Je me relève, relève entièrement ma jupe, dévoilant mon ventre, mon pubis velu brun , mes genoux polis. L’homme attache une étroite ceinture autour de ma taille, et il y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien.
— Ajustez-les au plus court, ainsi elle ne pourra repousser le sexe et son œillet va être forcé et distendu.
Je marche, le gode remue en moi.
Puis l’homme attache les chaînettes avec de petits cadenas
— Ainsi, quand tu seras seule, tu ne seras pas tentée de te soulager.
Les mules claquent sur le carrelage des couloirs, où des portes se succèdent, discrètes et propres, avec des serrures minuscules.
— Tu es dans l’aile rouge, et votre valet s’appelle Emmanuel.
— Quel valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment vous appelez-vous ?
— Je m’appelle Amandine.
— Et moi Justine, dit la seconde.
— C’est le valet qui a les clefs, qui t’attaches et te détaches, te fouettes quand tu es punie et quand on n’aura pas de temps pour toi.
— J’ai été dans l’aile rouge l’année dernière, dit Justine, Emmanuel y était déjà. Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous. Ils t’ont mis un gode que tu vas porter, huit jours durant, entre ton lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour où tu finis ton service dans la bibliothèque et l’heure de la nuit, dix heures généralement, où on te ramène, enchaînée, nue. Tu en porteras un plus épais chaque jour. Tu le porteras nue, parfumée, au repas du soir. Emmanuel ne te l’enlève pour que pour t’enchaîner, soit les mains au dos s’il doit te conduire à la bibliothèque, soit au mur pour la nuit si personne ne te réclame. Il y a des nuits où tu seras enculée à maintes reprises. J’y suis passée.
Au détour du couloir, on me fait s’arrêter devant une porte que rien ne distingue des autres : sur une banquette entre cette porte et la porte suivante j’aperçois un bel étalon bronzé, vêtu d’un gilet en cuir, avec un étireur de testicules et un anneau pénien, son gilet de cuir cache de petits seins, c’est un transsexuel. Il porte à la ceinture un fouet à lanière de cuir. Il sort un passe de sa poche de gilet, ouvre la porte et nous fait entrer les trois femmes, disant :
— Je referme, vous sonnerez quand vous aurez fini. Relève ta jupe, ma belle.
Il découvre la ceinture et les chaînettes.
— Tu portes le gode d’assouplissement. Je te le retires tout à l’heure et je ferais usage de toi.
La cellule est toute petite, et comporte en réalité deux pièces. La porte qui donne sur le couloir refermée, on se trouve dans une antichambre, qui ouvrait sur la cellule proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre, une autre porte, sur une salle de bains.
En face des portes il y a la fenêtre. Sur la paroi de gauche, entre les portes et la fenêtre, s’appuie le chevet d’un grand lit carré, très bas et couvert de fourrures. Il n’y a pas d’autres meubles, il y a de grandes glaces sur les murs, du haut en bas de la paroi, que n’interrompent aucune tablette, et d’autres glaces au plafond. Il y a un tapis au sol. Le lit est une plate-forme matelassée, recouverte d’une étoffe à très longs poils qui imite la fourrure. L’oreiller, plat et dur comme le matelas, est de la même matière, la couverture à double face aussi. Le seul objet qui est au mur, deux mètres au-dessus de la tête du lit, est un gros anneau d’acier brillant, où passe une longue chaîne d’acier qui pend droit sur le lit ; ses anneaux entassés forment une petite pile, l’autre extrémité s’accroche à portée de la main à un crochet cadenassé, tirée et prise dans une embrasse.
Il y a un autre crochet suspendu face à la fenêtre, à la même hauteur.
— Nous devons te faire prendre ton bain, dit Justine. Je vais défaire ta robe.
Dans la salle de bains se trouvent le siège à la turque, dans l’angle le plus proche de la porte. Il y a un bidet et une douche.
Une fois nue, Amandine et Justine rangent ma robe dans le placard près du lavabo, où sont déjà rangées mes mules, et demeurent avec moi. Je m’accroupis sur le socle de porcelaine, je me trouve au milieu de tant de reflets.
— Attends que ce soit Emmanuel, dit Justine, et tu verras.
— Pourquoi Emmanuel ?
— Quand il viendra t’enchaîner, il te fera peut-être accroupir.
Puis elles me conduisent sous la douche. Pendant que Justine me frotte précautionneusement le dos et les fesses, en ayant soin de ne pas raviver le souvenir du fouet, Amandine me savonne les seins et la chatte, me passe la main entre les jambes, décalotte délicatement mon clitoris. Je jouis sous leurs caresses. Amandine va jusqu’à enfoncer deux doigts dans ma chatte resserrée par le gode et Justine me masse les seins aux mamelons durcis par les caresses.
Je me sens pâlir.
— Mais pourquoi ? dis-je.
— Tu seras bien obligée, réplique Justine, mais tu as de la chance.
— Pourquoi de la chance ?
— C’est ton amant qui t’a amenée ?
— Oui.
— On sera beaucoup plus dur avec toi. Tu comprendras très vite. Je sonne Emmanuel. Nous viendrons te chercher demain matin.
Amandine sourit en partant, et Justine, avant de me suivre, caresse, à la pointe des seins, je reste debout au pied du lit, interdite.
À l’exception du collier et des bracelets de cuir, que l’eau a durcis quand je me suis baignée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
— Alors, la belle dame, dit le valet en entrant. Et il me saisit les deux mains. Il fait glisser l’un dans l’autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l’anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou.
— Je vais te retirer le gode et tu vas t’installer sur le bidet.
En retirant le gode, mon anus est béant et humide. J’obéis et je rejoins le bidet. Là, je me retrouve assise, courbée en avant. Je sens un doigt chargé de savon me pénétrer et me laver soigneusement l’anus, et je frissonne profondément. Il m’enfonce ensuite une canule, montée à l’extrémité du flexible de la douche, par laquelle il m’asperge d’eau tiède. Je comprends que, tel un ustensile qui vient d’être utilisé, on me nettoie parfaitement partout où l’on s’est servi de moi, afin qu’on puisse recommencer dès qu’on en aura le caprice.
Profitant de mes cuisses écartées, il me caresse le clitoris et je mets à jouir.
Une fois propre, il me conduit devant la fenêtre et m’enchaîne debout, nue et les bras en l’air.
Je suis sur la pointe des pieds, j’écarte mes jambes. Il se met derrière moi, m’ouvre les fesses de la main gauche, et il présente son gland et il m’encule dans de longs va-et-vient, tandis que puis de toute sa force il abat sa cravache sur le devant des cuisses.
Puis il se retire, se met face à moi, il me soulève les cuisses, me fait empaler, enculer. Il me fixe une barre d’écartement à mes chevilles, me laissant les cuisses écartées en permanence. Empalée jusqu’aux testicules, j’entends un sifflement et je sens une atroce brûlure par le travers des fesses, et hurle. Emmanuel me cravachait à toute volée. Il n’attends pas que je me taise, et recommence quatre fois, en prenant soin de cingler tantôt plus haut, tantôt plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes. Mes larmes coulent dans sa bouche ouverte.
— Tu es coopérative, ma belle.
Je sens son sperme inonder mon anus béant.
Il se retire, tout en me laissant la barre d’écartement et me remet le gode en place.
Je vois des lumières rouges sur une télécommande qu’il tient en main devant moi.
Le gode se révèle être un vibromasseur qui se gonfle. J’en fait l’expérience.
Je sens d’abord le gland qui monte et descende à l’intérieur de mon anus ; puis les mouvements de va-et-vient s’accélèrent dans mon anus, et enfin, le gland va encore plus vite de haut en bas dans mon anus, combiné à des vibrations par à-coups et à intensité progressive.
— Ainsi, ton œillet va se dilater et gagner progressivement du volume.
La séance dure une demi-heure et je suis pantelante, ayant connu un orgasme anal sans me masturber.
Pendant la nuit, jusqu’à l’aube, je subis les assauts vibratoires du gland et du gonflage et dégonflage, par les actions des valets qui me viennent me faire jouir.
Je gagne un centimètre d’ouverture anale en quelques heures.
Mon pubis est entièrement couvert du sperme des valets, qui m’honorent la chatte.
Je regarde naître une lente aurore pâle, dehors.
Devant la fenêtre, il y a une pelouse, au bout de la pelouse une allée. Il fait grand jour et depuis longtemps je ne bouge plus. Un jardinier apparaît le long de l’allée, poussant une brouette.
Il s’approche pour balayer devant la fenêtre, la fenêtre est si grande et la pièce si petite et si claire qu’il me voit enchaînée debout, nue et enchaînée les bras en l’air, avec les marques de la cravache sur les cuisses. Les balafres ont gonflé et forment des renflements étroits, plus foncés.
Il se masturbe devant moi, je regarde son mandrin en érection, tandis les va-et-vient du gland vibromasseur se font de plus en plus rapides, tout en gonflant pour me dilater, je suis entre douleur et plaisir. Ma mouille dégouline de ma chatte trempée d’excitation.
Puis le jardinier repart, les vibrations diminuent progressivement et que le vibromasseur reste gonflé.
Aucune femme n’a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des bracelets ou des colliers, mais tous les hommes portent à un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les portes, tous les cadenas, ou tous les colliers.
Les valets les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit dorment, et c’est l’un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures.
L’homme qui entre dans ma cellule, est vêtu d’un blouson et de bottes de cuir. Ses jambes sont nues.
Il me libère du vibromasseur et découvre mon anus béant et bien humide, il me passe la main entre les cuisses.
— Tu es toute trempée, ma belle.
Puis il me caresse les fesses, me libère du crochet qui tend mes bras en l’air et joint mes mains à mon cou, me fait pivoter et m’allonge sur le ventre, sur le lit. Je garde la barre d’écartement.
Il s’agenouille derrière mes fesses, m’encule, je sens ses testicules bien volumineux et super excités claqués contre mes fesses à chaque va-et-vient. Je jouis faiblement. Il ne se retire que pour éjaculer sur mes fesses.
Enfin, il me retire la barre d’écartement et me libère les mains.
Amandine et Justine sont entrées avec lui, et elles attendent debout de chaque côté du lit. Sur quoi il s’en va.
Justine tire vers le chevet une table roulante qui a été amenée dans le couloir et porte du café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et des croissants.
— Mangez vite, dit Amandine, il est neuf heures, tu pourras ensuite dormir jusqu’à midi, et quand tu entendras sonner il sera temps de t’apprêter pour le déjeuner. Tu prends un bain et tu te coiffes, je viendrai te farder et te lacer ton corset.
— Tu n’es de service que dans l’après-midi, dit Justine, pour la bibliothèque servir le café, les liqueurs.
— Mais vous ? dis-je
— Ah ! nous sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de ton séjour, ensuite tu es seule et tu n’auras affaire qu’aux hommes. Nous ne pourrons plus te parler.
— Restez, dis-je, restez encore, et dites-moi…
mais elle n’a pas le temps d’achever, la porte s’ouvre : c’est l’homme qui m’a emmenée, et il n’est pas seul.
Tous les deux sont nus avec des anneaux péniens et des étireurs de testicules.
Je me lève, l’homme appuie doucement la paume fraîche de ses mains, puis ses lèvres tout le long des balafres. Puis il m’entraîne au pied du lit, il fit remarquer à son compagnon qu’il a eu raison, et le remercie
— Prends-la en premier. Écarte tes jambes.
J’obéis. Il me soutient debout, appuyée du dos contre lui qui est debout aussi. Et sa main droite me caresse un sein, et l’autre me tient l’épaule. L’inconnu s’était assis sur le rebord du lit, il a saisi et lentement ouvert, en tirant sur les poils pubiens, la chatte. René me pousse en avant, pour que je sois mieux à portée, et son bras droit glisse autour de ma taille, ce qui lui donne plus de prise.
L’inconnu me lèche le clitoris jusqu’à le durcir.
Je jouis et perds pied, me retrouve étendue sur le dos, la bouche de René sur ma bouche ; ses deux mains me plaquent les épaules sur le lit, cependant que deux autres mains sous mes jarrets m’ouvrent et me relèvent les jambes. Mes mains sont sous mes fesses (car au moment où René m’a poussé vers l’inconnu, il m’a lié les poignets en joignant les anneaux des bracelets), mes mains sont effleurées par le mandrin de l’homme qui se caresse au sillon de mes fesses, s’enfonçant dans mon anus. Mes jambes sont à angle droit, rendant la sodomie plus aisée. L’homme se retire après avoir éjaculé dans mon anus.
René me défait les mains, me met à quatre pattes sur le lit, m’encule à son tour, tandis que je suce l’inconnu et le nettoie. René m’inonde l’anus.
L’homme repart, René reste enculée en moi.
Il m’embrasse, me dit :
— Je t’aime. Quand je t’aurai donnée aussi aux valets, je viendrai une nuit te faire fouetter jusqu’au sang.
Le soleil inonde la chambre.
— Prosterne-toi, pour recevoir ton nouveau gode.
J’obéis. Justine m’enfonce le gode plus épais d’un centimètre. L’homme me cadenasse les chaînettes. Mon anus s’ouvre de trois à quatre centimètres sans gonflage jusqu’à cinq avec le gonflage.
Puis René s’installe sur le lit et me parle. Il me dit, tout en me tenant par le collier, deux doigts glissés entre le cuir et le cou, qu’il entend
— Que je sois désormais mise en commun entre lui et ceux dont il déciderait, et ceux qu’il ne connaîtrait pas qui sont affiliés à la société du manoir, comme je l’ai été la veille au soir. Que c’est de lui, et de lui seul que je dépends, même si je reçois des ordres d’autres que lui, qu’il soit présent ou absent, car il participe par principe à n’importe quoi qu’on peut exiger de moi ou m’infliger, et que c’est lui qui me possède et jouit de moi à travers ceux aux mains de qui elle était remise, du seul fait qu’il la leur a remise, je leur ai soumise et les accueillir avec le même respect avec lequel je l’accueille. C’est parce qu’il t’est facile de consentir que je veux de toi ce à quoi il te sera impossible de consentir, même si d’avance tu l’acceptes, même si tu dis oui maintenant, et que tu t’imagines capable de te soumettre. Tu ne peux pas ne pas te révolter. On obtient ta soumission malgré toi, non seulement pour l’incomparable plaisir que moi ou d’autres y trouvent, mais pour que tu prenne conscience de ce qu’on a fait de toi. On t’a dit hier que tu ne dois, tant que tu es dans ce manoir, ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu ne le dois pas davantage à moi, mais te taire, et obéir. Je t’aime. Lève-toi. Tu n’ouvres désormais ici la bouche, en présence d’un homme, que pour jouir ou souffrir.
Je me lève, les va-et-vient du vibromasseur reprennent et il se gonfle. René remarque mes mouvements de mon bassin. Je me baigne, l’eau tiède me fait frémir quand mes cuisses meurtries y plongent, et je m’éponge sans frotter, pour ne pas réveiller la brûlure. Je me sèche dans la grande serviette, je me coiffe devant la glace. Je suis tentée de me caresser le clitoris pour jouir davantage. Je me farde ma bouche, non mes yeux, me poudra et toujours nue, mais les yeux baissés et la bouche entrouverte, je reviens dans la cellule.
René regarde Justine, qui est entrée, et se tient debout au chevet du lit, elle aussi les yeux baissés, muette elle aussi. Il dit de m’habiller.
Justine prend le corset, et ayant agrafé mon corset sur le devant, commence à serrer le lacet par-derrière. Le corset est durement baleiné, long et rigide, et comporte des goussets où reposent les seins. A mesure qu’on serre, les seins remontent, s’appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leur mamelon. En même temps, la taille s’étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses.
— Pas besoin de la robe, elle doit laisser visible la ceinture et les chaînettes. Elle ne chausse que ses mules. Ainsi, on verra ses marques sur ses fesses et sur ses cuisses.
Les vibrations augmentent progressivement. Les mouvements de mon bassin sont plus violents et je jouis.
Nous sommes toutes les deux debout l’une près de l’autre. Justine me caresse les seins et René plonge ses doigts dans ma chatte trempée, devant une des glaces.
Justine relève sa robe et René guide mes doigts dans sa chatte, nous jouissons presque simultanément.
René me prend dans ses bras et me fait sucer mes doigts trempés par la mouille de Justine.
— Je t’aime, je lui dis à son oreille, si bas qu’il entendait à peine.
— Je t’aime.
II ne part que lorsqu’il me voit douce et les yeux clairs, heureuse.
Justine me prend par la main et m’entraîne dans le couloir. Nos mules claquent de nouveau sur le carrelage, et nous trouvons de nouveau sur la banquette, entre les portes, un valet. Il était vêtu comme Emmanuel, mais il est grand, sec.
Il me dégonfle le gode, me le retire, me fait me pencher en avant, les mains sur le mur et m’encule avec son gros mandrin. Je jouis. Il éjacule sur mes fesses.
Il nous précède, et nous fit entrer dans une antichambre où, devant une porte en fer forgé qui se découpe sur de grands rideaux, deux autres valets attendent, deux dobermans à leurs pieds.
— À quatre pattes, mesdemoiselles.
Nous obéissons. Justine relève sa robe et le valet me retire le gode.
Sans attendre, le premier doberman me monte, m’encule, il n’a qu’ouvert la voie vers son propre plaisir, l’animal prend place entre mes magnifiques fesses et m’encule, et fait très rapidement passer son nœud à travers mon anus étroit. Je gémis, rapidement bâillonnée par le mandrin d’un des valets.
Justine subit le même sort.
Je desserre les fesses au maximum pour faciliter la saillie anale canine. Mon bassin ondule. Ce n’est qu’au bout d’une demi-heure, qu’il éjacule longuement et à peine qu’il est sorti de mon anus, que le second prend le relais et m’encule avec aisance, l’anus béant et humide du sperme du premier et j’explose dans quatre violents orgasmes anaux.
Les valets me remettent le gode en place, dès son retrait et le gonfle. Mon anus est devenu sensible et je sens ma rosette anale devenir plus large et un peu souple, par les sodomies nocturnes.
Pendant les repas, qui ont lieu dans la salle où on m’a fait entrer, la salle est dallée et il y a une table longue, en verre épais, pour que les valets puissent voir ce que les filles y ont pu faire par-dessous, et chaque fille a pour s’asseoir un tabouret rond recouvert de cuir. Il faut relever sa jupe pour s’y poser, et je retrouve ainsi, au contact du cuir lisse et froid sous mes cuisses, le premier instant où mon amant m’a fait asseoir à même la banquette de la voiture. Inversement, lorsque je vais quitter le manoir, et que je serais, vêtue comme tout le monde, mais les fesses nues sous mon tailleur banal ou ma robe ordinaire, relever à chaque fois ma jupe pour m’asseoir aux côtés de mon amant, ou d’un autre, à même la banquette d’une auto ou d’un café, c’est le manoir que je retrouve, les seins offerts dans les corsets de soie, les mains et les bouches à qui tout est permis, et le terrible silence. Rien cependant qui ne m’a été d’autant de secours que le silence, sinon les chaînes.
Le valet de permanence ne se gêne pas pour me caresser les seins et entre mes cuisses écartées, en augmentant l’intensité du vibromasseur. Je me mords l’index pour ne pas jouir en public.
Après le dîner, le valet me retire le gode et me fait mon lavement.
Je passe l’après-midi, en corset, jambes nues, offerte au premier venu.