche.
—Hé ben dis donc, tu avais envie…Tu es déjà tout dur, elle a dit au bout de quelques secondes…
Je ne pouvais pas lui répondre que, même si sa caresse buccale me plaisait, et si je la désirais, à ce moment précis, j’aurais voulu que ce soit la bouche de Monique Violette qui soit sur moi. Elle m’aurait caressé certainement différemment d’elle, avec un savoir-faire qui lui aurait permis de se lancer dans des techniques que je n’aurais même pas imaginé, et que Pauline non plus n’aurait pas imaginé.
Ma chérie y a pourtant mis tout son coeur et toute son habileté, une manière de me remercier, mais aussi parce que, plus simplement, généreuse, elle avait envie de me donner du plaisir, et d’en prendre. Pendant qu’elle me caressait de la langue, avant de décider de me gainer de sa bouche, et de faire coulisser celle-ci le long de ma tige, elle avait glissé sa main dans son caleçon et elle se masturbait.
J’étais entre deux univers. Avec elle qui me caressait et m’acheminait vers la jouissance, mais aussi ailleurs avec Monique, qui m’aurait caressé différemment. Je l’imaginais bien venant, bien loin de la fellation classique de ma copine, faire tourner sa langue sur mon gland, se centrant sur mon méat et l’excitant jusqu’à ce que je jouisse.
Quand j’ai explosé, je n’ai pas bien su si c’était Pauline qui m’avait fait jouir, ou Monique à travers elle.
La propriétaire de Lingerie de femme habitait une belle maison sur deux étages, teinte d’un crépi vert bouteille. On s’y est présentés comme prévu sur le coup de vingt heures. Comme on se rendait chez quelqu’un, on avait fait un effort l’un comme l’autre. J’avais mis une veste, et Pauline avait passé une jolie robe, certes bon marché, avec dessous un corset et des bas stay-up achetés en début d’après-midi. Avant qu’on ne parte, elle était venue se camper devant moi, et elle avait soulevé doucement la robe, une simple robe noire, qui la mettait pourtant en valeur, pour dévoiler ses dessous troublants. Le corset s’arrêtait sous son nombril, laissant son pubis, son sexe et ses fesses à nu. Elle n’avait pas jugé nécessaire de mettre de slip.
—Tu penses que tu as fait un bon investissement?
—Au-delà de ce que je pouvais espérer, j’ai répondu, en songeant à Monique.
Elle nous a vus arriver, et elle est sortie. Elle portait une belle robe, noire, mais d’une autre facture que celle de Pauline. La lumière derrière elle dessinait sa silhouette, impeccable, à travers le tissu.
Elle nous a invités à rentrer. Sa demeure était grande, et spacieuse.
—Je me suis fait livrer par un traiteur. Un diner chinois. J’ai pensé que vous n’alliez pas venir juste pour essayer quelques vêtements. Qu’il y ait entre nous un minimum de savoir-vivre et de chaleur.
Elle nous a entrainés sur la droite vers une grande pièce envahie par des étagères et des portants. Elle y stockait les vêtements qu’elle recevait. Elle a tourné dans la pièce, attrapant des vêtements et des sous-vêtements. Ca faisait un gros tas dans ses mains.
—On va aller faire l’essayage dans ma chambre…
On est montés le long d’un escalier interminable vers l’étage. Elle était devant moi, ondulant dans un mouvement propre aux femmes, et je me demandais quels scénarios allaient s’inscrire dans les minutes qui suivaient.
Sa chambre était une grande pièce cosy, un lit immense, avec des teintes de vert qui se déclinaient du sol au plafond, décidément sa couleur préférée.
Pourtant, rien ne s’est passé comme je l’avais prévu.
Sans doute que j’avais sous estimé Pauline.
Monique posait les vêtements sur le lit, pliée en deux. Pauline, avec une audace que je ne lui connaissais pas, s’est approchée d’elle, a soulevé sa robe. Dessous, elle ne portait absolument rien, comme à son habitude, et un derrière rond et charnu est apparu en ligne de mire, avec, entre ses cuisses, une vulve toute gonflée.
Elle n’a pas bougé, restant penchée en avant, pendant que Pauline la caressait, glissant sur ses fesses, dans sa raie, puis venant frotter sa vulve. J’ai été un rien sidéré, parce que je ne l’imaginais pas partant sur de tels gestes. Mais est-ce que je la connaissais vraiment?
La femme d’âge mûr se laissait faire. Un petit gémissement a trahi le plaisir qu’elle pouvait ressentir.
Les choses se sont enchainées naturellement, et les vêtements sont passés au second plan; J’ai regardé les deux femmes agir. Monique a plongé en avant, venant se mettre à quatre pattes sur le lit, Pauline a suivi, sa bouche venant remplacer ses doigts. Elle s’est mise à la caresser de la langue avec une intensité que je n’aurais pas cru possible, tournant sur sa vulve qui s’ouvrait et s’écartait, et se mettait à suppurer, lapant le liquide et parcourant l’ensemble de cette zone érogène, des lèvres au clitoris.
Elle s’est interrompue pour remonter haut la robe de la patronne du magasin, jusqu’à ce que celle-ci arrive au niveau de ses épaules. Monique l’a dégagée, offrant pour la première fois sa nudité à nos regards. De l’exercice, un bon patrimoine génétique…Elle avait un corps superbe.
Gardant juste le corset, et les bas, Pauline s’est elle aussi dénudée. Son sexe, clos quand elle m’avait présenté sa nudité, avant qu’on parte, avait largement évolué.
Elles se sont disposées de manière à pouvoir se donner du plaisir mutuellement, un tableau magnifique, ode à la beauté féminine et au désir. Pauline allongée tenait les fesses de la femme d’âge mûr à pleines mains, et elle avait à présent délaissé son sexe pour remonter dans sa raie jusqu’à sa muqueuse anale, qu’elle caressait de la pointe de la langue. Monique elle, était penchée sur le sexe de mon amie. Elle l’avait ouvert de ses doigts et elle poussait sa langue en elle aussi loin que possible.
Je me suis mis à tourner autour d’elles. Je voulais voir, capturer le moindre détail, leurs langues actives, les détails de leur anatomie, la manière dont leurs muqueuses s’ouvraient et suintaient…Ca me ferait des souvenirs pour mes vieux jours…Par une sorte de réflexe, quelque chose qui m’a traversé, et une manière aussi de m’apaiser, j’ai mis mon sexe à nu. J’étais rien long et bien raide. Je me suis mis à me frotter. Une sorte d’apaisement.
La patronne de Lingerie de Femme a relevé la tête et m’a offert sa bouche. J’ai amené ma queue contre ses lèvres. Dans un premier temps, elle a sorti sa langue, et elle l’a baladée sur mon gland gorgé de sang, avant de resserrer ses lèvres autour. C’est tout naturellement que j’ai fait glisser ma queue dans sa bouche, jusqu’à ce que mon gland vienne taper contre sa luette. Elle m’avait avalé à moitié, ses joues gonflées par la présence de ma queue. Elle m’a une fois encore démontré ses capacités de MILF en faisant glisser, d’un mouvement habile, ma queue dans sa gorge, et en m’avalant ainsi totalement. Elle a fait tourner sa langue sur moi, tout en continuant de caresser Pauline de ses doigts, elle en avait réunis trois qu’elle faisait aller et venir en elle.
Elle m’a caressé longtemps de sa langue, avant de se dégager.
Je l’ai contournée, après m’être rapidement gainé d’une capote, et je suis venue me positionner près de son sexe. Pauline continuait de la caresser. Sa langue est redescendue se promener sur les pourtours de ma vulve et le long de ma queue, pendant que je glissais en elle. C’était la première fois que je faisais l’amour à trois, et je comprenais à quel point c’était bon, en démultipliant les possibilités. Et avec deux partenaires qui aimaient le sexe.
Je me suis mis à aller et venir en elle. Ma queue rentrait et sortait, disparaissait dans la vulve et ressortait. Quand je poussais de nouveau, des jus sortaient autour de ma queue, qui venaient tremper sa chair d’un liquide gras, que Pauline lapait avec avidité, venant sur ma queue quand je ressortais.
L’intérêt d’être à trois et qu’on pouvait démultiplier les situations. Les deux filles ont, brisé le schéma établi pour basculer sur autre chose. Elles sont venues se poser à quatre pattes devant moi, se caressant les seins et accrochant leurs bouches et leurs langues. N’importe quel homme aurait été fou de désir à la vision de ces croupes charnues ouvertes et de ces vulves qui, dilatées à l’extrême, dégoulinaient. 
     Je me suis approché d’elles, et je les ai fouillées l’une après l’autre, dans un moment de plaisir déconnecté de tout, ma queue dressée allant d’une vulve à l’autre, puis d’un anus à l’autre. Sensations différentes d’une fille à l’autre, d’un orifice à l’autre. Je les ai faites jouir, plusieurs fois, avant d’exploser enfin. Je me suis arraché de la vulve de Monique, j’ai ôté la capote et mon sperme chaud a maculé leurs parties intimes.
Le reste de la soirée à été plus calme. On a diné ensemble, avant de repartir. Pauline  était ravie de la pille de vêtements et sous-vêtements dont elle avait hérité. Et moi de la certitude, ancrée, comme une évidence pour nous trois, que ce n’était que le début, et que nous reviendrions très bientôt.

 

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