En déplacement dans le Grand Est, j’arrive chez Marine en vue d’organiser une manifestation « cul » turelle.
Comme à l’habitude, je suis reçu à bras ouverts par mon amie qui me saute au cou et me confie être seule à la maison, Jean ne rentrant de son travail que le lendemain soir.
J’entrevois déjà ce que pourra être ce week-end avec Marine et son appétit sexuel débridé.
Après de nombreuses embrassades, elle m’avoue avoir souvent pensé à notre trio infernal, lorsque Jean la laisse seule et qu’elle utilise son jouet qui lui procure ce nouveau plaisir qu’il refuse de pratiquer.
— Nous pourrions contacter Océane et nous rencontrer ce week-end ? je lui demande
— Bonne idée, je vais de ce pas lui téléphoner !
Ce qui est dit est fait. Nous partirons donc demain matin rendre visite à notre petite chatte blonde.
— Et toi, comment vas-tu ? Où en sont tes problèmes de règles ?
— Ça va mieux, mais j’ai toujours ces maudits vertiges pendant ces périodes.
— On peut se faire une séance maintenant si tu veux ? Je prends une douche et je suis à toi !
Elle me sourit puis presque timidement me demande :
— Je peux la prendre avec toi ?
Sitôt dit sitôt fait ! Nous nous retrouvons dans la salle d’eau et, nus comme des vers, nous entreprenons de nous embrasser goulûment sur toutes les parties du corps.
Marine enlève sa petite culotte puis s’assied sur les toilettes en me regardant d’un air entendu.
Elle écarte largement les jambes et j’avance naturellement mon visage vers son sexe odorant.
— Tu sais, je ne me suis pas encore lavée aujourd’hui…
— C’est exactement comme cela que je t’aime, réponds-je en ramassant sa culotte encore marquée par son odeur sexuelle de la journée.
Je la porte à mes narines qui s’emplissent alors des effluves exhalés par l’odeur sexuelle de la jeune femme.
— Ton odeur est fantastique et j’adore imaginer ta petite chatte emprisonnée durant une journée entière dans ce mini slip rose.
— Elle est maintenant à ta portée, laisse ma culotte et viens plutôt caresser mon minou pendant que je fais pipi.
J’engage donc ma main entre ses cuisses ouvertes puis elle lâche ses écluses, déclenchant un flot d’urine chaude et odorante sur mes doigts. J’en profite pour masser la vulve de ma chérie.
Je rencontre son petit trou plissé et m’attarde un instant sur cet endroit que Marine a appris à connaître grâce à mes visites sodomites.
Je retire ma main et lèche un à un mes doigts explorateurs dégoulinant de pisse.
— Huuumm !!! Que c’est bon ! L’odeur est forte, mais agréable ! C’est un grand cru, il n’y a pas de doutes ! Je veux faire une expérience ! J’aimerais te lécher avant puis après que tu sois lavée si tu le permets. Je voudrais savoir si tu as toujours le même goût !
— Je reconnais bien là l’amateur de gastronomie. J’aimerais plutôt me laver avant que tu ne t’occupes de moi, mais puisque tu insistes, vas-y, je suis toute à toi !
Marine s’allonge sur le tapis en éponge de la salle de bain et je plonge dans son entrecuisse ouverte. Ma langue s’affaire aussitôt sur sa vulve encore humide d’urine et mes doigts s’engouffrent dans ce vagin rosé qui n’attend plus que moi.
L’odeur est forte. Les sécrétions vaginales mêlées à la sueur de mon professeur de physique donnent à son sexe une saveur animale et musquée.
Je l’imagine devant ses élèves, à croiser et à décroiser ses jambes dans son tailleur strict sous son bureau. Pas étonnant qu’une journée de cours donne cette odeur particulière à la chatte de mon amie. Mais l’envie est plus forte que tout et je lèche son minou avec application.
Je manipule avec adresse le clitoris dressé hors de son capuchon et j’aspire les petites lèvres charnues du sexe de mon amie, qui se tortille sur le sol de la salle de bains.
— Oohhh, que c’est bon, continue, lèche moi encore, vas-y, vas-y…
— Mets-toi à quatre pattes que je m’occupe de ton joli fessier !
Elle s’exécute et j’ai à présent son postérieur à hauteur de mon visage.
Continuant ma branlette, j’engage deux doigts dans son vagin lubrifié et entreprends un va et vient intensif entre ses fesses joliment proportionnées.
Mon rythme s’accélère progressivement et Marine hurle à présent sa jouissance alors que j’introduis mon pouce dans son petit trou serré.
Mes trois doigts fouillent maintenant les entrailles de ma belle immolée qui ne s’attendait pas à une intromission aussi soudaine.
— Oohh oui, vas-y, branle moi bien, fouille mon cul, ne t’arrête pas !
Mais cette demande ne correspond pas à ce que j’ai prévu.
— Non, maintenant c’est fini, il faut te laver, on continuera après !
— Oh non, continue, c’est si bon !
— Monte dans la baignoire, nous allons prendre une bonne douche, je continuerai mon repas ensuite. Nous n’en sommes qu’aux entrées, le plat de résistance arrive bientôt.
Nous nous savonnons longuement et après s’être rincés, Marine s’empare de mon sexe durci par cette première expérience et le gobe en faisant un bruit de succion.
Elle lèche et suce comme une reine car elle sait que ma verge doit bientôt être capable de lui perforer le petit trou.
Après cette dégustation, Marine sort de la douche encore plus excitée par ces attouchements et m’entraîne dans la chambre d’amis.
Le grand lit nous attend et elle s’allonge en écartant largement ses jambes magnifiques.
Son pubis légèrement poilu est une invitation à continuer à la manger. Je m’allonge sur mon amie dans un soixante-neuf à l’envers. Elle a donc mon sexe au dessus de sa tête et je plonge à mon tour entre ses cuisses grandes ouvertes.
Nos bouches trouvent de suite à s’occuper. Les bruits de succions emplissent la chambre.
Marine s’applique à aspirer ma verge en me branlant frénétiquement et j’en fais autant avec son minou que j’astique de ma langue agile.
Les râles de plaisir de ma chérie s’accentuent et je décide alors d’arrêter ma manipulation afin qu’elle se concentre sur le reste du « menu ».
Je me redresse, descend de ma monture en l’enjambant et la retourne sur le ventre, massant et aspirant au passage ses petits seins durcis par le désir.
A quatre pattes, Marine attend la suite du programme. Je la saisis par les bras puis les mains, afin qu’elle adopte une position plus cambrée, propice aux attouchements que je vais lui faire subir.
Son cul splendide s’offre à ma vue et j’ai du mal à me retenir pour ne pas la pénétrer de suite.
J’introduis un doigt, puis deux, dans son vagin humide et chaud, et comme promis, mon pouce s’immisce entre les fesses de ma chérie.
Le mouvement de piston de mon doigt commence alors, et Marine pousse à présent des cris étouffés par autant de sensations simultanées.
— Oooooohhhhh oui, oui, oui, continue, c’est fan…tas…tique !!!
J’accélère le mouvement jusqu’à ce qu’elle me supplie d’arrêter, ce qui se produit quelques minutes plus tard.
Toujours dans la même position, je pénètre son vagin lubrifié de cyprine et entame un coït effréné. Marine halète sous mes coups répétés mais je sors soudain de son fourreau d’amour pour pointer ma verge sur son petit trou plissé.
— As-tu un préservatif ? je demande.
Elle se retourne, et comme une professionnelle, gobe mon sexe, une capote dans la bouche et vient le coiffer de la protection.
— Maintenant va-y ! Encule-moi ! J’en ai envie !
Elle reprend sa position, prête à me recevoir dans son fondement.
Je place ma verge au contact de son petit trou et pousse pour forcer le passage.
J’entre dans le cul de Marine qui recommence à haleter au rythme de mes coups répétés.
Je lime avec application l’anus de ma chérie tout en pétrissant ses petits seins qui ballottent légèrement.
Marine crie son plaisir tandis que je masse sa vulve mouillée et son clitoris gonflé d’excitation.
J’en profite pour pénétrer son vagin de deux doigts et elle se met à crier de plus belle.
— Ouiiii, ouiii, vas-y, à fond, oh ouiii, prends-moi !!!
Et effectivement, elle est bien prise, par les deux orifices que la nature lui a donnés.
Je me retire de son fourreau serré, me débarrasse du préservatif et pénètre son sexe d’un coup.
Ma verge disparaît dans la gaine humide qui me parait bizarrement très large et j’inonde Marine d’un flot de sperme que j’ai eu, jusqu’à présent bien du mal à contenir.
Elle jouit de sentir la vague chaude de ma semence inonder sa chatte.
J’essuie soigneusement son minou avec un gant de toilette humide afin de ne pas tacher les draps.
(J’adore laver le sexe de mes partenaires après l’amour, surtout lorsque le sperme s’écoule encore des entrailles rougies par le coït)
Elle s’affale, usée par ces exercices physiques intenses, puis se tourne vers moi et m’embrasse tendrement.
— On reprend une douche ? me demande-t-elle.
— OK, on y va, mais après, dodo, demain on se lève tôt pour aller chez Océane !
Nous nous couchons rapidement. Marine vient à mes côtés, saisit ma verge, la lèche de quelques coups de langue rapides, puis profitant de sa raideur l’introduit dans son sexe encore insatisfait.
Je pousse légèrement afin de m’installer au fond d’elle, mais je n’entame aucun mouvement.
Nous nous endormons enlacés l’un dans l’autre jusqu’au lendemain.
Dimanche matin 8h00.
Le réveil ne sonne pas mais une irrépressible envie de passer aux toilettes me tire du sommeil.
Marine dort toujours à mes côtés, le drap ne couvrant que le bas de ses jambes.
Elle est étendue sur le ventre, les jambes légèrement écartées, et je ne peux m’empêcher de regarder en direction de sa fente.
Sa chatte semble me lancer un appel, mais je m’en occuperai en revenant des WC.
Un aller et retour rapide, puis je rejoins ma petite chérie dans la chambre d’amis.
Elle bouge à peine quand je m’allonge à ses côtés.
Elle a écarté à nouveau ses cuisses et je la soupçonne un instant de ne pas vraiment dormir…
Son sexe est à présent bien visible, depuis le mont de Vénus jusqu’au petit trou brunâtre et plissé.
Elle est dans une position vraiment cambrée et j’apprécie la vue que Marine m’offre alors.
Ses petites lèvres ourlées qui pendent au milieu des courts poils pubiens présents entre ses jambes semblent m’inviter à un petit déjeuner gourmand.
Quoi de plus délicieux en effet que de déguster cette mignardise qu’est un sexe féminin au réveil ?
Ce que j’entreprends aussitôt.
Je m’approche de sa vulve magnifique, mon visage n’étant qu’à quelques centimètres de son pubis odorant. Ma tête tourne, tant mes sens sont perturbés par cette posture indécente.
J’écarte délicatement les nymphes rosées puis commence à lécher la vulve, ma langue explorant toute la surface externe de son sexe. Je mouille et caresse sa chatte dans les moindres recoins et je constate que ma belle commence à se tortiller sous mes coups de langue répétés.
— Huummm !!! Mais qu’est-ce que tu fais ? Ouiii, comme c’est bon ! Mais j’ai envie de faire pipiii…On continuera après… Dit-elle encore à moitié endormie.
Marine est réveillée, et elle s’assoit dans le lit me chassant de mon poste d’observation exceptionnel.
— Tu descends ? je lui demande.
— Ouiiiii, il faut que j’aille aux toilettes !
— Attends-moi, je t’accompagne !
Arrivés dans la salle d’eau, Marine s’assied sur les toilettes.
— Attends, j’ai une meilleure idée, monte dans la baignoire !
Marine escalade la paroi, je fais de même et m’assied dans le bac face à elle, juste entre ses jambes.
— Vas-y maintenant, tu peux pisser !
Elle lâche ses écluses et un flot d’urine chaude et fortement odorante s’écoule de sa jolie chatte.
Je colle ma bouche à son urètre afin de ne pas en perdre une goutte.
Je sens son urine couler et profite de l’occasion pour lécher le sexe de ma chérie.
Elle recommence à se tortiller sous mes coups de langue agiles alors que je m’égare dans son vagin humide.
— Ohhhh, oui, continue, lèche moi bien, c’est booon !!
Ma langue s’active dans sa chatte, tandis que ma verge tendue commence à me faire souffrir.
J’ouvre le robinet de la douche et commence à savonner ma chérie de la tête aux pieds en m’attardant bien sûr sur ses seins aux tétons durcis, en descendant sur son dos et sa chute de reins incomparable, puis sur ses fesses fermes, son petit trou puis sur son minou encore sensible à la caresse du gant de toilette.
Elle tressaille lorsque je passe le gant humide sur sa fente poilue puis s’agenouille entre mes jambes pour prendre ma verge dans sa bouche.
Elle entame une fellation digne de ce nom et mon sexe reprend de la vigueur tant sa caresse buccale est insistante.
Nous nous séchons, puis j’invite Marine à poser le pied droit sur le bord de la baignoire.
Elle lève sa jambe et je m’introduis dans son vagin humide après avoir frotté longuement mon gland entre ses petites lèvres charnues.
J’enfile ma chérie profondément et je sens aux contractions de son minou qu’elle va bientôt venir. Mes coups répétés sont accompagnés de bruits provoqués par nos lubrifications intimes et Marine, dans un concert de gloussements, est soudain prise de tressaillements incontrôlés.
Nos râles de plaisir envahissent la salle d’eau tandis que j’éjacule dans la raie des fesses de ma tendre amie.
Je reprends le gant de toilette et après avoir patiemment lavé le sexe de ma chérie, nous sortons de la baignoire.
— Il faut y aller maintenant, Océane va s’impatienter ! dis-je
En effet, il est presque dix heures lorsque nous arrivons à l’appartement de notre amie commune. Après plusieurs appels, Océane vient nous ouvrir en petite tenue. Sa nuisette ne cache pas grand- chose de ses formes exceptionnelles. Sa taille de guêpe et ses seins hauts perchés semblent une invitation à l’amour.
Après de longues embrassades, nous nous retrouvons dans le salon à apprécier ce moment plus que convivial. Cela fait déjà un mois que nous ne sommes pas vus.
— Alors Océane, quoi de neuf ?
— Pas grand-chose, me dit-elle avec une sorte de moue sur le visage.
— Qu’as-tu fais de ton mois passé, tu vas bien ?
— Mmmoui ! Ça va et vous ?
— Nous ? répond Marine, depuis hier soir où on s’est retrouvé, on a fait l’amour comme des bêtes et toi, ça va de ce côté ?
— Oui, mais je dois vous avouer qu’il y a du changement dans ma vie sentimentale. J’ai fais la connaissance d’une fille super et nous nous voyons assez régulièrement.
— Une fille ? Et comment est-elle ? Je veux dire physiquement, bien sûr, je demande, impatient.
— Assez jolie, elle te plairait certainement, mais je doute qu’elle veuille participer à nos ébats car elle n’aime pas trop les hommes.
— Nous verrons bien, quand peut-on la rencontrer ?
— Tu pourrais la voir plus vite que tu ne le penses. Elle dort encore, nous avons eu une nuit assez agitée…
— Tu veux dire qu’elle est dans ta chambre ? Il faut que je voie çà !
A pas feutrés, nous nous dirigeons donc vers la chambre d’Océane. Son grand lit trône au milieu de la pièce encore emplie des effluves amoureux de la nuit passée.
Une forme se détache sur la couche défaite et je m’approche à pas de loup vers la demoiselle.
Elle est étendue nue sur le dos dans la pénombre, les bras recouvrant son visage et ses jambes légèrement écartées.
— Tu crois que je peux y aller ?
— Essaie, tu verras bien.
Je suis très excité à l’idée d’être observé par mes deux amies tandis que je vais tenter de baiser une inconnue dont j’ignore encore le nom.
Je m’approche du lit silencieusement et commence à effleurer le corps de la jeune femme.
Ma bouche parcourt le cou, puis descend vers la poitrine développée, s’attarde sur les tétons en les mordillant légèrement puis continue sa progression en direction de son ventre plat.
Ma langue s’aventure plus bas vers son minou totalement épilé qui laisse apparaître une fente aux petites lèvres charnues comme je les apprécie.
La belle inconnue commence à se trémousser, sans doute pensant à Océane voulant agréablement la réveiller…
— Mmouiii ! Tu me lèches bien ma chérie, continue, tu sais que j’adore çà !
J’écarte donc un peu plus ses cuisses et m’immisce vers sa chatte accueillante. Elle est maintenant à portée de langue et j’entreprends d’ouvrir ses lèvres gonflées. Son clitoris assez gros roule sous mes coups de langue et la belle entame une danse du ventre effrénée.
— Oh ouiii, tu vas me faire jouir, continue, encore, ouiii…
Après ces encouragements, je ne peux que m’exécuter et je continue donc mon exploration vaginale. J’introduis un doigt puis deux dans la chatte mouillée de ma nouvelle conquête qui continue à se tortiller. Mon va et vient incessant provoque en elle un orgasme fulgurant.
Elle crie son plaisir comme jamais je ne l’ai entendu.
Quelle n’est pas ma surprise lorsqu’un flot de liquide éclabousse le lit, tandis qu’elle est prise de soubresauts incontrôlés. Mes mains sont trempées d’une substance que je n’arrive pas à identifier. Visqueuse comme de l’huile et odorante. On dirait un mélange de cyprine et d’urine…
Puis c’est le réveil…brutal de ce rêve éveillé. Océane se dirige vers l’interrupteur qui commande l’ouverture des volets électriques et le jour entre brusquement dans la chambre dévoilant mon identité et la nudité de ma belle inconnue. Elle sursaute lorsqu’elle me voit sur le lit et cache les parties intimes que j’avais si bien explorées.
— Mais qui êtes vous et que faites-vous dans ma chambre ? Me dit-elle sur un ton agacé.
— Je suis l’ami des deux demoiselles que voici. Lui répondis-je naturellement.
— L’ami ? Océane ne m’a jamais parlé de vous !
— Tu ne lui a pas encore raconté nos aventures Océane ? Tu aurais dû, les présentations auraient été plus rapides.
— Je te présente donc mes meilleurs amis, Sylvie.
Sylvie semble décontenancée devant nous trois. Elle s’est abandonnée sous la langue d’un homme et a failli aux principes lesbiens.
C’est une femme assez jolie, la trentaine, grande aux cheveux châtains longs qui tombent sur ses épaules. Sans être un canon, elle est quand même bien roulée. Ses seins fermes sont surmontés de jolis tétons brunâtres et son minou épilé laisse apparaître une vulve charnue des plus appétissantes.
Je viens d’ailleurs d’y goûter…
— C’était bon tout de même Sylvie ?
Sylvie ne me répond pas et je constate que je l’embarrasse.
— Excuse-moi pour cette incursion dans ta chambre, je n’ai pas pu résister à tes charmes.
— Tu es excusé mon ami ! Personne ne m’avait encore léchée comme toi. Tu es vraiment doué et si tu me fais la promesse de ne jamais me pénétrer tu pourras à loisir recommencer à caresser mon minou.
— Promesse tenue, on recommence !
Les rires fusent dans la chambre tandis que Marine et Océane se dirigent vers nous.
— On fait quoi ? Me dit naïvement Océane.
— Que pourrait-on faire ?
— L’amour ! crie Marine
— À quatre c’est encore meilleur, non ?
— J’ai juste un petit problème, nous avoue Océane. Je crois bien que j’ai mes règles.
— Pas de souci, je ne m’occuperai pas de ton minou, lui réponds-je en pensant à sa petite rondelle plissée.
Océane et Marine se dirigent vers le grand lit tandis que Sylvie part aux toilettes faire quelques ablutions.
Je prends Océane dans mes bras et lui donne un baiser fougueux.
Nos langues se mêlent et nos mains cherchent à caresser nos sexes.
Je sens sous mes doigts une forme dans sa petite culotte.
— Tu as mis une serviette ? Tu devrais plutôt essayer un tampon, c’est moins risqué.
— C’est vrai, je vais en chercher un !
Océane se dirige vers la salle de bains et revient avec un tampon périodique dans la main.
Elle ôte la serviette légèrement souillée de sa petite culotte et déballe le tampon.
— Attends, je vais te le mettre ! Mets toi à quatre pattes, ce sera plus facile.
Océane obéit et me présente ses jolies fesses.
Je saisis le tampon, écarte légèrement ses petites lèvres puis l’introduis dans le vagin en poussant sur l’applicateur.
Le tampon entre sans difficulté car malgré ses règles, la scène à laquelle elle vient d’assister l’a déjà bien fait mouiller.
— Ouf ! Ça fait drôle, je n’ai pas trop l’habitude ! Ça me remplit toute la chatte !
Je retire l’applicateur, laissant tomber le fil contre sa vulve.
— Reste comme tu es, tu es bandante comme tout dans cette position. Lui dis-je avec admiration.
Et c’est vrai. Ma queue commence à être à l’étroit dans mon pantalon et une belle tache marque la bosse que fait mon sexe.
J’entreprends de me déshabiller, aidé par Marine qui commence aussi à être excitée par la situation.
Ma verge bondit hors de mon slip et je me retrouve, les mains posées sur le postérieur d’Océane à mater son mignon petit trou.
— On recommence par derrière ?
— Je veux bien, mais je ne suis pas beaucoup mouillée !
— Je vais arranger çà ! Marine, viens vers nous et mets toi à côté d’Océane !
Marine prend la même pose que son amie et je lâche un instant Océane pour aller me placer derrière elle. Je prends Marine par les fesses, vient frotter ma verge entre ses petites lèvres, puis pénètre mon amie tendrement. Marine mouille toujours beaucoup et tandis que je la lime, je prends soin de récupérer sa cyprine entre mes doigts.
Océane qui attend mes services, est surprise quand mon index entre sans difficulté dans son fondement. La cyprine à Marine, quel lubrifiant !
Mon doigt fouille son cul en élargissant progressivement le petit trou.
Océane pousse des petits cris qui trahissent son plaisir.
Un autre doigt entre en action et ce sont maintenant l’index et le majeur qui s’activent entre les fesses de ma chérie.
— Oh oui, fouille moi bien, remue tes doigts, c’est bon !
Je branle le cul d’Océane mais je continue tout de même à enfiler Marine qui glousse sous mes coups répétés. Nos sécrétions abondantes se mêlent et le bruit de la pénétration emplit la chambre.
Marine explose avant moi et c’est bien ainsi, car il faut maintenant que je m’occupe du cul d’Océane. Je me retire donc de ma chérie et vient me placer derrière Océane qui commence à s’impatienter.
Marine place un préservatif sur mon membre tendu et vient pointer l’anus plissé d’Océane.
— Attends, Marine.
Je me replace entre ses cuisses et vient cueillir sa cyprine afin de lubrifier encore un peu plus mon sexe tendu. Je viens m’appuyer sur la rondelle d’Océane, prête à m’accueillir dans son cul magnifique et appuie afin de la pénétrer en profondeur.
Ma verge entre sans difficulté dans son magnifique postérieur.
Mes mouvements dans ses intestins s’accélèrent tandis que ma belle immolée pousse des cris de plaisir.
Sylvie, alertée par les appels d’Océane accourt vers son amie qu’elle découvre empalée par le cul sur mon pénis tendu.
— Mais qu’est-ce que tu fais là ! s’écrie Sylvie.
— Looch, c’est bon ma chérie, tu devrais essayer, par derrière c’est encore meilleur !
— Mais c’est vrai qu’il te prend par derrière, il t’encule ! Et tu n’as pas mal ?
— La…première…fois…oui…un… peu…mais…quand…c’est…bien…fait…c’est…super ! Ahane Océane entre chaque va et vient que je lui administre.
— Et en plus, elle a ses règles, un tampon dans la chatte ! je précise.
— D’ailleurs, tu peux te faire lécher, tu as deux femelles en chaleur à ta disposition !
— Pour varier les plaisirs, j’ai apporté de quoi s’amuser un peu, répond Sylvie en exhibant fièrement deux godes dans leur emballage d’origine.
Sylvie sort ses jouets et les présente à Marine en lui expliquant le fonctionnement.
Elle lui donne un modèle, puis vient se positionner tête bêche sur mon amie.
Marine sait de suite comment faire. Elle dirige la pointe du gode entre les lèvres sexuelles de Sylvie qui commence à gémir et à se tortiller. Sylvie en fait autant, prenant Marine avec son instrument.
Les deux femmes jouent de leurs godes et de leurs langues avec virtuosité et les engins entrent et sortent des vagins humides dans un rythme lent et cadencé.
Ma blonde se tortille encore sous mes assauts et je lime son petit anus avec application, sortant quelquefois mon sexe pour examiner ses entrailles écartelées et rougies par la perforation.
— Oh oui… c’est bon… continue… ne te retire pas… je coule…je viens…ciconiidé !!!
Océane m’offre le plus bel orgasme anal encore jamais vu. Je sors mon sexe de son anus et elle enlève le préservatif pour me sucer délicatement.
— Il m’en faut encore ! dis-je à Océane, déçue que je ne puisse éjaculer dans sa bouche.
Profitant de la position en soixante-neuf des deux filles, je pointe mon dard en direction de la chatte de Sylvie.
— Je peux m’introduire, Sylvie ? Une bite c’est quand même mieux qu’un gode, non ?
Sylvie hésite un instant en lorgnant du côté de mon sexe en érection.
— Tu peux ! me dit-elle. Mais avant viens vers moi que je te mette une capote.
Après avoir mis un nouveau préservatif, je place mon sexe en contact avec sa vulve.
Un léger va et vient entre ses petites lèvres et ma verge disparaît dans son vagin chaud et humide.
— Looch, comme c’est bon, j’avais oublié comment un sexe d’homme pouvait être agréable…
Incroyable ! J’ai remis Sylvie dans le droit chemin ! Elle ne déteste plus la gent masculine.
Elle, qui quelques instants auparavant m’interdisait de la pénétrer !
Je lime encore le sexe de ma nouvelle amie en insistant sur la paroi antérieure du vagin.
L’endroit nommé point G étant chez certaines femmes source de jouissance extrême.
Marine quant a elle, n’a pas quitté sa position et se fait brouter le minou par Sylvie qui a abandonné son jouet.
Abandonné ? Pas pour tout le monde, car Océane se l’est approprié et continue de se caresser avec le joli gode rose.
Ne pouvant plus retenir ma jouissance, j’éjacule dans le minou humide de Sylvie qui se tortille furieusement sur ma bite. Je me retire du vagin accueillant alors qu’elle est prise de spasmes annonciateurs.
Un long jet de liquide sort à nouveau de sa chatte imberbe et nous devons nous écarter pour éviter un arrosage intempestif. Les spasmes s’espacent et Sylvie se calme.
Marine quant à elle, toujours entre les jambes de Sylvie, s’est retirée juste à temps.
Le lit des filles est maintenant trempé.
— Et si on faisait un concours ? je suggère aux trois filles.
— Un concours de quoi ? répondent-elles en chœur.
— Maintenant que le lit est mouillé, on pourrait faire un concours de pisse !
— Un concours de pisse, qu’est-ce que c’est ? questionne Océane.
— J’explique ! Océane, as-tu de la bière dans ton frigo ?
— Oui, bien sûr, il doit m’en rester quelques canettes, mais pourquoi faire ?
— Pour les boire pardi !
— Beurk ! Boire de la bière ? réplique Sylvie.
– Tu peux y ajouter de la limonade ou une autre boisson gazeuse, mais la bière pure fais mieux effet tu sais.
– Et après, que fait-on ? La bière ça fait pisser !
— Justement, après c’est à celle qui pisse le plus et de la façon la plus originale. On peut faire un jeu de défis…
— OK, je suis partante ! dit Marine.
— Allons-y ! disent les autres filles, sûres de gagner l’épreuve.
Océane va donc chercher les canettes et quelques verres à la cuisine tandis que les filles s’affairent à enlever les draps souillés avant que le liquide ne tache le matelas.
— Il nous faut une alèse, ce sera plus confortable.
Océane fouille dans ses armoires et revient avec une protection imperméable que nous installons sur le matelas du grand lit.
— Et voilà, je déclare le concours ouvert !
Les canettes sont débouchées et vidées assez rapidement.
Les têtes commencent à tourner et les filles s’assoient rapidement sur le lit en essayant de former un cercle.
— Mouhoun !!! J’ai envie de faire pipi ! dit Océane.
— Tu ouvres le bal ma chérie ! Attends, je vais chercher un saladier ! dis-je à ma pisseuse.
De retour de la cuisine, je fais tourner une canette vide sur la table de chevet afin de lancer un défi.
La bouteille s’arrête sur ma voisine.
— Tu dois lancer un défi, Sylvie !
Sylvie hésite et s’adresse à Océane.
— Pisse dans le saladier et fais-nous goûter ton pipi !
Océane s’empare du saladier, s’accroupit au dessus, écarte ses petites lèvres et lâche un flot d’urine qui glougloute agréablement dans le récipient.
Elle tire légèrement sur le haut de ses petites lèvres pour diriger précisément l’écoulement du nectar et on distingue nettement son méat ouvert dans sa vulve rougie. Le fil du tampon pend du vagin et cette vision obscène est vraiment excitante, même pour les filles.
— Alors, goûtons un peu cette liqueur ! je lance aux filles.
Je prends le saladier et le fais passer à ma voisine de gauche.
Marine porte le récipient à sa bouche et trempe pour la première fois ses lèvres dans de l’urine chaude. Elle hésite puis boit une gorgée de pisse.
— Hum !! C’est pas mauvais ! Ce n’est pas du tout l’odeur qu’on imagine ! Ta pisse a un arrière goût de jus de pomme Océane !
Le saladier arrive vers Sylvie qui goûte également à l’urine.
— Oh oui, je reconnais bien là l’odeur de ma petite chatte blonde ! »
Le saladier arrive vers moi et je goûte à la pisse de ma chérie. Elle est légèrement plus forte que d’habitude, peut-être à cause des règles…
— A mon tour de faire tourner la bouteille ! dit Océane.
La bouteille tourne et s’arrête sur moi.
— Chic, je vais te lancer un défi ! réplique fièrement Océane. Bois à la source de Sylvie !
— Si ça peut te faire plaisir, je le ferai et je boirai même toute la liqueur de Sylvie ! Si bien que vous n’y goûterez même pas !
— Peux-tu te mettre debout Sylvie ?
Elle s’exécute et se dresse sur le lit. Je positionne mon visage exactement entre ses jambes, maintenant ses fesses avec mes deux mains. Je colle ma bouche sur son sexe, ma langue écartant ses petites lèvres et attendant que Sylvie ouvre ses écluses.
Comme elle n’arrive pas à pisser je me mets à lécher sa vulve et à titiller son gros clitoris.
Elle se tortille puis finit par uriner dans ma bouche.
La pisse chaude coule maintenant en abondance et j’ai du mal à contenir le flot trop important qui dégouline le long de mon visage.
Je bois au méat de Sylvie comme on boit directement le lait au pis de la vache et sans pouvoir contrôler le débit du précieux nectar. Je finis par cracher le surplus de pisse dans le saladier car je n’arrive plus à avaler et j’ai de plus, une forte envie d’uriner.
— Tu peux continuer ce que tu as commencé ? me demande Sylvie.
— Avec grand plaisir ! Allonge-toi sur le dos et écarte bien les jambes.
Sylvie s’allonge, écarte en grand ses cuisses fuselées et je plonge tête la première sur sa fente charnue et imberbe. Ma langue pointue pénètre son vagin et parcourt sa vulve de long en large.
Ma compagne de jeu devient folle lorsque j’introduis deux doigts dans son coquillage humide.
J’insiste particulièrement sur la paroi antérieure de l’organe du plaisir. Mes doigts vont et viennent dans sa chatte et Sylvie ne tarde pas à monter au ciel. Des convulsions impressionnantes la secouent, même après que j’ai retiré mes doigts. Un jet de mouille monte au plafond en nous éclaboussant et nous pouvons alors goûter à cette liqueur particulière.
Les lèvres de son sexe, triturées et écartelées, ont pris maintenant l’apparence d’un papillon.
— Oh que c’était bon ce que tu m’as fait mon ami ! J’aimerais qu’Océane m’en fasse autant, il faudra que tu lui apprennes !
— Pas de souci, la prochaine fois tu serviras de cobaye !
Puis vient le tour de la dernière candidate : Marine, qui se trémousse depuis un moment, tant elle a envie de pisser.
— C’est moi qui vais te lancer le défi ! j’ordonne à Marine.
— Tu dois faire pipi dans la bouche de chacun de nous et terminer par toi ! Attention de bien doser ton arrosage, il en faut pour tout le monde !
Nous nous mettons donc à genoux, attendant que Marine vienne nous faire goûter à son breuvage. Elle commence par Océane qui ouvre la bouche, attendant le jet doré.
Marine urine dans sa direction et Océane a droit à sa dose de pisse chaude.
Puis vient le tour de Sylvie qui n’a pas le temps d’ouvrir la bouche tant Marine a une envie pressante.
J’attends mon tour avec impatience et quand Marine vient se placer devant moi je colle ma bouche à son sexe odorant et fouille de ma langue la chatte poilue de mon amie.
Ce qui ne l’empêche d’ailleurs pas de continuer à uriner, faisant déborder le réceptacle que forme ma bouche avide de sexe.
— Stop ! je crie.
— A ton tour maintenant, couche-toi sur le dos, on va t’aider à pisser !
Marine s’allonge, puis aidé par mes amies, je relève ses jambes de sorte qu’elles viennent presque en contact avec sa tête.
Elle est à présent offerte à nos regards, dans une position qui nous révèle les charmes de son intimité. Un jet de pisse sort de sa chatte et vient couler sur sa tête. En ajustant sa position, nous nous amusons à viser sa bouche. Puis sa chatte est écartelée et son anus fouillé par les doigts de Sylvie et d’Océane, toutes deux excitées par la scène qui vient de se jouer sous leurs yeux.
Vient alors mon tour. Je propose aux filles d’arrêter notre jeu car il devient difficile de continuer dans ces conditions. Elles refusent d’emblée et m’offrent de continuer dans la salle d’eau, ce qui nous permettra de nous laver mutuellement.
J’accepte bien entendu ces conditions et nous nous dirigeons joyeusement en direction de la salle de bains.
La baignoire standard a bien du mal à tous nous accueillir mais en se serrant un peu, les filles peuvent s’y tenir. Pour ma part, je dois rester sur le carreau !
Je m’apprête à uriner dans le toilette quand les filles réclament leur du.
— On aimerait aussi que tu nous pisses dessus ! réclament-elles.
Pas de souci, je vais bientôt exaucer leurs vœux. Mes trois femelles sont maintenant à genoux dans la baignoire et je les asperge d’un long jet d’urine, les couvrant de la tête aux pieds.
Après ces ablutions particulières, elles m’invitent à monter dans la baignoire/pissoir, ce que je fais d’emblée.
Nous nous savonnons ensuite largement, profitant au passage pour caresser nos sexes encore humides de nos expériences urologiques.
Accroupit dans la baignoire, je peux voir mes trois chattes savonnées.
Avec le pommeau de douche, je les rince et lave de ma langue les vulves ruisselantes de mes trois amies. Océane se présente vers moi et me demande d’ôter son tampon. Je m’agenouille à ses pieds et tire doucement sur le petit cordon blanc de la protection.
Le tampon sort lentement du vagin de ma chérie, il est rougi et gonflé par le flux menstruel et bon à remplacer.
Océane lave donc consciencieusement son petit minou puis me tend un autre tampon.
— Peux-tu me le mettre s’il te plaît ? me demande-t-elle timidement.
— Avec grand plaisir ! Je vais le lubrifier un peu, ce sera plus agréable.
— Je porte l’applicateur du tampon à ma bouche et suce longuement le tube de plastique avant de l’introduire dans la jolie chatte blonde d’Océane.
— Oh oui, c’est tellement meilleur comme çà ! me dit-elle satisfaite par mon service.
Le tampon en place au fond du vagin je retire l’applicateur, rangeant le cordon entre les lèvres de la vulve de mon amie. Son minou est tellement charmant que je ne peux m’empêcher de l’embrasser longuement, faisant jouer ma langue entre ses petites lèvres charnues et pendantes.
— Il n’y a aucune raison pour que tu ne jouisses pas de la chatte ! dis-je à Océane qui se trémousse déjà sur ma bouche.
J’astique son petit bouton et quelques minutes après, Océane jouit, couvrant ma face de sa liqueur d’amour.
Sylvie et Marine descendent à leur tour de la baignoire, se sèchent puis se rendent dans le salon.
Je reste quelques instants avec Océane puis nous les rejoignons dans le séjour.
Avant d’entrer dans la pièce, nous entendons des gloussements qui semblent provenir de nos deux amies.
Quelle n’est pas notre surprise en les trouvant sur le canapé, se chevauchant dans un soixante neuf endiablé ! Les jeunes femmes se lèchent, faisant jouer leurs langues dans leurs sexes inassouvis et aspirant leurs petites lèvres jusqu’à crier de douleur. Les bruits de succion et les râles de plaisir envahissent le salon, ce qui provoque en moi une érection instantanée.
— On pourrait varier les plaisirs ? je demande aux filles en entrant dans la pièce.
Surprises de nous voir, Marine et Sylvie cessent leur broute-minou et se redressent pour s’asseoir sur le sofa.
— J’aimerais vous prendre toutes les deux ! Toi Sylvie sur ma bouche et toi Marine sur ma bite !
Je m’allonge sur le canapé, Sylvie vient s’accroupir face à moi sur mon visage, tandis que Marine excite sa chatte en frottant ses petites lèvres sur mon sexe en érection. J’ai alors tout loisir de brouter le sexe de Sylvie qui se frotte sur mon nez, enserrant ma tête dans l’étau de ses cuisses.
Ma langue s’insinue dans les replis vulvaires et dans le vagin ouvert de la femme en chaleur.
Je titille le clitoris enflé et ma bouche aspire les petites lèvres ourlées de sa moule imberbe.
Marine quant à elle, frotte sa vulve écartelée sur ma verge durcie.
Elle se sert de mon gland pour exciter son petit clitoris et balade ma queue sur toute la surface de sa chatte humide.
De temps à autre, ma verge s’égare pour aller visiter l’entrée de son petit trou, histoire de me rappeler son attirance pour la sodomie.
Puis, d’un coup elle s’empale et je sens alors mon sexe littéralement aspiré par son vagin brûlant.
C’est elle qui entame les mouvements du coït, tant elle est excitée par la situation.
Elle me chevauche et profite de sa position pour masser largement les seins de Sylvie qui barbouille de cyprine mon visage rougi par les frottements de son cul.
Sylvie accélère le rythme et se tortille de plus en plus sur ma langue.
Marine en fait autant sur ma bite et je sens aux contractions rapprochées de son vagin qu’elle va bientôt jouir.
Ses râles se transforment en cris lorsque l’orgasme la prend et elle est secouée de spasmes lorsque j’éjacule dans son joli minou poilu.
Sylvie vient juste après. J’ouvre en grand ma bouche et la plaque sur sa vulve afin qu’elle ne souille pas le canapé en cuir de ses sécrétions vaginales. Elle râle, alors qu’un long jet vient frapper le fond de ma gorge. J’avale donc tout ce qui sort de sa chatte. Le nectar est chaud et délicieux.
Son goût ne ressemble à rien de connu et lorsqu’elle a fini d’éjaculer je lèche son minou afin de ne pas en perdre une goutte.
Sylvie frotte encore sa moule sur ma bouche comme pour calmer la tempête qui vient de la dévaster. Marine, toujours derrière elle, vient caresser à nouveau ses jolis seins fermes et déposer sur sa bouche un baiser amoureux. Son amie le lui rend en l’embrassant fougueusement et en la faisant rouler sur le côté. Les deux femmes font jouer leurs langues et j’assiste à nouveau à une belle leçon de lesbianisme.
Les baisers se calment lorsque Océane vient nous rejoindre.
— Et si tu nous enculais comme la dernière fois ?
— L’une après l’autre ? J’aimerais bien, mais il faut quand même que je récupère ! Es-tu d’accord Sylvie ?
— Je ne l’ai jamais fait et je ne sais pas si j’aimerai !
— Pour le savoir, il faut que tu essayes, répond Océane d’un air décidé.
L’important est de bien te lubrifier et si tu ne mouilles pas assez, Marine t’aidera.
Sa cyprine lubrifierait même les portes qui grincent !
Un fou rire nous emporte. Les filles s’approchent de moi, m’assoient sur le tapis de sol et viennent me présenter leurs magnifiques fessiers.
Océane se cambre, me montrant son minou blond d’où sort le cordon du tampon.
Même dans cette période peu propice aux léchouilles, je désire sa délicieuse petite chatte.
Elle est une véritable invitation à la déguster…Son petit trou plissé aussi d’ailleurs.
Marine se présente de la même façon.
Ses fesses dodues de femme mûre viennent chatouiller mon pénis qui reprend doucement des forces.
Elle se recule afin que j’admire le reste de ses charmes. La fente que fait son cul est délicieusement bandante.
A l’envers de sa chatte légèrement poilue, trône son petit trou du cul auréolé de brun.
Encore une invitation à la pénétration…
Sylvie vient elle aussi me présenter l’envers de sa personne. Aucun poil n’est présent sur son anatomie.
Tout est net et propre. Sa moule bombée trône fièrement entre ses cuisses fermes et son petit anus que je vais bientôt déflorer ne fait qu’accentuer mon érection.
— Avant de festoyer, il faudrait peut-être passer aux toilettes, histoire de laver un peu tous ces petits trous !
Sylvie ne comprend pas pourquoi elle doit se laver.
— Les filles vont t’expliquer.
Marine et Océane entraînent Sylvie jusqu’à la salle d’eau pour des ablutions un peu particulières.
Elles assoient leur amie sur le bidet, remplissent une poire à lavement d’eau tiède et, après avoir introduit la canule dans son fondement, injectent lentement le liquide dans ses intestins.
— Oooohh, ça me remplit, c’est chaud, c’est bon, je vais me vider…
— Attends un peu, il faut garder l’eau en toi un instant pour que tu sois bien lavée, réponds Marine.
Sylvie se retient un instant, puis n’en pouvant plus, s’assied sur la cuvette des toilettes et relâche son sphincter. Dans un bruit de pet mouillé, son anus lâche un jet d’eau brunâtre.
— Tu peux te laver, maintenant, dit Océane en lui tendant un gant de toilette.
Les deux autres filles jouent un instant au docteur en s’injectant chacune un lavement.
Les anus tout propres sont maintenant prêts à se faire chatouiller.
— Venez vers moi que je vous inspecte !
Les filles se penchent afin que je renifle les petits trous du cul et vérifie qu’il ne reste pas de traces douteuses.
— Aujourd’hui, je vais vous enfiler sans capotes, vous êtes d’accord ?
Les filles ne sont pas contre, aucun de nous n’ayant de maladie sexuelle.
Pour la première fois je vais donc visiter les entrailles de mes amies sans protection.
— Qui veut commencer ?
— Il faut préparer Sylvie ! répond Marine.
— Comment çà ?
— Mets-toi à quatre pattes, ce sera plus simple.
Sylvie s’exécute et présente son derrière à l’assemblée. Marine et Océane s’emparent du magnifique fessier, le caressent longuement et tendrement, le mordillent et l’embrassent avec application.
Sylvie commence à mouiller et les filles fouillent sa chatte afin de récupérer la précieuse cyprine.
C’est Marine, en grande prêtresse de la sodomie, qui engage son index dans l’anus de Sylvie.
— Détends toi ma chérie, fais comme quand tu vas aux toilettes, laisse ton petit trou s’ouvrir, autrement ce sera douloureux…
Sylvie obéit et relâche son anus qui émet un pet bruyant et heureusement inodore.
Nous partons une nouvelle fois dans un fou rire incontrôlé.
Marine a maintenant l’index complètement entré dans le cul de Sylvie et fouille ses entrailles.
Elle tourne son doigt dans le petit trou en essayant de l’élargir. Océane se joint à son amie et engage elle aussi un doigt dans le cul de Sylvie qui halète comme un animal blessé.
Je rejoins mes amies qui se trouvent à présent à mes côtés. Je m’avance jusqu’au petit trou et y dépose un filet de mouille prélevé dans la chatte à Marine.
Mon dard vient se placer sur l’anus et je pousse légèrement afin de le faire pénétrer.
— Ouille, tu me fais mal ! Doucement, oui vas-y, encore, doucement…
Ma verge pénètre lentement dans les entrailles de Sylvie afin de ne pas la blesser.
Le plaisir est immense, pour l’enculeur comme pour l’enculée.
— Oh que c’est bon, c’est terrible de te sentir dans mon cul ! J’adore cette sensation, c’est fantastique !
Sylvie apprécie donc la bite dans le cul et j’en suis ravi.
Après l’avoir réconciliée avec les hommes, voilà maintenant que je la déflore du petit trou.
C’est sensationnel !
— Oh, ta bite me fouille bien, remue un peu plus vite, c’est bon, ooooohhhh !!
Constatant l’état dans lequel entre Sylvie, je passe machinalement ma main sur sa chatte pour vérifier son excitation.
Effectivement, elle mouille abondamment, ma main est trempée. Je la porte à ma bouche et suce mes doigts avec délectation.
La saveur vaginale de Sylvie est exceptionnelle. Un mélange sucré salé inimitable…digne des meilleurs menus exotiques
Je fais pénétrer un doigt dans sa moule trempée et Sylvie pousse un léger cri de contentement.
Une idée me vient alors à l’esprit et je demande à Océane :
— Peux-tu aller chercher le gode mon amour ?
Océane part dans la chambre et revient avec l’instrument rose vif.
— Oh non, pas çà ! Crie l’empalée.
— C’est toi qui a apporté ces engins, alors maintenant il faut assumer.
Je saisis le vibromasseur et enfile tendrement Sylvie par le vagin.
Elle est à présent prise des deux côtés et se tortille tant le plaisir la submerge.
J’enclenche l’interrupteur qui commande le sex-toy et Sylvie se met à hurler de plaisir.
Mes coups de queue dans son cul associés aux vibrations du gode dans son vagin la font rapidement monter au ciel dans des contractions incontrôlées.
— Oohh, oohh, oohh, oohh ! je coule, je coule, aahh !!, aahh !! aahh ! je viens, je viens !!
Les filles se sont écartées tant les gesticulations de Sylvie sont impressionnantes.
Je me retire de son cul sans avoir eu le temps d’éjaculer et je retire également le gode de sa chatte.
— Oooohhh, ooohhh, que c’était bon… on recommencera encore hein mon chéri !
— Quand tu veux, ma bite sera toujours prête à te satisfaire Sylvie ! »
Marine et Océane ont assisté à la scène et sont également bien excitées.
Océane se saisit de ma verge et entame une fellation afin de lui redonner vigueur et Marine m’embrasse fougueusement, mêlant sa langue à la mienne.
— Je veux que tu m’encules mon ami ! me dit-elle dans un souffle.
Après Océane et Sylvie, Marine va donc aussi passer par la case sodo.
Je pénètre donc son vagin humide puis entre sans ménagement dans son anus serré.
Quelques va et vient plus tard, Marine crie qu’elle est aux anges et je décharge ma semence dans son cul accueillant.
Nos ébats sont interrompus par la sonnette de la porte d’entrée.
— Tu attends quelqu’un Océane ?
— Non, mais je vais voir…
Océane se rhabille à la hâte et part ouvrir la porte de l’appartement.
Nous nous rhabillons également très vite afin d’accueillir éventuellement notre hôte.
Nous entendons parler dans le hall d’entrée. Une voix d’homme se fait entendre.
Océane entre dans le salon avec l’inconnu. Sylvie semble la plus surprise par cette irruption.
— Mais que fais-tu là ? demande-t-elle à l’inconnu.
— Je viens te chercher, voyons ! répond l’homme sur un ton autoritaire.
— Sylvie, tu peux peut-être nous présenter… dis-je à ma nouvelle amie.
La jeune femme parait un instant embarrassée par cette situation.
— Je vous présente Daniel… avec qui je partage ma vie…
Complètement perdus, nous nous demandons à quel jeu joue Sylvie.
Nous la croyons lesbienne et la trouvons dans le lit d’Océane, puis brusquement nous apprenons qu’elle aime un homme.
— Eh bien pour une nouvelle ! Enchanté Daniel ! Nous allions justement partir.
J’agrippe Marine par le bras et la tire vers la sortie. En effet je déteste assister aux explications sans fin d’un couple…qui n’en est pas un, enfin…
Nous avons fait la bise à nos amis puis nous sommes sortis de l’appartement, lieu de toutes nos débauches.
— Tu crois que ça va s’arranger ? je demande à Marine.
— Je l’espère pour Sylvie, mais je me demande encore à quel jeu elle joue.
— En tout cas, elle a su apprécier sa journée. Après le broute minou, la pénétration vaginale puis anale…
— Tu l’as bien fait jouir mon ami, et moi aussi d’ailleurs !
Nous avons en effet passé une superbe journée à nous faire l’amour de toutes les façons possibles.
La prochaine fois, peut-être que nous demanderons à Daniel de se joindre à nous…
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