Après cette journée bien remplie, la nuit fut reposante.
Le lendemain matin, après un solide petit déjeuné, Norbert parti au travail. Albert était resté avec nous. Il commençait à nous reluquer, il avait sorti sa bite en pleine forme et nous regardait avec des yeux pleins d’envie. Marie France était prête à céder.
– Non ma chérie, lui dis-je, il faut nous préparer nous avons plein de choses à faire aujourd’hui, il n’a qu’a se branler s’il a trop envie.
Direction la salle de bain. Douche.
– Viens Marie-France je vais t’épiler le minou.
Elle protesta, pour la forme, mais fini par céder.
Je l’installais confortablement sur une serviette, lui mit de la crème dépilatoire sur le pubis, autour de la chatte, je la fis se retourner et lui enduisis le tour de l’anus.
Quand tout fut sec je tirais sur la pâte, elle poussa un cri de douleur, mais c’était fait.
Je lui montrais l’effet devant le miroir.
– Tu vois comme tu es belle, toute lisse, on a envie de te bouffer la chatte.
Au cri que Marie-France avait poussé, Albert s’était précipité derrière la porte.
– Qu’est-ce qui se passe ?
– Ce n’est rien ne t’affole pas.
Je demandais à Marie-France :
– Tu veux qu’il vienne voire ta chatte ?
– Oui, mais je veux qu’il t’encule
– On n’a pas le temps
– Dis oui, fait moi plaisir. Pendant qu’il t’enculera tu me suceras la chatte.
– OK
J’ouvris la porte.
– Regarde ta Marie-France, cette belle petite chatte toute lisse. Elle a quelque chose à te demander.
– Je veux que tu encule Danielle.
Surpris, Albert la regarda, puis se décidant
– Ok mais viens me préparer.
Et il lui tendit sa bite. Marie-France avait compris, elle s’en empara, et entrepris de la sucer pour l’emmener à bonne dimension. Quelques aller-retour suffire. Albert était si heureux de sentir les lèvres de Marie-France sur sa bite, alors qu’elle avait toujours refusé de le sucer, qu’il faillit jouir.
Mais ce n’étais pas le but de la manœuvre.
Marie-France s’installa sur la serviette, cuisses largement écartées, elle m’offrait sa moule, déjà luisante de mouille.
A genoux, je m’inclinais sur cette chatte offerte, le cul cambré, les cuisses écartées. J’entrepris de bouffer la moule de Marie-France, ma langue s’insinuait dans les replis de son con, lui écartant les lèvres, buvant sa cyprine, je mordillais son clito qui bandait.
Pendant ce temps, Albert s’était installé derrière moi. Il présenta son gland devant ma rosette. Il dû forcer un peu, il y avait si longtemps qu’il m’avait enculé qu’il eut un peu de mal à franchir l’anneau. Mon cul céda, et toute la bite m’envahit, me procurant un sentiment de plénitude. Je l’attendais depuis longtemps, cette grosse pine, enfin je la retrouvais. Albert entrepris de me ramoner les entrailles. Marie-France s’était redressée sur les coudes pour voire mon cul envahit par la bite de son mec.
– Il ne te fait pas mal ?
– Oh non, j’adore ma chérie, si tu savais comme c’est bon de se sentir envahit par un tel morceau. La bite de Norbert c’est de la rigolade à côté.
– N’en profite pas pour m’abandonner, suce-moi.
La petite salope y avait pris goût.
A ce rythme-là, Albert ne tarda pas à lâcher la purée, provocant ma jouissance. Sous mes coups de langues, Marie-France me suivit de près.
Après cet intermède, nous finîmes de nous préparer, et nous sortîmes de la maison. Malgré son insistance, Albert ne put obtenir de nous accompagner, ni savoir où nous allions.
Pour faire ce que je voulais faire, nous n’avions pas besoin de nos mecs.
La phrase d’Albert lors de notre soirée de réveillon me trottait dans la tête. Vous vous souvenez ?
A ma demande, étonnée de l’absence de Marie-France, il m’avait répondu que seules des salopes avaient été invitées.
Qu’à cela ne tienne, j’allais faire de Marie-France une vraie salope, pour le prochain réveillon. J’avais donc fait revêtir à celle-ci une de mes robes, très échancrée dans le dos, jusqu’aux fesses, on voyait même le début de la raie. La robe était courte, le haut très moulant laissait deviner les seins, libre, pas question de porter un soutien-gorge avec une telle robe. Le bas était plissé, ample. Pas de culotte malgré ses protestations. Marie-France était un peu plus grande que moi, donc la robe était un peu plus courte pour elle, s’arrêtant au ras des fesses.
Première épreuve. Entre la maison et le métro, il y a une grille d’aération de métro, cette grille prend tout le trottoir. Je ne sais si c’est fait exprès, mais il y a là un banc, les vieux pervers de la maison de retraite d’à côté sont installés là en permanence, attendant le passage d’une nana en jupe qui sera soulevée (la jupe pas la nana) par le souffle.
Arrivée en vue de la grille Marie-France voulue changer de trottoir.
– Pas question, ma chérie. Ces messieurs sont au spectacle, je suis sure qu’ils vont apprécier celui que nous allons leur offrir.
Dès notre arrivée sur la grille, nos jupes s’envolèrent offrant aux voyeurs notre cul nu et nos chattes rasées. Nous nous immobilisâmes un moment pour que ces braves vieux se régalent du spectacle. Ils nous ont même applaudi.
– Alors ma chérie, ça t’a plus de te faire admirer, je parie que tu mouilles.
– J’ai honte, qu’est-ce que tu me fais faire.
– T’aimes ça, j’en suis sure. Attend la suite.
Métro. Le wagon est presque vide, peut-être à cause de la présence d’une bande de jeunes, pas très rassurants. Marie-France n’était pas très rassurée. Bien qu’il y eut de la place partout, je m’installais près d’eux, à leur grande surprise.
Je me collais contre Marie-France, mes mains sur ses fesses. Je couvrais son visage de petits baisers. Elle résista au début, mais fini par se laisser faire. Les jeunes nous regardaient en souriant, ils chuchotaient entre eux.
Je m’emparais des lèvres de Marie-France, les forçais. Marie-France les tenait fermées, mais je forçais avec ma langue, elle finit par céder, mélangeant sa langue à la mienne, dans un baisé passionné.
J’en profitais pour la pousser contre le gars le plus proche. Surpris il resta les bras ballants, mais très vite il comprit que ce n’étais pas par hasard s’il se trouvait collée à une jolie fille. Sa main s’aventura sous la robe.
– Oh la salope elle n’a pas de culotte.
Il s’empara de sa chatte, Marie-France, après s’être raidie, se laissa aller, écartant même les jambes pour lui laisser libre accès à son minou.
– Putain elle mouille, elle est rasée.
Ses potes ne voulaient pas être laissés pour compte, une main s’insinua sous ma jupe.
– Celle-là aussi est cul nu, et elle mouille aussi, 2 vraies salopes.
Mais nous étions arrivées, ils nous fallaient descendre.
Nous étions à Pigalle. J’avais décidé d’aller dans un sexe shop, pour choisir des dessous pour Marie-France, et lui faire découvrir les glory hole.
Nous sommes dans le sexe shop. Le patron me fait la bise, comme d’habitude. Je suis connue ici. Les filles me disent bonjour, elles attendent les clients pour aller faire leur show.
J’entraine Marie-France à l’étage des fringues. D’abord quelques jupes très courtes qui n’en montrent plus qu’elles ne cachent, des hauts très décolletés. Puis les guêpières, une seins nus, bien sûr, plutôt une qui offrait les seins, comme sur un plateau, qui encadrait la chatte, des jarretelles pour les bas, un laçage très serrés pour faire cambrer les reins, et offrir le cul.
J’ai trouvé le modèle idéal. Je demande à Marie-France de se déshabiller pour essayer la guêpière.
Elle cherche une cabine.
– Mais non ma chérie, ici pas de cabines d’essayage. Tout le monde doit profiter du spectacle.
Après quelques secondes d’hésitation, elle fait passer sa robe par-dessus sa tête. Exclamation, nos voisins de métro nous avaient vraisemblablement suivis. Ils étaient tous là. Marie-France essaya de se cacher, mais je l’en empêchais. Je lui fis passer la guêpière, positionnant ses seins, puis je me mis derrière elle pour lacer l’engin. Elle était offerte aux regards des jeunes gars qui n’en perdaient pas une miette. Le laçage s’avérait difficile, je fis donc appel à un des voyeurs pour m’aider, il s’empressa de me rejoindre, il finit le laçage de la guêpière en serrant au maximum.
Marie-France put enfin se voir, ses seins pontaient, les tétons gonflés et durcit, la chatte encadrée par le bas de la guêpière, le cul cambré, je lui fis enfiler des bas pour terminer.
Elle était bouche bée devant le miroir. Je l’entrainais
– Vient je vais te faire découvrir les glory hole.
J’avais parlé assez fort pour que tout le monde entende.
Nous sommes arrivées dans la pièce destiné à cet usage. Marie-France, étonnée regardait autour d’elle.
– C’est quoi ces trous dans le mur ?
Me demandât-elle.
Attend, tu vas voir. Nous n’attendîmes pas longtemps. Les bites commencèrent à pointer. Marie-France regarda étonnée.
– Fait comme moi.
Je m’approchais de la première bite que je saisis, puis après l’avoir léchée sur toute la longueur, je l’engloutis.
Marie-France me regardait, toute étonnée.
Je lâchais ma bite :
– Vas-y, tu vas voir tu vas adorer.
Alors elle se laissa convaincre. Ce fut orgiaque, nous sucions les bites une après l’autre, avalant des litres de foutre. Marie-France n’était pas la dernière. Je jubilais. Elle avait une âme de salope, comme moi.
La dernière bite s’était retirée. Nous descendîmes, le patron était là, très content.
– Vous revenez quand vous voulez les filles.
J’avais une dernière chose à offrir à Marie-France. Je filais dans les rayons à la recherche de l’objet désiré. Je le vis enfin. Un plug anal, de bonne dimension, orné d’une pierre magnifique à la base.
Je retournais vers la caisse où Marie-France m’attendait. Elle regardait le plug, étonnée,
– C’est pour toi ma chérie, il faut t’élargir.
Le patron a tenu à lui mettre lui-même. Il fit mettre Marie-France à genoux dans la boutique, devant tout le monde, les quelques clients qui étaient là s’approchèrent. Marie-France essaya de protester, mais il lui dit :
– Après ta démonstration dans le glory hole tu ne vas pas jouer les timides.
Alors elle céda.
Le patron lui appuya sur les épaule pour la pencher vers l’avant.
– Ecarte les fesses.
Elle s’exécuta, ouvrant ses fesses à deux mains, cuisses écartées, offrant une magnifique vue sur sa chatte et son cul. Le patron présenta le plug sur la rosette, il l’enfonça. Lorsque l’engin arriva à la partie la plus renflée, Marie-France lâcha un petit cri, mais, trop tard, le plug était bien en place, et une magnifique pierre ornait le cul de Marie-France. Je voulus payer, mais le patron nous a offert nos achats.
Marie-France voulait absolument payer. On n’est pas des putes disait-elle. Mais je l’ai convaincue d’accepter.
– Aller viens. Nous allons un peu nous amuser.
– Ou vat-on ?
– Danser, t’aimes ça ?
– Oui, mais on n’est pas un peu nue pour ça.
– Ne t’en fait pas, on ne va pas te le reprocher ?
In petto je pensais « au contraire ».
Dans le métro, cette fois, Marie-France ne faisais rien pour éviter mes baisés. Elle commençait à prendre goût au faite de s’exhiber. Sa robe courte ne la gênait plus, elle n’avait plus peur de montrer son cul, même avec le plug.
Nous débarquâmes à Barbes. Je l’entrainais dans vers la boîte antillaise où isabelle m’avait emmenée.
Marie-France était un peu affolée, ces rues étroites où un tas de mecs désœuvrés nous regardaient passer, en silence lui faisaient un peu peur.
– Ne t’affole pas, il ne t’arrivera rien.
Elle n’était pas convaincue.
Nous arrivâmes devant la porte de la boîte.
– Ecoute ma chérie, si tu acceptes de rentrer dans ce club, tu dois faire tout ce que l’on te demande, et accepter tout ce que l’on voudra te faire. Sinon, nous repartons à la maison, mais, crois-moi, tu le regretteras. D’accord ?
– C’est quoi ce club, qu’est-ce que l’on va me faire, ou me demander ?
– Que du bien, crois-moi.
Elle hésita une seconde, puis acquiesça.
Je frappais à la porte, l’œilleton s’ouvrit, puis la porte.
Le videur, un magnifique black de 2 mètres me pris dans ses bras et me roula une pelle, non sans glisser sa main sous ma jupe.
– Salut ma chérie, c’est gentil de venir nous voir. Je vois que tu es toujours prête. Tu nous amène une copine ?
– Oui, elle a hâte de s’amuser.
Le videur s’approcha de Marie-France.
– Mignonne la petite, elle a déjà vue des queues de black ?
Marie-France fit non de la tête. Alors Ursule (c’est son nom, ne riez pas) déboutonna sa braguette et sortit sa bite. Bien qu’encore au repos, elle faisait bien trente cm avec un gland très imposant.
Marie-France en resta bouche bée.
– C’est bien, ta bouche veut y goûter, vient me sucer.
Elle me regarda affolée, un petit signe de tête, et elle se laissa tomber à genoux, s’empara de la bite et essaya de l’emboucher. Elle eut un peu de mal, mais comme moi, elle avait une bouche de suceuse et elle réussit à avaler une bonne partie de ce morceau de reine. Après quelques mouvements de vat et vient, Ursule se retira.
– C’est bien, tu peux rentrer, mais avant…
Il lui ouvrit le chemisier, mettant sa poitrine à l’air, puis glissa sa main sous la jupe.
– Bien pas de slip, la chatte humide et ouverte, et un cul préparé pour la sodomie. On vat bien s’amuser.
J’entrainais Marie-France dans la salle. A part une ou deux nana, blanche comme nous, il n’y avait que des mecs, une quinzaine, tous black.
– Alors tu regrettes d’être entrée ?
– J’ai un peu peur, s’ils sont tous montés comme le videur, ils vont nous défoncer.
– Et tu vas aimer, tu vas voir, mais pour l’instant on danse.
J’entrainais Marie-France sur la piste. Une musique langoureuse et sensuelle était diffusée. Je pris ma cavalière dans mes bras, la serrais contre moi. Sa poitrine frottait contre ma poitrine, je la sentais toute molle dans mes bras, ma bouche chercha la sienne, ma langue força ses lèvres, nos langues se cherchaient, s’enroulaient, se caressaient, se suçaient.
Marie-France s’abandonnait. Hier encore c’était une jeune fille timide, aujourd’hui, elle s’abandonnait à ses envies, elle laissait parler son tempérament, un tempérament de chienne. Elle était prête à baiser. Elle ne le savait pas encore, mais ils allaient tous la prendre, la baiser, l’enculer, lui cracher leur foutre partout. Mais il fallait d’abord que le patron arrive, et qu’il la baise en premier.
Jusque-là, les mecs n’avaient que le droit de toucher, ou de me baiser moi.
Deux gars se sont approchés. Ils nous ont séparé.
– Alors salopes ont est venues goûter aux belles queues noire.
Mon cavalier me serrait dans ses bras, je sentais sa bite appuyer sur mon ventre. Ma poitrine nue frottait sur son tee-shirt. Mes seins bandaient, ma chatte s’ouvrait, elle coulait. Je frottais mon ventre sur sa bite.
– T’as envie d’une bonne queue dans ta chatte.
– Oui, défonce moi.
Mon cavalier m’entraina vers une chaise, il s’assit, je me mis dos à lui, enjambais ses cuisses, il a sorti sa bite, de belle taille, il la présenta à l’entrée de ma cramouille, je me laissais descendre, tout doucement, Je voulais sentir sa queue m’ouvrir, me remplir. C’était extraordinaire. Je retrouvais enfin la sensation d’être pleinement remplie, prise.
Le cavalier de Marie-France l’avait tourné vers moi.
Je l’entendais lui dire :
– Regarde ta copine se faire défoncer. Elle aime ça les grosses bites de black. Elle vient toutes les semaines pour se faire mettre par tous les présents.
Marie-France me regardait, le regard exorbité. La vue de cette bite de cheval pénétrant ma chatte la laissait sans voix.
Son cavalier continuait :
– Bientôt c’est toi qui va recevoir toutes ces belles bites dans ton cul et dans ta chatte.
– Non pas dans le cul, vous êtes trop gros, ça va faire mal.
– Mais non, regarde ta copine.
Pour lui montrer, mon baiseur me souleva, il présenta son gland devant mon œillet, il me laissa descendre.
Le gland força ma rosette, puis je sentis mon cul s’élargir, le gland força le passage et tout le mandrin suivit.
J’étais envahie par cette bite, je jouissais sans qu’elle ne bouge. Le seul fait de la sentir en moi, de me sentir remplie de la sorte, déclenchait mes orgasmes.
Marie-France n’en pouvait plus, la démonstration l’avait convaincue.
Elle réclamait de la bite.
Le patron est enfin arrivé.
Tous les mecs se sont écartés, laissant Marie-France seule au milieu de la piste. La poitrine à l’air, la jupe enlevée, elle regardait s’avancer l’homme à qui elle était offerte.
2 mètres de haut, une carrure de lutteur, Marie-France, avait l’air d’une poupée. Poupée qui allait bientôt être la proie du géant puis de tous les autres blacks présents.
Le patron sortit sa bite. Marie-France en resta bouche bée. Elle était plus grosse que celle de mon baiseur.
– A genoux, offre-moi ta chatte.
Marie-France s’agenouilla, Elle se pencha en avant, collant sa joue parterre. Elle écarta les cuisses, sa chatte béante et luisante de mouille était visible pour tout le monde.
Elle avait dépassé le sentiment de honte qui l’habitait quand je l’exhibais. Elle avait trop envie de se faire baiser.
Le patron s’agenouilla derrière elle, il présenta son gland devant la cramouille et s’enfonçât lentement dans la vulve offerte.
Marie France gémissait en permanence au fur et à mesure que ce piston envahissait sa petite chatte, peu habituée à un tel calibre, malgré la belle bite d’Albert.
Quand le patron eut complètement envahi la moule, il s’arrêta quelques instants pour habituer la chatte à ce calibre. Puis il commençât ses va et vient. A chaque fois qu’il reculait, Marie-France gémissait, quand il s’enfonçait à nouveau, elle hurlait son plaisir.
Quand le patron lâchât son foutre, ce fut une longue litanie de cris de plaisir.
On lui ordonnât de garder la position. Les hommes se sont succédés dans sa chatte, provocant orgasme sur orgasme. Puis, le patron revint. Il me présentât sa bite.
– Suce, prépare-moi bien, je vais l’enculer.
Je m’exécutais. Avec beaucoup de mal. La bite énorme m’écartait les mâchoires. Pendant ce temps une autre nana préparait Marie-France en lui léchant la rosette.
Le patron était prêt. Il se positionna derrière sa victime consentante. Le gland sur la rosette, il forçat doucement.
– Pousse comme si tu avais envie de chier, tu vas voire, ça va passer.
Marie-France s’exécuta, le gland franchit l’obstacle, toute la queue a suivi, envahissant les intestins de Marie-France. Celle-ci avait le souffle coupé. Le baiseur commençât ses aller-retour. Après quelques gémissements de douleur, Marie-France commençât à jouir. Ses hurlements n’étaient plus de douleurs, mais de plaisir. Le patron lâcha son foutre dans le fondement de Marie-France, puis il céda la place aux autres mecs.
Après avoir été enculée par tous les hommes présents, Marie-France en titubant se jeta dans mes bras.
– Oh merci, merci. Je n’ai jamais joui autant.
Nous rentrâmes à la maison. Le cul et la chatte béante.