Masturbations ou le sexe à la force du poignet partie 2

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frederic mancini


masturbationpremière foisteen


Ca s’est fait tout seul. Je caressais toujours bien sûr mon petit copain, on s’était calé sur ce jeu, et puis il y avait les autres garçons qui venaient me trouver, et qui me demandaient que je les masturber, et qui me donnaient de l’argent. Aucun n’a été à plaindre, et tous ont eu un service personnalisé…
Et puis j’ai changé de ville et d’établissement, et ça s’est arrêté là. Je m’étais fait un beau petit pactole. Comme je l’ai dit plus haut, une partie est partie dans les finances de mes parents et j’ai mis le reste de côté pour mes études, car je voulais sortir de la mouise dans lequel nous vivions. J’étais la première de ma classe, et j’envisageais de faire des études supérieures. Ca m’a permis, le moment venu, j’avais ouvert un compte grâce à un ami à moi, majeur, de me payer des livres, et de compléter ma bourse. J’ai même pu m’acheter un véhicule d’occasion bien pratique. Ma mère s’est posé des questions, mais j’étais majeure.
Dans les premiers temps, en contraste, il n’y a pas eu de sexe dans ma vie.J’étais littéralement obsédée par mes études. Et pourtant, je gardais un souvenir ébloui de ces heures passées à caresser des garçons, leurs queues dans ma main, leur jouissance. En fait je gardais des traces infimes, la taille, en évolution, de leur sexes, leur chaleur, la texture de leur peau, leur jouissance, particulière à chaque homme, des cris, du silence, beaucoup de sperme, peu, une jouissance brève ou plutôt longue. J’aurais voulu retrouver ça, ce sentiment unique d’être la maitresse du jeu, mais aussi le plaisir que ça me procurait. j’en étais arrivée à jouir sans même me toucher, quelque chose de complexe, de physique, mais aussi de cérébral.
Je me demandais même si j’étais capable de basculer sur une sexualité plus normale…A vrai dire, je n’ai pas vraiment eu l’occasion de me poser la question, car tout a été dans le même sens…
J’ai eu mon diplôme avec une mention très bien. Après, je voulais faire des études de compta et de droit en parallèle. Ca signifiait beaucoup de travail.
J’ai fait la connaissance de Brian dans le hiatus entre les deux années d’études. Comme je voulais économiser au maximum pour mes études, précisément, j’avais fait la choix de ne pas partir en vacances. J’accompagnais une colonie de vacances pendant trois semaines, et je restais à la maison les cinq semaines qui restaient. Je voulais en profiter pour réviser, et apprendre de nouvelles choses. Mes parents eux, partaient pour trois semaines, au moment où j’étais là, des résidences sociales à bas prix.
J’ai rencontré Brian pas loin de chez moi. Il était dans ma rue, un peu plus haut, plongé sur son moteur. Son véhicule avait calé, et ne voulait pas redémarrer. Je me suis arrêtée, et j’ai jeté un coup d’oeil au moteur.
—Je pense que vous devriez changer les bougies.
Il a relevé la tête, et j’avoue que j’ai eu un coup de foudre. Il avait un très beau visage, et j’ai apprécié son regard, teinté d’ironie, mais une ironie qui n’était en rien méchante.
—Vous vous y connaissez?
—Plus que vous ne pouvez le croire.
J’ai contourné la voiture.
—Normalement vous avez un kit dans le coffre. Je peux regarder?
—Allez-y, moi de toute façon, je suis largué.
J’ai changé les bougies et je me suis installée au volant. Il était à côté de moi, et je me suis rendue compte qu’il regardait non seulement mes mains sur le volant, et le démarreur, mais également ma robe d’été qui, si elle m’arrivait après le genou, était fendue très haut, et lui dévoilait donc ma jambe mais aussi ma cuisse. Je me suis sentie rougir.
On a souvent des déceptions dans la vie, et je crois bien qu’il a été déçu de voir que moi, une fille, j’avais été capable de faire redémarrer son véhicule.
Je suis descendue de la voiture, après avoir à nouveau coupé le contact.
—Voilà, je suis heureuse d’avoir pu vous dépanner.
—Ecoutez…Je vous remercie…J’embauche dans dix minutes, et je peux vous jurer que mon patron n’apprécie pas qu’on soit en retard. Je travaille dans la com. On réalise de la promo pour des entreprises.Je voudrais vous inviter à diner. Vous pensez que c’est possible?
—Ne vous sentez pas obligé. J’ai fait ce que j’aurais fait pour tout le monde.
Pourtant, je sentais bien que sa démarche est sincère, et qu’il ne cherchait pas à me draguer. Non, il voulait vraiment me remercier. J’allais m’éloigner, je me suis retournée.
—Très bien, de toute façon, en ce moment je suis libre tous les soirs. Vous voyez le petit pavillon, là, le numéro 26? Je vous attends devant ce soir. 10 heures, ça vous va?
—Parfait.
Il est bien venu me chercher le soir même, et il m’a invitée dans un restaurant du centre ville. Je ne m’attendais pas vraiment à passer une bonne soirée, et je craignais une drague lourde, mais il n’en a rien été. Assez ironiquement, d’ailleurs, s’il avait pas l’intention de me faire des avances, mais simplement, et sincèrement, de me remercier. Et j’ai senti le moment où on allait se séparer sans que rien ne se soit passé. C’était vrai qu’il me plaisait, il avait vraiment pas mal de charme, de l’humour, et surtout, j’avais envie de nouer une relation amoureuse, après un long moment de disette. J’avais masturbé des dizaines de queues, et pourtant je n’avais jamais vraiment eu de rapports sexuels.
—Il n’y a personne à la maison, si tu as envie qu’on aille chez moi, c’est tout à fait possible, je lui ai proposé, alors qu’on quittait le restaurant.
Il m’a regardé.
—Si je t’ai proposé qu’on aille au restaurant, c’était vraiment pour te remercier, pas parce j’espérais qu’on finirait la soirée au lit.
—Tu as une fiancée?
—Pas en ce moment. Mais je trouve que c’est un peu tôt, on se connait à peine, pour se retrouver au lit.
Vous connaissez l’expression ‘Chassez le naturel, il revient au galop.’ Il y avait des choses que j’avais en moi, qui y étaient ancrées. Plus que de faire l’amour, ce qui me manquait sans doute, c’était de ne plus pratiquer ce qui était mon savoir-faire le plus absolu. Peut-être qu’au-delà de lui faire plaisir, je voulais lui montrer que je ne savais pas que réparer des moteurs, mais aussi bien masturber un garçon.
—Je peux quand même te faire plaisir. Viens, on monte dans ta voiture.
Il ne voyait pas vraiment bien où je voulais en venir. Il n’a compris que quand j’ai défait son pantalon, le bouton qui le tenait, la fermeture-éclair, que j’ai descendu son caleçon et mis à nu une queue qui n’avait pas encore eu le temps de bander. Il a été un rien surpris, mais il n’a rien dit. J’ai attrapé sa queue, et je l’ai masturbée doucement. Je me suis retrouvée quelques temps en arrière. Son sexe s’est mis à gonfler et s’allonger dans ma main. Dans les premières secondes, j’ai craint de ne pas retrouver mon habileté, mais celle-ci est revenue très vite. Son sexe est très vite devenu dur, pas très long, mais très épais, avec un gros gland qui faisait saillie. Une queue parfaite pour des caresses. Je m’en suis donné à coeur joie. Je m’étais laissé pousser un peu les ongles, je les avais vernis, et, après l’avoir caressé de la main et des doigts,  je suis venue le parcourir doucement de mes ongles, le long de sa queue, sur ses couilles, et sur son gland, qui suppurait. Il se laissait faire, et il semblait  réellement éprouver du plaisir, un plaisir qui s’est mis, à partir d’un plateau, à réellement prendre de l’ampleur. Il a joui en crachant de multiples jets de sperme qui sont partis dans tous les sens.
Il a poussé un petit soupir.
—Tu caresses vraiment très bien.
Je n’avais pas perdu la main. j’étais soulagée qu’il m’en fasse le compliment.
On s’est revus plusieurs fois dans les jours qui ont suivi. On se plaisait et on s’entendait bien. J’ai compris que je devais absolument renoncer, si je voulais le garder, à cette pratique qui m’obsédait, et à laquelle j’aurais aimé m’adonner constamment. Je n’aurais d’ailleurs pas du, ce soir-là, le caresser, car ça m’avait donné envie de reprendre cette pratique, de l’améliorer, et ça avait fait naître en moi la frustration d’avoir quand même, je devais bien le reconnaître, perdu dans ma pratique.
J’avais envie de me tourner vers la normalité, et d’avoir des rapports plus communs. D’autant qu’aucun garçon ne m’avait encore jamais pénétrée. Il ne se rendrait d’ailleurs pas compte que j’étais encore vierge, car j’avais perdu mon hymen en faisant de la danse. J’avais pratiqué pendant trois ans, et une tentative de grand écart m’avait déclenché une douleur et un saignement dont j’avais bien compris le sens.
Ce qui m’a aidé, certainement, c’est qu’il y a en chacun d’entre nous une sorte d’instinct qui nous pousse tout naturellement vers les bons gestes, les bons mouvements, même si on n’a que peu d’expérience. On avait pris ce rythme de sortir ensemble tous les soirs, on allait manger à l’extérieur, et puis il venait chez moi, puisqu’il n’y avait que moi, encore pour deux semaines.
Le deuxième soir, déviant totalement de mes pratiques, j’ai décidé de lui faire une fellation. C’est venu tout seul, et j’y ai mis tout mon coeur, me rendant compte que, si je réussissais les masturbations, je m’en sortais plutôt pas mal pour caresser un sexe d’homme avec ma bouche. Je me suis dit que ça serait bien d’introduire des variables dans mes moments de masturbation, et de rajouter des caresses buccales.
Quand il a été bien dur, j’ai attrapé un préservatif, tiré de la boite que j’avais achetée l’après-midi, et je l’en ai gainé. Il avait une belle queue, bien longue et bien dure, exactement le genre de queue dont une fille pouvait rêver, même si à la base, j’aurais souhaité m’en servir sans doute plus pour le caresser dans ma main, et le faire jouir, que pour autre chose.
Je suis venue me positionner au dessus de lui, il était positionné sur le canapé, et je suis descendue sur lui, tenant sa queue pour l’ajuster au milieu de mes lèvres. Le sentir glisser en moi, son sexe frottant contre mes muqueuses, me remplir, son gland venir taper contre mes muqueuses m’a procuré un plaisir intense, je ne le nierai pas. Et ça a été aussi le cas quand il m’a attrapé par les hanches et qu’il m’a fait monter et descendre sur son sexe en pleine érection. On a eu beaucoup de plaisir tous les deux, et j’ai joui, certainement aussi fort que lui.
Dans les deux semaines qui ont suivi, j’ai un peu fait les gammes de tout ce qui peut se faire en matière de sexe. Et j’y ai pris du plaisir. Je savais pourtant, au fond de moi, que ce que j’aimais fondamentalement, c’était autre chose et que si on me donnait le choix entre toutes les pratiques, ce que je préférais, c’était jouer manuellement avec le sexe d’un garçon.
Il s’en est vite rendu compte, car il m’a dit :
—Finalement, ce que tu préfères, c’est avoir des queues d’homme dans ta main, non?
On était devenus suffisamment proches pour que je puisse lui raconter comment j’avais débuté ma vie sexuelle.
Je craignais qu’il ne me condamne, mais ça a été tout sauf cela. Il m’a dit simplement:
—Tu sais, on peut très bien faire l’amour d’une manière classique, et puis, quand tu as envie, basculer sur ce que tu aimes…
C’est comme ça que je me suis mise à caresser sa queue régulièrement. Il s’est d’ailleurs mis à apprécier énormément.
—C’est vraiment très bon ta main sur ma queue…C’est vrai que tu as un don pour ça.
Ce dont je rêvais, à présent, c’était d’avoir autant de queues que possible à ma disposition pour pouvoir m’entrainer dessus, les caresser en expérimentant plein de techniques différentes, comme un pianiste qui fait ses gammes. En même temps, je ne voulais pas le tromper. Et puis, j’ai eu une occasion inespérée.

 

 

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