Résumé des épisodes précédents :

Nathie, j’ai 40 ans et j’étais mariée. Lors d’un week-end où mon mari et ma fille m’ont laissée seule à la maison, je découvre que mes deux voisines sont en couple et sont D/S.

.Un peu trop curieuse, je me laisse entrainer dans une nouvelle vie par Maîtresse Sophiane et sa soumise Léa. Je découvre le plaisir et la douleur infligée par ma nouvelle Maîtresse.

Obligée désormais d’être nue en permanence sous mes robes et avoir un sexe nu, mon mari a demandé une mutation à l’étranger. Ma Maîtresse a décidé d’intensifier mon dressage en me marquant les fesses à la cravache avec interdiction de jouir sans son autorisation.  Libéré de tout préjugé, j’avoue à ma collègue de bureau que j’ai une relation homosexuelle avec une Dominatrice et que je prends beaucoup de plaisir à me faire dresser malgré la douleur et les contraintes imposées.

 

Episode 4 :

Notre Maîtresse décide de nous emmener le samedi suivant dans un bar lesbien, fière d’avoir deux soumises à ses pieds.

Le vendredi soir, à peine rentrée chez ma Maîtresse, elle m’emmène en voiture sans me dire où nous allons.

Nous nous rendons dans un appartement, en fait un magasin discret, situé en étage d’un bel immeuble. Nous sommes accueillies par une femme au regard autoritaire qui ne laisse pas de doute sur son caractère dominateur. Les deux femmes se connaissent bien.

– Tu es encore habillée ? A poil,  dépêche toi si tu ne veux pas être punie en public.

En effet, nous ne sommes pas seules dans ce magasin, plusieurs femmes me dévisagent, surtout quand elles s’aperçoivent que je suis nue et intégralement épilée sous la robe très courte que j’enlève.

La femme qui nous a accueillie ne s’embarrasse pas, et vient passer un doigt dans ma fente, je baisse les yeux en signe de soumission.

– Elle est déjà mouillée, votre chienne. Voulez vous que je la corrige maintenant.

– Attendons un peu, cela lui ferait trop plaisir de s’exhiber.

Ma Maîtresse commence à bien me connaître et se doute que d’être punie en public va m’exciter, surtout qu’il me semble que la porte de l’appartement boutique est ouverte et que de nouvelles clientes peuvent rentrer.

Ma Maîtresse se décide pour un blazer sobre qui descend au ras des fesses et fermé par un seul bouton, laissant mes seins découverts aux trois quart.

– Cette chienne est encore vierge du cul et je souhaite un rosebud suffisamment lourd pour augmenter ses sensations avant de lui faire perdre son pucelage.

Un certain nombre de rosebud lui sont présentés et elle choisit le plus lourd.

-Vous permettez, je vais lui essayer, demande la vendeuse.

– Debout, courbée en appui sur un fauteuil, je présente mes fesses devant tout le monde.

– En effet, elle est très serrée et a besoin d’être élargie avant d’être enculée, surtout si vous choisissez un strapon de bonne taille.

Elle plonge le rosebud dans ma chatte pour mouiller l’objet et m’exciter avant de faire des allers retours entre chatte et anus pour forcer petit à petit jusqu’à ce que cède ma corolle cède et accepte l’intru

Je suis rouge cramoisie de me faire ouvrir devant les autres clientes qui se sont rapprochées de nous pour ne rien perdre. Impossible de cacher mon excitation, ma chatte est ouverte et coule sans retenue.

– Et réceptive en plus, la chienne. Une bonne correction est nécessaire.

Une fois encore ma Maîtresse laisse cette femme me caresser les fesses avant de les cingler à la cravache.

Des gémissements de douleur et de plaisir. Je suis devenue une chienne en rut permanent et masochiste.

Sous prétexte de ne pas salir ma robe, je ressors avec le blazer et mes hauts talons jusqu’à la voiture. Difficile aux personnes un peu attentives que nous croisons de ne pas se rendre compte que je suis nue en pleine rue, sous le blazer.

Comme prévu, le  samedi soir notre Maîtresse emmène ses deux soumises dans un bar privé lesbien où elle a ses habitudes. A notre arrivée, Maîtresse Sophiane m’enlève ma veste, ma tenue attire tous les regards. Je porte un redresse seins minimal en cuir, et un micro short  ouvert à l’entrejambes laissant l’accès libre à ma fente et à mes fesses, montrant à toutes que je porte un rosebud de bon calibre, bas et hauts talons. Les mains de Léa et les miennes sont attachées dans le dos et Maîtresse nous dirige avec les laisses attachées à nos colliers.

Toute la soirée, les lesbiennes présentes ne se privent pas pour nous caresser ou claquer les fesses, des doigts inquisiteurs s’insinuent entre mes cuisses et mes tétons sont tirés, pincés , tordus, … certaines allant jusqu’à jouer avec le rosebud pour apprécier l’élasticité de ma corolle.

Plusieurs fois dans la soirée, je remarque le regard d’une superbe femme noire d’une cinquantaine d’année qui me regarde avec insistance. Habillée d’une robe noire très simple, sans aucun signe extérieur de ce milieu, il émane d’elle une supériorité de grande classe. A chaque fois, je baisse les yeux pour lui montrer mon obéissance et ma soumission. Elle me trouble et je ne sais pas encore que je vais bientôt la revoir.

J’espère qu’elle vienne me toucher ou qu’elle s’approche, mais nous partons précipitamment, car Léa a un comportement qui déplait à notre Maîtresse. Elle montre de la mauvaise humeur par rapport au succès de ma tenue et  notre Maîtresse est furieuse.

Au moment du départ, je suis pris d’un doute. J’ai cru voir ma fille au bout du bar dans les bras d’une autre femme plus âgée qu‘elle. J’essaye à nouveau de voir si je n’ai pas eu une vision, mais je ne la vois plus.  J’espère m’être trompée et qu’elle ne m’a pas vue dans cette tenue indécente, tenue en laisse.

La fin de la soirée, une fois rentrées va être compliquée.

Soumise Léa n’a pas le temps de réagir quand notre Maîtresse l’attache par les bras à l’anneau du plafond, les jambes écartées avec juste le bout des pieds touchant le sol. Son soutien seins est arraché ainsi que son micro string.

– Je vais te corriger et t’apprendre à te passer de tes caprices et de ta mauvaise humeur.

– Elle revient avec le fouet à lanières très fines, celui qui fait le plus mal.

– Et puisque tu es jalouse de Nathie, c’est elle qui va te corriger.

– Maîtresse me tend le fouet et me donne l’ordre de fouetter Léa.

– Ne t’avise pas de faire semblant et de l’épargner. Si elle ne crie pas, tu en recevras le double.

– Je n’ai pas le choix, je fouette Léa en tournant autour d’elle. Je suis prise d’un sentiment malsain, je n’ai qu’une seule envie c’est de lui faire mal et de l’entendre crier. Je frappe sans épargner les seins, sa chatte, sa raie, l’intérieur de ses cuisses, partout où je sais qu’elle va avoir mal. Ses cris résonnent dans la maison et m’excitent. Quand notre Maîtresse me stoppe, je réalise ce que je vienne de faire et je tombe à genoux devant Léa, j’ai honte.

– Pour humilier un peu plus Léa  Maîtresse me félicite et me demande ce qui me ferait plaisir pour me récompenser. J’ai tellement honte que j’ose demander à ce que Léa puisse à son tour me fouetter encore plus fort pour me faire pardonner.

– Puisque c’est ce que tu veux, tu vas être exhaussée.

Léa est  détachée et c’est moi qui suis attachée et offerte au fouet.  Je vois dans ses yeux son envie de vengeance et les premiers coups sont si forts que j’en ai le souffle coupé. Léa, elle aussi, choisit les endroits les plus sensibles et très vite je ne sens plus rien. Je ne peux me retenir et je sens que a vessie se vide, je ne me maitrise plus.

Quand je reprends conscience, je suis dans les bras de Léa, par terre et Léa me tamponne d’eau froide les marques. Elle me regarde avec tendresse et nos bouches se trouvent pour un baiser comme deux amoureuses, nos langues ne cherchent plus, elles s’enroulent et parcourent la bouche de l’autre. Je n’hésite plus à laper sa chatte, à aspirer son clitoris et à le mordiller, à aller le plus loin possible pour entrer ma langue dans sa corolle et gouter à son amertume. La pièce résonne à nouveau de nos cris mais ceux ci sont des cris de plaisir et de jouissance. Désormais nos devenons inséparables dans le plaisir et dans la douleur.

Je lui promets de lui obéir quand elle me le demandera, au risque d’être punie sévèrement.

 

A chaque mois, une nouvelle expérience mais voici celle qui va me marquer et me faire passer sur une étape supplémentaire à mon dressage.

Ce soir ma Maîtresse m’emmène pour la 2ème fois au Club, cette fois ci elle m’y emmène seule pour une surprise. Le Club c’est une grande maison privée acquise il y a plusieurs années par cette lesbienne noire, très élégante et très riche, croisée lors de la soirée au bar privé. Cette femme avait acheté cette propriété pour pouvoir vivre et inviter en toute quiétude sans vis à vis. Très vite, elle y a organisé des soirées privées sur invitation et parrainage. La 1ère fois, Maîtresse Sophiane m’y a emmenée avec Léa, habillées (si l’on peut dire) à l’identique c’est à dire  micro jupe qui ne cache ni le sexe et ni les fesses, buste nu avec chacune nos tétons percés d’anneaux, collier et laisse. Nous avons passé la soirée à 4 pattes en laisse à suivre notre Maîtresse avant d’être offertes en spectacle sur un podium central pour un jeu érotique et pervers. Les deux soumises à 4 pattes sont autorisées à faire jouir et à faire souffrir l’autre avec ses doigts et sa bouche. La Maîtresse jouant l’arbitre avec sa cravache, en fouettant à chaque fois que cela est possible des fesses accessibles. Celle qui jouit la 1ère est déclarée perdante. Elle  est attachée à un anneau au plafond à la disposition de toutes les invitées qui voudront en profiter  avec les pinces à seins, cravache, fouets et autres jouets à disposition.  Léa, plus expérimentée que moi, m’avait fait jouir mais je dois avouer l’avoir laissée gagner afin d’être offerte aux Dominatrices présentes.

Je ne me rappelle pas tous les sévices et plaisirs subis mais quand j’ai été détachée je me suis écroulée par terre souillée par mes propres liquides, épuisée par les nombreuses jouissances.

Cette fois ci, seule avec Maîtresse Sophiane, je porte un harnais cuir qui met en valeur mes seins et mes anneaux, mon collier et ma laisse, des hauts talons et un bandeau sur les yeux qui me laisse dans le noir. Je marche quelques pas derrière ma Maitresse au bout de la laisse. Des mains féminines s’attardent sur mon corps, tordant mes tétines,  flattant mes fesses comme l’on fait sur une chienne, et des doigts inquisiteurs testent mon humidité intime et l’élasticité de ma corolle.

J’entends L’organisatrice de la soirée indiquée que le spectacle va commencer sur le podium avec 2 jeunes femmes qui pour leur 1ère venue au club vont s’offrir l’une à l’autre sous le contrôle d’une Dominatrice. Celle qui jouira la 1ère sera punie par une fessée. Après quelques pas, ma Maîtresse me fait mettre à genoux.

– Je suis certaine que ce spectacle va te plaire. Je vais t’enlever ton bandeau.

Les commentaires des femmes qui nous entourent portent sur la beauté et la jeunesse de  ces amoureuses. Je suis encore très loin de  me douter pourquoi ce spectacle va autant me troubler.

Lorsque ma Maîtresse m’enlève mon bandeau, mes yeux mettent plusieurs secondes à s’habituer.

Je reste bouche bée et je m’oblige à ne pas crier de stupeur. L’une des jeunes filles sur le podium est ma fille. Je vais assister à cette exhibition de ma fille léchant une chatte et se faisant lécher, se faisant tordre les tétines et rendant la pareille à sa compétitrice, se faisant masturber et introduire 2 doigts dans son minou visiblement trempé que je croyais vierge, et elle qui essaye de rendre la pareille mais dans la corolle de l’autre fille. Tout cela visiblement excitées par des petits coups de cravache de la dominatrice qui les surveille.

Ma fille sait elle que je la regarde ? M’a t elle surprise récemment dans le bar, ou chez ma Maîtresse ? La réponse à la 1ère question va vite arriver.

Ma fille est vaincue, elle jouit sous les doigts de son adversaire en poussant un énorme cri de plaisir. C’est elle qui va être fessée. Va t elle aimer autant que moi ?

Ma Maîtresse a l’air très satisfaite. Elle me glisse à l’oreille que c’est à moi que va revenir l’honneur de la fesser en accord avec la propriétaire des lieux. Un coup monté ?

Elle m’entraine vers ce podium que je connais déjà. Ma fille ne semble pas surprise de me voir harnachée, nue et  entrainée par un collier et une laisse. Un léger sourire apparaît sur son visage comme si elle attendait avec impatience cette fessée. Je suis rouge de confusion. A quatre pattes, et moi à genoux à coté d’elle, je commence à la fesser, alors que toutes les présentes ont été mises au courant de notre lien familial. Je ne ménage pas mes claques, ma Maîtresse m’ayant prévenu que si je trichais c’est moi qui serait immédiatement fouettée sans ménagement devant elle.

Je continue à la fesser alors que ses fesses sont cramoisies et qu’elle crie, comme si je voulais me punir. C’est ma Maîtresse qui me stoppe. Ma fille m’embrasse d’un léger baiser sur les lèvres, et me confie «  je t’aime, ne t’inquiète pas, je sais tout et je suis heureuse pour toi ».

Je reste à genoux sur le podium, encore secouée par tous ces évènements. Une voix derrière moi me tire de mon brouillard.

– Sujet intéressant, dit cette voix. Elle me contourne et je reconnais l’organisatrice, cette femme noire déjà croisée. Tu me plais, c’est très rare quand c’est moi qui vais vers une soumise. D’habitude, ce sont ces chiennes qui viennent ramper à mes pieds pour que je m’occupe d’elles mais elles ne m’intéressent pas. Tu ne le sais pas mais tu as beaucoup de chance. Un jour, tu m’appartiendras, je ne suis pas pressée. Si ta Maitresse actuelle te vend, je t’achèterai et si elle ne le fait pas, je ferai ce qu’il faut pour qu’elle ne puisse pas refuser. Je te ferai découvrir une soumission physique et psychologique qui t’apportera un niveau de plaisir comme tu ne t’imagines pas. A bientôt.

 

 

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