Malko et moi…la suite

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Frederic Gabriel


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Il y a eu un moment où on a débouché sur une réelle amitié, Malko et moi. À force de se voir, de discuter par ci par là, on s’était rendu compte qu’on avait pas mal en commun, et que nos différences n’étaient pas limitatives…On avait calé un ou deux rituels, comme le fait d’aller boire un coup, une à deux fois par semaine, chez l’un ou chez l’autre.

Je me suis donc retrouvé chez lui pour un apéro un dimanche matin. Une belle journée ensoleillée. Il avait pris un pastis, moi j’aimais le whisky, quelques amuse-gueule, et on a discuté.

–J’ai un nouvel emploi du temps…Je pars dimanche à 17 heures, et je reviens lundi soir très tard. Je suis libre mardi, et ensuite je reprends de mercredi à vendredi pour quelque chose de plus classique.

-Pas évident, le boulot.

Je savais qu’il faisait actuellement de la maintenance dans une entreprise spécialisée dans les cacahuètes sous diverses formes.

–J’ai un service à te demander. Tu sais que ce soir je ne serai pas là…Et demain je vais rentrer tard…J’ai fait la connaissance d’une fille superbe vendredi…Un pneu crevé…Je l’ai aidée…Une superbe rousse, immense, avec tout ce qu’il faut…Elle m’a dit qu’elle passait ce soir ou demain…Je n’ai même pas pensé à lui laisser mon numéro…Si elle vient…Tu lui dis que je ne serai disponible qu’à partir de mardi soir…

–Pas de souci. Tu peux compter sur moi.

Il y avait en lui une certaine forme de naïveté. Ou alors c’était moi qui étais trop naïf. Il ne semblait pas conscient du fait que les filles qu’il ramenait chez lui finissaient souvent chez moi. Pensait-il réellement que je verrais la fille, que je lui dirais ‘Il revient mardi…’ et qu’elle partirait comme ça. Ce n’était d’ailleurs pas que je la draguerais. Je n’étais pas un dragueur, je n’avais jamais su comment faire. Mais souvent, les circonstances s’enchaînaient…J’en avais fait l’expérience.

Je n’y ai plus pensé par la suite, pris par ma routine.

J’étais près de la fenêtre, et je l’ai vu partir sur le coup de 17 heures. Je lui ai fait un signe, auquel il m’a répondu.

J’ai repensé à se demande.

Il avait le chic pour lever des filles vraiment superbes, et qui n’étaient pas forcément basses de plafond. En même temps, ce n’était pas étonnant. Il était plutôt bien carrossé, Et très sympa. Ca ne pouvait que jouer en sa faveur.

Généralement, le soir, j’allais toujours faire un jogging pour me détendre. Une heure à se laver la tête en faisant de l’exercice.

Je revenais, couvert de sueur, quand je l’ai aperçue. Et les paroles de Malko me sont revenues.

Il n’avait pas menti. Elle était somptueuse. Comme d’ailleurs toutes les filles qu’il ramenait. Une belle rouquine, avec une chevelure flamboyante, longue et épaisse, que les derniers rayons du soleil couchant caressaient, Elle était ultra-féminine, une longue robe qui dessinait une silhouette fine mais charnue, des bottes à talon aiguille, un visage que le maquillage rehaussait. Une fois encore, il avait levé une fille magnifique.

–Vous habitez ici ? Je suis à la recherche d’un certain Malko…Il m’a dit qu’il vivait à cette adresse.

–C’est mon voisin. J’ai un message pour vous.

Je me suis approché d’elle. Me rendant compte trop tard que j’étais en pleine érection, et que mon pantalon de survêtement ne devait pas masquer grand-chose. Bah, au moins, elle verrait que je lui plaisais.

–Malheureusement, il n’est pas disponible ce soir, ni demain. Un changement d’emploi du temps. Mais mardi soir, il sera bien là.

Elle a semblé déçue.

–Si vous voulez je vous offre un verre.

Elle n’a même pas réfléchi.

–Au moins je ne serai pas venue pour rien.

On est partis ensemble dans l’escalier. Elle était devant moi et j’avais une vue imprenable sur sa croupe charnue, galbée par ses talons, cambrée et pleine, agitée par le mouvement régulier de ses hanches. La lumière du couchant, qui passait par les fenêtres, aux étapes des paliers, traversait impitoyablement le tissu de sa robe et laissait voir ses fesses nues, et son string fuchsia qui ornait ses hanches et se glissait dans sa raie.

Je l’ai invitée à rentrer. Son regard a glissé sur l’appartement, tandis que le mien glissait lui sur sa silhouette. Elle était vraiment très attirante, avec quelque chose de sensuel que n’avaient pas forcément d’autres filles.

–Je vais prendre une douche rapide, et me changer. Pourquoi vous ne nous serviriez pas deux verres ? Les bouteilles sont là, et il y a des glaçons dans le frigo…Je boirais bien du Cointreau…

Je me suis glissé dans la salle de bains. Mon linge trempé au panier, je me suis glissé sous la douche, la queue collée contre le ventre, raide d’excitation. Elle m’inspirait un désir d’autant plus fort que ces dernières semaines je n’avais pas eu de copine. Malko avait encore une fois déniché la perle rare.

Je me suis caressé doucement sous la douche, sans jouir, histoire de relâcher un peu la pression. Je n’ai pas traîné sous l’eau chaude, passant des vêtements frais.

Elle était toujours là quand je suis ressorti, posée sur le divan. Elle nous avait servi deux Cointreau.

Elle m’a souri.

–Tant pis pour Malko…

–Il sera là mardi.

–Je suis venue pour avoir du plaisir maintenant, et je suis sûre que tu as tout ce qu’il faut pour ça.

Ce n’était pas une question, mais une affirmation. Affirmation qu’elle a prolongé en tendant la main vers le pantalon de survêtement que je venais de passer. Dessous, dépassait de mon caleçon ma queue qui n’avait pas dégonflé, collée à mon ventre.

–Je voulais la bite de Malko, mais la tienne me conviendra très bien.

J’ai gémi pendant qu’elle faisait aller et venir ses doigts le long de ma tige. Je percevais bien qu’elle était de ces filles qui aiment le sexe, qui y prennent vraiment du plaisir, et qui savent que leur jouissance est conditionnée par ce qu’elles donnent à l’autre, une sorte d’effet en retour.

Elle m’a caressé doucement, faisant aller et venir ses longs doigts fins sur ma queue. Le temps d’installer le plaisir dans ma chair, de me faire durcir et épaissir.

–Il n’y a rien de plus beau qu’une queue. Je ne pourrais pas vivre sans ça.

Elle a amené sa langue sur mon gland et elle s’est mise à tourner dessus, dans une caresse appuyée qui lui permettait de laper le liquide qui coulait de mon méat, signe de mon excitation.

–Ne jouis pas tout de suite, j’ai envie de profiter de ce moment.

Après tout c’était pour cela qu’elle était venue. Pour profiter d’un moment. Sauf que Malko n’était pas là et que je le remplaçais.

Elle a gainé le haut de ma queue de ses lèvres. La sensation de sa bouche autour de moi m’a fait pousser un cri de contentement.

–Retiens-toi de jouir. Pas encore. C’est trop tôt. On a encore du plaisir à prendre ensemble. Que ce soit une bonne soirée, pour toi comme pour moi.

Pendant qu’elle me gardait à la même hauteur, sans descendre, et qu’elle me caressait de sa langue, elle a fait glisser le haut de sa robe, qui tenait à ses épaules, dévoilant une paire de seins plantureuse. Ils étaient bien ovales, et bien épais, et leur forme trop régulière pour qu’ils soient naturels. Mais ça ne me gênait pas. Je préférais des seins artificiels parfaitement dessinés à une poitrine naturelle peu convaincante. Je la trouvais excitante. Et puis, ce qui était bien naturel, c’étaient ces aréoles roses, larges, qui marquaient sa peau, ainsi que les deux tétons bien durs, dressés d’excitation qui pointaient orgueilleusement.

C’est dans les minutes qui ont suivi que j’ai compris à quel point elle avait, plus que du savoir-faire, de l’imagination, et à quel point ça la distinguait des filles qui avaient rendu visite à Malko, et étaient montées jusqu’à moi.

Elle a enveloppé son sein, et a amené son téton sur mon gland, pour le caresser avec. C’était bien la première fois qu’une fille me faisait ça, et ça a été aussi bon à voir qu’à sentir, une caresse originale et intense. J’ai été traversé, et ça m’a un peu surpris, par un courant de jouissance, comme une anticipation de ce qui allait venir, quelque chose de très fort, qui a fait jaillir deux traits de sperme de ma queue, dont le blanc s’est étalé sur ses seins. Elle a eu un petit rire, les a ramassés du bout des doigts pour les avaler, avant de se livrer à une caresse plus précise.

–Retiens-toi surtout, j’ai encore pas mal de choses à te proposer…Hmmm. Ton sperme a bon goût. Elle a appuyé son téton directement contre l’entrée de mon méat, et j’ai eu l’impression, alors qu’elle le poussait en moi, qu’il s’enfonçait petit à petit. Le monde à l’envers, celui d’une pénétration inversée…Si ma queue se congestionnait, et prenait encore du volume, on aurait aussi dit que le téton grossissait en écho…

J’ai réussi à ne pas jouir.

Elle s’est dégagée, basculant sans transition sur autre chose. Elle a ouvert ses seins de ses mains et elle est venue entourer ma queue du volume de ses seins, les laissant autour de moi, sans bouger, pour que je sente bien leur chaleur m’envahir, ainsi que la douceur de sa peau. Puis, en riant, parce qu’elle était consciente de ce qu’elle me faisait, et de l’effet que ça avait sur moi, très doucement, elle s’est mise à faire aller et venir ses seins contre moi, dans un mouvement court. C’était une sensation nouvelle, différente de celle que j’aurais pu éprouver dans une bouche ou une chatte. Les cravates de notaire, j’en avais entendu parler comme tout le monde, mais aucune fille ne m’en avait encore fait. Je devais me retenir pour ne pas jouir, tellement c’était bon.

Je n’avais pourtant encore rien vu. Petit à petit, elle a fait remonter ma queue, jusqu’à ce que, d’abord, mon gland apparaisse, puis elle a dégagé un tiers de mon membre, bien visible, hors de son décolleté. À force de caresses savantes, elle était parvenue à me faire vraiment très dur. Je crois bien que j’avais rarement été aussi dilaté, mon gland congestionné, tout rouge, un liquide épais et gras coulant de mon méat.

Elle est venue balader sa langue sur mon gland, après m’avoir dit :

–Je veux que tu tiennes aussi longtemps que tu pourras…Ton orgasme n’en sera que meilleur.

Elle a tourné sur moi de la langue. Je sentais mon plaisir monter. Et que je ne pourrais pas faire grand-chose, cette fois, pour le retenir.

Je n’ai pas vu venir ma jouissance. Elle a été là soudain, violente, m’a traversé, une première onde de plaisir, suivie par d’autres. Mon sperme a jailli, le premier jet venant frapper sa joue. Elle m’a enserré de sa bouche, et ne m’a pas lâché, ma semence coulant dans sa gorge, me gardant en elle et faisant tourner sa langue sur mon gland, lapant les jus qui coulaient de moi. Quand elle m’a dégagé, mon gland était uniquement couvert de sa salive.

Elle est encore restée, après s’être rajustée. On a mangé ensemble. Elle est partie sur le coup de 23 heures.

Je ne pensais pas forcément la revoir. Logiquement, elle aurait du plutôt revenir vers Malko. Mais dans la vie, les choses ne se passaient jamais comme on l’avait prévu. J’avais appris à ne rien espérer, mais aussi ne rien rejeter.

Je n’ai pas été vraiment surpris quand le lendemain, je rentrais du travail, je l’ai vue arriver vers moi, descendant la rue. Elle portait une robe en lamé, fendue très haut, avec des cuissardes noires. J’ai senti ma queue se durcir. Elle était vraiment magnifique. J’avais pensé toute la journée à ce moment de sexe qu’on avait eu ensemble. Un moment, qui, devenant un souvenir avait pris une tout autre patine. C’était avec du recul qu’on voyait si les moments qu’on a vécus avaient bons ou pas.

–J’avais envie de te revoir.

Et pour mieux le faire comprendre, sans doute, elle s’est penchée vers moi, et elle a pris ma bouche, glissant sa langue à l’intérieur pour venir caresser la mienne. J’ai toujours aimé les baisers, leur intensité, leur force, et j’en ai profité pendant un moment, nos lèvres et nos langues se caressant. Elle s’est finalement détachée de moi, et elle m’a dit :

–Tu m’offres un verre ?

Au lieu de l’emmener chez moi, je l’ai entraînée dans un bar un peu plus haut que je connaissais bien. Un prélude, avant de la ramener à l’appart. Je savais que ce serait notre dernier moment ensemble. Malko revenait le lendemain. Ce serait à lui d’en profiter.

On s’est calés à une table, face à face, dans l’un des coins d’ombre qui laissaient de l’intimité à des couples comme nous. Une des raisons pour lesquelles j’aimais venir ici. On a pris la même chose, elle m’a proposé un cardinal…Je ne connaissais pas, et j’ai eu envie de découvrir.

Elle n’a pas attendu que le serveur ait pris la commande pour venir poser son pied botté contre mon entrejambes, et me masser doucement. Contre la dureté de la semelle, ma queue qui avait déjà pris du volume au moment où nous nous embrassions s’est gorgée de sang jusqu’à devenir toute raide.

J’ai goûté le cocktail. Agréable. Mon regard a glissé sur la salle. Souvent ici, des couples se rapprochaient dans la pénombre, sans que cela dérange qui que ce soit. Il y avait deux semaines de cela, une jolie petite blonde, jupe ultra courte et bottes à talon aiguille avait flirté avec un gars avant de venir s’asseoir sur ses genoux. J’étais juste à côté et j’avais bien compris qu’elle n’était pas simplement assise sur lui. Au moment de se caler sur lui, elle l’avait défait, et elle avait ajusté, en se posant sur lui, sa queue en elle, donnant de petits coups de bassin pour faire rentrer le membre dans son sexe. Elle s’était fait discrètement monter et descendre sur lui, masquant son plaisir jusqu’à jouir. J’avais eu envie, un instant, de me lever et d’aller lui proposer ma queue, pour qu’elle me caresse avec sa bouche, et je l’aurais sans doute fait, mais elle avait joui, se ramollissant. Elle s’était dégagée, et, glissant sur le siège, près de lui, elle l’avait masturbé pour le faire jouir. Le gars avait eu son plaisir lui aussi, son visage le disait. Elle s’était calée à nouveau à sa place, la main couverte de sperme, qu’elle avait léché consciencieusement. Un souvenir qui me revenait alors que mes yeux glissaient sur la salle.

Quand j’ai ramené mon regard sur elle, elle avait disparu. Pfft… Envolée, en l’espace de quelques secondes…

J’ai senti une main se poser sur ma cuisse. Une main chaude et habile qui est remontée plus haut, et qui, rejointe par une autre main, est venue me défaire, puis chercher ma queue dans mon caleçon.

–Bon, je vois que ta queue est prête à servir, a dit une voix qui est montée de sous la table.

Je me suis demandé si on la voyait, sous la table, du comptoir…Le patron avait bien l’air de s’en ficher…Et puis il avait déjà vu cent fois pire…

Elle a caressé ma queue de la main, avant de venir poser sa langue dessus. J’en revenais à la même constatation que j’avais fait la veille, une habileté que j’avais rarement connue de par le passé. Un moment de félicité sans nul pareil.

J’ai soufflé :

–Si on descendait aux toilettes…J’ai envie de quelque chose de plus…

J’ai rentré ma queue congestionnée dans mon pantalon.

C’est dans l’escalier qui conduisait au sous-sol qu’elle m’a dit :

–Je risque de te surprendre.

–Tu crois ?

Il y avait deux espaces, vides, parfaitement nets, du carrelage blanc. On s’est glissés dans l’une des toilettes. Elle m’a laissé faire, moi assis, elle debout, pendant que je caressais ses jambes couvertes de nylon. J’ai remonte le pan de tissu qui masquait son ventre…Et j’ai eu la surprise de ma vie…

Sous son collant, elle n’avait pas de slip. Mais ça n’était pas ça la surprise. Non la surprise c’était que, sous le nylon, collé contre son ventre, il y avait une queue en pleine érection, longue, fine, mais cependant bien charnue.

J’ai été surpris. Et puis pas tant de ça. Je me suis souvenu, moi qui avais été longtemps un grand consommateur de porno, de cette BD qui m’avait fascinée CASA HOWHARD qui mettait en scène des filles de toute beauté, mais pourvues d’une queue au lieu d’une chatte. J’avais regardé énormément de porno mettant en scène des trans, fasciné par des filles qui n’avaient aucune marque de masculinité, mais bien une queue gorgée de sang entre les cuisses…

C’était le cas de la fille qui se trouvait devant moi. Malko n’avait sans doute pas perçu sa particularité. Qu’aurait-il fait s’il avait découvert qu’elle était différente ? Difficile de savoir. En tout cas, moi mon choix était fait. Je suis venu caresser la queue à travers le nylon. Elle a gémi, et lâché un jet de sperme. Je n’avais sans doute pas son habileté, cette habileté propre aux trans, dont j’aurais du comprendre la nature.

J’ai descendu le collant, et je suis venu caresser la queue de ma bouche. J’avais cru sentir en elle une peur d’être rejetée. Elle était à présent dissoute.

Je me suis redressé, et j’ai approché ma queue de la sienne, jusqu’à ce qu’elles soient en contact. Ça m’a envoyé de l’électricité dans le ventre. Sa paume est venue englober nos deux queues, et elle nous a caressés, dans une caresse ample qui enveloppait parfaitement nos deux queues.

Sentir sa queue contre moi, brûlante, et dure, sa main à la caresse si habile…J’ai été incapable de tenir plus longtemps et j’ai joui, commençant à cracher des jets de sperme qui ont atterri sur nos chairs et sur sa main. Mais, emportée par mon excitation, elle n’a pas su résister, et elle m’a rejoint quelques secondes plus tard, libérant des torrents de sperme qui ont achevé de nous souiller.

–Viens, on va chez moi, j’ai dit. J’ai envie de plus.

–Moi aussi.

On avait joui, mais nos queues étaient encore bien raides. On est remontés, j’avais déjà payé, et on est parti pour mon appart, presque en courant.

Je me suis dit que Malko ne m’avait jamais fait d’aussi beau cadeau.

J’avais rêvé, en lisant CASA HOWHARD, puis en regardant du porno trans d’une expérience décalée avec une belle trans. Pensant que je n’en rencontrerais jamais.

L’essentiel est de ne jamais désespérer.

On a glissé sur le lit, nous caressant mutuellement avant de passer à quelque chose de plus sérieux. J’ai récupéré une boîte de préservatifs posée sur la table de chevet, et je me suis gainé de latex. La suite est venue naturellement. Elle est venue se positionner au-dessus de moi, a guidé ma queue vers sa muqueuse anale, et j’ai glissé en elle. Elle était au-dessus de moi, et elle s’est laissé descendre jusqu’à ce que les plissements de son anus viennent buter contre mes couilles, mon sexe entièrement en elle, enveloppé par la muqueuse très étroite et très chaude.

Je savais que je me souviendrais de cette soirée. Comme un fantasme réalisé.

Sa queue a elle était gorgée de sang, collée contre son ventre. Elle s’est faite monter et descendre sur moi, me laissant attraper son membre et le caresser. On était tellement excités l’un et l’autre qu’on a sans doute joui trop vite. J’ai explosé, mon sperme venant taper contre les parois étroites de sa muqueuse anale, entraînant sa jouissance, qui s’est éparpillée entre nous, les traits crémeux de nos semences nous maculant.

–Tu as envie ?

Je lui ai fait signe que oui. Et c’était vrai que pour moi, une relation avec un trans ne pouvait exister que dans la réciprocité de la pénétration. Il y avait quelques temps de cela, une fille, dont j’étais proche avait voulu me sodomiser avec un gode-ceinture. J’avais aimé cette inversion des rôles, et sentir la queue de plastique pénétrer en moi et me fouiller. Cette fois, ce serait une vraie queue.

Un deuxième préservatif, et, enveloppé de latex, il est venu appuyer sur ma muqueuse anale. Une légère brûlure, et il était en moi. Il est venu bien au fond, comme j’en avais envie, me remplissant. Sa queue a été une caresse intime et aussi intense, avec un plaisir partagé dans un orgasme très fort.

Elle est restée toute la nuit, pour partir au petit matin. Je ne savais pas ce qu’elle faisait, où elle travaillait. Je me suis levé tôt, comme tous les matins, et elle m’a rejoint sous la douche. On a eu un bref moment de plaisir, rapprochant nos deux queues et les frottant l’une contre l’autre jusqu’à ce que nos spermes jaillissent.

On est descendus ensemble. Elle m’a précisé, avant de s’éloigner :

–J’ai envie de te revoir. J’ai rentré mon numéro dans ton portable. Je crois que Malko se trouvera une autre copine.

Malko, je l’ai justement vu le soir.

–Tu l’as vue, la fille ?

–Je n’ai vu personne. Elle ne devait pas être intéressée au final.

La déception a glissé sur son visage.

–Dommage…Elle me plaisait bien.

Qu’aurait-il pensé s’il avait découvert qu’elle avait entre les cuisses une queue au lieu de la petite chatte qu’il espérait sans doute trouver. Une bonne question. À laquelle il n’y avait pas de réponse toute faite. Le pouvoir de fascination des trans est sans limite, alors Malko aurait peut-être fait comme moi, et éprouvé un plaisir infini à pénétrer la superbe fille et à se faire pénétrer.

–Bah, je trouverai une autre copine.

C’était son mode de fonctionnement. Aller d’une fille à l’autre, ne pas souhaiter se fixer, même s’il formulait parfois l’envie d’une relation plus longue.

Je me suis éloigné allant rejoindre mon véhicule. On avait convenu d’un rendez-vous dans la journée Priscilla et moi et j’allais la rejoindre.

 

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