J’ai une double vie. Dans la journée, je suis visiteur médical. Je rends visite aux médecins pour leur parler de nos divers médicaments. Je travaille pour un grand groupe et suis bien payé. C’est peut-être pour cela que l’hiver, cinq soirs par semaine, je participe à une maraude avec une association qui vient au secours des gens dans la rue. On aborde les gens qui sont exposés au grand froid et on leur propose à manger et des couvertures. S’il fait vraiment trop froid, on les oriente vers des accueils de nuit, et s’ils ne veulent pas y aller, on appelle éventuellement le 15 pour les signaler. On travaille en collaboration avec les autorités.
Ce 22 novembre, je viens de terminer ma journée de travail. Je suis passé chez moi me changer et j’ai récupéré un lot de couvertures qui m’a été donné par un voisin. Il est 18 heures et, heure d’hiver oblige, il fait nuit noire. Pas de quoi avoir le moral.
Je pars à travers les ruelles pour rejoindre la QG de l’association, créé par Bernard M… il y a dix ans. Il ne vient plus avec nous car il a transformé une maison dont il a hérité en service d’accueil, et c’est là qu’il attend tous les soirs les personnes qu’on lui envoie.
On est une quinzaine à fonctionner bénévolement pour l’association. J’arrive et je signe une fiche de présence. Tout doit être fait dans les règles. Bernadette, une femme dans la soixantaine mais que je trouve étrangement désirable, et qui, en tout cas, fait tout pour le rester, me souffle :
— Ce soir, on part ensemble. Il y aura aussi José et Jacky.
Ils ne sont pas, eu non plus, de la première fraîcheur. Ils ont largement dépassé la soixantaine. Avec mes 35 ans, je suis le plus jeune et de loin.
Je laisse traîner mon regard sur elle. Assise face à moi, elle rédige de la paperasse. Elle me jette un regard enjôleur. Elle a comme toujours une jupe très courte, et j’aperçois, détail qui me trouble, ses jambes gainées de bas stay-up, et le triangle blanc d’une culotte, gonflé par son pubis, avec le tissu qui s’enfonce dans sa fente. Je me dis que je ne devrais pas éprouver de désir, mais quand je la vois, je ne peux pas m’empêcher de bander. Elle a soixante ans mais elle est plus sexy que des filles qui ont le tiers de son âge. Elle sait s’arranger, se mettre en valeur.
Elle me propose, comme tous les soirs :
— Tu veux que je te fasse quelque chose pour te donner du courage ?
Cela fait des mois qu’elle espère me faire céder, ne trouvant face à elle que du silence. Elle m’attire énormément. Elle est très sensuelle, et au-delà de cela, c’est une femme chaleureuse et d’une grande bonté. Une sorte de rêve.
Nous sommes tranquilles dans notre coin. José et Jacky chargent le véhicule. Elle se cambre sur sa chaise, roule sa jupe quelques centimètres plus haut, même si elle est déjà bien remontée, et m’offre le triangle de son slip. Elle écarte celui-ci, me laissant voir une chatte rasée dans laquelle je plongerais avec plaisir. Elle me souffle :
— Elle est à toi quand tu veux, mon chéri, il suffit de demander. Je te ferai ce qu’aucune fille ne t’a fait et ne te fera, je te masserai avec les muscles de ma chatte. Je suis vieille, mais j’ai une expérience et une imagination hors du commun.
J’en suis bien convaincu. Au cas où je pourrais en douter, elle fiche deux de ses doigts dans son sexe, et elle s’ouvre autant qu’elle le peut, me laissant voir une muqueuse rosacée.
— Ce sera à toi quand tu veux.
Elle ramène son slip devant son sexe, le masquant. Le tissu retrouve sa place, tendu par son pubis gonflé de femme mûre.
— Quand tu diras oui, je me donnerai à toi tout de suite.
Comme pour me le confirmer, elle tend les doigts vers mon pantalon et effleure ma queue à travers de ses ongles longs, avant de se rabattre en arrière, au moment où José et Jacky sont de retour. Elle a toujours cette habileté pour agir sans jamais se faire prendre. Un intervalle de quelques secondes, quand elle se frotte à moi, du corps, des seins, des fesses, passe sa main sur moi.
Je comprends qu’elle ait envie d’un homme. J’ai déjà eu l’occasion de rencontrer son mari. Il a une énorme bedaine de buveur de bière, un œil désespérément vide, et il semble indifférent aux charmes de son épouse, ces charmes même qui me mettent en transe. Elle m’a confié une fois :
— Il n’arrive plus à bander ! Et de toute façon, il n’en a même plus l’envie. Pour lui, je suis comme une plante verte, uniquement là pour décorer !
Elle me fait très envie, mais ce qui me gêne c’est qu’elle soit mariée, même si d’évidence elle baise davantage en dehors du lit conjugal que dedans. Pour autant, j’ai toujours eu dans l’idée qu’on ne remettait pas en cause les liens du mariage.
Elle se lève et prend plusieurs sacs, avant de rejoindre la camionnette. Je regarde ses fesses onduler sous mes yeux, bougeant sous le tissu de la jupe courte. Je me dis qu’elle accentue le mouvement de ses hanches exprès pour m’allumer.
On ne laisse rien au hasard. On a un plan soigneusement établi, auquel on colle chaque soir.
On commence notre maraude.
On arrive, vers neuf heures du soir, à cette série de rues en étoile, juste à côté du lycée R… Il y a quatre rues, que l’on peut apercevoir si l’on s’arrête au rond point. On est cinq. Chacun sa rue, et bien sûr une personne qui reste au camion.
Ce sont des rues interminables, mélange baroque de commerces, de petites maisons, de pavillons, de jardins, dû à une urbanisation mal maîtrisée. Je m’engage dans la rue S… Je ne m’attends pas à trouver qui que ce soit. Les désespérés se concentrent plutôt sur d’autres zones.
J’avance, malgré tout, consciencieusement.
Je suis au tiers de la rue, quand je l’aperçois. Elle est devant un magasin où on fait des photocopies, évidemment fermé à cette heure, et elle tire sur une cigarette. Une jolie fille, elle doit avoir vingt-cinq ans tout au plus. Elle a une sorte de bonnet qui couvre son crane mais laisse couler sur ses épaules des cheveux d’un blond clair qui tranche avec l’obscurité. Elle porte une veste de fausse fourrure qui s’arrête à sa taille, laissant voir une robe de lainage noire qui descend de quelques centimètres sur ses cuisses. Elle a des jambes fines et longues, interminables, prises en dessous du genou par des bottes noires.
Je ralentis et je m’arrête, me collant contre un mur, curieux de savoir ce qui va se passer. Je me demande si c’est une prostituée. Pourtant, ce serait étrange qu’elle soit là, car historiquement, les putes sont autour de la gare, qui se situe à l’autre bout de la ville. J’imagine plus simplement qu’elle attend son copain.
Une Clio s’engage dans la rue à son autre extrémité. J’essaye de parier, à savoir si elle va s’arrêter ou pas devant elle. C’est effectivement le cas. J’aperçois un grand type, massif au volant. Il remplit bien l’espace de la voiture. Il se penche et débloque la portière. Elle l’ouvre mais ne fait pas mine de monter à l’intérieur. Elle a un grognement de mécontentement.
— Enfin ! Ça fait un bon moment que je t’attendais.
Dans la nuit, et comme il n’y a aucun bruit, je n’ai pas de mal à les entendre. Elle est pliée en deux, accrochée à la portière, pleine de colère et d’amertume. La veste en fausse fourrure a remonté, dévoilant une croupe pleine, à laquelle la robe de lainage colle, Celle-ci a remonté, laissant voir la quasi intégralité de ses jambes, gainées par un collant.
J’entends le type répondre :
— Ma femme m’a retenu. J’ai l’impression qu’elle se doute de quelque chose.
— Si c’est comme ça, tu n’as qu’à retourner chez toi.
— Tu sais très bien que je veux divorcer et t’épouser, mais ce n’est pas le moment de lui annoncer.
— Ce n’est jamais le moment, avec toi.
Ils se taisent tous les deux. Un silence lourd. Finalement, le type descend de voiture et s’approche d’elle. Il est très grand, près de deux mètres, pourtant c’est elle qui le domine. La tension se dénoue et quand il ouvre les bras, elle vient se coller contre lui.
Il remonte en voiture, et elle se glisse côté passager, refermant la porte.
Je reste encore immobile quelques instants, avant d’avancer un peu plus. C’est certes m’exposer, mais j’ai envie de voir ce qui se passe entre eux. L’envie d’en voir plus, d’en savoir plus.
Toujours collé au mur, je m’approche autant que je le peux. La nuit joue à mon avantage, et, de toute façon, ils sont tellement centrés sur eux-mêmes qu’ils ne pensent pas qu’il puisse y avoir quelqu’un d’autre. Ils discutent, mais cette fois de manière plus apaisée. Soudain, je vois la fille se pencher sur lui. Le tableau de bord me masque une partie de ses gestes, mais je n’ai pas vraiment de doute quant à ce qu’elle fait. On me l’a déjà fait aussi. Elle défait son pantalon, et met la queue de l’homme à nu. La manière dont elle se penche sur lui, et fait monter et descendre sa tête est elle aussi sans équivoque. Je ne vois rien mais c’est aussi suggestif.
Je finis quand même, à cause d’une curiosité que je ne maîtrise pas, par sortir de l’ombre. Je me dis qu’ils sont trop occupés pour me remarquer. Je prends un risque. Mais j’éprouve une sorte de satisfaction à voir la bite de l’homme, étonnamment longue, et la bouche de la fille qui va et vient dessus, avec une sorte d’avidité teintée de désespoir. Elle le fait finalement sortir de sa bouche, et se met à donner des coups de langue vifs dessus.
J’entends des talons heurter l’asphalte et je me retourne, craignant d’être surpris mais il ne s’agit que de Bernadette, qui me rejoint après être passée par une rue parallèle.
Il se produit quelque chose de curieux en moi. Comme si voir ce couple faire l’amour avait non seulement fait monter du désir en moi mais aussi comme s’il m’avait fait prendre conscience qu’il fallait réaliser ses envies… Avant qu’il ne soit trop tard. Je vois Bernadette avancer vers moi, et je me dis que tout ce qui nous sépare ne doit pas être un obstacle. J’ai envie d’elle depuis des semaines. Et là, encore maintenant, alors que je la vois arriver vers moi, la doudoune ouverte sur un corps que les années n’ont pas abîmée, qui reste ferme et désirable, mis en valeur par la jupe courte et collante, avec sur le visage son sourire plein de chaleur et dans son regard un désir sans équivoque.
— C’est moi qui te fais cet effet ? Ça n’est pas toujours le cas, dis donc, c’est une bonne surprise.
Je me rends compte que mon érection est particulièrement visible. J’ai honte, je referme les pans de mon manteau sur moi.
— Ah, c’est eux… constate Bernadette. Mais tu sais, je peux faire aussi bien que cette fille.
Elle pose sa main sur mon pantalon, et avec une habileté qui ne me surprend pas vraiment, en souriant, son visage à deux centimètres du mien, elle met ma queue bandée et douloureuse à nu. Elle me masturbe doucement. Je me dis que j’ai eu tort de ne pas céder plus tôt à ses avances. Elle est extrêmement habile, comme seule une femme de son âge peut l’être. Elle me pousse aux limites, sachant s’arrêter à temps.
Je me dis qu’on fait un fameux tableau. Deux couples au milieu de la rue, moi masturbé par une blonde d’âge mur, le type dans la voiture se faisant sucer par une blonde plus jeune. Heureusement qu’on n’est pas en plein été et que les gens ne sont pas aux fenêtres…
La fille de la voiture, sans doute poussée par son instinct, redresse la tête. Elle a un moment de surprise, mais elle se ressaisit. L’homme lui, yeux clos, est en pleine extase, et ne se rend compte de rien. Elle a une sorte de sourire, qui signifie, je l’imagine, une complicité entre nous, avant de revenir sur cette queue où perle du liquide séminal.
Bernadette se met à genoux et entreprend elle aussi de me sucer. Comme tout homme, j’ai déjà eu droit à pas mal de fellations, mais je me souviendrai longtemps de celle-là. Elle fait preuve d’une habileté qui me ravit. Elle fait descendre sa langue le long de ma queue, puis gobe doucement mes couilles, avant de dire :
— Je t’avais dit que je m’occuperais de toi mieux que n’importe qui. Je suis une catin dans l’âme… Ce que je te fais, je suis sûre qu’aucune fille ne te le fera jamais.
Et comme pour m’administrer la preuve qu’elle est plus vicieuse que toutes les autres, elle vient enfoncer la pointe de sa langue dans mon méat, comme si elle voulait y pénétrer totalement. Je dois me maîtriser pour ne pas jouir.
Mon attention se reporte sur la voiture. À l’intérieure, le couple passe à la vitesse supérieure. La jolie blonde va chercher dans son sac à main un préservatif dont elle défait l’emballage pour faire habilement coulisser le plastique sur la queue dressée de son amant.
Elle vient se positionner au dessus de lui, accrochant son cou et ses épaules, nous présentant, la robe remontée à sa taille, son cul plein, charnu, bénéficiant d’une cambrure qui lui donne tout son charme, suffisamment ouvert dans cette position pour qu’on puisse voir les plissements de son anus, et sa vulve, largement dilatée. Elle se fait descendre de quelques centimètres, de manière à ce que les lèvres de son sexe soient au contact du gland. Sans faire rentrer celui-ci, elle entame un mouvement des hanches, qui fait tourner ses lèvres sur la chair dilatée. Par la fenêtre ouverte, on entend le type gémir. Ça doit vraiment être très bon.
Bernadette s’est redressée. Pour ne pas couper le contact, elle a gardé sa main sur ma queue, et elle me branle doucement. On regarde tous les deux, fascinés, le spectacle. L’être humain est naturellement voyeur, et encore plus quand il s’agit de sexe. La jeune femme le rend fou, simplement en frottant sa vulve sur sa queue. Le type parvient à se retenir.
La suite doit être aussi insupportable de plaisir. Elle se laisse descendre sur sa queue, mais le fait très lentement, centimètre après centimètre et on voit la queue disparaître dans la vulve. C’est troublant au possible. Enfin, le membre totalement absorbé, elle se tourne vers nous et nous fait un clin d’œil. Le gars ne s’est toujours pas rendu compte de notre présence.
Bernadette se tourne vers moi.
— Moi aussi j’ai envie que tu me la mettes.
Elle soulève sa jupe, tire son slip sur le côté, dévoilant son sexe dilaté. Est-ce que c’est l’âge ou est-ce qu’elle a toujours été comme ça ? Je remarque qu’elle a de grosses lèvres, gorgées, de sang, aussi longues qu’épaisses. Je remarque aussi son clitoris, sorti de sa gaine, lui aussi plus volumineux que tous les clitos que j’ai pu voir jusqu’à présent, long et épais. Il m’impressionne. Elle semble le comprendre, car elle me dit :
— Tu vois tout ce que tu as loupé jusqu’à présent ? Maintenant, il est temps d’en profiter. Je te donnerai tout ce que tu veux. Et tu pourras me faire tout ce que tu veux.
C’est le genre de promesse à laquelle il est difficile de résister. Ça laisse entrevoir des lendemains radieux, maintenant que j’ai succombé à ses charmes, ayant totalement perdu mon sens moral.
Elle tire une capote enveloppée de la poche gauche de son manteau.
— Je l’ai toujours avec moi en espérant qu’un jour tu céderas ! Et ce jour est enfin arrivé.
— Ça fait tellement longtemps que tu me convoites…Espérons que la date de péremption n’est pas passée.
Elle déchire l’emballage, puis attrape le plastique luisant de lubrifiant, et le fait coulisser sur ma queue. Elle empoigne celle-ci et vient la frotter contre ses lèvres, d’une manière semblable, mais différente, à celle de la fille. C’est vraiment très bon. On gémit tous les deux.
Je me dis qu’on est vraiment dans une situation incongrue, au milieu de la rue. Mais je m’en fiche.
On regarde le couple. Le gars a attrapé la fille par les hanches, et il la fait monter et descendre sur sa queue, dilatée à exploser.
Bernadette me fait rentrer de quelques centimètres dans sa vulve. Les sensations m’envahissent. J’ai une espèce de vertige. La sentir autour de moi, même seulement en partie… Il n’y a rien de meilleur… Je n’ai jamais essayé comme cela debout, et c’est sûr que cela empêche une pénétration plus poussée, mais c’est quand même pas mal. Surtout quand on a un autre couple en miroir. C’est excitant et une sorte de lien se tisse.
D’un coup de reins, je m’enfonce en elle, même si ce n’est pas assez. Mais c’est bien suffisant pour qu’on éprouve du plaisir.
La fille de la voiture s’accroche à son amant, et fait ressortie la queue dilatée d’elle. Je me demande où elle veut en venir, puis je la vois venir poser le gland gonflé contre l’anneau de son anus. Le type la tient pendant qu’elle s’enfonce un doigt dans l’anus et qu’elle tourne, manière de se détendre le sphincter et de s’ouvrir un peu. Suffisamment en tout cas pour qu’elle reprenne la bite et la plaque contre son anneau. Cette fois la queue rentre de quelques centimètres. Elle pousse de petits gémissements et amorce des mouvements du bassin pour en faire rentrer plus.
Bernadette sort ma queue de son sexe. Ça fait un bruit visqueux. Elle vient se basculer sur le capot, retroussant son manteau et m’offrant son cul. Ça m’amuse de constater que si la fille suit nos aventures, et malgré le léger choc sur le véhicule, le garçon, la vue masquée par la jeune femme, ne voit toujours rien.
— Allez, bourre-moi, m’encourage Bernadette. Ça fait des mois que j’attends ça. Je veux sentir ton gland tout au fond !
Si elle attend ça depuis des mois, moi aussi. Il y a eu toutes ces barrières que je me suis mises… J’ai été stupide. J’ai perdu tout ce temps…
Je rentre en elle, et je la trouve chaude et suintante. Elle me laisse aller tout au fond d’elle. Elle feule :
— Je voudrais avoir ta queue en moi toute la journée. Promets-moi qu’on va remettre ça très vite. La semaine prochaine, Firmin part faire une rando. Je veux que tu viennes me baiser à la maison tous les soirs. Je me masturberai en t’attendant, et tu me trouveras la chatte ouverte et ruisselante.
La fille est arrivée à faire rentrer toute la queue dans son cul. Cambrée en arrière, elle a une expression extatique. Son amant la soulève par les fesses, et je vois la queue rentrer et sortir, avec de plus en plus de facilité.
Je recule pour sortir du con de Bernadette. C’est à ce moment qu’il se produit quelque chose d’étrange. Comme si une main m’enserrait. Je comprends qu’elle a resserré ses muscles intimes autour de moi. Elle le fait plusieurs fois. C’est une sensation nouvelle, terriblement excitante. Je dois me retenir pour ne pas exploser immédiatement.
C’est comme cela qu’on finit, abordant le virage de la jouissance, dans cet endroit et ces positions improbables, la jolie blonde sodomisée par un homme installé sur le siège d’un véhicule, et moi pris en tenaille par les muscles vaginaux de Bernadette. Il y a un moment où je ne maîtrise plus rien. Il faut que je jouisse. Elle crie quand elle sent le sperme remplir la capote. Je voudrais qu’elle sente vraiment mon sperme taper, jet après jet, contre les parois internes de son con, mais il vaut mieux être prudent. Quant à la jeune blonde elle sort la queue de son anus, et la pause dans son sillon fessier, au moment où il commence à jouir. On voit la semence jaillir et couvrir sa peau blanche.
Après tout s’enchaîne très vite. Il y a régulièrement des patrouilles de police dans la ville. Justement, une voiture s’engage au bout de la rue. Bernadette et moi on se rajuste et on s’éloigne. Ils nous connaissent et nous saluent au passage, inconscients de ce qu’on vient de faire. Le couple s’est également rajusté, et l’homme démarre, emmenant sa maîtresse avec lui, qui nous jette un regard complice quand la voiture longe le trottoir. L’homme, lui, n’a toujours rien compris.
J’ai adoré ce moment dans la rue. Il a considérablement changé ma vie. Avant j’étais seul et triste. Seul je le suis toujours, mais beaucoup moins triste. Dès qu’on se retrouve sans personne dans le local, sans compter les fois où je passe chez elle, je saute sur Bernadette. Elle n’est plus de la première fraîcheur, mais elle adore le sexe et me fait profiter de sa longue expérience, qui me fait me sentir un quasi puceau.