Masturbations ou le sexe à la force du poignet partie 5

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frederic mancini


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La dernière semaine avant les vacances, j’ai trouvé quelqu’un, un mardi soir, adossé à mon véhicule.
Il y a des filles à côté desquelles on se sent immanquablement moche. Quel que soit leur physique. Je l’ai regardée. Je n’étais pas le seul, sur le parking, il y avait une demi-douzaine de garçons qui regagnaient leur véhicule, et ils n’avaient d’yeux que pour elle.
Elle était grande, encore grandie par des escarpins avec des talons d’au moins dix centimètres. Elle avait un imper ouvert sur une simple robe noire, mi longue, en jersey sans doute, qui collait à son corps comme une seconde peau, et servait de révélateur à celui-ci. Elle était vraiment sculpturale, avec des formes pleines là où il en fallait, un corps indéniablement féminin, dans ce que ce terme peut avoir de meilleur. Elle avait aussi un visage très bien dessiné, avec des lèvres pulpeuses et de magnifiques yeux bleus, un visage qui ne devait rien à la chirurgie. Au-delà, pourtant, de ce physique parfait, ce qui émanait d’elle, c’était une extrême sensualité. Il y a des filles qu’on regarde, et qui inspirent tout de suite des fantasmes. Même quand on est une fille.
J’avais bien compris que c’était la jeune femme qui devait jouer le rôle de Paulette. Elle m’a fait un ravissant sourire et elle m’a tendu la main.
—Bonjour, je m’appelle Victoria. Je suis la hardeuse qui va tourner avec toi. Tu as cinq minutes, on va prendre un café ensemble?
Elle s’est installée à mes côtés dans mon véhicule.
—Tu n’avais pas de branlettes prévues ce soir, au moins, elle m’a demandé?
—Ben si justement. Mais j’ai un battement d’une heure.
—Ca te dirait si je t’accompagne? J’aime bien regarder. Ca me permettra de m’imprégner de mon rôle.
Mon regard a glissé sur ses jambes. Elles étaient vraiment parfaites, sublimées parce qu’elles étaient gainées par un collant. La robe n’était pas très longue, alors elle était remontée quand elle s’était installée à la place du mort. Tournée aux trois quarts vers moi, elle m’offrait, de manière volontaire ou involontaire ses cuisses, ainsi que son sexe. Sous le collant, comme pas mal de filles d’ailleurs, elle n’avait pas jugé nécessaire de mettre une culotte, et comme il n’y avait nul empiècement pour masquer ses parties les plus intimes, j’avais une vision très nette de sa chatte. Je me suis dit que je n’étais pas la première à la voir, beaucoup de spectateurs avaient du la voir aussi, après tout, elle était actrice porno, mais c’était troublant dans ces conditions, dans l’intimité d’une voiture, d’une manière érotique, qui n’avait rien à faire dans les pornos dans lesquels elle tournait, et alors que nous étions à quelques centimètres l’un de l’autre. Mon regard est resté accroché trop longtemps sans doute au double bourrelet de son sexe, de la fente duquel dépassait un morceau de lèvre. Fidèle à la mode elle se rasait n’ayant gardé qu’un petit triangle noir tout à fait minuscule.
Il y avait pas mal de cafés en ville,je me suis arrêté devant le premier venu. Quand on est rentrées, tous les regards masculins, il y avait une dizaine de personnes dans la salle, se sont accrochés à sa silhouette.
—J’ai regardé tes vidéos, a-t-elle commencé quand le serveur a eu pris la commande.
—Tu es une pro, je suis une amatrice.
—Je suis très impressionnée. Tu as un don…Tu vois, moi du porno j’en fais depuis trois ans, j’ai fait tout ce qu’on peut imaginer qu’une fille peut faire, ou qu’on ne peut pas imaginer, mais je n’ai jamais eu cette habileté que tu as, ce don pour masturber un type et le faire jouir…Tu devrais penser à une carrière pro…Même en te limitant à cette pratique, tu aurais énormément de succès. Les hommes adorent qu’on les masturbe. Je ne suis pas sûre d’ailleurs que si on leur proposait de choisir entre une caresse manuelle et de rentrer dans le vagin d’une fille, ils ne préféreraient pas la première option.
—Tu es vraiment magnifique, je vais avoir l’air du vilain petit canard à côté de toi.
—Dommage que tu penses ça. Tu as énormément de charme. Tu as un très joli visage, et un joli corps aussi. Ca s’apprend à se mettre en valeur, se maquiller, porter des vêtements qui font ressortir tes charmes. Nos équipes te guideront. Je pense que tu seras surprise.
Ce qui m’a surpris, ça a été de sentir sa main venir se poser sur mon genou, gainé par un collant, comme le sien.
—Si tu as un moment ce soir, ça te dirait qu’on fasse plus ample connaissance? Je suis sur la région pour trois jours, je vais faire un tournage demain. Tu sais avec une fille, c’est bien aussi. Tu as déjà essayé?
J’ai avoué que non, piteusement.
—En ce qui concerne le sexe, tout vient très vite. Bon, tu m’emmènes avec toi?
Le garçon est revenu.Il tenait un poster format géant à la main en deux exemplaires.
—Je vous ai reconnu mademoiselle Michaels. Si vous nous signez ces deux posters au patron et à moi, les consos sont gratuites. On a vu tous vos films et on est fans. Vous êtes aussi belle dans la réalité que sur les plateaux de tournage.
Il lui a tendu un gros feutre. Avec un immense sourire, et une belle érection qui déformait son pantalon, il l’a regardée signer les deux posters. Elle a demandé les deux prénoms, et elle a écrit Pour Ralph et Toufik, que j’espère faire bander comme moi je mouille pendant mes tournages.
J’ai fixé la queue bandée sous le tissu du pantalon, et je me suis vue caressant le membre rapidement pour le faire jouir. Une déformation sans doute. En fait, plus ça allait plus je ne pensais qu’aux masturbations que je pouvais faire. J’aimais cette vie de sexe et d’argent facilement gagné. On dit que des femmes, des professionnelles du sexe, ou des hardeuses, ne prennent pas de plaisir à ce qu’elles font, moi j’en prenais. Au point de me demander si je continuais les études au-delà de mon année de licence. J’avais envie de faire une pause et de profiter de ces moments qui en arrivaient à remplir de plus en plus ma journée. Et puis, je me faisais de l’argent très facilement, que je pouvais mettre de côté pour les études, si je reprenais, et que j’avais commencé à placer.
Elle lui a tendu les deux posters. J’ai bien cru qu’un instant, il allait lui demander une fellation ou quelque chose comme ça, mais il n’en a rien été, et on a poursuivi notre route.
Je l’ai installée dans ma petite C1, et on est partis en direction de F…, une petite ville de la banlieue de T… où j’avais pris maintenant mes habitudes.
Je me suis garée sur la placette de ce petit village qui avait vu la métropole se rapprocher sans pour autant perdre son âme. Et fin d’après-midi, il n’y avait généralement personne. Ils étaient là, autour, je ne les voyais pas, et puis ils arrivaient à plusieurs. L’un d’entre eux me tendait une enveloppe, qui contenait l’argent demandé, des petites coupures souvent, ils raclaient les fonds de tiroir, ou l’argent était issu de commerces pas très nets, et je les caressais, les faisant jouir les uns après les autres. Ca avait quelque chose du défi, mais ca m’excitait terriblement, je mouillais, plus qu’à l’accoutumée en tout cas, en les caressant ainsi. Je finissais épuisée, mais ravie, et aussi couverte de sperme.
On a attendu quelques instants, et puis ils sont arrivés.Ils étaient huit, des jeunes, avec des survêt de marque, des casquettes et l’envie d’une main sur leur queue, pour changer de la leur lorsqu’ils regardaient du porno. Celui qui était certainement leur leader, et que je ne connaissais pas, m’a tendu une enveloppe contenant les billets. Je n’ai pas vérifié. Avec moi ils étaient toujours honnêtes. Ils savaient que s’ils me dupaient, ils n’auraient pas leur branlette hebdomadaire, et ça c’était quelque chose à quoi ils tenaient vraiment.
Pourtant, ce jour-là, rien ne s’est passé comme prévu. Je suis descendue de voiture et je me suis approchée. Le gars qui s’était mis légèrement mis en avant pour que je le branle l’a soudain aperçue. Il l’a regardée, incrédule. Il l’a fixée longuement, se demandant si c’était bien elle. Il a pensé que oui, sans doute. Une expression comme je n’en avais jamais vue a éclairé son visage, une joie profonde, comme s’il venait de découvrir le Graal, et c’était un peu ça. Il s’est tourné vers les autres, et il leur a dit:
—Hé les gars, c’est Virginia Michaels.
Ca a été intéressant parce qu’aucun d’entre eux ne s’est au final de soucié de savoir si c’était véritablement Virginia Michaels, un sosie, ou quelqu’un qui lui ressemblait plus ou moins. Pour eux, c’était la star du porno  et elle allait leur donner quelque chose d’elle, peut-être du plaisir, comme moi j’allais le faire.
Le plus drôle sans doute, c’est que sa voix a porté, et que non seulement les gars derrière sont arrivés, mais également une dizaine d’autres sortis de nulle part, avec leurs queues à la main.
C’était comme si je n’existais plus. Ils sont passés devant moi et ils se sont attroupés autour de la voiture. Ca n’a pas paru décontenancer Virginia, qui devait avoir vu cent fois pire dans ses films. J’avais eu la curiosité, quelques années plus tôt, de regarder du porno sur Internet, et j’étais tombé sur des scènes de gang bang. C’était une fille avec vingt mecs. Je ne savais pas si elle avait connu ça, mais comme elle ne semblait pas spécialement farouche…
J’ai eu des images sporadiques, parce que, l’entourant, ils me gênaient en partie pour voir. Mais ce que j’ai vu n’était pas sujet à interprétation. Des images qui ont trainé en moi. Le moindre geste, le moindre mouvement qu’elle pouvait faire, était érotique et troublant. Avait-elle ça au départ, ou l’avait-elle acquis en devenant une star du porno? c’était une bonne question à se poser, en tout cas, ces images m’ont hantée. Ce qui m’a hanté aussi, par la suite, c’est ce qui s’est passé entre nous, tout ce qu’elle m’a fait, ses caresses, ses baisers. On a fait de moi une pornstar, mais je ne lui suis jamais arrivée à la cheville, même si on a voulu me faire croire le contraire. J’étais plutôt jolie, troublante si arrangée, et j’avais ce talent, qu’elle-même n’avait pas, pour masturber plus qu’habilement, mais ça se limitait là. Elle savait tout faire, même si elle n’avait pas mon don, et puis elle dégageait quelque chose de très fort que je n’ai jamais eu, une aura de sexualité, qui aurait troublé n’importe quel homme. La regarder, c’était avoir envie de sexe avec elle, et imaginer ce qu’elle pouvait faire et qu’on n’arrivait même pas à imaginer. On ne pouvait pas en dire autant de moi.
Elle a ouvert la portière, et elle a approché sa bouche d’une queue, qu’elle s’est mise à caresser de la langue et de la bouche. Elle a tendu ses bras pour attraper deux autres queues qu’elle a caressées en même temps qu’elle frôlait le membre de sa bouche. Les autres gars se masturbaient fébrilement en la regardant. Elle s’est tournée vers le type sur la gauche, sans doute parce qu’elle a senti qu’il allait jouir. Elle a ouvert la bouche, et j’ai vu le sperme jaillir, en jets puissants, et atterrir dans la cavité buccale ouverte. Il y a eu un trait qui est parti sur sa joue. Elle a fermé sa bouche, et un mouvement de déglutition s’est dessiné au niveau de sa gorge qui disait qu’elle avalait le sperme, même si un trait a coulé à la commissure de ses lèvres, pour partir sur son menton. Elle est revenue sur le premier et c’est cette fois face à moi qu’elle a avalé le sperme. Je n’étais pas un homme, et pourtant j’ai trouvé cela terriblement excitant. Cette bouche ouverte, avec cette langue dardée, comme pour appeler le sperme, la semence qui est sortie, en traits épais, remplissant le palais, le saturant d’un blanc épais, qu’elle a fait couler dans sa bouche. Incapable de me maitriser, le ventre en feu, et avec l’envie de m’apaiser, j’ai glissé ma main sous ma jupe, et dans ma culotte pour me caresser, trouvant un sexe, qui, clos quelques minutes plus tôt, s’était en peu de temps ouvert et humidifié d’excitation.
Elle a caressé une bonne demi-douzaine de garçons de la bouche et de la main, pour les faire jouir, et boire leur sperme, avant de basculer sur une autre technique. Elle a remonté son pull, dévoilant une paire de seins charnue, maintenue par un soutien-gorge bleu pâle, qu’elle a dégrafé, en glissant ses mains dans son dos. Ses seins ont jailli à l’air libre, lourds, gonflés, mais qui avaient la chance, parce qu’elle était encore jeune, d’être fermes. Elle avait des aréoles roses, larges, et des tétons dont la semi-érection prouvait son excitation.   J’ai pensé un instant qu’elle allait se servir de ses seins, puis que c’était une idée loufoque. C’est pourtant bien ce qui s’est passé. Elle les a attrapés a pleines mains, et elle a englobé la queue que lui présentait un type, pour littéralement l’engloutir. Le membre, pourtant long et épais, a disparu entre ses seins. Elle a esquissé avec ceux-ci un étrange mouvement de frottement, une caresse, qui devait être bonne, parce que le type s’est mis à gémir. Elle a relâché la pression et fait jaillir sa queue, le gland dépassant dans son décolleté. J’avais des seins, j’aurais sans doute pu faire la même chose, mais j’étais loin d’avoir son talent. J’étais bouche bée. Il n’y avait d’ailleurs pas que ma bouche qui était ouverte, mon sexe aussi. J’ai glissé un doigt en moi, et je l’ai fait aller et venir. Elle a de nouveau caressé le type. La partie qu’on voyait de sa queue était rouge et dilatée, et il a joui, du sperme jaillissant de son méat, venant souiller le visage de la jeune femme.
Les garçons qui restaient, ils étaient cinq ou six, se sont succédés entre ses seins, crachant leur sperme sur son visage. A force de traits de sperme, ça a fait une sorte de masque sur le visage de Victoria, qu’elle a déconstruit une fois que le dernier garçon est parti, en allant chercher du bout des doigts les traits de semence et en les avalant.
J’ai enlevé mon doigt de mon sexe. Je n’avais pas joui. Elle m’a souri. Rien ne lui échappait, pas même que j’avais voulu me moins me donner du plaisir qu’apaiser la tension qu’elle avait fait naitre en moi.
—Approche.
Ce qu’elle m’a fait aucune fille ne me l’avait fait avant, et aucune ne me le fera jamais. Ca m’a surpris. Mais ça n’était pas l’effet du hasard. Plutôt d’un goût immodéré pour le sexe et d’une longue expérience. Ses mains ont glissé sur moi, habiles à caresser, comme si elle connaissait tous les points qui déclenchaient le plaisir, et le faisaient se connecter pour faire un plaisir encore plus grand. En quelques secondes, j’ai compris son habileté, sa puissance. Si quoi que ce soit se passait entre nous, le plaisir que je pourrais lui donner serait bien moindre comparé à celui qu’elle pourrait me procurer. Mais ce n’était pas forcément négatif.
J’ai senti sa main glisser sur ma peau, mais ce n’est qu’après que j’ai compris qu’elle décalottait mon clitoris. Elle l’a mis a nu et a donné quelques coups de langue dessus qui m’ont transfigurée. C’est une zone ultra-sensible pour une femme, et de plus mes chairs avaient été mises à vif par mon excitation. Pourtant, ce n’était pas là son but ultime.  
     Au bout de ses seins, elle avait des tétons aussi gonflés que durs, que les jeux sexuels auxquels elle s’était adonnée avait bien développé, en faisant de véritables armes de guerre. Elle a approché un sein de mon clitoris et elle s’est mise à le caresser.
Je ne sais pas ce qui m’a donné le plus de plaisir. Si c’est la sensation intense de son téton sur mon clitoris, une caresse très forte, l’inédit de cette caresse, son habileté dans la manière de la mener, en variant les mouvements et et la vitesse, ou le fait que mon excitation soit déjà à un point très haut. En tout cas, cela a déclenché, enfin, ma jouissance. Le premier orgasme en a entrainé un deuxième, puis un troisième. Elle l’a bien senti, et elle a continué à frotter, appuyant plus fort son téton. J’ai eu l’impression étrange que j’étais une machine à orgasmes. C’était la première fois que je jouissais ainsi, plusieurs fois, et dans un crescendo. Le dernier orgasme m’a déchirée de plaisir, et je me suis appuyée contre le véhicule. Mon regard a glissé sur elle. C’est à ce moment que je me suis rendu compte qu’elle, elle n’avait pas joui. Elle a glissé sa main sous sa robe. J’ai aperçu, alors que le tissu de celle-ci se soulevait, un slip assorti au soutien-gorge, enfonçait sa main sous le tissu, et se caressait pour se faire jouir quasi immédiatement, explosant dans un orgasme qui a semblé d’une grande force, la traversant et la dévastant.
On est restées un moment figées, avant qu’elle ne me dise:
—Je suis désolée…Rien ne s’est passé comme cela aurait du… Je voulais te voir à l’oeuvre, et…
—C’est moi qui t’aurai vue à l’oeuvre.
—Tu veux qu’on passe la soirée ensemble? Je n’ai rien de prévu pour ce soir. Demain, je commence les tournages. Il faudrait juste que je prenne une douche, et que je me change.

 

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