Ma patronne est une salope

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Claude


au travailexhibition et voyeurisme


Tout avait bien commencé et Madame Larieux, la Directrice Générale du journal semblait approuver mes réponses aux questions qu’elle me posait. Je me voyais déjà reporter de la section Sports.

Si Madame Larieux avait dans les 45 ans comme on me l’avait dit, elle ne faisait pas son âge. Les seules minuscules rides de son visage régulier se formaient proches de ses yeux lorsqu’elle souriait. Ses lèvres pleines découvraient alors des dents parfaites. Ses cheveux bruns tombaient librement sur ses épaules.

Assise derrière son bureau couvert de dossiers, elle avait d’abord levé un sourcil étonné, puis arboré un léger sourire à la lecture de mon CV.

— Vous êtes vous-même un moniteur de sport, avait-elle remarqué.

— La musculation est ma spécialité.

Elle avait pensivement observé ma carrure avant de poursuivre :

— Pourriez-vous ôter votre veste, s’il vous plaît ?

Je me montrai à elle en chemisette et vis comme ses yeux verts se rétrécissaient et son regard se faisait intense alors qu’elle découvrait mes épaules, mes biceps, mes avant-bras aux muscles saillants.

Lorsqu’elle quitta son bureau pour venir s’asseoir dans un fauteuil en face de moi, j’eus loisir d’admirer sa silhouette et ses longues jambes.

Un incident involontaire changea le cours de notre entretien. Elle avait laissé tomber le stylo bille avec lequel elle annotait mon CV et s’était penchée pour le ramasser alors que je me précipitais pour faire de même. Nos mouvements conjugués m’offrirent une vue inattendue sur ses seins. Son chemisier s’était déboutonné et elle ne portait pas de soutien-gorge, une surprise pour une femme d’un tel niveau professionnel. Je découvris alors deux globes de bonne taille et leur téton au centre de larges aréoles brunes.

Ayant évité de justesse une collision, je murmurai machinalement des mots d’excuse, mais la vue de ses seins, pour brève qu’elle ait été, m’avait bouleversé. Je vis que ma réaction ne lui avait pas échappé et son bref regard vers mon pantalon me le confirma. Par bonheur et bien que cette vision ait résonné dans mon bas-ventre, je n’avais pas eu le temps de bander, mais ce moment marqua, j’en suis certain, une étape de notre entretien.

Il me paraît évident maintenant que la façon dont elle croisa et décroisa les jambes dans les instants qui suivirent fut la conséquence de ce premier incident. Elle ne portait ni bas, ni collants et chacun de ses mouvements fit remonter sa jupe beige de quelques centimètres supplémentaires dévoilant à chaque croisement de ses genoux davantage de ses cuisses bronzées par de récentes vacances. Oubliant le but de cet interview, je me trouvai incapable de détacher mes yeux du spectacle qu’elle m’offrait. J’espérais bien sûr avoir bientôt une vue plus profonde, mais cela ne se produisit pas. Le subtil sourire que je lus dans ses yeux, me dit clairement qu’elle lisait mes pensées.

— Je crois malheureusement n’avoir rien pour vous en ce moment, me dit-elle, mais nous garderons votre CV, car on ne sait jamais. Je suis désolée.

Je m’apprêtais à me lever, lorsqu’elle interrompit mon mouvement d’une main levée.

— Il se trouve que nous avons une autre opportunité dans notre groupe. Nous lançons un magazine pour l’homme adulte. Le titre n’est pas encore fixé, mais nous ne prétendrons pas que ce sont nos articles qui attireront les acheteurs. Vous connaissez Hustler, j’imagine. Un Penthouse en plus hard. Beaucoup plus hard.

— Hustler, j’en ai une collection sous mon lit.

— Très bien. Dîtes-moi un peu, qu’est-ce qui vous attire le plus dans les femmes ? Leur douceur, leur romantisme, leur élégance, leur silhouette ? Votre totale honnêteté fera la différence dans ma décision, je vous mets en garde.

J’hésitai un long moment, conscient que son regard me pénétrait.

— Leur sexe, Madame.

— Soyez plus précis, s’il vous plaît.

— Je veux dire, ce qu’elles ont …

— Ne dîtes pas elles. Je suis une femme aussi.

Elle avait défini les règles du jeu, mais sachant que j’allais en fait m’adresser à cette femme assise en face de moi, m’intimidait.

— Alors ?

Je n’avais pas le choix. Elle avait insisté sur la sincérité de ma réponse, il me fallait sauter le pas.

— Bon, je veux dire, ce que vous avez … enfin, comment dire ?

— Qu’y a-t-il de si difficile ?

— Ce que vous avez entre les cuisses, tout au fond.

Elle alla vers son bureau et pressa un bouton. Un voyant rouge s’alluma alors audessus de la porte de son bureau.

— Personne ne nous dérangera, dit-elle en revenant s’asseoir en face de moi. Cette fois cependant elle ne croisa pas les jambes, mais elle les écarta légèrement tout en relevant lentement, très lentement sa robe au niveau de sa taille, révélant qu’elle ne portait pas de culotte. Son pubis était rasé et je distinguai la fente de son sexe. Mon cœur se mit à battre la chamade et je ne pus m’empêcher de poser ma main sur ma queue qui s’était instantanément raidie.

Voyant l’effet qu’elle avait sur moi, elle passa à l’étape suivante, écartant plus largement ses cuisses et posant ses jambes sur les accoudoirs de son fauteuil tout en passant ses mains derrière elles jusqu’à ce que ses doigts atteignent sa vulve, ses lèvres.

Je ne respirai plus. Incapable de me maîtriser, je fis glisser la fermeture éclair de mon jeans et empoignai ma verge sans toutefois l’exhiber.

Ses yeux me disaient qu’elle prenait elle-même son pied à me provoquer ainsi. De ses doigts aux ongles rouges, elle écarta ses lèvres jusqu’à m’offrir une vue de son vagin. Je pouvais clairement voir l’orifice de son urètre ainsi que son clitoris émergeant lentement de son capuchon. Quand elle écarta enfin ses lèvres à leur maximum, je vis le tunnel de son vagin, un conduit aux parois d’un rose foncé et le ruissellement d’un liquide clair qui les faisait luire.

Je ne pus résister et sortit ma queue dont le gland était plus gonflé que je ne l’avais jamais senti. Je le sentais près à exploser. Totalement sous la prise d’un désir incontrôlable, je me levai et franchis les deux pas qui nous séparaient, prêt à enfoncer ma queue dans ce vagin béant, mais elle me stoppa d’un geste avant que je l’aie touchée.

— Non, ce n’est pas possible, dit-elle d’une voix rauque. Maintenant que vous allez travailler pour moi rien de tel n’est permis. Vous ne verrez plus jamais ce que je vous montre.

Pour moi il était trop tard et un jet de sperme jaillit de mon gland, se répandant sur son ventre et l’une de ses cuisses. Sans perdre son calme, elle tira un Kleenex de la boite posée sur une table basse et essuya les larmes blanches que ma queue avait versées sur elle.

Elle se leva alors, laissa retomber sa robe et fit un geste vers le voyant rouge au-dessus de la porte.

—  Je vais l’éteindre. Rajustez-vous, dit-elle d’un ton égal. Vous recevrez votre contrat d’ici quarante-huit heures. Je ne pense pas que nous nous reverrons, mais j’ai été heureuse de faire votre connaissance. J’imagine que vous aurez la sagesse d’oublier ce qui ne s’est pas passé ici. Votre salaire en dépendra.

Je n’ai jamais trahi notre secret, mais il ne se passe pas de jour ou de nuit sans que je revive ces instants. Je la hais alors pour m’avoir allumé, puis refusé son sexe. Je la traite de tous les noms, de pute, de salope et je me branle souvent en la revoyant dans ma mémoire écartant ses lèvres et exposant son vagin béant.

 

 

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  1. JEAN PAUL Martin le à
    JEAN PAUL Martin

    Excellent ………. de joyeux souvenirs avec une cheffe de service tout aussi perverse ……….

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