Mathias aimait ce moment où il déposait la plume et se rendait compte que le temps avait tant passé qu’il en avait sauté le repas, que l’après-midi même était bien entamée, et que sa création artistique l’avait tellement accaparé qu’il en avait perdu tout sens vulgaire. Il se disait qu’ainsi parti vers de lointaines contrées, totalement absorbé par son écriture, son cher travail serait du meilleur cru. Ça lui remontait le moral. Parfois, il doutait ; mais ces derniers temps il savait qu’il faisait du bon boulot. C’était très important, malheureusement sans doute pas assez « commercial » pour son éditeur qui venait de lui mettre franchement cartes sur table. « Mat, tu es un excellent écrivain et les gens apprécient beaucoup tes livres. Toutefois, tu ne te renouvelles pas. Toutes ces histoires « psychologiques » autour de couples en mal de vivre ça commence à bien faire. Je t’ai demandé d’écrire quelque chose de plus palpitant… Dis-moi, où en es-tu ? ». Au début, Mat se sentit trahi, rejeté, surtout incompris. Il fulmina ! Et petit à petit il accepta l’idée qu’effectivement il faudrait qu’il revoie sa copie. D’ailleurs, il reconnaissait parfois s’ennuyer ! Il en avait donc re-discuté avec Max, son éditeur, qui finalement lui proposa un deal particulier, qui, disait-il, serait à son avantage. Sinon, il ne présageait rien pour l’avenir et sans vouloir se montrer abrupt il faudra qu’il se trouve une autre maison d’édition.

La chose était simple en fait. Max lui proposait d’écrire un livre pornographique, sous anonymat bien sur, avec contrat en bonne et due forme, et surtout pépettes sonnantes et trébuchantes.

— C’est une occasion en or pour toi. Tu me sors d’un mauvais pas, puisque mon « nègre » qui écrit ce genre de séries s’est barré. Je te paie plein pot. Tu t’exerces à écrire quelque chose de différent qui te, si j’ose dire, dépucellera un peu !

— Dépuceler ? remarqua Mat. T’y va pas un peu fort ?

— Écoute, rétorqua Max qui commençait à s’énerver, je fatigue. C’est à prendre où à laisser. Mais sache qu’il y en a des centaines qui attendent ta place, alors, saute sur l’occasion ou dehors !

Afin de bien lui montrer qu’il ne plaisantait pas, Max était sorti en claquant la porte et laissant-là l’écrivain de 60 ans en plein désarroi. Un porno, maintenant, pff ! songea celui-ci. Mais comment faire, je n’y connais rien. J’ai passé ma vie à imaginer des choses, mais là c’est différent. J’écrirais un livre sur la finance, il me faudrait m’y plonger quelques temps. Et ici !? Ben, c’est pareil. Et ai-je le choix ?

Il n’avait cessé de cogiter. Et bien non, il n’avait pas le choix. Et pour ce faire il devrait y mettre un peu du sien. Aussi, avait-il commencé de traîner dans la rue St Denis à Paris, haut lieu de la prostitution. Il s’était attardé dans quelques sex-shops, avait même fait quelques achats. Mais tout cela c’était un peu sans plaisir. Après tout, ce sont des choses qui ne se commandent pas et la libido ça s’entretien. Lui, c’était plutôt le genre intello. Il avait bien visionné quelques dvd porno, mais il n’avait même pas bandé, relevant ça et là quelques acrobaties il avait estimé ces films surjoués, peu réalistes… Il se sentait une sorte de comptables de pratiques trop éloignées de sa personne. Quand Max parlait de dépucelage, il n’avait pas vraiment tort. Toute une éducation à refaire, vraiment.

C’est à ce moment là – et une chose n’arrive jamais par hasard – que Serge, un ami de toujours, avait commencé à le tanner au sujet de sa fille Elsa. Elle était jeune, 22 ans, et cherchait un petit boulot à prester le soir et les week-end. Son projet était de se faire de l’argent et de partir en vacances avec des copines. Elle ne parlait plus que de ça, ça virait à l’obsession, aussi Serge avait-il pensé à Mat qui, un temps, avait cherché une petite secrétaire. Finalement, l’écrivain avait accepté sous réserve d’un contrat en bonne et due forme.

La grande question était : qu’est-ce qu’il allait bien pouvoir faire de cette gamine ? Subrepticement, jour après jour, une idée avait germé. Après tout – certes elle était jeune – mais ce n’était plus une gamine et, justement, en tant que jeune elle devait avoir plein d’idées. A cet âge, surtout aujourd’hui, on a déjà une bonne expérience… Mat s’étonna lui-même de penser qu’elle serait peut-être une vraie petite salope, un peu vicieuse, mais il eut honte de penser pareille chose, surtout de la fille de son ami. Les nuits suivantes, il ne dormit pas, se demandant sans cesse comment il allait introduire l’affaire auprès de cette petite pute (Oh ! Il eût encore honte !).

Au jour dit et très ponctuelle, Elsa vint se présenter chez Mat dont elle avait lu un livre, en diagonale, un truc assommant dont elle ne se souvenait que du titre : « Léthargie »… tout un programme. Malgré tout, elle était assez intimidée. Petite, très pulpeuse, une poitrine… mmh ! de rêve ! dressée vers la vie, Elsa était sacrément équipée pour raviver un mort aux plaisirs de la chair. Autrement dit, c’était un fameux petit canon qui, illico, donna des bouffées d’envie à notre écrivain en panne. Sa bite commença à gonfler sous le tissu de son pantalon et la bosse qu’elle faisait était nettement visible. Elle accepta un Coca Cola et voulu savoir qu’elles seraient exactement ses fonctions. Secrétaire, sans aucun doute !? Non, plutôt une sorte de documentaliste. Préférant la franchise, Mat joua le tout pour le tout et exprima, avec toute sa sincérité, ce qu’il attendait de la fille… qu’elle le mette au courant des us et coutumes en matière de sexe afin de le documenter suffisamment et rende son écriture crédible. Bien entendu, elle taperait ses textes également, même si ce ne serait pas l’essentiel de son travail.

— Tu n’es pas obligée d’accepter. Je comprendrais. Mais enfin, réfléchis bien. C’est bien payé et finalement c’est atypique.

— Atypique, oui… euh… on peut peut-être envisager une période d’essais ?

— Oui, elle vient de commencer et je te donne jusqu’à lundi prochain pour te décider.

— Bon, allez !

Et c’est ainsi qu’Elsa vint chaque soirée, plus son temps de loisir, chez Mat afin de le briefer question cul. Les idées commençaient à germer et, effectivement, Mat ne connaissait pas grand-chose. La jeune fille se dit que finalement c’était bien plaisant comme petit boulot et que Mat était assez doué. Elle commençait même à fantasmer sur toutes sortes de choses. Ce boulot commençait à avoir un sacré effet sur elle. Bon, sur Mat l’effet était bien visible, mais elle-même n’était pas à l’abri. C’est ainsi que, jour après jour, elle passa du jean à la jupe, commença à se maquiller, se pouponner, s’affrioler et surtout rentrer dans ses histoires érotiques. Un soir, l’écrivain fut très intrigué et posa beaucoup de questions sur les poils pubiens et les modes qui consistaient à les dompter, les raser, voire tout enlever. Elsa fut prise au dépourvu et ne sut trop que répondre. Elle voyait bien que Mat n’imaginait pas les cas possibles. Elle gambergea et, le lendemain, profitant d’une journée pédagogique elle arriva chez lui avec certains objets. Elle déballa l’ensemble à côté d’elle, sur le canapé, et voyant l’étonnement de l’homme lui dit :

— J’ai bien vu que tu ne comprenais pas à quoi ressemblait une chatte un peu entretenue. Je vais te montrer. J’ai laissé pousser la mienne et tu vas voir.

— Je m’installe.

Peut-être naïvement, la jeune fille souleva sa jupe et ôta son string. Elle exhiba alors son sexe.

— Regarde ! une forêt vierge.

— Effectivement, bien fournie mignonne.

— Alors, tu vois, certaines femmes taillent les poils aux ciseaux pour les dompter.

Ce qu’elle fit tout de suite. Assise sur une serviette, les poils trop longs tombaient en touffes sur le tissu. Ensuite, reprit-elle, certaines femmes les rasent sur le côté. Elsa, les jambes bien écartées, saisit sa bombe de mousse et rasa sa chatte comme elle avait dit, sur les côtés.

— Moi ce que je préfère, c’est façon ticket de métro, ajouta-t-elle.

La démonstration passant, Elsa prenait plus de temps que nécessaire. Elle se sentait envahie par une sorte de climat voluptueux. Elle se rendit compte du regard de Mat sur sa chatte et ça l’excita étrangement. Elle le regarda soudain droit dans les yeux. Mat soutint ce regard.

— Et maintenant, dit-elle, certaines petites salopes, aiment se raser entièrement « la moule » (en insistant bien sur le mot moule).

L’homme n’en ratait pas une miette. Dans son froc, sa bite semblait prête à exploser et aller inséminer, direct, la moule de la gamine. Elle prit tout son temps pour se raser les derniers poils et ensuite, langoureusement, elle nettoya à l’eau son sexe pour bien l’exhiber à son patron. Lavée à l’eau claire, la chatte d’Elsa était grande ouverte et visiblement excitée. Ce moment très érotique et intime lui avait chauffé les sangs. Son clitoris s’agitait lui-aussi, mais surtout il était évident que la fille était prête à tout.

Mat, la bouche grande ouverte, ne sut que dire. L’homme, la bête, se réveillait en lui. Cette gamine l’excitait comme un fou. Il se disait qu’il avait envie d’elle, de la baiser comme une petite salope qui ne demandait que ça. Lui qui était vieux, gras, dont la bite devait plus ressembler à un concombre qu’à une nouille, se réveillait. Chamboulé, il trouva la force de dire :

— Et pour les hommes alors ?

— Pour les hommes ? s’étonna Elsa. Je vais te montrer.

Elle se campa donc à genoux devant la braguette de Mat, défit sa ceinture et abaissa le pantalon jusqu’à ses chaussures. Oh ! Bel engin reconnut-elle. Il ne faut pas croire qu’Elsa avait tant d’expérience que cela, et justement, son envie était de s’en faire un minimum. Avec Mat, la chose se présentait. Elle jouait à la fille qui n’a pas froid aux yeux, celle qui assure et est un peu la pute du lycée, mais ce n’était pas vrai. Une occasion se présentait ; à elle de la saisir ou pas. Elle avait le cul en feu, même son anus criait famine, lui si vierge de tout. Ce type, Mat, plus que mûr était un vieux gros cochon, elle le sentait… et elle se sentait flattée de l’attirer de la sorte. Mais surtout, c’est cette bite énorme et grasse qui l’attirait comme un aimant. Envie de la saisir, de jouer avec, de la presser et de l’agiter à sa guise, voire d’en tirer tout le jus possible et s’en recouvrir le visage. Elle saisit le gros gland du bout de ses doigts et, langoureusement, leva la bite vers le ciel afin de dégager la hampe et les couilles. Et ben, dit-elle, pour les hommes c’est pareil. Mais moi, j’aime les bites rasées de près. Et Elsa de barbouiller le paquet de Mat avec plein de mousse et de raser l’engin, comme annoncé, de près. Une fois que la bite et les couilles furent nets de toute mousse et de tous poils, elle la rafraîchit d’une serviette humide. Une grosse bite, charnue, et tendue comme un arc à flèches, voilà le travail d’Elsa. N’y tenant plus, Mat, qui était cuit à point, lui attrapa la nuque et avança la tête d’Elsa jusqu’à son dard. Elle eût un mouvement de réticence, mais n’y tenant plus elle-même elle enfourna l’énorme bite jusqu’au fond de sa gorge. Soumise, elle devint folle et entreprit de sucer l’engin comme elle l’avait vu faire sur internet. Tantôt massant le gland, tantôt enfournant la hampe jusqu’à sa glotte… tantôt la mitraillant de multiples coups de bouts de langue, tantôt la suçant comme une boule de crème glacée. Relevant la bite du type, elle goba ses couilles, ce qu’elle apprécia vraiment. Mat était fou, parfois il la laissait faire, parfois il lui tenait la tête et enfournait sa bite avec force, la traitant de petite pute. Soudain, Elsa arrêta et, voulant calmer la bête qu’était devenue Mat, resta immobile devant le phallus bleu. Le mec en rut faisait des contractions musculaires. Sa bite montait et descendait. Le moment fatidique était proche. Elsa, du bout de son index, toucha le gland de Mat et fit descendre la bite jusqu’à l’horizontale ; une fois là, elle relâcha son geste. La bite fit une envolée vers le plafond, retrouvant avec vigueur une position verticale. Dans ce mouvement énergique l’engin éjecta bien un litre de sperme. Ce qui n’arriva pas au plafond couvrit le visage d’Elsa qui en fut la première surprise. Ca y est, je suis une petite pute ! Au moins je ne mourrai pas idiote !!!

Peu après cet événement, l’écrivain resta sans nouvelles d’Elsa. Se posant 1000 questions, il espérait qu’elle allait bien et surtout, disons-le, elle lui manquait. Il était maintenant réveillé ; un homme en pleine force de l’âge, prêt à récupérer des années perdues à ne vivre que par et pour les romans ; finalement, une vie par procuration. Il bandait pour un rien et aurait bien fait l’amour à l’armoire tant sa vigueur renaissait d’entre les morts. Il se repassa tous ses dvd pornos, reprit beaucoup de notes, et fantasma grave !!!

Il envoya un ou deux textos à Elsa qui répondit laconiquement qu’elle était malade et reprendrait contact avec lui une fois guérie. Mat pensait : « Oh non, pas maintenant, je revis moi et cette gamine m’a fouetté les sangs. J’ai envie… ». Dans le but de se documenter efficacement pour l’écriture de son œuvre pornographique, il avait passé la matinée à recenser les clubs échangistes, les lieux de rencontres insolites comme les aires d’autoroutes, certains sous-bois, des cinémas et théâtres dédiés à l’amour en groupe, des châteaux et donjons, des plages naturistes, etc. et en peu de temps, il en avait appris beaucoup. Il était prêt !

***

Elle sonna et Mat vint lui ouvrir la porte.

Cette femme, grande et belle, qui dit s’appeler Chantal entra dans l’appartement et, sans façons, dit qu’elle désirait « parler d’une affaire particulière » avec l’écrivain. Mat, on s’en doute, était très étonné. Il trouvait la femme très attirante, bien faite, une poitrine – naturelle – de beau volume ; une grande bouche avec des lèvres pulpeuses. Illico, il estima : « Celle-là, elle doit aimer le cul ! », il en était persuadé. La petite cinquantaine, certainement. Mat la fit asseoir alors qu’un rapide flash s’imposait à son esprit : Il la vit, en songe, à genoux devant lui en train de le sucer avec énergie et beaucoup de plaisir. Il s’imagina la partager avec d’autres hommes aussi et elle, râlant, en demander toujours plus.

— Comme je vous le disais, commença cette femme, je désire vous parler d’un sujet délicat.

— Bien, mais lequel ?

— Je suis en fait la belle-mère d’Elsa. Je suis donc la femme de Serge, votre ami.

— Ah ? Je suis enchanté de vous rencontrer. Serge, apparemment, vous garde sous clé!

— Oui, non, enfin, revenons à ce qui m’amène. J’ai surpris, il y a quelques jours, Elsa qui revenait de chez-vous, pour son travail disait-elle. Il m’avait semblé qu’elle allait très vite du garage à sa chambre et j’avais quelque chose à lui dire. Une fois entrée chez-elle, je vis qu’elle était devant la glace de son lavabo et allait nettoyer, ce que je compris tout de suite, comme étant… pardonnez-moi (visiblement elle était intimidée)… euh… pardonnez-moi : du sperme.

— Ah !

— Le vôtre, finit par m’avouer Elsa. Après une longue conversation avec elle, elle a fini par tout déballer et m’expliquer les circonstances de votre relation. J’en ai été toute retournée !

— Oui, mais elle est grande maintenant.

— Je sais, je sais… et croyez-moi, il a fallu que je déploie des trésors de diplomatie pour qu’elle me raconte toute cette aventure. Je ne comprends toujours pas comment elle a pu s’attacher à un vieux comme vous. Excusez-moi. Rebelle, elle m’a rétorqué qu’elle était majeure et qu’elle ferait ce qu’elle veut avec vous. Elle m’a dit aimer votre expérience – alors que je pensais, et elle aussi, que vous n’en n’aviez aucune… Je ne le crois toujours pas d’ailleurs.

— Peut-être mais qu’attendez-vous de moi. Vous l’avez dit, elle est grande et majeure.

— Bien que cela me coûte beaucoup, et puisqu’il en est ainsi, je viens en quelque sorte me livrer à sa place !!!

— Grand Dieu !

— Oui, faite de moi tout ce que vous voudrez, je suis prête, mais oubliez par-dessus tout Elsa qui a ses études à terminer…

— Comprenez que je sois ébahi de votre proposition. Vous dites que vous venez avec l’accord d’Elsa ?

— Oui, c’est cela. En fait, je lui rembourse son manque à gagner en ne travaillant plus chez-vous et, de plus, je lui ai trouvé un autre job d’étudiante où elle courra moins de risques.

Mat se leva et fit quelques pas en direction de la fenêtre. Il regarda les gens marcher dans la rue ; ça l’aidait toujours à se concentrer avant de prendre une grande décision. « Sa proposition est claire, pensait-il, mais je ne veux pas me faire avoir. Je te dis que cette salope va en déguster. Que crois-t-elle ? Je m’étais attaché moi à cette petite… Cette Chantal veut de la bite ? Alors elle va en avoir !!!

— Mais que croyez-vous ? Vous venez ici, avec votre proposition ; et qui vous dit que je vais accepter ? C’est que j’ai de « très » gros besoins moi… et aussi un livre à écrire. Si vous pensez venir ici pour un petit coup facile vous vous trompez !!!

— Non ! Je suis d’accord… dit Chantal, déstabilisée. Il faudra voir les termes… euh…

— Quels termes ? Il n’y aura qu’un seul terme à notre contrat : Vous serez ma soumise, j’aurai le droit de faire « exactement » tout ce que j’ai envie de vous, vous accepterez systématiquement tout sans jamais rechigner. Vous pourrez devenir mon esclave, vous serez entièrement dédiée à mon unique plaisir. Vous serez mon jouet sexuel !!!

— Euh… bon, d’accord, s’il faut qu’il en soit ainsi pour sauver une jeune enfant…

— Elsa n’est pas, ou plus, une enfant, et faites-moi le plaisir de ne plus jamais l’évoquer. Nous sommes donc d’accord ? Vous avez un métier ?

— Oui, je suis diététicienne et je ne travaille que le matin.

— Ce sera parfait. Nous sommes l’après-midi, on commence donc tout de suite.

— Euh ! Je ne pensais pas… disons aussi vite…

— Je veux voir la marchandise. A poil !!!

Chantal, surprise, sembla juger la tournure que prenait l’affaire. Elle dut bien reconnaître qu’il faudrait assumer maintenant, se montrer cohérente, remplir son devoir. Après une hésitation, elle retira ses chaussures.

— Allez, allez, plus vite. Et ébouriffez-vous les cheveux. Je vous veux sauvage.

La femme obtempéra, se décoiffa, ouvrit sa chemise qu’elle retira laissant apparaître deux melons magnifiques et réactifs sous un soutien trop large de grand-mère. Intimidée, elle ouvrit le zip de sa jupe qui tomba à ses pieds. Elle ramassa cette jupe et la plia sur le canapé. Elle gardait une petite culotte blanche minimaliste sur un porte-jarretelles noir. Elle semblait moins fière maintenant.

— Vous ne porterez plus de soutien quand vous viendrez dans cet appartement. Vous m’entendez ?

— Euh… bien…

— Retirez-le, ainsi que le reste, je vous veux entièrement nue.

Elle se retrouva nue comme un ver. Bien qu’elle essayait de garder une certaine contenance, elle était déstabilisée. Mat le sentait. Il en avait l’intuition, était même convaincu qu’elle ne prendrait jamais ses jambes à son cou.

— Tourne-toi salope, je vais t’examiner. On va jouer au docteur.

Chantal, tourna sur elle-même et suite à un nouvel ordre de Mat, elle se dirigea vers la chambre et grimpa sur le lit.

— Je veux que tu te mettes à quatre pattes. Comme une chienne. Oui, comme ça, c’est bien. Dépose ton visage sur le coussin. Oui, comme ça, sur le côté. Mets les bras en croix, je vais te posséder. Mat prenait son temps. Il tournait tranquillement autour de son jouet et aimait ce qu’il voyait. Il effleura un sein avec volupté et vit quelques frissons parcourir les bras de sa soumise. Il saisit un mamelon et en joua avec doigté. Chantal réagissait, ce qui confirma Mat qu’elle était bien une petite salope et qu’elle en voulait.

— Maintenant, reprit-il, écarte bien les jambes. Mouais… et cambre-toi bien, non, mieux ! plus fort. Mat l’aida en abaissant le bas de ses reins et lui soulevant le fessier. Vas-y, montre-moi ce que je vais pouvoir faire de toi. Quel cul ! pensa-t-il.

Visiblement, la jeune femme qui ne disait toujours rien cherchait à satisfaire son maître. Mat lui prit les mains qu’il plaça sur chacune de ses fesses et dit : Maintenant, je veux voir ton trou du cul. Alors, tu tires bien fort sur tes mains et tu me découvres ta chatte et ton trou de balle. Allez, reste cambrée !!! Voilà, comme ça. Mhhh ! Bien que Chantal pensait : Mon Dieu, quelle humiliation ! elle avait l’air d’aimer ça la chienne. Mat reprit : Disponible et vicieuse ! Une salope qui ne demande que d’avoir une bite dans son cul, n’est-ce pas ?

— Oui…

— Alors, dis-le…

— Quoi ?

— Ce que tu es…

— Je suis une petite salope qui montre son petit trou du cul et sa chatte à Monsieur ; J’ai envie d’une bite !!!

Mat approcha du cul de la belle. Il se mit à le caresser sans pudeur ; il se montra indiscret ! Voulait montrer qu’il tâterait la marchandise jusqu’à sa décision prise d’acheter cette esclave ou non, de la rejeter alors purement et simplement.

— Mhhh ! C’est un beau cul ça. Et Madame a déjà la chatte bien ouverte et trempée. Sur ce, il enfouit son pouce dans le sexe de la fille. Il allait et venait tranquillement, et lorsqu’il découvrit son point G il s’attarda sur la petite râpe sensible.

La nouvelle recrue se mit à bouger du popotin, aiguiller les doigts de Mat vers les bons endroits. Elle haletait maintenant, et montrait un plaisir croissant.

— Rappelle-moi, salope, pourquoi tu es là ? Pour sauver Elsa d’un gros pervers, est-ce bien ça ?

— Oui, c’est ça, tant pis, j’accepte de me dévouer à sa place, la pauvre !

— Tu n’es qu’une petite menteuse !!! Et illico, Mat lui donna une claque sonnante sur une de ses fesses, suivie d’une seconde, d’une troisième, et d’une quatrième.

— Ah, Ah !!! criait la nana.

— Je veux savoir et que tu me dises pourquoi exactement, tu es là…

— Mais, haletante, lança Chantal, je viens de vous le dire. C’était pas assez clair ?

— Tu n’es qu’une grosse menteuse ! Et prends ça ! Sur ce, Mat lui mit une belle fessée. La fille cria, fébrile, pleura même un peu et dit : Arrêtez, arrêtez !

— J’attends la vérité !

Chantal découvrait la souffrance. Oh, finalement, bien légère. Plus de peur que de mal. Elle reconnut toutefois que cette fessée lui donnait des frissons. La réveillait en quelque sorte. Elle devenait plus sensible et eut l’impression de lâcher du leste. Mais elle eut peur quand même.

— Tu en veux encore une ?

Illico, son corps se raidit et, dans un presque sanglot, elle lança à Mat :

— Mais je suis désolée ! J’ai bien surpris Elsa, comme je vous l’ai dit, on a bien discuté. Je trouvais qu’une fille de son âge avec un vieux c’était bizarre, mais surtout, j’avoue, j’avoue, je suis devenue jalouse d’elle ! J’imaginais cette grosse bite d’homme au fond de sa gorge et tout le plaisir qu’elle en avait. Je la ressentais bien moi cette bite jouir au fond de mon sexe, j’en avais envie et plus je parlais avec elle et plus mon sexe s’ouvrait et coulait. J’ai coulé comme une petite chienne qui veut la récompense de son maître. Serge, depuis deux ans ne me donne plus rien. Je ne sais pas ce qu’il fout, il n’est jamais là, n’en n’a que pour sa secrétaire. Il ne me regarde plus. Mais je suis une femme moi ! Et j’ai un gros appétit ! Je veux vivre moi !!!

Mat comprit qu’elle disait la vérité et fut même ému par cette confession. Il tapota les fesses de Chantal comme il l’eût fait d’une petite chienne. Et, cherchant un peu une contenance, lui dit

— Ben, petite salope, attrape mon bazooka, fais-toi plaisir. Tu verras, il est complètement rasé !

Comme une dingue, la fille poussa Mat sur le lit et alla fouiller au fond de son pantalon pour sortir la biroute énorme du mec. Elle enfouit l’engin au fond de sa gorge en criant : haaaaa !!! Mais c’est trop bon !!! Plus elle happait l’engin, plus elle se débridait et pensait à des trucs cochons. Elle se faisait un film. Elle était une pute, perverse, qui – dans un parking de province, la nuit – voulait qu’on lui remplisse tous ses trous. Elle n’était jamais satisfaite. Elle seule et 5 mecs qui allaient la défoncer grave. Dans son délire sexuel, ils étaient là les mâles en manque de cul et c’est le sien qu’ils avaient choisi de combler. Elle sauta sur la grosse bite de Mat et se masturba sur l’engin comme elle le faisait seule dans sa chambre. Mais de la vraie chair ! c’était génial. Ses seins maintenant pétris, pressés, pincés la faisaient revivre. Ses mamelons étaient énormes. Elle se jura à ce moment-là qu’elle se ferait placer des anneaux autours de ses bouts de seins. Elle sentait chaque millimètre de son corps. Allant et venant comme une salope sur la bite de Mat, elle en sortit une dernière fois pour la rentrer involontairement dans son cul. Surprise, elle en goûta néanmoins le plaisir et hurla :

— Haaaaaa ! Merde alors, vas-y, encule-moi bien, fais de moi ta garce et ta salope ! Ramone-moi la rondelle ! Mat la retourna et enfonça son harpon bien au fond chaud de sa caverne. Au début bien étroit, son cul était ouvert comme une autoroute et lubrifié de tous leurs fluides intimes à tous les deux. Encule-moi, vas-y, tu vas me faire jouir comme ça. Oui, oui, oui ! haaaaaa !!! ça y est je jouis, cont., cont., continue, mets-moi tes doigts dans la bouche et dis-moi des cochonneries.

Mat lança :

— Jouis donc pute à camionneurs, je vais te mettre sur le trottoir à te faire prendre par des bandes d’hommes en rut qui te satisferont la nuit durant. Catin, traînée, petite bourgeoise qui cache bien son jeu. Ils te tatoueront le dos comme une des leurs. Tu leur apartiendras. T’aime ça hein les grosses bites ? T’en rêve hein ? Et maintenant tiens !

Mat se mit debout sur le lit et empoigna les cheveux de cette chienne. Tenant parfaitement la tignasse derrière la nuque de la femme, il força le passage de la bouche et fourra complètement la gorge de sa bite énorme. Elle faillit vomir. Mat retira sa bite et la rentra à nouveau jusqu’à se branler le membre par ses mouvements rapides de va et vient. Chantal n’en pouvait plus ! Ce n’est qu’in extrémis qu’il cessa de bouger afin de ne pas encore jouir. Comme un fou, il se coucha sur le lit et, saisissant les hanches de la furie, il lui fit placer son vagin sur sa bouche à lui. Ses lèvres toutes gonflées de part et d’autre d’un sexe ouvert comme une grotte profonde aspirèrent littéralement la bouche, la langue et le visage de Mat tout entier. Entièrement occupé à ce fantasme, sa bite prit une nouvelle ampleur qu’il n’imaginait même pas lui-même. Chantal la saisit d’une main et la branla tant qu’elle put, mais très vite ce que faisait Mat à sa chatte et à son cul était trop intense. Elle rêva à nouveau aux 5 mecs en train de la prendre. Elle alla de plus en plus vite, de plus en plus fort sur le visage de Mat. Elle balançait son bassin de salope. Elle ne s’occupait que de son plaisir extrême ! Mat, de la main droite, lui introduit ses doigts dans la bouche ; elle s’imagina sucer la bite du chef de la bande de motards ! Elle jouit à nouveau au moment ou, de la main gauche, Mat tirait sur l’anneau que de force les types lui avaient fixé à un de ses mamelons. Voyant qu’elle jouissait encore, Mat dégagea son visage et la souleva juste assez pour introduire ses doigts dans le vagin de la belle. Son vagin était tellement ouvert que sa main s’y glissa sans difficultés. Le mec se mit alors à la pomper de sa main. Jamais, jamais elle n’avait été aussi remplie… la main entière de Mat lui donna un dernier spasme de jouissance, le plus intense, elle risqua faire un malaise tellement c’était bon ! Elle prit le temps de récupérer son souffle, son rythme cardiaque et ses esprits et c’est là qu’elle sentit les gros flops flops de Mat qui lui jouissait sur le visage. Elle se sentit femme et enfin comblée !!!

 

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