Ce n’est qu’au huitième jour, que je suis en uniforme pour les petits déjeuners : je suis étonnée du plaisir avec lequel je me retrouve serrée dans le corset noir. J’aspire profondément pour me creuser la taille et le ventre quand Natacha serre les lacets. Le corset monte jusque sous les seins, qu’une légère armature maintenait écartés, et qu’un étroit rebord soutient si bien qu’ils sont projetés en avant et paraissent d’autant plus libres et fragiles.

J’enfile une robe avec une large jupe bouffante, doublée de taffetas, largement juste au milieu devant, pour, laisser libre le ventre, ou juste au milieu du dos pour libérer les fesses. La jupe s’arrête au tiers de la cuisse, laissant visible à tous, mes anneaux à la lèvre gauche de ma chatte, et si on le retourne, mon chiffre sur mes fesses. Un boléro entrouvert, sur les seins nus, et n’a d’ailleurs aucun système de fermeture, assez court juste pour couvrir les seins. Il est en dentelle blanche et cache entièrement les seins, assez transparent pour qu’on en devine l’aréole, et pour qu’on comprend qu’ils sont libres sous le boléro. Au reste, il suffit d’enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l’ouvrir, si l’on désirait voir les seins et ma croupe reste constamment nue et accessible à tous. Je garde mes tongs à hauts talons.

Quand je prends mon service au bar, je sers six hommes qui se masturbent en me regardant faire le service.

Je viens entre les jambes du premier, après avoir retiré mon boléro, en redressant les épaules pour avancer les hanches à hauteur de la bouche de l’homme, et cela, sans la moindre hésitation, heureux à l’évidence de plaire.

C’est un bel étalon d’une trentaine d’années, qui glisse sa main entre mes cuisses, me caresse la chatte, jouant avec mon clitoris percé et me doigtant la chatte. Je jouis le second se glisse derrière moi et m’encule, c’est le signal. Je suce le premier et j’alterne avec les six hommes. Tous éjaculent dans ma bouche.

Pantelante, je suis conduite par Yann dans une chambre dans l’aile au sud.

Quand il s’écarte, il fait glisser le boléro et me délace mon corset, et, torse nu, il m’allonge à plat ventre sur le lit. Il observe longuement mon dos, effleurant à peine, du bout de ses doigts qu’il fait légers, les traces mauves et irrégulières des cinglons.

Tu es fréquemment fouettée, Prudence.

Oui.

Il t’a traitée de putain.

Oui, je suis une putain.

Yann m’embrasse langoureusement sur la bouche.

Profitant de la fente arrière de ma jupe, Yann me caresse l’anus qui s’ouvre. Il me fait un anulingus et je jouis. Puis Yann m’encule dans cette position. Je laisse mes jambes ouvertes pour faciliter la sodomie puis je serre mes cuisses l’une contre l’autre pour enserrer plus fermement le mandrin dans mon anus. Yann se redresse sur ses avant-bras pour me soulager un peu et m’enculer plus vigoureusement. J’ai un violent orgasme anal.

Sans débander, il m’allonge sur le côté les jambes pliées en chien de fusil. Yann se place derrière et épouse les contours de mon corps en caressant mes seins et mon clitoris tout en m’embrassant dans la nuque et derrière les oreilles. Dès qu’il éjacule, je tends ma croupe pour le recevoir jusqu’aux testicules, puis il s’endort, sans débander.

Je m’endors aussi.

Le jour baisse quand je me réveille. Yann se retire, me prend mes fers dans ses mains, remarque la cravache et le fouet entrecroisés, gravés au-dessus du nom.

J’aime être cravachée.

Suce-moi, Prudence.

Je le suce, tandis qu’il me doigte l’anus.

Puis il m’embrasse les seins. Je jouis.

Yann m’encule une dernière fois à quatre pattes sur le lit.

Il m’encule d’une seule traite en me maintenant fermement par mes hanches. Plus je me cambre, plus la sodomie est facilitée, profonde et intense.

Je vais et viens sur son mandrin, en serrant et détendant mon anus lors des va-et-vient. J’enserre son mandrin, le relâche et je reprends. Yann aime ça.

Il me caresse les seins, le clitoris, la chatte et je serre les muscles fessiers pour une sodomie plus intense.

Il éjacule dans mon anus et me met un bijou d’anus large muni de picots

Je me rhabille, il lace étroitement mon corset.

Yann me conduit aux écuries, pour me faire saillir par un cheval de trait. Nue, je me met sous le cheval. Il m’introduit son sexe que j’ai sucé dans mon anus, il relève et écarte mes jambes de part et d’autre du train arrière du cheval. Il passe une chaîne qu’il fixe aux anneaux des bracelets des chevilles et fait de même à mes poignets. Je suis enculée par le cheval, qui peut aller et venir en marchant au pas. Je sens son sexe et son gland gonflés dans mon anus, pour qu’il éjacule. J’ai un violent orgasme, sous le long jet de sperme. Je vais de me faire saillir par un cheval de trait.

Yann me détache après que le sexe ai retrouvé sa taille initiale.

Il me douche, menottée, comme dans les douches du manoir, avec un long lavement.

Au bureau, où je conduis un des clients ensuite pour qu’il prenne une chambre, il dit : — Vous me ferez monter du whisky, et une chicote.

Après que je l’ai sucé, après qu’il m’a enculée à plusieurs reprises, que, levant pour la troisième fois son fouet, il saisit mes mains et il me cingle les fesses avec la chicote.

Quelques jours après, dans ma chambre tranquille et sombre, avec une grande porte-fenêtre qui ouvre sur le parc. Le grand lit est si bas qu’on dirait à peine un lit, il se confond avec le sol, avec le mur auquel il s’appuie. Dans la chambre un grand miroir fait face au lit. Il est en partie futé sur une porte. S’il bouge, c’est qu’on entre. Je suis nue quand je reçois le valet qui porte un plateau.

Un grand chien danois s’assoit à côté du plateau, aussi silencieux et embarrassé que moi. La porte-fenêtre s’ouvre. Lui est entré, m’a souri, m’a prise dans ses bras quand je me suis levée. Je me suis agenouillée sur le tapis près du lit pour faire le service.

Nue, je flatte le chien, le suce et je me mets à plat dos sous le grand danois, je redresse les jambes, les passe par-dessus le dos du grand danois et je m’agrippe à lui, les mollets croisés sur ses reins, jusqu’à me coller étroitement sous lui. Il m’encule vigoureusement et j’ai plusieurs orgasmes anaux.

Plus tard, j’ai vu que le grand miroir n’est miroir que de mon côté, et que la porte est transparente, qui ouvre dans une seconde pièce d’où l’on surveillait, si l’on veut, tout ce qui se passe dans ma chambre. Naturellement, il y a plusieurs chambres dont la disposition est semblable.

Quand mon tour vient de faire ce qu’on appelle le service des chambres, c’est-à-dire de se rendre, accompagnée de Natacha, dans les chambres du premier manoir, par un souterrain reliant les deux manoirs, pour faire la toilette des filles qui y étaient logées.

Dans l’une d’elle, se trouve une grande brune, gracile, bronzée contre la tenture écarlate, frissonnante, les cuisses portant pour la première fois les sillons violets de la cravache. Elle s’appelle Dominique. Son amant est un garçon maigre d’une trentaine d’années qui la tenant aux épaules, renversée, se faisant enculée par un inconnu, sous lequel elle gémit. Natacha la lave. Je la farde, lui lace son corset, lui passe sa robe.

Je deviens la favorite de James, qui me fait asseoir à califourchon sur lui, de ses mains me tenant à la taille et aux fesses.

Au début de l’après-midi, nue comme au premier jour, en tongs à hauts talons, portant la ceinture de cuir maintenant en place, un imposant gode anal, je suis rejointe par Dany. Elle m’annonce que le jet privé a été retrouvé en mer, dans des eaux profondes, avec aucun survivant. Une photo de femme entièrement nue, d’après certains indices vraisemblablement une prostituée, que la police recherche, apparaît sur la une du journal. 

Au bout de trois heures d’interrogatoire, je n’ai toujours rien dit.

Tu es libre, maintenant, Prudence, dit Dany. On peut t’enlever tes fers, le collier, les bracelets, effacer la marque. Tu peux retourner chez toi. Mais si tu veux, dit encore Dany, tu peux rester.

Dès que je suis en retour à ma résidence, je garde mes deux bagues et ne porte plus aucun sous-vêtements, porte des jupes de plus en plus courtes et de plus en plus fines, tout en cachant mes fers. Mes hauts de plus en plus décolletés et surtout de plus en plus transparents. Je ne serre jamais mes jambes et ne croise jamais mes bras pour masquer mes seins.

Quand je me déshabille par mes amants, je leur montre mes fers et mes marques le “S” et le “H”, qui finalement ont été tout aussi vains, effrayent réellement ceux qui les découvrent.

Le triple meurtre avec O et le double meurtre des deux soumis ne sont jamais résolus, car les meurtriers sont morts, emportant leurs secrets.

J’épouse secrètement le transsexuel, Annie, dont j’ai deux jumelles qui seront éduquées à leur majorité au manoir, dont je suis devenue membre et maîtresse.

 

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