J’ai démarré par un BTS de comptabilité, avec l’intention d’en faire un deuxième par la suite. On était 23, très exactement, et j’ai sympathisé très vite avec Paulette, une grande blonde avec un très joli visage qui avait beaucoup de charmes et des formes très marquées qu’elle mettait en valeur de manière souvent impudique. A elle les pantalons moulants, les décolletés qui offraient les deux-tiers de ses seins, les micro-jupes et les robes fendues très hauts… C’était le genre de fille sur laquelle les regards se portaient, et restaient collés.
Elle est venue s’asseoir à côté de moi le premier jour, et on a tout de suite sympathisé. Elle était chaleureuse, exubérante et très franche, parlant de tout, y compris de sa vie amoureuse et sexuelle avec un manque de pudeur qui pouvait parfois se révéler gênant. Je ne sais pas trop bien comment expliquer qu’elle et moi on ait pu se rapprocher, sauf peut-être par le fait que nous étions radicalement différentes. Les contraires s’attirent, comme on dit.
Elle avait une passion sans limites pour le sexe, et en l’accompagnant, pendant les cours, mais aussi, comme une certaine amitié était née entre nous, en dehors, j’ai très vite été témoin de scènes qui auraient mérité beaucoup de pudeur, mais pas pour elle.
Un soir, par exemple, on venait de quitter l’établissement, elle m’avait proposé de me déposer chez moi, mais elle m’a dit:
—Avant, j’ai quelque chose à faire. Ca te dérange pas?
Le bahut où nous étions inscrites était à T… Elle et moi, nous étions sur la même route, moi à 20 minutes et elle devait faire 20 minutes de plus pour aller chez elle.
—Non, aucun souci. J’ai le temps.
Ca n’était pas tout à fait vrai, parce que trois soirs par semaine je faisais la serveuse dans un restaurant pas loin de chez moi pour gagner un peu d’argent, et je voulais réviser avant, mais je ne voulais pas la contrarier. Elle était déjà assez sympa de me ramener.
Elle s’est arrêtée à R… un des villages sur la route. A l’entrée, près d’un mini-centre commercial dont les trois magasins étaient fermés en ce jour. Je me suis demandé ce qu’elle attendait.
Elle avait totalement baissé la vitre. Deux jeunes de nos âges sont arrivés. Il y en avait un qui perdait déjà ses cheveux et qui essayait de le masquer, et l’autre avait une casquette en travers sur la tête, sans doute pour se donner un style. Celui avait la casquette a sorti un billet de 20 euros de sa poche, et l’a tendu à Paulette. Elle l’a glissé dans son sac à main pendant que les deux garçons sortaient leur queue de leur pantalon. Paulette s’est tournée vers moi.
—Tu en veux une, ou je me fais les deux?
Je me suis sentie rougir. Pourtant avec le passé que j’avais…
—Il vaut mieux que ce soit toi.
Elle n’a pas masturbé les queues durcissantes, elle les a travaillé de la langue et de la bouche. Avec habileté, c’était incontestable, on comprenait bien que ce n’était pas la première fois qu’elle faisait une fellation. Bientôt, elle a eu devant elle deux queues en pleine érection, bien dures même si elles avaient un aspect différent. Elle les a fait jouir de la même manière, en venant caresser leurs couilles de sa bouche, baladant la langue dessus ou les gobant. L’un puis l’autre, ils ont libéré leur semence en traits épais qui sont partis à l’extérieur, mais aussi à l’intérieur de la voiture, mais aussi dans la chevelure épaisse de Paulette, qui en a semblé ravie.
On a repris la route.
—J’espère que je ne te choque pas?
—Pourquoi je serais choquée?
—J’aime le sexe, et c’est bien de mélanger l’utile à l’agréable. Ca me permet de ne pas avoir à faire de petit boulot.
Quatre soirs par semaine, on finissait à 17 heures, et on partait ensemble. J’ai découvert cet autre aspect de sa vie. Selon les jours, elle s’arrêtait dans l’un des petits villages qui étaient tapis le long de la nationale, et elle se garait sur le côté, bientôt rejointe par un ou deux clients qui lui donnaient de l’argent en échange de sexe, un rapport tarifé, comme on dit, mais auquel elle prenait visiblement beaucoup de plaisir. C’était souvent des fellations, les hommes adorent ça, mais pas que. D’ailleurs, ça me troublait énormément. J’avais envie de me toucher en les regardant, ou même d’avoir recours à ma vieille technique, mais je me retenais parce que je ne voulais pas jouir devant elle.
L’un des moments qui m’a le plus troublé, ça a été quand un type un peu plus âgé est arrivé, et lui a tendu un billet de 50. Elle s’est glissé hors de la voiture, et elle s’est appuyée contre le mur qui séparait un garage d’une zone en friches au bord de laquelle nous nous étions arrêtés. J’ai tout vu, ils étaient juste là.
Paulette, sous ses robes et ses jupes, mettait souvent des collants sans culotte, de sorte que sa chair était visible. Elle a roulé sa jupe courte à sa taille et elle a exhibé sa chair que je n’avais jusqu’alors que partiellement vue. Elle avait un corps charnu et très appétissant, le genre de corps qui me faisait envie, moi qui étais plutôt menue. Une croupe ronde et pleine, coupée en deux par un sillon profond, des cuisses fermes… En bas de sa croupe sa vulve était bien visible, gros bourrelet de chair boursouflée. J’ai eu la preuve que ces situations l’excitaient, car, en quelques secondes, son sexe s’est ouvert, ses lèvres sont sorties, ont commencé à se dilater, et ses sécrétions vaginales à sourdre d’elle, se manifestant en partie par des filaments qui se sont mis à pendre de ses lèvres.
Comme elle n’était pas dans la voiture, et témoin de mes émois, j’ai pu me laisser aller à serrer mes cuisses l’une contre l’autre, comme je l’avais fait en d’autres temps, pour accompagner la montée de ma jouissance. Mon sexe n’était pas si différent du sien, gonflé, ouvert, là où il avait sans doute une différence, c’était que je mouillais sans doute plus qu’elle. Ca commençait à couler dans mes aines, et je savais que ça allait se voir sur mon jean. Mais c’était la situation qui voulait ça.
Je crois bien que je n’avais jamais vu une queue comme celle que le type a exhibé. Elle était déjà en pleine érection quand il l’a extirpée de son pantalon. Elle était longue et épaisse, mais j’avais déjà vu des queues comme cela. Ce qui m’a frappé surtout, c’est qu’elle n’était pas rectiligne, mais qu’elle ressemblait un peu à un cep de vigne, noueuse, avec des bosses et des creux. Une maladie? Ca lui donnait un aspect bizarre, mais cependant excitant.
Paulette devait déjà la connaître, parce qu’elle avait tendu la main en arrière, et elle l’avait caressée, sans sembler éprouver une quelconque répugnance. Le type avait avancé jusqu’à elle, sur elle, et elle l’avait guidée vers sa vulve, après qu’il se soit enveloppé d’une capote. Elle avait d’abord fait frotter sur ses lèvres. Ses sécrétions vaginales avaient coulé dessus, et l’avaient lubrifiée. Le jus avait coulé le long de la queue. Le type avait alors poussé pour rentrer en elle. J’avais regardé avec une fascination sans doute vicieuse, mais bien humaine, la queue s’enfoncer entre ses lèvres jusqu’à être totalement avalée. C’était terriblement troublant de penser qu’elle avait un membre de cette taille dans le ventre. Il est vrai qu’un vagin, c’est très élastique.
Emporté par son envie, il s’est mis à la besogner, faisant aller et venir sa verge en elle à des rythmes différents. Le type avait l’air d’être dans une sorte de transe, et sa queue grossissait encore dans la vulve de la jeune femme. Mais elle n’était pas en reste, elle aussi, appuyée contre le mur, son cul poussé vers lui, toute frémissante. On voyait bien qu’elle ne se forçait pas, et qu’elle était vraiment heureuse d’être fouillée par cette queue dilatée.
Le type a arraché le préservatif dont il s’était gainé, et il a joui. Son sperme a jailli et arrosé la croupe charnue de Paulette, qui a glissé sa main entre ses cuisses et s’est masturbée pour se faire jouir, elle aussi, une jouissance qui est venue très vite, sans surprise, vu son excitation. Ca a été curieux parce qu’elle a lâché une trombe de liquide, comme si elle s’était pissée dessus, ce qui n’était évidemment pas le cas, liquide qui a frappé le sol.
Elle a remonté son collant sans se nettoyer, gardant les marques du sperme sur elle, pendant que l’homme rengainait sa queue et s’éloignait.
Ce qui m’a décidé à m’engager, à m’investir, ça aura été plusieurs raisons. La première, c’était que j’ai pensé que c’était une occasion exceptionnelle de masturber de manière extensive des hommes, d’éprouver ce plaisir que rien ne remplaçait, mais aussi de lui prouver que je n’étais pas l’oie blanche qu’elle pouvait penser que j’étais, même si elle n’avait jamais fait de réflexion en ce sens.
A force je connaissais tous ces petits villages. Elle n’avait pas de planning régulier, c’était surtout en fonction des demandes j’imagine. Je me posais des questions qui n’ont eu de réponse que six mois plus tard. Elle faisait partie d’une sorte de réseau amateur qui passait par une plateforme. Des filles de la région s’étaient organisées, et proposaient leurs charmes à des clients qui se sentaient seuls.
Il s’est passé un mois avant qu’on ne retrouve ses premiers clients. C’est peut-être ça qui m’a décidé, l’idée de démarrer un nouveau cycle différemment.
Les deux gars étaient au bord de la toute, déjà présents, et ils attendaient.
—Ca te dit si je m’occupe d’eux ce soir? Je te laisserai l’argent de toute façon.
Elle a été surprise.
—Comme tu veux.
Je suis descendue de la voiture, partagée entre différents sentiments. L’envie de lui montrer que moi aussi je pouvais bien me débrouiller, même si elle n’avait jamais eu la volonté de pointer le fait qu’elle était supérieure à moi, et si elle cherchait avant tout à prendre du plaisir et avoir un peu d’argent en plus, qui lui permettait, et lui permettrait de mettre du beurre dans les épinards.
Dans la vie, il y a des moments magiques, des moments où tout se passe extraordinairement bien. J’ai sorti leurs queues de leurs pantalons, et je me suis mise à les caresser…Mes mains ont tourné sur leurs verges, avec habileté et souplesse, les faisant gonfler et s’épaissir. Paulette m’observait, je m’en rendais bien compte, et j’ai vu dans son regard qu’elle était surprise, de constater que je pouvais ainsi caresser aussi habilement. C’est une fois que leurs queues ont été gorgées de sang, bien épaisses, que j’ai vraiment joué le meilleur de ma partition, venant caresser la surface de leurs queues, frôler leurs couilles, et griffer leurs glands. Les gars se tordaient sous l’effet de mes caresses, et ils ont fini par exploser de jouissance, quasiment en même temps, en expédiant dans les airs de multiples traits de sperme qui sont partis dans tous les sens.
J’ai eu droit à ce qui s’apparentait sans doute à un compliment quand l’un des deux gars, enthousiaste, a dit:
—La prochaine fois, c’est à elle que je voudrais qu’on ait affaire.
Paulette n’a pourtant pas parue vexée. Je me suis remise au volant et on a redémarré. Un long trait de sperme restait en travers du pare-brise. J’ai mis un coup d’essuie-glaces.
—Pfff…Hé ben dis donc, tu m’impressionnes, toi tu sais…Je te voyais pas…Aussi douée on va dire…J’ai déjà branlé des garçons, mais je fais vraiment pas aussi bien que toi, et puis…Même dans ce que je préfère faire, des fellations, je suis certainement pas aussi habile que toi…
—C’est parce que j’ai commencé tôt… Et puis c’est une technique qui me plait…
—Ca se voit…
A partir de ce jour, plus rien n’a été pareil. Elle et moi, on s’est partagés la tâche. Enfin, tâche, ça suppose une obligation, alors que c’était vraiment un plaisir. Et quand je masturbais un garçon, c’était moi qui empochais l’argent. Je n’y tenais pas au début, mais elle m’avait dit:
—Non, mais tu te rends compte du talent que tu as ! Tu mériterais dix fois plus…
En route vers ses clients, on calculait notre coup. Certains soirs, elle me laissait faire, parce qu’elle était fatiguée. A d’autres, on se partageait la tâche. Je n’avais pas forcément envie de me faire pénétrer, alors je les branlais, et ils venaient dans son sexe après. Souvent, certains réclamaient que je les finisse à la main… Je nous revois encore, Paulette et moi, accroupis devant une queue que je masturbais, le sperme jaillissant, venant maculer nos visages, ou remplir nos bouches. On adorait tous les deux le sperme, son goût, on ne faisait pas ça pour faire plaisir aux garçons.
Elle avait même deux ou trois clientes féminines, mais je la laissais faire. Elle avait beaucoup d’habileté pour leur lécher le sexe, et je sentais bien que je n’étais pas capable de faire aussi bien qu’elle.
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