I
Aucune nuit ne peut se passer sans avoir été chaude dans la petite demeure de Camille, la jeune étudiante, musclée, avide de sexe. Vivant seule, elle alimente ses nuits chaudes avec des godemichés et des poupées gonflables. Comme cela fut le cas de cette nuit après une rude évaluation universitaire. « Oui…c’est bon…oh oui encore…c’est bon Camille. Tu es bonne quand tu le fais seule… » Aime-t-elle dire quand elle se fourre dans la chatte un gode vibrant. Allongée par terre, elle serrait ses fesses sur celle-ci et tenait dans ses deux mains ses seins. Sous le latex porté pour cacher ses fesses était dissimulé un autre gode, enfoncé dans l’anus. Camille se sodomisait. Après s’être remuée les seins, elle passera ses mains sur tout le corps. À la recherche de la plus grande jouissance, elle passera sur elle de la lotion et augmentera l’intensité de vibration du gode. Les gémissements ne cessaient pas. L’intensité fut forte au point de tenir le bout de son lit afin de se lever et se mettre en position de chevauchement. Son corps était en extase. Les deux godes la faisait jouir. Elle ne cessera de chevaucher qu’après avoir éjaculé sur le gode vibrant. L’éjaculation ne cessa pas. En se mettant en position du crabe, elle se mit à cogner ses fesses sur le tapis, afin de jouir avec son gode enfoui dans l’anus. Camille se décidera à enlever le gode vibrant et à se déculotter du latex. Une autre envie la prenait ; celle de toucher à un corps. Un corps qui la pénétrerait. En face d’elle, se trouvaient deux poupées gonflables. L’une était mâle et l’autre femelle. Elle se lèvera et s’approchera du mâle, placé de façon à être assis. Près de celui-ci, Camille s’agenouillera et se mettra à expérimenter sa langue sur la verge de son amant imaginaire en poupée gonflable. Elle le croquait comme une lionne en train de savourer sa proie. Que l’étonnement ne soit pas. Tant bien même qu’elle savourait la verge de celui-ci, la poupée ne sera pas épargnée de la douce main de Camille qui le fera circuler sur tout le corps. Même une de ses mains jouera un rôle d’excitation au niveau du clitoris, tenu avec le pouce et l’index. Elle la serra aussi fortement que l’envie de e faire pénétrer par la poupée accéléra. Elle se leva aussitôt et s’assoira sur celui-ci pour mettre la verge dans son vagin afin de jouir comme une déesse venue sur terre pour se faire enculer par un mortel. Faisant appel à la jouissance, elle accélérera le rythme d’enculade, tout en serrant les fesses après pénétration totale. « Oui…c’est cela…encule-moi, baise-moi, nique-moi, je suis ta chienne…oui, ça vient, oui, oui, oui encore, oui » Dira-t-elle avant ‘éjaculer sur la poupée. Le désir devenait intense. On ne dirait pas qu’elle s’est abstenue de baiser pour mieux faire l’évaluation. Le mâle a accompli sa mission. Camille s’en débarrassera pour mettre un gode ceinture pour manifester son côté masculin sur une autre poupée. La poupée féminine dont elle disposait avait de gros seins et elle parlait. Camille la prendra puis l’allongera sur le tapis. Avec ses mains, expertes, elle fourrera l’une dans la bouche de la poupée et l’autre dans le vagin de cette dernière qui fera un bruit de gémissement « Tu n’as encore rien vue pétasse. Attends voir » Dira-t-elle avant d’enlever ses mains de la bouche et de tenir la verge imaginaire préparé pour la circonstance. La poupée continuait de gémir, le désir avait atteint son paroxysme. Camille se leva et prendra la face de la poupée et enfoncera dans sa bouche la verge de sa ceinture. « Hum c’est bon ! Quelle queue ! » tentait de dire la poupée « Oui pétasse. Tu aimes cela, oui je sais que tu aimes. Oui, fais-moi jouir avec tes lèvres. Tu te débrouilles pas mal ma chienne. Continue, je veux te sentir, fais-moi éjaculer » Répondra Camille en guise de domination à la poupée. Cette dernière, faisant comme si la verge allait éjaculer, poussera un cri de jouissance. Un cri qui fera place à une enculade à la missionnaire. Croyant toujours avoir un corps en face d’elle, elle joindra les mamelons de ses seins à celle de la poupée, l’embrassera et remuera ses fesses avant d’enfoncer le gode dans le vagin « hum baise-moi, hum nique-moi, hum défonce-moi le cul. Hum oui » l’expertise de Camille ne permettait pas à la poupée de bien articuler ses paroles, sur les actes qu’elle lui faisait subir. Camille, grâce à son corps musclé souleva la poupée et la suspendit afin de la baiser. Ce qu’elle fera à l’instant et rapidement. Camille ne cessera d’embrasser le coup de la poupée et cette dernière ne cessera de crier de désir. Toujours debout avec la poupée, Camille décidera de faire une rotation avec la poupée. En la faisant tourner, la verge toujours enfoncée dans ce cul de la poupée, elle sourira, du fait qu’elle manie son esclave comme elle veut. Pour en finir avec elle, elle la mettra à genou, précisément en levrette et lui pratiquer l’anal. « Oui j’aime. Encore, plus fort » dira la poupée. « Moi aussi. Oui. Oh oui, comme je l’aime » dira aussi Camille en guise de réponse. La poupée gémissait de plaisir alors que Camille elle jouissait au point d’enlever la ceinture de l’anus de la poupée et de l’enfoncer dans son vagin tout mouillé. Encore une chaude nuit qui vient de passer. Camille prendra le gode, le sucera une dernière fois puis le posera. Avec son index, elle puiser une dernière fois la mouille du vagin puis la mettra sur ses lèvres. Le sommeil la gagnait. Elle s’allongera sur le tapis et s’endormira toute nue.
II
Il est trois heures du matin. Le gardien du campus faisait la ronde. Il ne sera pas étonné de voir une étudiante dans les parages, à l’entrée. « Eh Angy. C’est trop tôt pour venir ici. Qu’y a-t-il ? » Demandera le gardien
– Je suis venue vous voir. Répondra celle-ci
– Allons donc chez-moi
– Merci.
Arrivé là, Angy s’installera sur un siège. Le gardien, pas du tout étonné de sa présence ainsi que de la requête que cette dernière lui fera à l’instant, n’observait que la robe résille à lacet portée sous la jupe et la chemise « Que me vaut l’honneur de la présence de ma consœur ébène dans mon humble demeure ?» Demandera-t-il pour engager le dialogue
– Rien de grand qu’une partie de jouissance avec une cible, dans la bibliothèque après les cours. Répondra Angy
– Encore un coup à monter après les cours. Pourquoi pas chez toi ?
– Elle ne voudra jamais.
– Une fille à faire soumettre, je vois. Tu la provoques depuis. C’est qui ?
– Oui, c’est Camille
– La belle blonde bras-comac est ta cible. N’as-tu pas vu d’ébène comme toi ?
– C’est elle que je veux. Voilà ce pourquoi je suis venu très tôt. Les autres vont venir dans quatre heures
– Tu ne vas plus rentrer à ce que je vois. Et je gagne quoi dans tout cela ?
En guise de réponse, elle enlèvera sa chemise afin de rester dans la robe résille à lacet « Tu gagnes une partie de partouze pour ce moment-là et une partie de jouissance, ici même, à l’instant » En enlevant la jupe, le gardien eu confirmation des soupçons. Elle n’avait pas portée de slip. Angy lui fera une séance de strip-tease en soulevant sa robe, tout en se déhanchant devant lui. Cela suivra d’une douce approche vers lui « Je sais que tu en as envie. Hum, laisse-moi te donner ce plaisir. Ton accoutrement m’excite. Je veux te faire jouir. Laisse-moi aussi jouir. Mon frère ébène » le gardien, assis sur son lit, se laissa faire. Angy ouvrira son pantalon et fera sortir sa verge qu’elle manipulera avec sa main afin de le durcir. Avec sa seconde main, elle se mettra à manipuler les testicules. Les regards se croisèrent. Le gardien se mit à enlever sa chemise, puis le tricot sans la quitter des yeux. En réponse à la demande de sa cliente, il l’embrassera. Angy a toutes les raisons de chercher à jouir avec un corps musclé comme celui-ci. Le gardien a toujours aimé niquer les filles du campus. Ce fut le cas d’Angy. Il fera entrer sa main dans son vagin et l’autre avec son index et le majeur dans l’anus d’Angy qui, au lieu de gémir, continuera d’embrasser son partenaire en accélérant l’étirement de la verge avec sa main. Et pour continuer de contenir la sensation, elle remuera les hanches. La sensation devenait forte. Le gardien s’allongera sur le lit. La verge bien raide excite encore plus Angy « Ta grosse bite de 22 cm excite mes glandes » Dira-t-elle à ce dernier « Et moi j’ai envie de croquer ton clitoris » Lui avouera-t-il. Aussitôt dit, aussitôt fait. Angy lui présentera son vagin. Elle-même se fourrera dans la bouche la verge tant désirée. Afin de rendre utile ses bras, elle enlèvera le pantalon du gardien. Celui-ci n’a pas encore vidé son sac en matière d’excitation. Il enfoncera encore sa main dans l’anus de sa proie, manipulera dans l’autre main un des seins, et sa langue s’occupait du vagin. Angy en fera de même. Elle prendra un de ses seins dans la main, et l’autre main, elle l’enfoncera dans l’anus du gardien. Ce dernier soulèvera son corps quand cette dernière le faisait jouir. Angy quant à elle serrera ses fesses sur la bouche de celui-ci. La parité était de mise. Sentir la langue de son partenaire sur son organe excitait au point de ne plus vouloir s’en débarrasser. Mais celle qui avait le désir cédera. En tenant la verge de ce dernier dans la main, elle fera de petites bises sur le corps avant de savourer encore une fois la douceur des lèvres du gardien. Ce dernier aussi en fera de même ; il ne laissera pas le clitoris d’Angy. Sa main faisait l’affaire. Lui, il durera un peu sur les seins avant de l’embrasser. Tout allongé, la main tenant fermement le clitoris, il soulèvera cette dernière et la dirigera vers la verge. Angy, continuant de savourer la douceur de la langue dirigera la verge dans son trou. Ainsi débutera un doux chevauchement qui par la suite, deviendra rapide. Les mains du gardien n’étaient pas tranquilles ; un travaillait les seins, l’autre l’anus « Oh oui, que c’est bon, oui, c’est bon, oui, oui, continue de m’exciter, de me niquer. Ta verge…Oh non, que c’est bon. Fais-moi jouir. Oh tes mains, Oh ton corps !… » La douce voix d’Angy augmentait le vice du gardien « Oui, continue de goûter à ma verge, de le savourer, et attend que je défonce ton cul. Oui, jouis ma jolie. Oui je te sens. Oh oui que t’es bonne. Oh oui demande toujours, jouis toujours. Tout te sera accordé. Oui, mouille-moi, mouille-moi. Oui je te veux. Oh oui ! Je te veux » La mouille n’attendra pas longtemps avant de se manifester. Angy arrêtera de chevaucher afin de faciliter la mouille. Ce doux corps d’Angy était pour le gardien facile à soulever. Ce qu’il fera en se levant et ensuite la suspendra pour la baiser. Le gardien se senti encore plus costaud. Il accéléra la baise. Angy gémissait de plaisir. N’ayant pas vidé son sac, il la reposera sur le lit et ajustera les pieds de celle-ci et lui pratiquera l’arbre à fruit. Là il ne fut pas très tendre. Mais le plaisir surpassait la douleur. Il lui tapotait les fesses. Voulant toucher les seins en la baisant, il lui écartera les jambes et manipulera les seins avec ses deux mains « Oui, baise-moi, encule-moi, défonce-moi, oui j’en ai envie, oui accélère. Oui ! » Dira Angy en gémissant de plaisir. Comme on répond toujours aux désirs de la femme, le gardien accélérera le rythme. Angy ne pouvait plus se contenir. Elle se mouillera encore sur la verge de ce dernier. « Oh que c’est chaud » Dira-t-il. Angy quant à elle mettra sa main entre les fesses au moment où celui-ci manipulait sa verge. Angy prendra l’autre main libre de ce dernier et le dirigera vers l’anus. Il sut ce qu’elle voulait « Elle s’impatiente d’être satisfaite » ajoutera-t-elle « Tu l’auras voulu Angy. Tu l’auras voulu ». L’intéressée même s’allongera sur le lit et manipulera ses seins et son clitoris, en attendant d’être sodomisée par l’anus. Le gardien enfoncera le pénis dans le cul d’Angy qui criera. Ce dernier se précipitera de l’embrasser, de tenir son sein libre et enfin de tenir la main placée sur le ventre avant d’accélérer l’enculade les deux pervers ne cessaient de gémir. La douleur fera place au plaisir. Il se mit à lui baiser le coup avec sa langue « Vas-y, défonce-moi, encore, encore, plus fort. Éjacule si tu peux. Accélère. Oui, plus vite » s’écria-t-elle de plaisir « Oui, ça vient, tout de suite, ça y est, oh oui » Il acheva l’éjaculation dans l’embrassade de celle-ci. Le robuste gardien, satisfait de sa baise, enlèvera sa verge de l’anus. À peine il l’enlèvera, Angy se tournera et lui tiendra la tête « En doux missionnaire je voudrais que cela se termine. Je n’ai pas envie que tu me laisses comme cela » « T’en veux encore à ce que je vois » Angy l’embrassera. Le gardien guidera sa verge encore une fois dans le vagin de celle-ci et la baise reprise en missionnaire « Oh oui ! » Dira-t-elle en gémissant
III
Le jour se lève dans le quartier des torrides. Camille la belle étudiante, prenait le chemin qui mène au campus. N’étant pas en retard, elle prenait son temps. C’est sur cette même rue que passera une limousine blanche qui s’arrêtera après l’avoir un peu dépassée. Camille rejoindra la voiture dont la vitre lui sera baissée. Une femme bourgeoise de la quarantaine apparaîtra sous son chapeau « Bonjour jeune fille. Comment vas-tu ? » Demandera la bourgeoise
– Je vais très bien madame. Que puis-je faire pour vous ? Demandera-t-elle à son tour en observant l’intérieur de la limousine. La bourgeoise regardait un film. Elle avait à ses côtés deux hommes attachés dont elle manipulait leurs verges dans sa main
– Je voudrais connaître ta destination afin de t’y déposer
– Avec plaisir madame, je vais sur le campus.
– Cela tombe bien. C’est le même chemin que j’emprunte pour aller à l’aéroport. Entre je te dépose
– Merci
Camille entrera dans la voiture et le chemin fut repris. Elle ne cessera d’observer sa bienfaitrice ainsi que ce qui l’entoure. Le film était bien visible, c’étaient des femmes en extase avec plusieurs hommes. La bourgeoise avait enlevé sa chemise. Seule sa jupe et sa guêpière résille se faisaient voir. « Très joli guêpière résille » Dira-t-elle en guise de compliment
– Merci beaucoup
– C’est toujours joli quand c’est du noir
– T’as du goût !
– On ne dirait pas que dans cette fraîcheur, vous vous êtes déshabillé
– Oh oui, je voudrais la sentir plus. Je ne baisse pas la vitre car mes circulations en voiture sont accompagnées d’instants torrides, Ma belle étudiante
– Surtout avec des esclaves
– Ce sont des collaborateurs punis pour des défaillances professionnelles
– Belle punition pour prendre son pied
La réponse de Camille enchante la belle bourgeoise. Tentée de passer un moment de jouissance avec elle, elle lui fera sa requête en soulevant ses pieds puis en la posant sur elle
– Malheureusement que je vais au cours. Cela aurait été une jouissance totale. Mais la trentaine de minute de la cinquantaine de minutes de mon temps restant suffit pour faire jouir le clitoris
– C’est ce que je voudrais de toi, et ton corps me donne envie de te convier à ma séance, ma belle…
– Camille
– Trente minutes de ronde, Rose. Ordonnera-t-elle à sa chauffarde. Cette dernière s’exécuta en fermant la vitre de commande.
Camille s’approchera du visage puis l’embrassera. Sa main, ayant servie à soulever la jupe manipulera ensuite le clitoris. Malgré le port de la guêpière, Camille prendra l’autre main pour tenir les seins de sa bourgeoise. Les mains expertes et la douce langue de Camille l’excitaient. La belle bourgeoise tenait fermement le siège sur lequel elle était assise. Camille continuait d’exciter son clitoris avec son pouce, dont elle se servira pour le faire bouger dans tous les sens. La belle bourgeoise était excitée. Voulant l’entendre gémir, Camille cessera l’embrassade et se mettra à faire circuler sa langue sur son coup « Oh oui, c’est bon. Hum j’en veux encore. Suce-moi avec ta langue, je veux la sentir. Oh quelle douce et experte main tu as ! Oh lala. Oh !» Dira-t-elle. Camille n’en avait pas encore fini. Elle s’abaissera et observera le clitoris. Elle enfoncera l’index dans le vagin et le fera sortir aussitôt. L’autre main était appuyée sur les seins de la bourgeoise. Après la manipulation du pouce, Camille se mettra, tout d’abord à piquer le clitoris avec son index et ensuite, la faire bouger du haut vers le bas « Oh, comme ton index est magnifique. Accélère Camille. Accélère-le. Plus vite. » Dira-t-elle en guise de jouissance de plaisir. Camille ne s’arrêtera pas là. Elle joindra l’index et le majeur puis l’enfoncera dedans. La seconde main servira à tenir par le pouce et l’index le clitoris. Au lieu de continuer par l’enfoncer ses deux mains, avec celle-ci, elle fera vibrer le vagin en les bougeant rapidement de gauche à droite « Ah oui, que t’es bonne. Continue de me faire jouir. Accélère le mouvement de tes doigts, continue de tourner le clit…oui ! ». Le moment est venu pour Camille de la sucer. Elle y tapotera le vagin avant d’y poser sa langue ainsi que la bouche « Oh que c’est bon » Ajoutera la belle bourgeoise qui tentera de soulever son corps afin de bouger sa hanche. Camille augmentera le léchage du clitoris en se mettant au rythme de mouvement de cette dernière. Les esclaves ne cessaient de gémir car leur patronne manipulait rapidement leurs verges. Camille quant à elle profitera de cette belle occasion pour lui fourrer un doigt dans l’anus « Oh Camille, comme tu es bonne. Soit bonne à jamais » Au moment où cette bourgeoise jouissait, la montre de Camille sonna. L’heure était venue d’entrer sur le campus « Rose, arrêtes-toi à trente mètres de l’entrée du campus » Ordonnera-t-elle à sa chauffarde en appuyant sur un bouton pour passer la commission ensuite. Le temps restant, Camille se nettoiera le visage puis se remaquilla, sous le regard attentionné de la bourgeoise « Je pars en voyage d’affaire. Je reviens la semaine prochaine, le vendredi. Je voudrais te revoir. Peut-être tu auras l’occasion de manier ces sabres que je manipule encore »
– Dans la soirée je suppose
– Nul doute
– Je t’attendrai à l’entrée du campus. Tout ceci n’est qu’entrée en matière.
La bourgeoise se contraint à lui remettre deux grosses enveloppes kaki
– Ce serait trop ingrat de ma part de ne pas te filer de quoi payer certaines choses. Dira-t-elle en les lui remettant
Camille les mettra dans son sac et se rapprochera d’elle, la main sur le clitoris de sa bienfaitrice
– Lâche de ma part serais-je en refusant ton invitation. Je t’attendrai toujours…
– Bernice. Donnera comme nom la bourgeoise
– Bernice. Répétera Camille. En posant la main sur le clitoris de celle-ci. Elle sentira que la bourgeoise voulait encore baiser ; elle mouillera sur la main de celle-ci. Camille l’enlèvera, la posera sur les lèvres de l’intéressée puis l’embrassera ensuite pour une dernière fois
« A plus tard » Lui dira-t-elle avant de sortir avant de sortir de la voiture. Le véhicule s’éloignera et Camille continuera son chemin à pied pour entrer dans le campus qui était proche. Cinq minutes suffisaient largement pour y entrer. Pas étonnant que la bourgeoise, continuant seule le chemin, se procure encore un instant de plaisir en pensant à Camille « Oh Oui, qu’elle est spéciale la belle étudiante au corps de géant » Dira-t-elle en enfonçant son majeur dans son vagin. « Oui, c’est bon. Que c’est bon » Le désir lui devenait intense. Elle observera ses esclaves « A nous trois, mes chers ! »
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Dans la soirée, toujours dans l’enceinte de l’université, tous les étudiants étaient partis. A l’exception de Camille, bloquée dans la bibliothèque par le gardien, par ordre d’un professeur dont le nom ne la fut pas révélée. En attendant qu’il vienne, elle continuera ses recherches. Ce qui sera interrompu par l’ouverture de la porte d’entrée de la bibliothèque. Dommage que ce ne fut pas la personne qu’elle attendait qui viendra auprès d’elle. Elle se plongera aussitôt dans ses recherches. Mais elle ne sera pas épargnée par le retentissement des pas qui ne s’arrêteront qu’en face d’elle. Au lieu du professeur en question, elle verra une belle ébène ayant portée une robe résille à lacet avec une jupe noire. C’était Angy. « Bonsoir Belle Camille. Contente suis-je de me tenir tête à tête avec toi dans cette grande bibliothèque » Dira-t-elle
– Que me vaut l’honneur de ta présence ici à la place du professeur ? Demandera Camille
– Le professeur ne peut pas perdre son temps pour monter un coup pareil. Répondra-t-elle à sa cible
Entendant cela, elle arrêtera sa lecture et observera Angy. Elle ne fut pas étonnée de son accoutrement
– Que veux-tu ? Demandera-t-elle
– Tu sais très bien ce que je veux ma belle. Tu me le donnes et je te libère. Dira-t-elle en guise de réponse, en s’installant sur la chaise en face d’elle
– Si je m’oppose à cette requête, je ne sais pas ce qui va m’empêcher de vivre. Lui dira-t-elle sans gêne en rangeant ses affaires
– T’empêcher de vivre, loin de là. Mais ta sortie de cette pièce n’est pas garantie. Et on ne voudra jamais qu’on te ligote pour une simple partie de jouissance ! Ajoutera-t-elle en posant un gode sur la table.
– Est-ce mon corps qui t’excite au point de monter un coup pareil
– Disons que j’ai voulu pousser ma curiosité pour savoir si tu peux être résistante en matière d’extase.
Les deux regards se croisèrent. Angy profitera de cet instant pour mettre un de ses pieds entre les cuisses de Camille ; son clitoris était visé. Cette dernière, ayant compris le jeu, fermera les yeux un moment. Angy fera un petit sourire puis continuera de manipuler son pied afin de réveiller l’orgasme de sa proie. Le visage de Camille restait le même. Ayant su là où était posé le gode, elle y posera son majeur et son annulaire dessus puis le prendra avec. Ensuite suivra la levée d’un de ses pieds puis la pose sur le clitoris d’Angy. Angy quant à elle n’attendait que ce moment. Elle la lui écartera bien son sexe. Ayant touché sa cible, Camille ouvrira les yeux puis lui présentera le gode à sucer. Elle l’avait appuyée fermement avec son pouce « A toi l’honneur. Je te le tiens » Déclara-t-elle. Angy jettera la table d’un côté puis commencera par le sucer. Camille continuait de manipuler son plus gros orteil sur le clitoris d’Angy. En le sentant ; Angy abdique sur sa technique d’excitation ; elle ne posera que les orteils dessus. En suivant la manipulation, Camille se souviendra de Bernice la bourgeoise avec sa manipulation avec l’index de son doigt. Suite à un bref sourire, elle l’appliquera avec son pied sur celui d’Angy « OH quel pied féerique ! » s’exclamera-t-elle en continuant de sucer le gode tout en tenant ses seins, après avoir défait le lacet de sa résille. Camille lui donnera cette satisfaction jusqu’à ce qu’elle ne mouille son pied. Le moment était venu pour elle de lui expérimenter sa langue, tout en lui fourrant le gode. Elle continuera de sucer. Angy ne cessait de gémir. Camille voulait l’entendre plus le dire. Sur ce, elle lui mordra le clitoris avec ses dents et se mettra à les remuer « Oh comme ça mord ! Oui ! » Satisfaite du cri de cette dernière, Camille mettra sa seconde main dans le slip et se mettra à réveiller l’extase nécessaire, en manipulant son clitoris. L’orgasme montait. Elle ne faiblira pas ; elle enfoncera le gode dans la bouche d’Angy. L’envie monta aussitôt à cette dernière de lécher le vagin de sa proie. Ce qu’elle revendiquera en tenant les cheveux de Camille pour lui dire en face « À mon tour » Déclarera-t-elle « Ta langue sur la mienne d’abord » Fera comprendre Camille en se levant tout doucement. Elles s’observeront un moment puis s’embrasseront. Angy se mettra à enlever la jupe de l’étudiante tant convoitée. Camille passera sa main entre les lacets et attrapera un des seins d’Angy. Elle ne lui donnera pas ce plaisir de lui enlever sa chemise. Avec le gode tenu dans l’autre main, elle le pénétrera « Comme c’est bon ! Camille comme t’es spéciale !! » Dira-t-elle en jouissant. Camille s’en prendra à son coup. Angy quant à elle la pénétrait avec sa main, tout en lui serrant les fesses avec l’autre main. Avant de permettre à cette dernière de la lécher, elle lui enfoncera le gode afin d’augmenter son orgasme. Angy, sursautera sur ce coup puis la verra avec un sourire. Camille se défera de ses habits, tout en rejoignant sa chaise. Par son index, elle fera signe à Angy de s’approcher, en guise de provocation. Angy ne résistera pas face à cette demande qu’elle a tant voulue. A peine Camille s’assoira, elle sautera sur son clitoris pour le sucer. Camille prendra soin de mettre son pied sous son clitoris afin de continuer sa mission « Oui, c’est bon…Tu te défends pas mal…continue…oui, c’est bon. Oh que c’est bon ! » Dira-t-elle en soulevant sa hanche et en la bougeant au rythme de léchage d’Angy. Les deux baiseuses ne seront pas épargnées par l’entrée du gardien dans la pièce. « On prend du bon temps en absence des autres. Ne soyez pas étonné par mon entrée en action » Dira-t-il en avançant. « N’attends pas longtemps avant de te défaire de ta chemise, beau gardien. Ma langue est prête à travailler ta verge » Lancera Camille comme propos. L’entrée en action du gardien fit changer le rythme, il marquera sa présence avec des menottes, des cagoules des godes sur mesures. Camille n’attendra pas une minute pour s’occuper de sa verge. « Oui, c’est ça, montre-moi ce que tu sais faire avec ta corpulence qui suscite tant d’envie » Camilla l’ayant entendu s’en prend vigoureusement à sa verge afin de l’entendre gémir de plaisir. Le gardien quant à lui ne fit rien d’autre que de passer sa main sur son corps dont il est plein d’admiration. « Passons à l’étape suivante » lancera Angy. Le gardien et cette dernière menottèrent Camille sur la table renversée
– Ainsi prendra la tournure de la partie ma chère !
– Profitez-en au maximum, j’en suis très affamée, je suis à vous
– Ça t’excite de te voir ainsi
– Toi le gardien, je n’en ai pas fini avec ton sabre. Ma langue la réclame. Angy, t’attends quoi pour me défoncer ?
– Elle donne des ordres aussi ! Et bien tu seras servie comme tu le désires.
– Sois sûre d’une chose, je ne te ferai pas de cadeau
– Essaie si tu peux me faire jouir
Le défi est lancé. Angy l’envoi dans un grand roseau, fait une grande ouverture et la prendra comme une pieuvre. Le gardien ne cesse de passer sa main partout sur le corps tout en la pinçant de tous côtés. Camille, continuait de tailler la pipe en dansant comme une missionnaire en réjouissance.
– Ma bite doit percer ton trou de fée
– Qu’attends-tu pour faire valoir ta résistance en matière de baise ?
– Tu me provoque donc ! Angy, je dois lui rendre son compte
– Elle est toute à toi.
– Toi tu mérites un coup de langue. Détache-moi pour te rendre plus de plaisir
– Pourquoi refuserai-je une telle offre ?
Les gémissements ne cessèrent, Angy et le gardien se sentait comblés de tout ce que Camille leur permettait de lui faire, le gardien ne cessait d’enfoncer sa bite dans son vagin et Angy n’arrivait pas à se contenir ; elle semblait perdre ses moyens. Camille prenait du goût en maniant à sa guise son clitoris et elle ne cessait de passer ses mains autour de ses points sensibles tant en douceur et en pincements. Arrivés à leurs paroxysmes, Angy et le gardien jouissent comme s’ils s’étaient refusés de se donner du plaisir, des asexués comme eux. Le gardien se sentait épuisé. Il se mit à enlever les menottes du pied de Camille et s’allongera ensuite à côté d’elle, comme Angy
– Tu as trouvé une bonne proie Angy. Je doute que tu puisses en trouver d’autre part comme elle
– Je ne te dis pas. Je n’ai jamais été à bout de force comme cela, pour prétendre une autre partie
– Tu n’as encore rien vu ma belle
– Comment ?!
Camille se leva et menotta le gardien autour de la table après s’être clandestinement mise un gode entre ses reins. Elle soulèvera Angy et l’embrassera tendrement un moment
– A mon tour de jouir et à ton tour de maintenir son sabre en garde de combat.
Angy ne trouvait mot pour expliquer cela
– Mais …
– Te crois-tu en mesure de contester mon offre ? Je ne crois pas que ta copine soit du même avis puisqu’elle s’y attelle
Angy s’en prend à sa pipe. Camille mit sa proie en levrette et repris son jeu de réveil de sensibilité sur cette dernière. Le gardien n’arrivait pas à se retenir, le plaisir que lui donnait Angy s’intensifiait. Angy quant à elle ne cessait de se mouiller afin d’exprimer sa jouissance. En voulant plus, elle guidera la main experte de Camille entre ses fesses. Camille compris son envie d’être prise en posture d’éléphant
– Ta gourmandise va loin ma chère ! Pourquoi ne pas assouvir à ta demande que je partage ! Sois servie en conséquence.
Camille dirigera le gode au lieu désiré. La partie continua « plus fort, je le veux encore plus fort ! » ne cessait de s’écrier Angy qui accélérait sa taille de pipe du gardien.
– Continuez de demander, vous n’avez encore rien vu.
– Oh non ! j’ai eu ma dose !
– Pas moi, je serai à toi quand j’aurai fini avec elle
– Fais- moi en voir de toutes les couleurs
Camille lui enlèvera une de ses menottes d’un de ses bras et ce dernier pris son bâton érectile entre ses mains
– T’as intérêt à le maintenir solide quand je me chargerai de ta complice.
– Oh la vache ! Camille tu m’épates ! ta résistance équivaut à ta corpulence
– À nous deux
Camille soulèvera Angy vers elle et la baise repris sa cadence avec une suspendue. Angy gémissait intensément, même lorsque Camille fera d’elle son pilier de plaisir avant de la baiser comme une tigresse. Angy sentira plus le plaisir au moment de la grande ouverture que lui offrira Camille en accouplant son organe à la sienne. Angy était à son summum de jouissance. Camille n’arrivait pas toujours à trouver satisfaction.
– Alors, mon gardien perverti est prêt à me faire jouir
– Fais de moi ce que tu veux et libères-moi, pitié.
– Pitié ! ma jouissance d’abord et ta pitié ensuite
Camille appliqua un chevauchement intense à son prisonnier qui ne cessait de gémir. Camille fera de son bâton une balançoire pour ensuite tournoyer dessus comme un moulin et enfin jouir comme la belle Andromaque. « Enfin, ce que je désirais tant ! » dira-t-elle afin de leur exprimer sa satisfaction. Les deux pervers épuisés dormirent du coup. Camille les mis en position de baise, les organes accouplés puis les quitta. « Des nuls sans vergogne !»
IV
April ne comptait pas rentrer sans avoir traité certains de ses dossiers. L’ennui se mit à la gagner à petit peu. Son stagiaire jack fit son entrée dans son bureau.
– Voici les dossiers que vous aviez demandés.
– Bien Mike. Comment est la vue du quartier
– Très calme, très noir, inanimé. Le cabinet, surtout celui de ton chevet, est le seul à avoir la lumière.
– Une lumière qui risque de ne pas être éteinte de sitôt
– Tant que les papiers juridiques ne seront pas clos
– U te plaints pour ton réveil matinal au cours ?
– Non, je ne devrais pas. Ce n’est pas donné à tout le monde de postuler comme employé suite à une demande de stage, et en plus je me forme
– Tu as de la reconnaissance dans les veines.
– Je te dois cela
Mike alla près de la fenêtre pour observer la belle voiture de sa patronne qui profita de ce moment pour discrètement éteindre la lumière de la table de son chevet afin de se placer derrière lui en passant sa main sur son corps
– Et tu me le rends bien en me permettant de profiter de ta chaleur masculine, de ton corps de géant dessiné sur mesure
– Dessiné pour te combler infiniment.
Mike n’attendra pas avant de répondre à la demande de sa patronne. Des embrassades ont suivi des déshabillements. April ne cessait de couvrir de baisers le corps musclé de Mike, s’étant empressé de mettre la main entre ses pattes afin de l’exciter.
– Emmène-moi au plus loin dans le monde des désires les plus intimes de ce monde
– Cette destination te sera toujours garantie April de désir
– Fais-la goutter à ta langue afin qu’augmente la tension
– Comme l’atmosphère du soixante-neuf nous réclame avec insistance.
– Je veux y entrer sans attendre
– Allons-y au plus vite.
Mike et April s’en étaient pris à l’organe de chacun avec toute la tendresse et la passion qu’il fallait, plonger dans cette atmosphère était la période qu’il fallait pour elle avant d’accéder à l’extase proprement dit
– Comme tu fais toujours d’être meilleur à chaque fois ! tu augmentes ma gourmandise
– La mienne est au point de non-retour pour tes désirs les plus folles !
– Régales moi de tes recettes, je n’en peux plus…baise-moi comme je l’aime mon Mike. Défonce-moi de plaisir.
Mike ne se fit pas attendre. Il mit April en suspendue. Sa queue augmenta les gémissements de cette dernière, même en la baisant comme un loup agrippé sur sa louve.
– Je veux ma grenouille adorée et mon papillon qui me fait rêver
– Je t’ai trouvé une pieuvre inoffensive qui ne cessera de t’exciter à jamais
– Montre-les moi, j’en ai envie mon beau Mike
La baise battait son plein. Les deux partenaires ne cessaient de se débattre pour atteindre l’orgasme. April le fit savoir qu’elle l’avait atteinte.
– Nous avons encore toute la nuit pour tous les dossiers
– Et ces dossiers seront toujours dans de bonnes mains.
April répondra par un sourire
– Tu as un programme ce week-end ?
– Non, pourquoi ?
– Parce qu’une de mes clientes fortunées, avec qui je partage les mêmes passions viendra séjourner chez moi.
– Ta passion sera toujours partagée.
– Merci. T’es un amour.
⃰ ⃰
⃰
Le week-end arriva. La lune montrait tout son éclat, les étoiles rendaient la lueur belle. April profitait de cet éclat sur sa piscine avec à ces côtés, son invité, qui n’était autre que Bernice
– Alors chère April ! comment vont les affaires auxquels mes adversaires voudraient te soumettre
– Ils vont de coups bas en coup bas et je le leur rends bien.
– Mais ces temps-ci ils n’ont pas été tendres car c’est à une coalition que j’ai eu à faire face.
– Tu es trop stratège pour les mettre au tapis. Lui dira-t-elle en s’approchant d’elle avec une douce bise.
– Mais il te faudra changer la tienne.
– J’y vois des relèves
– Tu m’en diras tant.
– Je lui soumettrai une épreuve. Laissons-ça un peu de côté. Où est ton étalon ?
– Il est en route. Tu assouviras à ta soif de désir
– Je suis impatiente. Mais en attendant, je t’ai avec moi
Les deux femmes ne cessent de s’entrelacer
– Ma chatte a besoin d’un coup de langue
– La mienne la réclame depuis un moment
April et Bernice se donnent entre-elle des coups de langues à leurs chattes. Un acte qui les avait beaucoup manqués. Leurs mains prendront la relève pour plus de désir intense
– Tu ménages ta main de fée pour me mettre aux anges ! continue de l’enfoncer
– La tienne me fait perdre mes moyens on dirait celle d’Aphrodite ! N’arrête pas de l’explorer
Les deux femmes gémissaient.
– Laissons nos sabres continuer la percée sensuelle de nos trous
– Ces magnifiques sabres qui les transformeront en papillon, en moulin, en pie
– En scorpion, en roue, en pilier et tout ça pour une grande ouverture intensifiée
La baise changea aussitôt de rythme. Se connaissant en la matière, elles firent tout pour rendre leurs passions riches que possible. Tout cela sous le regard attentionné de Mike, resté silencieux pour ne pas bousculer la partie qui l’excitait au point de maintenir sa queue en action lorsqu’elle sera sollicitée
– Tu fais toujours bien de venir au moment opportun Mike
– Un moment qui ne sera jamais regrettable et inoubliable, April de désir
– Ton étalon s’est bien préparé on dirait.
– Je ne te dis pas. Il a même hâte de te faire rêver par son expertise
– Une partouze fera l’affaire pour son entrée en matière.
– Que le spectacle commence
Mike ne se fit pas plier avant de servir à ses patronnes ce pour quoi sa présence fut indispensable
– April, tu déniches les bonnes proies. En plus de son corps, il a une queue de rêve que je ne serai pas prête d’oublier
– Tu n’as encore rien vue. Avec lui je t’assure que tu en verras toujours de toutes les couleurs durant ton séjour.
– J’en raffole déjà à ce coup d’essai…oh oui comme je jouis !
– Et toi aussi ta main féerique me fais perdre les moyens, ne t’arrêtes pas…Oh, que c’est bon !
– L’expertise de Mike me donne envie de te défoncer partout avec lui
– Je suis tout à toi puisque tu seras soumise en retour
– Mike et Bernice défoncèrent April de tous les côtés. Bernice ne sera pas mise en aparté à ce niveau de la partie
– April ! tu assures toujours mes séjours, et je ne cesserai de te le rendre.
⃰ ⃰
⃰
Mike ayant passé la nuit chez April décidera de faire la cuisine pour les belles dames qu’il a eu à satisfaire toute la nuit. Bernice fera son apparition dans sa guêpière.
– Bien réveillée Madame !
– Je ne te dis pas mon chou. Ce fut une nuit incomparable…
– Mike pour te servir…
– Bernice pour moi, Mike. Parle-moi de toi
– Je suis l’assistant d’April, j’étudie dans une université privée.
– Pas mal pour un bras-comac de ton genre
– La musculature est une seconde passion
– On ne dirait pas. Ce n’est pas dans les gênes des passionnés comme toi
– C’est vrai, mais c’est un choix. J’ai une licence en comptabilité et j’ai viré en droit des affaires
– Je peux t’assurer d’une chose. Avec April et moi, tu iras loin si tu continues dans cette lancée
– Je n’en doute pas
– En te voyant, tu me fais rappeler une étudiante au pays, avec qui tu partages les mêmes passions qu’elle
– Tu me donne une envie de la rencontrer.
– Je te laisse la chercher
– Je préfère aussi ainsi.
– Je sais que tu la trouveras.
Bernice s’approcha de lui et s’attaque à ses points sensibles
– En entendant, j’ai une folle envie de me régaler de plaisir ce matin, je ne sais quand je vais m’arrêter
– Tous les menus sont sur le plateau.
– Reste à savoir si ton corps musclé et ton sabre érectile pourra naturellement durer jusqu’à ce que je ne sois à bout.
– Dois-je considérer cela comme un défi
– Un défi très sensuel et passionnel
Mike et Bernice se lancent dans la satisfaction de leur passion commune, sans gêne du fait que ce soit entre un jeune et une mature dont la vie se résume au sexe et business. Elle vénérera l’organe de ce dernier, de sa douce langue, dont elle est pleine d’admiration. Elle s’acharnera dessus avec douceur pour plus de désir, car la taille du pénis de Mike était sa favorite, celle qu’elle a tant rêvée au point d’en faire son prisonnier de désir. Bernice a réussi son coup, celui de montrer à son hôte son expertise en fellation. Mais Mike aussi était fort. Il ne manquera pas de rendre la monnaie de la pièce à Bernice en lui manifestant toute son adoration, en lui inspirant un fauteuil qu’il posera de façon aigue afin d’avoir une bonne chute de sa série de cunnilinctus. Le défi d’expertise se terminera sous un 69
– J’ose croire que tu sois résistant à ce point
– Comme tu le vois je le suis à ta grande surprise
– Ça n’augmente que mon plaisir de partager cette partie de défi
– En m’envoyant comme missionnaire chez reine véronique
– Comme un grand ambitieux prêt à tout
– Au point de faire de toi ma soumise
– Plutôt ta maîtresse de plaisir
– Afin que la conversation soit pérenne
– Pour que je sois ta cavalière
– Afin que tu sois à chaque fois sur le pont
– Pour un long corps à corps
– Ce sera un acte doublement renversé
– Pour ma prise amoureuse
– Et moi ma contre-poussée d’enfer
– Il faudra me jouer l’accordéon
– Nourris-moi d’abord de gerbera
– Tu me rends plus amoureuse en me le demandant
– Alors je te payerai en retour un tournesol
– Et je serai ta complice en tout
– Même en prenant la diagonale
– Quand tu seras un messager
– A la recherche d’une fleur de lin
– Pour m’aider à le suspendre
– Afin d’en faire un pilier
– Pour que je ne sois plus indécise
– Ni indécente dans tes actes.
– En route pour la sauterie de plaisir, mon Mike
La cuisine est transformée en un lieu de baise avec une panoplie de positions délirantes.
V
Camille et deux de ses amies, Aimée et Alice achèvent un travail de groupe donné par un professeur
– Voilà enfin un travail achevé, on doit récolter la meilleure note
– Ce prof n’aime pas faire des cadeaux
– Peut-être en voyant le nom de Camille, avec son corps il pourrait changer d’avis.
– Il faut y croire. De toutes les façons, on aura à mériter la note. Je vais vous nourrir de ma cuisine
– On…
– Non, je gère. Divertissez-vous en attendant
– Comme tu veux
Camille les quitta et se dirigea vers sa cuisine
– Crois-tu qu’elle l’a remarquée
– Je ne pense pas.
– Tu crois qu’elle le saura ?
– C’est certain.
– Aimée alluma la télé
– Que comptes-tu regarder
– Ce qui réveille mes sens
Aimée s’approcha de sa copine et l’embrassa. En prenant goût à sa langue, Alice la lui rendra. Les deux copines s’entrelacèrent. Sous le regard attentionné de Camille, restée silencieuse, les observant. Elles furent surprises de la voire
– C’est nécessaire pour la santé de se prendre le pied à un certain moment.
– Excuse-nous, le désir nous a emportés
– Je sais. Il faut en profiter surtout qu’on a réussi à prendre de la forme en quelques semaines de musculature
– Elles furent étonnées
– Vous croyez que je ne saurai pas ? c’est en partie mon domaine ! mais je vous aime bien dans cette corpulence. Ça me donne envie de prendre part à votre gâterie. J’ai de quoi nous envoyer en l’air sans restriction
Les trois étudiantes ne perdirent pas une minute pour satisfaire leur ménage à trois. Après un long coup de langue sur tout le corps de ces dernières, dont les gémissements n’ont pas manqué, Camille maintiendra le rythme d’excitation de ses copines en labourant leurs organes avec ses doigts
– il faudrait apprendre à être résistante si vous voulez des hommes à vos pieds !
– oui ! Camille, on le veut. Mène-nous à ce stade, dirent-elles
– A vos souhaits mes chères
Elle se lèvera et sortira de ses tiroirs les godes pour ses partenaires.
– Cette fois-ci nous allons passer à l’étape supérieure
– J’en meurs d’envie depuis
Camille se mit à défoncer Aimée avec l’une de ses godes. Elle à son tour s’en prend au clitoris d’Alice qui ne cessait de gémir.
– Oui mes belles, c’est le moment d’être forte et d’augmenter leurs envies de vous admirer, augmenter leur désir de baiser.
– Avec toi comme guide on ne te décevra pas. Montre-nous la voie
– Fais en sorte que nous sentions ce désir d’avoir envie de toi et nous en ferons de même à nos proies masculines, oh comme je l’adore.
– Moi je l’aime encore plus
– Oh oui comme je jouis.
– Alice aura aussi à se faire défoncer par Camille. Elle constatera qu’elle montrait une certaine résistance dans la baise puisqu’elle ne s’était pas mouillée.
– Je vois que tu apprends vite Alice.
– Je ne peux rater cette ultime occasion de ma vie avec toi.
– Elle aussi n’a pas déméritée dans cette partie
– Une partie réussie à notre avantage par toi. Mais qu’en est-il de toi ? je m’en voudrais de ne pas te manifester ma reconnaissance en te faisant jouir en retour elle et moi !
Sans dire mot, Camille embrassera Alice en guise de réponse. Aimée entrera dans la danse en passant sa main sur son corps et en la soumettant au laboure de son clitoris. Alice décida de prendre soin de celui de Camille qui gémissait du coup en sentant la fouille par sa main et son coup de langue. Ce qui réveillera encore plus ses sens. Camille n’en revenait pas elle-même qu’elle le ferait aussi rapidement. Prenant goût à la prestation de ces apprentis dont elle se félicite de les avoir bien initiés, elle les laissera la sodomiser, la défoncer les trous. Elle prendra goût à la bucolique d’Alice, le colchique d’Aimée, la garance et la gentiane désirée par Alice, la fleur de lin et la sauterie voulue par Aimée, l’amazone et la maîtresse voulue par Alice. La plus grande satisfaction qu’elle apportera à ses copines qui l’on soumises sera la grande ouverture quelle fera à chacune d’elles, ce qui la fera elle-même jouir intensément.
⃰ ⃰
⃰
C’est dans sa somptueuse villa que Bernice accueillera Camille, escortée comme prévu quelques heures après sa descente d’avion, à quelques distances du Campus. Elle-même n’a jamais pensé entrer dans une villa de cet acabit appartenant à une bourgeoise. Mais l’admiration fera place à la partie de plaisir réservée pour elle par Bernice. Elle avait préparé cinq hommes pour elle toute deux, menottés et cagoulés. Camille ne voulut pas savoir comment elle avait fait, elle se mit à l’œuvre en maniant leurs sabres. Bernice qui s’occupait de deux hommes, lui avait réservés trois hommes. Elles-mêmes se faisaient défoncer par un gode double dans leurs anus. Les cagoulés ne cessaient de gémir. « Oui ! Gémissez ! Nous vous avons à notre mesure ! » S’exclamera Bernice. Camille était emportée par la manipulation de ses sabres et le plaisir que lui procuraient le gode et les fesses de Bernice qui ne cessaient de toucher les siennes. « C’est l’heure de défoncer nos tous, vous avez intérêt à nous emporter loin, sinon vous resterez encore tel. » Bernice et Camille échangèrent leurs partenaires. Camille fit en sorte que ses proies la sodomisent. Quant à Bernice, elle s’occupera de ses esclaves à sa manière, un sabre sera vénéré et l’autre se chargera de la défoncer à la balançoire. Bernice et Camille gémissaient sur le plaisir que leur procuraient leurs proies qui semblaient à bout de force au moment de leurs jouissances.
– Nos quatre proies semblent avoir tout donné.
– Et celle mise en réserve a toujours son bâton bien raidi
– Tu as une faim de loup de plaisir
– Grâce à toi.
– Allons la consommer pour assouvir à notre faim commune
Les deux perverses s’acharnent sur l’esclave mis en réserve jusqu’à ce qu’elles ne jouissent.
⃰ ⃰
⃰
Camille l’invitée de Bernice passera la nuit dans cette somptueuse villa qui la fait rêver. En guise de reconnaissance, elle se lèvera tôt et lui fera son thé.
– Bonjour Bernice
– Bonjour Camille
– La nuit a été bonne j’imagine
– Une des meilleures, Je ne te fais pas dire. Je m’en voudrais toujours si je ne t’avais pas fait participée à cette partie.
– Et je ne peux que t’être reconnaissante en tout ce que tu voudrais me faire découvrir
– Plutôt ce que toi tu ne cesses de me faire découvrir à chaque baise avec un corps pareil
– Et je mourrai toujours d’envie de te satisfaire en la matière. Et si tu le veux, ce week-end qui s’entame, juste toi et moi.
– Tu réveilles mes sens dans ma grâce matinée.
– Des sens réveillés depuis le premier regard matinal et qui réclame satisfaction
– Je ne te le cache pas Camille.
– Alors ne raton pas cette occasion de ce matin. Laisse-moi t’adorer autour d’un fauteuil inspiré afin d’aboutir à une chute de tentation.
– Je sens ta langue et mon gode faire des merveilles autour de mon organe.
– Dans le paradis des cuillères, je te montrerai que je serai toujours ta complice après une bonne piquée de crabe doublé de croupade. Je t’offrirai l’étreinte du chef pour emprunter la voie diagonale afin de te voire folle de joie en tant que PDG. Je serai ton émeu et tu choisiras d’être ma coquine afin que tu sois exaltée. Ton équerre de désir me dessinera un muscadin et je te dessinerai une cavalière imprudente. Je te montrerai l’effet d’un bombardier et ce sera l’ouverture que je t’offrirai pour un plaisir infini.
Le cœur de Bernice ne cessait de battre. En l’écoutant, elle pensa aussitôt à Mike. Le tablier est aussitôt mis de côté. Camille la porta et la plaça à côté d’un canapé. Sa langue s’acharnera sur son clitoris et ce fut la reprise d’une nouvelle partie de plaisir.
VI
Mike était dans sa chambre et procédait à un rangement, le regard attristé. Il posera maladroitement ses effets sur la table. « Tant mieux pour vous, votre professeur s’en est pris à moi par sa note » dira-t-il avec fureur. Sa rage sera interrompue par un appel d’April
– J’ai reçu ta note par message Mike, ce n’est pas fameux pour cette matière auquel je t’ai demandé de ne pas négliger
– Je ne me remets pas moi aussi de cette note
– Qu’as-tu manqué ?
– Rien. J’ai comparé la correction et mes réponses il n’y a pas de problème.
– J’ai cherché à connaître le chargé de cours. Il se fait que c’est une amie. Je l’ai contacté. Dans la soirée tu prendras attache avec elle pour la réclamation
– Je…
– Il n’y a pas à discuter, tu ne feras pas de rattrapage pour cette matière qui te retarde et le travail n’attend pas.
– D’accord.
Mike ira au bureau du professeur en question qui était une femme
– Vous êtes un peu en retard, monsieur Mike, ce n’est pas digne d’un futur juriste de cet acabit travaillant dans un cabinet de renom
– Je reconnais qu’il n’y a pas d’excuse pour un tel retard. Mais c’est aussi une manière de manifester un désaccord pour cette rencontre à cause d’une note dont on ne devait pas attribuer
– Le professeur a le pouvoir d’attribuer n’importe quelle note à qui il veut. Cela dépend aussi à qui elle est attribuée et ce pour quoi aussi
– Je voudrai bien le savoir
– La professeure se lèvera et se dirigera vers la porte afin de la verrouiller.
– Eh bien, disons que la note réelle sera attribuée si en retour vous m’accordiez à l’instant une bonne partie de cuillères avec votre beau corps tombant tout être féminin vous observant. Dira-t-elle en s’approchant de Mike
– Pour une note dignement méritée.
– J’avoue que je ne croyais pas vous voir réussir sans faute cette évaluation
– Mais votre corps voudrait avoir satisfaction d’un désir longuement rejetée.
– Et qui ne peut plus se retenir en face de la proie désirée.
Mike ne voulut plus l’écouter, car la douce main de la professeure réveillera ses sensibilités. En réponse à la demande de celle qui l’a appâté, il lui servira sa partie de cuillères jusqu’à ce qu’elle ne jouisse.
⃰ ⃰
⃰
Dans la nuit profonde, April profitait du silence nocturne pour se baigner dans sa piscine. Mike fera son apparition, dans son maillot de bain.
– Ta réclamation a été longue on dirait !
– Ce n’est pas à une réclamation que j’ai procédé.
– Tu m’en diras tant
– A une vente de mon corps pour une note méritée
– Une note méritée. Ce n’est pas ce qu’elle m’a fait comprendre pour que j’accepte une rencontre intime
– Donc tu savais ce qu’elle voulait de moi.
– Et oui, il le fallait pour te débarrasser d’elle pour de bon.
– J’ai mérité la note
– Et elle a voulue mériter ton sexe.
– Ce n’est pas un sexe mérité.
– Allons Mike. D’accord, il ne fallait pas que cela se passe ainsi mais cela te sauve d’elle.
– C’est vrai.
– Il ne faut pas t’y faire. D’accord !
– Seulement que cela met dans tous mes états.
– Heureusement qu’il y a quoi faire pour remédier à cela non !
– Mike laissera April s’occuper de sa verge, comme il l’a toujours désiré. Il la connaissait pour cela. Il comblera April du même désir en s’occupant de son vagin comme il se doit. Les deux partenaires passeront en revue les folles positions qui leurs permettront de passer la nuit sans ennui.
⃰ ⃰
⃰
Durant le week-end, April fera découvrir à Mike une nouvelle voiture offerte par Bernice. Toute la journée, ils circuleront dans la ville parisienne pour faire des courses. Mike étant au volant, il ne cessait de l’admirer.
– Bernice a choisi un excellent modèle pour toi
– Je ne te fais pas dire. C’est plutôt deux modèles qu’un.
– Oh !
– Et celui-ci appartient au conducteur
– Quoi !!! Moi !!! je suis content. Je ne peux que te remercier pour cela.
Mike et April circuleront dans toute la ville. Dans la soirée, ils iront danser en boîte. April ne connaissait pas ce côté danseur de Mike. Elle ne cessait de l’observer. Plus elle l’observait, plus l’adrénaline montait. Mike quant à lui prenait du plaisir. Mais la nuit ne se terminera pas en boîte. Mike la ramènera chez elle en garant la voiture dans le garage.
– Cette soirée est l’une des magnifiques soirées que je passe avec toi depuis que je suis à tes côtés. Je ne peux que t’être reconnaissant pour tout ce que tu me fais et surtout pour ce joyau que tu m’as offert
– Moi aussi je suis vraiment contente d’avoir passée cette journée à tes côtés. Avec toi, mes moments ont toujours été rarissime. Je ne regretterai jamais d’avoir choisi comme partenaire de plaisir et de travail, tout ça ce sont tes études qui ont créé cette circonstance. Moi aussi je ne peux que t’être reconnaissante. Je ne peux qu’en retour te voir heureux à mes côtés.
Ils échangèrent de doux baisers. En s’asseyant sur lui, Mike comprit qu’elle voulait une partie de plaisir dans la voiture.
– Que m’offres-tu comme apéritif de plaisir pour inaugurer cette belle voiture.
– Les plus belles cuillères du monde !
– Je veux les plus belles levrettes que le monde du plaisir nous met sur un plateau d’argent
– Je peux aussi te servir l’enclume de ta vie
– Je veux te cueillir un papillon
– Et moi un magnifique crabe
– Je veux me transformer en une déesse
– Et je ne cesserai d’être ton missionnaire
Et la baise repris de belle
VII
Camille passera la plus grande partie de son week-end en salle de Gym. Elle fera certains achats, avant de rentrer chez elle. Dans l’une des boutiques de prêt-à-porter, elle fera la rencontre d’un homme d’affaire, un peu âgé.
– Bonsoir madame
– Bonsoir monsieur. Mes excuses mais c’est mademoiselle
– Bien je dirai que votre corpulence m’a trompé
– C’est le miracle du sport
– Ah je comprends mieux. Vous avez fini vos achats ?
– Oui monsieur…
– McPherson.
– Camille
– Ravi de vous connaître. Permettez-moi d’ajouter des fringues à vos achats
Camille ne refusera pas. Elle n’en revenait pas de ce qu’elle devrait emporter chez elle.
– Je ne peux que vous remercier de ces habits
– Pas de quoi.
– Au même moment, je m’en veux de vous avoir…
– Fais dépenser toutes les billes de ma carte ! Non, nullement. Vous ne m’avez rien dépensé !
– Vraiment ! Comment est-ce possible ?
– Parce-que l’agence et l’immeuble m’appartient.
Camille est étonnée
– Bon, je vais prendre ma journée. Je te dépose chez toi.
– Merci
– Je suis sûr ce tu ne regretteras pas ma sortie
Les deux inconnus feront d’amples connaissances dans leurs sorties dans la voiture de McPherson. Ils ont parlé de tout et de rien, l’un de son parcours universitaire, l’autre de ses projets d’affaires. Camille eu la possibilité de montrer ses compétences en matière de comptabilité. McPherson était impressionné par ses démonstrations au point de lui donner certaines anecdotes. Les échanges se poursuivront jusqu’aux échanges de compétences d’ordre sexuelles. McPherson gouttera à la magnifique fellation de Camille qui en retour aura son coup de cunnilinctus. Ce fut une jouissance commune
– Quel échange riche en couleurs
– Une telle richesse est rare.
– Elle peut être pérenne
– Je pense encore à une séance de partage
– Autour d’un roseau
– Sur rendez-vous privilégié entre amants
– Je serai votre maîtresse très soumise
– Prête à jouer de rock’n’roll
– Prête à faire un pas de géant
– Pour une longue conversation de plaisir
– Ma demeure a manqué de corps à corps
– Alors c’est l’occasion de chauffer l’atmosphère
La demeure de McPherson, se transformera en un paradis de plaisir
⃰ ⃰
⃰
Les semaines qui suivront seront mouvementées pour Camille. Elle devrait affronter les examens semestriels. Elle voulait à tout prix réussir ses unités d’enseignements afin de décrocher son diplôme universitaire. Alors qu’au même moment Bernice et McPherson essuyaient des échecs dans l’obtention de certains gros contrats d’affaire. L’examen fini, elle rendra visite à Bernice qu’elle verra placide.
– Ma tendre Bernice aurait des soucis ? Lui demandera-t-elle.
– Beaucoup ma chère. Je ne pensais pas que cela atteindrait un tel niveau dans mes affaires, à mon âge.
– Est-ce fatal au point de ne plus en sortir ?
– Il y a solution à tout. Je vais en discuter avec quelqu’un.
– Tu n’as pas bonne mine. Il te faut une bonne douche. Et une bonne bière à l’avance
– Je te laisse le soin de tout préparer
Camille l’embrassera puis la quitta. Bernice restera dans son salon, toute silencieuse, jusqu’à ce que McPherson fasse son entrée.
– Tu es venue tôt mon cher
– S’il faut agir tôt et prendre les décisions qu’il faut fasse à une situation inattendue comme celle-ci.
– Je n’ai jamais pensé qu’on en arriverait là, au point d’initier une nouvelle stratégie à nôtre âge
– Voilà ce pour quoi il faut poser les bases de cette stratégie afin d’avoir un bon résultat.
Au même moment Camille fera son apparition avec une bière et des verres. Elle fut surprise de voir McPherson à côté de Bernice. Bernice étonnée aussi se réjouira plutôt.
– Je crois que nous pourrions donner une bonne et nouvelle, plutôt meilleure orientation à notre projet.
– Camille, je crois que McPherson a aussi besoin de goûter à ton massage.
Bernice et McPherson se laisseront se faire pratiquer le massage sexuel par Camille. Ce moment de détente sera plus admiré lorsqu’elle manipulera la verge et le vagin de ses demandeurs en perte de repère dans leurs initiatives.
– Est-ce la providence qui voudrait qu’on profite des potentiels de cet être unique en son genre ?
– Son expertise est sans contestation, je dirai une bénédiction
– Je sais qu’en ce moment je ne fais pas d’erreur. Ce que j’ai seront dans de bonnes mains après moi, dira-t-elle à McPherson en lui chuchotant aux oreilles
– Moi aussi, il n’y a pas de doute. Répondra-t-il en faisant de même
Les deux nouveaux partenaires en affaire s’acharneront sur les trous de Camille
– Je suis votre muse de plaisir et de mutation dans votre vie. Prenez-moi à votre guise, Baisez-moi, sodomisez-moi, je serai toujours tout à vous comme vous le voudriez.
– On t’en fera voir plein les yeux, tu auras ta dose.
– Camille se laissera se faire baiser par les deux séniles à la santé de fer, d’apparence jeune. Elle se laissera sodomisée par McPherson et Bernice. Bernice, à l’aide d’un gode aura sa grande ouverture avec Camille qui en profitera pour vénérer la verge de McPherson avec sa langue. La partie ne se terminera que lorsque le mâle aura joui
⃰ ⃰
⃰
– Mon orientation est celui-ci. J’ai décidé de jeter un œil dans mes comptabilités, mais de façon discrète. Je compte lui confier la gestion de certaines de mes établissements pour ne pas dire la totale. Mes collaborateurs pensent que c’est la fin pour moi et se diront que je perds mon temps, mais moi, je sais ce que je cherche.
– C’est ce à quoi je pensais aussi, mais moi je la ferai seconder par un autre en Europe
– Ceci dit, tu les accoupleras ?
– L’avenir nous le dira
– Je te dis en même temps, elle sera mon héritière pout tout
– J’y ajoute mes affaires d’ici, l’autre gardera celui de l’Europe. Je suis partant qu’elle détienne la grande part.
– Cela me rappelle une des accords que tu voulais signer et me courtisant
– Et tu as refusé mon offre !
– Mais Camille m’a fait rattraper ce que j’ai regretté toute ma vie, cela me permet de me racheter
– Il n’est pas trop tard pour bien finir ce qui a bien commencé.
Bernice s’approche de McPherson et l’embrassa
– Comment deux bourgeois en âge avancé, mais en plein dedans dans la jeunesse, peuvent se procurer du plaisir au point de jouir
– Un bon coup de 69 peut servir d’entrée en matière, comme Camille a déjà préparé la voie
– Celui de l’émerveillement donc !
– Il n’y aura pas de meilleur autour d’un roseau
– Il me faut un missionnaire pour répondre au cri de la maîtresse
– La maîtresse réclame une bonne conversation
– Les femmes aiment converser sur un pont
– Elles sont très courtisanes lorsqu’il s’agit de plaisir
– Je recherche un tournesol
– Pour une excellente complicité
– Pour une bonne bouffée de vache
– C’est une levrette offerte
– Avec une magnifique fleur de lin
– Par le truchement d’un messager
– Qui aura la réponse d’une indécise !
– De la façon la plus indécente
– Que de riches ingrédients pour un tel rendez-vous privilégié !
Bernice et McPherson laisseront Camille endormie et s’occuperont de leur rencontre prévue en conséquence.
VIII
Camille et Mike auront pour mission de revoir la comptabilité de leurs amis bourgeois, Bernice et McPherson. Bernice mettra Camille en contact avec Mike en cas de collectes de certains documents si certaines affaires étaient reliées. Elle avait aussi en charge les affaires de McPherson. Ce qui fait qu’elle n’a plus beaucoup de temps pour elle puisqu’elle met en jeu ses études et sa compétence. L’unique passe-temps qu’elle avait c’était celui de communiquer avec Mike. « Ici Mike le gestionnaire de compte de Bernice. J’aurai besoin de la comptabilité des revenus couvrant l’an 2010-2012 sur le projet Excel corps, Occident-Amérique. J’espère le consulter après mon petit passe-temps » « Ici Camille, j’accuse réception du message, le dossier est en fin d’étude. Je les envoie avec des notifications. J’imagine votre passe-temps riche et pleine de passions constamment satisfaits ! Cela se partage ?»
Dans la soirée, Camille s’occupait des affaires confiées par McPherson. Elle relevait des détails qui l’échappaient. Mike aussi donnera signe de vie. « Document envoyé express reçu. Constat partagé, détails ajoutés. Journée un peu mouvementée et pleine de confusion après contrôle des finances. Deux passions sont à l’honneur dans mon passe-temps. Sport, jeu-vidéo et extase » Camille lira avec sourire la réponse de Mike.
Dans la soirée, elle fit des rapports à ses patrons autour d’une table. Les détails les choquaient.
– Si je n’avais pas diligenté ce travail en discret je ne saurai pas ces détails
– Je crois que nous devons renforcer la surveillance de nos collaborateurs et nos concurrents
– Pour votre gouverne, j’ai deux cibles qui rodent avec deux concurrents qui sont à la base de l’échec de deux de vos projets élaborés
Camille fournira les documents à ces derniers, stupéfait
– Je n’arrive pas à y croire
– Ils vont payer
– Un bon ménage est vraiment nécessaire pour un nouveau départ en affaire.
Pendant que Camille consultait les nouveaux dossiers posés à sa table, elle sera interrompue par Bernice qui lui retirera les dossiers de la main
– Tu as assez fait à notre avis pour cette semaine
– Tu mérites du repos !
– Et ce qu’on t’a privé durant !
– Mais avec un tout petit changement de décor
Bernice et McPherson s’éclateront en partouze avec Camille tout en l’attachant au lit. Camille ne montrera aucune résistance parce qu’elle voulait en savourer depuis.
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Comme prévu, Camille aura quelques jours de repos. Elle voulut le mettre à profit pour reprendre des forces physiquement. Mais ce fut l’occasion ultime pour elle d’échanger avec le mystérieux juriste-gestionnaire de Bernice en Europe, car même ne l’ayant pas vu, elle ressentait à son égard une réciprocité. « Passions appréciés et partagés. Bonne reprise des contrôles juridico-financières avec un perpétuel échange en communication des passions ! »
Ce fut le message qu’elle avait envoyé à son correspondant avant de reprendre ses activités. Ce dernier n’hésitera pas à lui envoyer ses profils sociaux. Elle constatera qu’il est plus sur Skype que les autres réseaux et la photo mise était celui d’un sportif professionnel. « Content de te lire sur Skype, mieux tu ne vois pas mon visage, mieux tu chercheras à me découvrir. Je constate que tu as le même slogan que moi ! Comme les points communs s’accumulent ! » Lira-t-elle dans son premier message. « Je suis heureuse de tchatcher avec un partenaire professionnel avec qui je ne m’ennuierai pas puisque les goûts se rejoignent comme si c’était deux jumeaux séparés de façons circonstanciels. Au moins ce canal servira pour nos délires » Lui écrira-t-elle en guise de réponse. « En matière de délire, je suis en train de mettre mes 25 cm dans les trous d’une demoiselle éprise de ma forme » ce fut la réponse immédiate de Mike. Camille n’en revenait pas. « Que d’intenses ébats alors ! j’imagine que les ingrédients de la cuisine sont le missionnaire en entrée, la levrette offerte en plat de résistance, en cet instant précis, et la bucolique en dessert ?! » Cette hypothèse envoyée ne sera pas sans résultat « Comment as-tu su ? Tu augmentes mon envie de découverte de ta personne !» Camille n’hésitera pas à répondre. Mais avant, elle augmentera la vibration de son gode enfoui dans son organe. « Cela relève du fruit de ma gourmandise sexuelle ! » Camille ne cessait de gémir les jambes écartées. « Gourmandise partagée. Je parie que tu es en manque et que tu te console avec un vibrateur, que tu as installée avant d’entamer la communication et que t’es en phase de jouir intensément ! » La réponse de Mike ne tardera pas à faire effet sur Camille en pleine jouissance. « Oui, j’ai joui, j’ai pris mon pied, la communication a été au-delà de mes attentes. Mon unique désir, tant bien que ce ne sera pas demain la veille, est de passer du virtuel au réel avec toi auprès de moi. Mais cette nuit est la meilleure nuit de mes nuits, juste en te lisant. Après avoir pris ton pied, fais de beaux rêves »
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Pendant un mois, la majorité des dossiers couvrant l’année d’avant la perte des contrats ont été passés en revue par Camille et Mike. Les failles constatées dans les comptabilités et les investigations faites par Bernice et McPherson, les rendirent furieux au point d’être atteint par une crise cardiaque. Mais leurs médecins traitants ayant vite intervenu, leurs permis d’éviter de passer outre. La maladie de Bernice poussera cette dernière à contacter April afin de lui donner certaines instructions. Camille aura l’opportunité de la connaître. Le séjour d’April durera jusqu’à son rétablissement. Camille qui était à cheval entre Bernice et McPherson semblait ne pas être dans son état. Leur rétablissement lui redonnera goût à la vie
– Ta crainte pour notre survie t’a démoralisée à ce que je vois.
– Cette période ne pouvait être un moment de jouissance. Je ne le supporterai pas, surtout que c’est à la suite des résultats généraux que vous aviez succombé.
– Cela ne leur a pas empêché de préparer la liquidation des entreprises à notre insu, malgré notre état
Camille restera étonné qu’ils fussent mis au courant de la situation par les enquêteurs.
– Sois sans crainte, et ne les blâmes pas, nous-même leurs avions demandé afin de leurs confirmer notre solidité
– Cela te rassure de notre retour en pleine forme parmi les vivants !
– Ingrats malgré tout
– Je le suis
– Alors sois dans la gaieté car pour toi aussi tu prendras un nouveau départ dans nos affaires
– Je ne comprends pas
– Ta gestion officieuse a généré de gros bénéfices inattendus pour nous deux, alors nous avions décidé d’acheter les parts d’actions de nos ingrats, et réglé amiablement leurs frasques avec nos concurrents étonnés de notre retour en force.
– Ceci dit
– A partir de maintenant, nos patrimoines et investissements sont officiellement sous ta direction.
– Tu es la présidente par intérim du comité d’organisation de nos entreprises et gestionnaire principale de nos patrimoines
Camille n’en revenait pas
– C’est trop d’honneur à ma personne
– Honneur méritée car ta loyauté et ta disponibilité ont favorisé le choix sur toi ma bien aimée et protégée Camille
– Merci pour tout Bernice. Merci à toi aussi McPherson
– Pas de quoi
– Mais tu prendras tes fonctions après quelques semaines de repos et une bonne prise de pied. April a droit à une récompense de ce genre
– Bernice !
– Voulu ou pas, ce sera ainsi
– Je pars aujourd’hui
– Camille te raccompagnera. et la dernière nouvelle est que Camille quitteras l’immeuble dans laquelle elle s’était logée et m’appartenant d’ailleurs pour une nouvelle villa. Tu dois le lui montrer
– Je n’ai pas oublié.
– Bonne promenade à vous deux.
Camille et April prendrons la route pour la villa léguée à Camille
– C’est une grande chance pour toi d’atteindre un tel niveau
– J’avoue que je n’en reviens toujours pas
– Ils te l’ont dit, tu l’as méritée
– Je ne cesserai de leur être reconnaissant en faisant en sorte de ne pas les décevoir
– Pour cela ils sont déjà rassurés de cela. Tu as des projets en vues
– D’énormes projets. Dommage que je ne puisse les exécuter sur le champ
– Ce qui est sûr c’est que tu as toute la vie devant toi pour les concrétiser
– Mais en ce moment, je veux bien en profiter pour prendre mon pied comme conseillé pour inaugurer ma nouvelle demeure avec celle qui est avec moi
April ne montrera aucun signe de résistance lorsque Camille approchera pour l’embrasser, car elle-même en mourrait d’envie depuis sa venue
– C’est l’ultime moment que je désirais tant. Je ne peux que suivre la danse. Je veux savoir jusqu’où tu pourras m’envoyer en matière de baise
– Je te laisse le soin de découvrir
– Prend-moi vite, fais-moi rêver. J’en meurs trop d’envie
IX
Camille n’avait plus le temps pour elle depuis qu’elle présidait les entreprises McPherson-Bernice, assistée par April. Les deux richissimes se sont mis ensemble et profitent de leur moment de vieillesse. Mais n’empêche elle trouve du temps pour son unique style de vie, Étude-Sport-Extase. La villa que Bernice et McPherson s’étaient entendu pour lui construire correspondait à ce mode de vie. Pour profiter de sa soirée, elle invitera son coach en bodybuilding et strip-teaseuse. La séance se fera dans une chambre préparée pour l’occasion. La strip-teaseuse exécuta ses danses en face de Camille, affamée de plaisir la rejoindra dans sa danse. Sa partenaire était séduite par le style de danse de Camille. Cette dernière ne lui accordera pas le temps de l’admirer. Un coup intense de langue sur la chatte de la strip-teaseuse servira d’introduction pour la baise. La strip-teaseuse, prenant goût au coup de Camille ne cessait de gémir pour en demander encore plus. Camille en décidera autrement, en la faisant allonger afin qu’elle puisse démontrer son expertise en matière de cunnilinctus. La main de Camille prendra le relais sur la chatte de sa partenaire. Enchantée par le corps de celle-ci, elle décidera de la pincer pendant qu’elle s’en prenait à son clitoris. Les gémissements de la strip-teaseuse ne cessaient. Cela augmenta l’envie de Camille de la défoncer. Le corps de la strip-teaseuse réveillera la sensualité de Camille. Elle fera en sorte que la partie ne sois pas aisée pour elle deux avec son gode. Les deux partenaires baiseront comme des catcheuses en extase. Camille la tirera entre les mailles du filet. La strip-teaseuse s’est montrée captivante mais indécise. Camille la conviera à goûter à son crabe. Cette dernière s’est montrée dévorante. Camille fera d’elle sa demoiselle élue dans son parcours de baiseuse alpiniste. La strip-teaseuse vit en elle sa favorite dans sa démarche de baiseuse entreprenante. Elles s’offrirent une grande ouverture pour bien finir la partie.
⃰ ⃰
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Mike a fini ses examens avec des résultats concluants. C’était au-delà de ses espérances. Chez lui, il repensait à ses efforts déployés pour résoudre les difficultés rencontrées. A sa grande surprise, April était venu chez lui
– Enfin ton diplôme de maîtrise en droit.
– Je suis très ému
– Ce qu’il faut pour créer son cabinet d’avocat
– Ce n’est pas demain la veille et je ne compte pas quitter ton cabinet
– Pourquoi ?
– Je ne sais pas, je me sens bien là
– Parce que tu prends bien ton pied, je suppose !
– Non ce n’est pas ça. Si c’était le cas, je ne critiquerai pas la façon dont le professeur a voulu m’attribuer la note que j’ai méritée.
– C’est vrai. Tu n’avais pas besoin de tout ce protocole pour cette note. Elle l’a avouée. Tu fais partie des rares étudiants l’ayant réussi
– Ce sont des compliments que je ne contredirai pas
Le silence régnera un moment dans la pièce. April avancera vers lui et s’installera à côté de lui
– Je me sens veille pour continuer de gérer les affaires du cabinet.
– Si je comprends bien, tu veux prendre ta retraite comme Bernice
– On peut le dire. Et je ne vais pas chercher loin la personne à qui je pense confier ce cabinet. Je pense que je vais suivre son conseil
– Tu en as parlé à Bernice à ce que je vois
– Et elle me l’a fortement et rigoureusement recommandé. Je ne vais pas la décevoir.
– Elle mettra un document dans ses mains. Mike l’ouvrira et le lira. Il n’en revenait pas
– Tu le géreras provisoirement, je te conseillerai.
– J’accepte pour la confiance accordée. Dira-t-il après un moment de silence.
– Ce sera mon premier cadeau
– Encore d’autres surprises !
– Il y en aura des surprises quand Bernice veut aider April à réalise quelque chose pour une personne qu’elles estiment en commun
– Oh !
– Mais avant, je veux que nous rythmions en fonction de tes nouvelles responsabilités
– J’imagine le rythme
– Un petit rythme classique rapprochant les termes d’ordre professionnels. A l’instant même je te confie le rôle de missionnaire alors que tu n’étais que mon messager
– Je le désir depuis ta venue
– Alors exécution.
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⃰
– le travail me prend la majorité de mon temps. C’est le sport qui remplace ma passion des passions, je n’en profite qu’à mes repos.
– Les affaires font modérer les habitudes. Et je ne te cache pas que cela me manque aussi. Mais je peux te dire qu’avec une seule personne en particulier.
– Moi aussi
– Je ne cesse de penser au jour où l’occasion nous permettra de vraiment concrétiser nos ébats
– Quelque chose me dit que nous arrivons à notre but
– J’y crois aussi. Mais un désir me démange à l’instant, et te le dire me ferait du bien
– Exprime toujours, car je suis un prisonnier de ta voix.
– Je t’imagine toi appuyé contre le mur et moi accroupie en train de vénérer ton bâton sucré de plaisir, quand tes mains ne cesseront de stimuler mon dos de tes petits pincements. Je désire ardemment te faire régaler les yeux les frasques d’une intéressante hôtesse et t’offrir l’unique fleur insolite qui soit sur terre dans ton salon et t’accomplir l’onanisme de tes rêves
– Je ne doute pas de ton expertise en maîtrise de la verge de ton partenaire, je ne te cache pas qu’il en meurt d’envie et je le console avec ma main. Mais moi aussi, te voire allongée sur moi en maintenant ta chatte sur ma langue serait instinctivement un triomphe. J’imagine te voire allongé sur un grand tapis et transformer ton trou en pandore. te sentir me dévorer et moi en faire de même serait le plus grand émerveillement que je me vois en train de m’offrir et de t’offrir aussi. Je sens ta chatte jouir sous un baiser le plus doux et te donner la meilleure des choses qui soit, t’offrir le paradis sur terre.
– Mike, je jouis intensément en t’écoutant. Cela augmente mon désir de te courir et de prendre mon pied dans ce paradis. Cette nuit sera l’inoubliable et commencement d’une liaison futuriste
– Je t’aime Camille, je t’aime
– Moi aussi, je t’aime.
X
Les jours se succèdent et les événements aussi. Les mauvaises surviennent au moment où les affaires reprenaient. Bernice, la protectrice de Camille rendit l’âme suite à un relâchement du cœur. Les funérailles sont faites. April sera présente, sauf Mike à cause des affaires courantes. Camille ne s’en remet pas de la voir disparaître au moment où elle voulait qu’elle jouisse un peu du fruit de son travail. McPherson, la connaissant, lui interdira de s’occuper des affaires pour un temps et lui imposera des vacances dans un hôtel échangiste français. Ne prenant pas goût à l’atmosphère, elle décidera de prendre de l‘air à la plage. Son unique envie serait de voir Mike. Elle ne manquera pas de l’informer de sa venue. Pendant qu’elle observait des vagues de la mer, elle repassait les bons moments passés avec Bernice. Allongée sur sa natte, elle passait sa main sur son corps en repensant aux plaisirs qu’elle et Bernice ressentaient. Ses gémissements attiseront la curiosité de deux couples en plein échange de partenaires sur la plage. Ayant pris connaissance de la personne en extase, ils furent aussitôt séduits par son corps. Sans dire mot, ils s’approchèrent de Camille. En les voyants s’en prendre à leurs organes, elle ne fera rien d’autre que de les inviter à une partie de groupe. Pendant ce temps, Mike aussi sachant là où se trouvait Camille, il se mettra à la chercher sur la plage. Dans ses recherches, il tombera lui aussi sur un groupe de filles qui léchaient leurs chattes entre-elles. Une d’elle l’ayant vu, l’attirera vers elle puis l’embrassera. Cette partie vient interrompre ses recherches. Mais c’était un désir qu’il ne pouvait plus refouler, puisqu’il y avait des femmes qui aussi le voulait comme lui. Sans s’en rendre compte, l’une d’elle s’en était prise à sa queue. La partie était inévitable. Il ne se laissera pas faire. Avec sa main experte, il fera de la troisième sa cible de plaisir. Camille quant à elle ne fit pas de cadeau à ses partenaires. Elle permettra aux mâles de la sodomiser tandis que sa langue et ses mains expertes feront jouir les femelles. Lorsque les mâles jouiront jusqu’à épuisement, elle s’en prendra à celles-ci en leurs servant sa position favorite, la grande ouverture. Mike aussi ne fera pas de cadeau à ses femmes gourmandes. La première lui servira d’enclume, pour la seconde, elle fera d’elle une suspendue et la dernière, il lui offrira une belle levrette. Les femmes jouiront comme si c’était pour elle la première fois.
La partie prendra fin des deux côtés. Camille et Mike laisserons leurs partenaires dormir sur la plage et rependrons leurs marches. Mike tentera de la contacter en marchant, espérant la voir
– Camille, je suis sur la plage, j’ai été retenu pas des gourmandes de mon corps
– J’y suis toujours Mike, j’ai envie de te voir, j’ai eu à prendre mon pied avec deux couples en t’attendant.je t’en prie, j’en ai assez de ces parties, je te veux à mes côtés
– Moi aussi je ressens les mêmes pulsions que toi. Je m’en voudrais si je ne te voyais pas
– Ton corps est ce que je désire toutes mes nuits, et en te voyant en réel, je me dis que j’ai bien fait de t’attendre, car j’ai fait le bon choix.
Mike observera autour de lui et la verra avançant vers lui. Après un moment de regard, ils s’embrassèrent intensément
– Je suis la courtisane du missionnaire, messager de la déesse Andromaque
– Le messager de la déesse Andromaque sait à présent que sa courtisane l’attendra toujours dans ses fonctions de missionnaire, car elle sera pour lui un être d’émerveillement
Camille et Mike, dans un relâchement total, s’empresseront de combler leurs désirs communs sur la plage, suite à un bon coup de langue sur leurs sexes. Ils jouiront intensément, car l’un et l’autre se réjouissaient de voir leurs rêves se réaliser. Mais leurs gourmandises fut telle que même dans la chambre d’hôtel de Camille ils continueront de faire l’amour.
– Te voir à mes côtés ne me donne plus envie de partir.
– Moi aussi. Mais le travail qui nous rapproche ne nous le permet pas.
– Mes venues ici ne seront qu’occasionnel
– Je resterai là à t’attendre jusqu’à ce que tu reviennes. Je suis prêt à faire une ascèse à mon sexe jusqu’à ton retour
– Laisse ma langue manipuler ta queue en guise de censure
– J’allais te demander pour la tienne
– Mais à moi l’honneur.
La fellation et le cunnilinctus serviront de pacte de fidélité pour les deux amoureux. Camille s’empressera de vénérer la queue de Mike, appuyé contre le mur. Mais en prenant goût à la langue de sa bien-aimée, il perdit ses moyens et s’écroula Camille lui inspirera une intéressante hôtesse assise sur une grande roue. Mike manifestait sa joie d’avoir une gourmande à sa taille en gémissant lorsqu’elle lui faisait comprendre que sa queue était un accomplissement. Camille lui montrait par ce pacte que sa queue est d’un tel éclat et d’une telle grandeur qu’il sera toujours pour elle un admirable objet de désir, une flûte enchantée et qu’il ne pourrait le comparer à un brasier. Mike sait dorénavant que lorsqu’elle viendra à lui, elle s’acharnera sur sa queue qui lui est unique et qu’elle est sa favorite. Même en étant trop penseur, elle le stimulera afin de faire de lui un chasseur qui doit savourer sa proie. Il sait aussi que Camille sera disposée à partager avec lui les joies de la connaissance en tout point. Camille ne sera pas épargnée par l’adoration que Mike à pour elle. Pour lui, la rencontrer sur son chemin relève d’un triomphe de l’instinct. Camille sait que sa chatte est similaire à un pandore dont il est émerveillé. Elle sait que Mike lui donnera de tendre secret après un désir satisfait. Elle sait par ce pacte que Mike fera toujours d’elle la Maîtresse de séant lors d’un incendie de désir. Mike lui donnera le baiser le plus doux afin de l’approcher par surprise. Il sait aussi qu’avec Camille, la meilleure des choses serait de toujours lui présenter le paradis sur terre. Mike lui fera comprendre qu’il relèvera le défi de lui offrir sa dernière offrande, le rocher de Gibraltar. Connaissant tous deux les lois du plaisir, ce pacte sera conclu par une belle apothéose.
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Après ces moments passés en France, elle deviendra ascétique au sexe à son retour. Elle se concentrera sur les affaires qui lui sont confiés. Les affaires fleurissaient et cela ne réjouissait que son protecteur McPherson. Mais dame nature décidera autrement pour lui. Camille ne s’en remettra pas facilement. Dans son domicile, elle se larmoyait. Elle était à la recherche d’un consolateur. Elle ne pensait qu’à une seule personne. La nature lui rendra le sourire tant recherché avec la venue surprise de Mike chez elle. Elle s’empressera de l’ouvrir.
– Mike, je ne sais plus à qui me vouer. ceux qui nous ont propulsés nous quittent sans jouir comme nous le voulions de leurs retraites
– Je partage cette peine atroce que tu éprouves pour eux. Nous ne devons pas cesser d’être reconnaissance. C’est l’occasion pour nous de continuer cette reconnaissance en leurs absence afin de leurs montrer que même refroidis, leurs plantes ne cesseront de grandir, d’atteindre le sommet.
– Ce défi sera relevé par honneur
April regroupera Mike et Camille autour du notaire pour la lecture du testament du couple Bernice-McPherson. Camille hérite de tous les biens et investissements de McPherson et une Partie des biens et investissements. Mike héritera des restes de Bernice évalué à vingt pourcents des investissements de Bernice, soit les investissements Co-audités avec Camille. April autorisera son notaire de lire ce qui la concernait. Mike, ayant la présidence du cabinet d’avocat, héritera de tout ce qu’elle possède. Camille et Mike n’en reviennent pas toujours sur ce qu’ils entendent
– Oui. Cette réaction était prévisible. Nous ne regretterons pas notre choix
– Nous prendrons soin de tout ceci et cela sera au-delà de vos espérances
– Nous vous me faite entendre
– Oui April. Nous allons nous marier. Mais les dispositions financières resteront telles comme vous nous les avez confiées. Car l’amour que nous éprouvons mutuellement est au-delà de ces matières.
– Le vrai amour pour des intérêts éternels
Le mariage sera célébré à la mairie de Paris quelques semaines après. Et à New York la bénédiction à l’église.
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Camille et Mike passeront leur lune de Miel à Venise dans un somptueux hôtel appartenant au Couple Bernice-McPherson relevant de la communauté des biens. Dans une suite réservée pour l’occasion, une séance de massage servira d’introduction pour la longue baise programmée. Leurs douces mains passant sur leurs corps réveillèrent leurs sensations. La meilleure partie débutera après un dénouement du pacte de fidélité.
– Je préviens mon beau Mike qu’il sera récompensé de sa vertu avec un arc de triomphe.
– Je n’en doute pas un instant, car pour moi c’est un assaut réussi. Je profiterai de l’occasion pour jouer au saute-mouton dans une colonnade baroque
– Étant une belle sauterelle, je ferai de la fantaisie en réclamant une balance de précision.
– Avec une rigueur géométrique, notre temple de l’amour servira de cadre pour une extase oscillante
– Je t’assure Mike que je deviendrai la catcheuse qui te mettra entre les mailles du filet
– Je ferai en sorte que tu sois indécente et que demanderas à cueillir du crabe.
– Mon insolence à ton égard te poussera à réclamer à voir Eve au jardin des délices.
– Mieux vaut te payer un petit chat et les perles de l’amour pour que tu sois foudroyante et sensuelle
– Je réclame aussitôt les trois oranges de désir et mon accordéon afin de la jouer sur un pont suspendu
– Sur ce, moi l’ambitieux je me mettrai sur un même pied d’égalité avec toi ma passionnée
– Marché conclu.
– Ce n’est pas tout
– Tu voudrais qu’on soit des chanteurs de cordes
– Même plus, que toi tu sois étincelante !
– Mike j’ai le droit de réclamer ma barre de plaisir
– Cela fait de toi ma championne
– Ce sera notre révélation à nous
– Mais notre corps a besoin aussi d’oscillation de plaisir
La nuit fut longue en matière de baise dans leur pièce. Même la salle de gym ne sera épargnée par leurs frasques
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April rendit l’âme quelques années plus-tard. Camille et Mike géreront respectivement les affaires qui leurs sont confiées dont la légitimité n’est pas à contester. Ils feront partie des couples les plus riches du monde. Ils vécurent heureux dans le meilleur du possible.
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