Mes vacances au festival de Jazz.
Je vais vous raconter une de mes plus récentes histoires de cul. C’est encore tout frais dans ma mémoire et dans mon corps car ça c’est passé le mois dernier. Comme chaque année depuis maintenant 4 ans, je pars en vacances dans un chouette festival en juillet. Cet été mon choix s’est fixé sur un petit festi de Jazz en bord de mer Méditerranée.
Je prends mes congés en solo et quitte Paris le temps de recharger mes batteries en mode roots : train, tente et sac à dos. Roots mais rasée de près tout de même. En fait, je prends toujours rdv chez mon esthéticienne juste avant mon départ en vacances. Je me sens fraîche et sexy, les jambes épilées et la chatte imberbe. C’est aussi une question de sensations, j’aime le contact du tissu sur ma peau rasée. Mon rapport aux poils est un peu étrange, certains m’excitent quand d’autres me dérangent. Par exemple je n’épile pas mes aisselles, je ne l’ai jamais fait, ce sont des poils doux et fins, ils retiennent délicatement mon odeur de sueur et beaucoup de partenaires en sont fan. Mon esthéticienne ne comprend pas trop pourquoi je ne veux jamais les enlever, mais bon, à chacun ses petits trucs.
Mon sexe quant à lui, je le trouve plus beau épilé et puis, mmmmh, la pénétration est tellement meilleure sans ces satanés poils qui font barrière. A cet endroit, sans eux, je suis 100 % ouverte, 100% offerte, c’est un peu dans ma tête que se joue cette idée car certains hommes s’en fichent et aiment les poils, mais perso, ça me libère.
Au mois de juillet, je suis donc montée dans ce train direction le sud, fraîchement épilée avec dans la tête l’envie de faire des rencontres sexuelles. Je me sentais toute échaudée, prête à accepter l’inconnu. J’avais envie d’aventure et je n’ai pas été déçue.
Après un voyage de quelques heures à fantasmer sur un gars du wagon qui lisait, écouteurs sur la tête, je suis enfin arrivée à destination. La petite ville côtière avec son architecture blanche, rose, ses façades lumineuses et ses platanes me faisaient me sentir en Italie. J’ai tout de suite apprécié le vent glissant dans mes jambes, faisant virevolter ma jupe. Soleil. Avec mon sac sur le dos, j’ai traversé la ville, goûtant la chaleur de l’été sur mes épaules dénudées.
Pour rejoindre le camping du festival je devais marcher quelques kilomètres. J’ai pu entendre l’accent chantant d’ici et me rendre compte que cette petite ville avait plein d’atouts. Des grands musées d’art contemporain présentaient de belles expos et soufflaient de l’air-co a plein pot. Des cafés ombragés, et des petits restos typiques. J’ai mis ça dans un coin de ma tête pour plus tard.
J’avais hâte de retrouver le terrain du festi et de planter ma tente. Quand je suis arrivée, les voisins de parcelle sont venus se présenter à moi d’une façon polie et sympathique, ils m’ont proposé leur aide que j’ai déclinée mais m’ont offert un mojito une fois ma tente installée. C’était un couple de deux mecs homo, la trentaine, super marrant et nous avons tout de suite bien accroché.
Le soir venu on est parti ensemble écouter le premier concert et la magie de ce festival a tout de suite opéré. Mer bleue en fond, scène mythique et superbe musique, mon âme s’est ajustée aux éléments, aux sons, aux vibrations et c’était juste magique. Mes nouveaux amis s’enlaçaient à côté de moi et leur amour rayonnait tout autour.
Dans le public, tout le monde était emporté par la beauté des lieux, la justesse des musiciens et on planait tous ensemble en groupe. Osmose artistique.
Après je suis allée prendre une douche et me coucher car j’étais quand même fatiguée du voyage. Pour un premier soir j’étais très heureuse. Je me suis glissée dans mon sac de couchage le cœur léger et j’ai tout de suite roupillé.
Le lendemain, avec mes nouveaux amis de festival on est allés se baigner. On s’est baladés et on a appris à se connaître un peu plus. Ils étaient vraiment trop cool, je riais tout le temps et puis on parlait cul sans aucun complexe et ça c’est vraiment ce que je préfère. Je leur ai fait part de mon mood « chasse » et ils ont décidé de m’aider à mater les beaux-gars sur le festi pour m’aider à chopper le plus hot ! « Bébé ! Tu vas pas te taper du bas de gamme crois moi ! ». Hahaha, c’était la bonne excuse pour eux pour mater encore plus de petits cul de mecs trop canons! Pas du tout jaloux les deux-là.
J’ai répondu un « Okay » un peu douteuse tout de même d’arriver à pécho aussi beau ! « La confiance en soi Marie, LA CON-FIANCE ». Quand dans ma tête, je me parle à moi-même à la troisième personne c’est que j’essaie de me motiver, ça me permet de prendre de la distance avec mon émotion immédiate. Je ne sais plus depuis quand j’ai pris l’habitude de me parler en dedans en self-coaching positive attitude.
Le soir, après m’être préparée pour ma deuxième soirée avec une robe toute mimi, je me suis dirigée seule vers la scène qui m’intéressait et sur le chemin j’ai croisé un mec charmant, il avait un regard joyeux, un grand sourire et surtout des cheveux bouclés tout dorés, trop beaux. Il m’a regardé intensément et nous avons commencé à parler tout en nous dirigeant vers le concert. On a fait du small-talk en s’observant attentivement. J’aimais bien son style casual avec une petite touche estivale, sandales et pantalon en lin, petite chemise colorée à motifs distingués. Il se dégageait beaucoup de gentillesse de sa personne. Il était tout mince et bien plus grand que moi qui suis petite, je devais beaucoup lever la tête pour capter son regard aussi bien que quand on est arrivés devant la scène, il s’est positionné, en fonction du terrain en pente, de telle façon à ce que je sois un peu plus grande. J’ai trouvé cette attention très charmante. Puis en attendant que ça commence, on a échangé quelques mots sur le groupe qui allait passer. Je lui ai fait part de mon admiration pour les batteurs et les contrebassistes, il a eu un drôle de sourire à ce moment précis.
Le groupe n’a pas tardé à jouer. Nous avons arrêté de parler et nous sommes entrés pleinement dans la musique et ses vibrations. Comme à chaque fois que je trip sur un contrebassiste sur scène, je fixais ses mains. Des grandes mains puissantes, virtuoses, pour un son grave, vibrant, puissant lui aussi.
J’étais là, je vivais la musique, j’étais avec la musique, dans la chaleur d’un soir d’été, mon esprit tout ouvert à l’instant présent, consciente de mon corps et de son potentiel érotique. Intérieurement, j’ai pris la décision de me lâcher et pour la première fois de ma vie de m’autoriser à chauffer un inconnu. J’avais un bon pressentiment sur ce gars.
Depuis le début du concert, la foule avait afflué et nous étions plus serré qu’auparavant. J’aurais pu réduire mes mouvements de danse, mais je choisis l’inverse, je laissais mon corps effleurer celui de ce beau mec en faisant style que ce n’était pas vraiment mon choix. Circonstances extérieures lol. Il me regardait dans les yeux. Sourire. A chaque fois que l’on s’effleurait, je sentais son corps réagir positivement. Lors de la vague de musique suivante je lui signifiait plus clairement mon envie de rapprochement. Il se pencha à ma hauteur et je lui glissais dans l’oreille la phrase la plus osée de ma life : « Je te trouve super charmant et j’ai envie de vivre une aventure charnelle avec toi! »
Oui carrément, j’ai osé dire ça.
Il a été un peu décontenancé, puis il s’est très vite repris et m’a répondu OK. Un « ok » léger et franc comme celui d’ Orelsan, un « ok » joyeux avec aucun jugement dedans. Ensuite il a soufflé délicatement dans mon cou, avant d’y déposer un baiser. Électricité.
J’ai senti qu’il me respirait, comme pour savoir si l’alchimie allait opérer. On a vibré encore plus intensément sur toute la chanson suivante. Il était curieux de moi et son approche était très délicate. Moi qui suis petite, je voyais très bien ses avant-bras tout bronzés, ils sortaient de sa jolie chemise aux manches retroussées. Ses muscles étaient super bien dessinés. Il avait des poils longs et blonds qui brillaient sur sa peau dorée par l’été. C’était vraiment sexy.
Dans la vie, je n’ai jamais eu de préférences physiques. Je suis plutôt du style à aimer ce que dégage une personne dans son entièreté ce qui ne m’empêche pas de triper sur une partie du corps en particulier, mais je ne suis pas arrêtée sur un type bien spécifique. Je n’ai jamais compris celles qui décrétaient préférer les blonds ou les bruns.
Moi j’aime lui, ou lui, ou lui, mais c’est toujours la personne que j’aime, pas la couleur de ses cheveux. Je suis déjà sortie avec 9 gars dans ma vie, enfin non, j’ai déjà fait l’amour avec 9 gars différents serait plus juste à dire et aucun d’entre eux ne se ressemblaient.
Là, j’avais à mes côtés un jeune-homme immensément mince et charmant, avec des cheveux blonds bouclés, un sourire en fossette, des joues creuses et des yeux pétillants. Il avait des bras bronzés dorés, des mains anguleuses avec les os des phalanges qui ressortent. Il sentait bon le propre, il portait même un léger parfum pas trop entêtant. Il était en train de s’approcher tout entier de mon être car je le lui avais autorisé.
On dansait sur une musique plus calme propice aux câlins et je me suis placée devant lui. Malgré le fait que je lui ai dit cash avoir envie de lui, il prenait son temps, dressant une cartographie de moi-même tout en douceur.
Le cou d’abord : souffle, respiration, les cheveux ensuite : caresse, appréciation, mes épaules nues encore : effleurage du bout des doigts, dépôt de bisous. Trois de chaque côté. En continuant l’exploration délicate de mon territoire, ses mains descendaient le long de mon dos nu. Ma petite robe d’été au dos nu, si parfaite. Ses mains effleurèrent ma peau de haut en bas, délicatement. Au moment où il réalisa que je n’avais pas de soutif je le sentis tressaillir. Ça l’excita très fort. Avec la musique en crescendo, tout son corps se rapprocha, se pressant assurément contre moi, par derrière. Ses bras, m’enlaçaient par-dessus mes épaules et se posaient doucement le long de mon torse, de chaque côté de ma petite poitrine. Je faisais remonter mes mains sur ses avant-bras symétriquement par petites touches, comme des notes de piano et je réalisais qu’il était vraiment trop sexy. Ses bras effleuraient mes seins. C’est très très bon.
Je sentais son excitation, et la tension, cette tension énorme, dure, au creux de mon dos qui vibrait. Cette tension n’était autre que son sexe en érection, là, au beau milieu de mon dos nu, au beau milieu de la foule.
Oh my god. Complètement excitée par la situation, je me disais « Mais, elle est quand même grande cette bosse, non ? » Je me pressais en retour afin d’en apprécier pleinement la sensation.
J’ai senti qu’il avait compris que j’avais capté. Je me retournais donc doucement, à hauteur de son ventre et je levais les yeux vers lui avec une lueur pleine de gourmandise. Sa taille ne m’effrayait pas, au contraire, j’aime les grosses queues et ça faisait quelque temps que je n’en avais pas croisé : Bonheur !
J’étais vraiment tombée sur le gros lot et je me réjouissait d’avoir suivi mon intuition. Mais tout ça devenait bien trop hot pour que l’on puisse rester dans le public a se frotter ainsi sans se faire griller. On décida de s’extraire de la foule tout transpirant de phéromones. Je le tirais par la main.
Une fois éloignée de la scène, je me calmais et pris conscience de la situation. J’étais avec un inconnu, très canon et en pleine érection. Il m’observait de haut et me trouvait toute mimi, j’avais le sentiment qu’il attendait une confirmation de ma part. Je ris un peu bêtement puis pris les devant et décidais de m’avancer face à lui tout doucement. Je le serrai contre moi et je sentis à travers ses vêtements sa grosse bite qui pulsait. La tête relevée, plongée dans ses yeux pétillants, je lui réitérais mon envie de baiser et de vivre une histoire charnelle avec lui. Il me posa quelques doigts sur ma joue puis un sur mes lèvres, j’étais en nage. J’avais cet homme contre moi qui vibrait de tout son corps et qui me montrait à quel point il aimerait aller plus loin. J’étais complètement mouillée. Mon ventre se tordait de plaisir, ce n’était plus quelques papillons dans le ventre, mais toute une escouade qui virevoltait !
Là, tout contre sa bosse, j’avais envie de libérer le monstre afin d’en prendre pleinement possession, mais nous étions encore en public, dehors, sur des petits sentiers entre les scènes et le camping, au milieu des éléments. La nuit d’été et ses étoiles nous entouraient, des effluves de la mer proche arrivaient jusqu’à nous. La musique en arrière fond, le brouhaha du monde au loin.
Stop dé-zoom.
Retour au présent.
On décide d’un commun accord de se rendre dans ma tente. Je le préviens qu’il sera certainement un peu à l’étroit, car ma tente à beau être une trois places, elle n’est pas si grande. Il hésite mais ne fait pas de blague salace, ou bien est-ce moi qui y pense ?:
« Il n y a pas que là-dedans qu’il sera à l’étroit « ^^ », putain, chui juste tarée, oui mais une gentille teubée alors. Il me dit que c’est parfait et qu’en plus je n’ai pas de souci a me faire car il a des présos sur lui. Je le taquine un peu en lui disant que « Ah tiens il était aussi en mode chasse pour être aussi prévoyant » mais il me répond que « Non, c’est juste une habitude prise ces dernières années, car les présos des autres ne lui conviennent pas ». Hum hum. Oh ? Aah ! Miaaaaaam.
Je suis bien trop curieuse et j’ai maintenant très envie de passer à l’action, de jouer avec lui, de le goûter et de le faire jouir comme jamais.
On va vite à la tente, on retire nos sandales en hâte puis on se jette dans le petit habitacle l’un sur l’autre. Nos mains s’entrelacent, se pressent, se pincent. On se kiffe, on roule en boule sur le matelas gonflable, on rebondit, on pousse le sac de couchage car il fait bien trop chaud, on suffoque, on rit, on ouvre la toile de nouveau, on respire. Calme, on a toute la nuit devant nous.
Je lui enlève sa chemise, et prends immédiatement le dessus de la situation. Je me retrouve à califourchon sur lui qui tient à peine en longueur, allongé de tout son long dans la tente. Même en position de domination, je me sens toute minuscule sur lui. Il n’est pas si costaud de carrure mais ses muscles sont secs et saillants comme je les aime. Il est vraiment craquant. J’observe sa nudité, il a une petite ligne de poils entre ses seins, mais sinon il est plutôt imberbe. Je fais des traits sur son torse avec mes doigts, je dessine des formes abstraites.
Je teste sa sensibilité aux alentours des tétons, et quand je le vois geindre doucement, je fond intérieurement. Je me penche pour sentir son odeur. Je remonte dans son cou et je le renifle, je souffle et bisouille ses oreilles. J’approche doucement ma langue en pointe pour tester ses réactions, il aime beaucoup et me demande de faire plus fort.
J’enfonce alors ma langue dans son orifice et il crie doucement. J’aime les hommes sonores. Dans l’élan, il a attrapé mes cuisses relevées avec ses mains. J’écarte mon visage pour lui laisser le temps de reprendre son souffle et je descends vers son cou, je passe sur sa glotte, elle est vraiment protubérante, d’ailleurs sa voix est très grave, sensuelle. Je m’amuse un peu avec, mais je remarque qu’il n’aime pas tant que ça, alors, je remonte de l’autre côté de son cou pour atteindre l’autre oreille sensible. Je mordille son lobe, je joue avec mes sons dans son oreille tout doucement, puis je plante ma langue pointue et l’enfonce sérieusement. Il gémit, il aime ça, mmmh c’est bon de lui prendre ses oreilles.
Avec ses mains, il m’attrape par les flancs et décide d’enlever ma robe, il l’a fait remonter le long de ma tête et me libère enfin. Je suis seins nus au-dessus de lui, en culotte. Mon corps ne repose pas sur lui, je suis sur mes genoux cuisses tendues, je le domine de toute la hauteur de mon petit corps. Il prend le temps d’apprécier la vue avant d’approcher ses mains sur mes seins. J’ai une petite poitrine avec de grands mamelons rose clair, elle est mi-ferme mi-flexible et je sais qu’elle fait son petit effet. Effectivement, je vois à sa tête qu’il a le regard gourmand d’un homme prêt à lécher ma poitrine. Il me trouve belle et me le dit : « Tu es belle »
Je me penche et pose un baiser sur ses lèvres, c’est la première fois qu’on s’embrasse sur la bouche. Pendant que je me penchais, il a posé délicatement ses mains sur mes petits seins et ceux-ci se sont lovés parfaitement dans leurs creux. C’est bon, c’est chaud. Il titille les mamelons avec son pouce et son index, pas trop fort, comme il faut.
J’apprécie qu’il me laisse guider le premier baiser. Un smack agrémenté. Le genre de smack sexy, mordillage de lèvre du bas/lèvre du haut, humide mais pas trop. Exactement comme j’aime les faire. Il est réceptif et ne force pas sa langue dans mon intimité. On respire, on se respire, on sent nos souffles, j’aime bien son haleine, elle est à la fois fraîche et musquée car elle sent l’excitation. Je sais reconnaître l’odeur d’un homme qui bande sévère rien qu’à son souffle. Musquée, poivrée, rondeur acidulée, il y a du piquant là-dedans.
Ce qui me fait immédiatement repenser à son sexe prometteur, et déclenche tout aussi immédiatement des piques dans mon bas-ventre. Depuis tantôt j’ai fait exprès de faire abstraction de sa queue bien décidée à profiter pleinement de la découverte du reste de son corps. Mais son haleine musquée me fait changer d’avis. Tout doucement j’abaisse mes cuisses pour venir me coller à lui. Il est encore habillé de son pantalon et je m’assoit sur sa bosse. Elle est incroyablement dure et grosse, je gigote un peu pour le chauffer, mais là, j’ai vraiment envie de l’avoir en main, alors, je me détache de sa bouche pour glisser vers le bas. Ma bouche sur sa peau, le long de son torse, je fais un petit tour par chaque téton et descend doucement vers son bas-ventre. Je dépose mille bisous ici et là, en faisant glisser mes doigts dans l’interstice de son pantalon. Son sexe se décoince d’une quelconque façon dans le caleçon et viens dépasser franchement de la taille du pantalon. Le haut de son sexe et tout son gland sortent sur son bas-ventre et tandis que je frotte de la main la longueur restée en dessous des tissus, ma bouche s’approche pour le goûter délicatement.
Il sent bon, comme l’eau salée de la mer. Son liquide perle, je l’enlève du bout des doigts. Mes lèvres se posent sur la peau de son prépuce et je le sens pulser. C’est incroyable car il prend encore un ou deux centimètres. Définitivement, cet homme est plein de surprises. Je me sens comme une gamine à qui on aurait donné le meilleur kinder au monde. Miam. J’ai envie de le goûter plus, de le sucer complètement. Mais je me retiens, je fais monter la pression pour profiter pleinement de chaque instant.
Lui n’y tient plus, il me dit : « J’ai tellement envie que tu me suce, et toi, tu en a envie » ? « Oui, j’en ai graaaaave envie ».
Il soulève ses fesses pour m’aider à dégrafer son pantalon que je tire jusqu’en bas de ses pieds. Je remonte doucement le long de ses jambes et renifle cette fois à travers le caleçon en coton l’odeur de son entre-jambe : poivrée.
Ma main gauche le caresse à travers le tissus et je réalise soudain la grosseur de son sexe. De la main droite, je soulève l’élastique et tout en tirant la pièce vers le bas, je prends à pleines mains ce sexe splendide enfin libéré. Il est incroyablement gros. Les doigts d’une main ne suffisent pas à en faire le tour de sa circonférence. Je suis aux anges car je sais que je vais prendre mon pied avec un sexe comme celui-ci. C’est idéal pour l’occasion, à la longue, j’en doute, mais en vacances, c’est juste parfait. Je suis incroyablement excitée par sa lourde queue, elle est vigoureuse et puissante, je commence à la lécher en haut. Son prépuce est assez souple, il a beaucoup de chair. Je le fait rouler dans ma bouche, le suçote, avant de le faire glisser vers le bas avec mes mains. Mon nez chatouille le haut du gland, je le gobe en bouche, doucement au début. Je joue avec et fait des ronds avec ma langue tout autour de son sexe. Mes mains l’enserrent, l’empoignent, l’une au-dessus de l’autre, doigts ouverts car trop large. Je fais le S de Simone sur son sexe, enfin pas tout à fait, hahaha, cette pensée intrusive du média me fait sourire, mais je sors vite cette distraction de mon esprit. Mon compagnon de tente gémit, il me dit qu’il aime ce que je suis en train de lui faire.
Je prends pleinement le contrôle de son engin, mes mains sentent sa peau fine souple, glisser sur son bâton dur. A l’intérieur, ses corps caverneux sont solides comme un roc, le sang afflux, pulse. En haut, ma bouche le prend avidement, et je commence à l’enfoncer plus loin en moi. Il me remplit comme jamais. Mes lèvres sont tendues, ce n’est pas un oh qui s’y dessine mais un Aaaah bien large, je n’ai jamais eu une aussi belle bite en bouche et je la savoure. Il gémit de plus en plus fort. Me détachant trois secondes de son sexe, je lui demande ce qu’il aime en sexe oral. Il me répond sans aucun doute « aspire parfois ». Je m’exécute. Je le suce et je me mets à faire le vide dans ma bouche de temps en temps en aspirant comme il me l’a conseillé, ça change la pression et c’est un délice pour lui. A chaque mouvement de va et vient, imperceptiblement, je m’enfonce un peu plus sur lui.
Avec les minutes qui passent, ma bouche s’est anesthésiée et c’est dans une trans-méditative, que je rentre dans le cœur de cette fellation. Je suis à l’affût de chacune de ses réactions, de chacun ses gémissements et je joue de sa queue comme je jouerait d’un instrument. J’adore ça, lui procurer autant de plaisir me fait littéralement mouiller comme une petite fontaine. Je sens mon sexe gonfler et pulser lui aussi. Mes petites lèvres sont suintantes, les grandes gorgées de sang. Mon clito pourrait exploser. Je continue divinement cette fellation, changeant de rythme quand il le faut, tournoyant sur son chibre, laissant jouer mes mains de différentes pressions, différents mouvements. A un moment, il me prend vite le poignet et me dit : « Stop, attention, je pourrais venir et c’est encore trop tôt ». Je m’aventure donc vers ses testicules en douceur, les soupèsent au creux d’une main, je les entoure de tendresse, c’est vivant les couilles, ça se crispe tout seul, ça se détend quand on ne s’y attend pas.
Les siennes sont pas mal, pas trop grandes et très souples. Je sens mon partenaire un peu tendu, alors, je redouble de vigilance pour ne pas lui faire mal. Il me demande de continuer. Je pars sur les côtés de son entre-jambe. Je lui écarte un peu plus les cuisses et j’y dépose des baisers, la peau qui se trouve à cet endroit est si douce, c’est divin.
Tout en ayant toujours son gros chibre dans une main, je continue à descendre sur sa peau, en suçotant, aspirant, léchant. Je suis maintenant en dessous des testicules, sur le muscle du périnée et je dessine avec ma langue reprenant le minuscule trait de séparation de son corps. J’aime être ici, en cet endroit précis. Son odeur m’entoure complètement. J’ai gagné sa confiance et je prends un malin plaisir à le sentir totalement offert.
Est-ce que j’oserais un mouvement vers son antre la plus intime ? Rien que du bout de la langue ? Il suffirait que je le soulève un peu plus, que je tende ma langue au max et hop j’y serai en moins de temps qu’il n’en faut pour le réaliser. Mais je sais aussi que beaucoup d’hommes ont une réticence à cet endroit et je n’ai pas envie de le refroidir.
De toute façon, je n’ai plus le temps de réfléchir car il a décidé de prendre la main sur la tournure des événements. Il se relève super excité et me dit : « J’ai envie de te goûter moi aussi, tu veux bien ? », « Oh oui ».
Je me laisse manipuler et tomber délicatement sur le matelas. J’admire son sexe qui fait un angle droit avec son corps, en perpendiculaire. Ce sexe est lourd, il repose sur ma cuisse et je peux ainsi sentir tout le poids de cette bite sur ma jambe. Je me prépare mentalement à la recevoir en moi plus tard, ça va peut-être être un peu compliqué, mais on verra à ce moment-là. Cet homme est attentif, alors ça devrait le faire. Il me soulève avec ses bras et me remonte un peu plus haut sur le lit de fortune. J’ai toujours ma culotte en coton basique, noire sur mon sexe épilé. Il entreprend de venir me renifler le bas-ventre, puis il glisse ses doigts sous les côtés du tissu. Je sens le souffle chaud de sa bouche collée à mon clito par-dessus le coton. Il n y a que cette culotte entre nous et il joue avec, pas pressé. Il inspire fort et souffle doucement le chaud sur ma chatte déjà très excitée. L’humidité se propage dans le tissu et cette sensation est divine. A travers le vêtement, il commence à repérer ma morphologie. Il tourne un peu sa tête et me mordille de côté.
Toujours à travers la culotte, il mord plus fermement l’entièreté de mes grandes lèvres, les resserrant par-dessus mon clito, dans une pression exquise. Son souffle toujours. Ses doigts de chaque côté glissent vers le bas, jouant avec les coutures du sous vêtement, passant en pression sur ma chatte gonflée de désir. Il me titille le clito avec sa langue et je sens le mouillé traverser le tissu, chaud. Il se redresse pour m’observer, le coton devient froid peu à peu, il viens jusqu’à moi me manger la bouche et dans le même temps, prend à pleine main mon sexe, formant comme une coquille d’amour sur toute sa longueur, il joue des pressions, chaleur. Certains doigts se glissent sur les côtés de nouveau en soulevant le slip, et très doucement, il vient sentir ma mouille à l’entrée du vagin, vérifiant mon excitation. Il fait des petits ronds avec ses doigts, enfonce d’une phalange son majeur tandis qu’avec son pouce plus haut il tapote mon clito à un rythme différent par-dessus ma culotte.
Tout doucement il vient prendre la couture d’un bord pour la caler entre mes grandes lèvres, il réitère de l’autre côté, toujours occupé à m’embrasser, souffle liés. Une fois que le tissu me traverse en longueur, d’entre mes fesses jusqu’en haut du clito, il se met à le tirer doucement en faisant pression sur mon pubis. La culotte s’insère plus loin entre mes lèvres mouillées, elle tire sur mon périnée, mon anus, et un peu mon clito. C’est très très bon. Je suis en feu. J’ai envie de sentir sa bouche humide sur mon sexe et je le lui dis. « Viens, suce moi ». Il obtempère et se glisse vers le bas. En chemin, il titille rapidement mes seins, mais sentant mon envie pressante ailleurs, ne s’y attarde pas trop. Il enlève ma culotte et la fait glisser jusqu’en bas de mes jambes, l’abandonnant entre mes chevilles, je me débrouille pour l’enlever complètement avec l’aide de mes pieds. Il se délecte de la vue de mon sexe épilé, embrasse ma nudité à plein regard. Il me sourit et plonge entre mes jambes. Je ferme les yeux pour mieux apprécier chaque instant, chaque sensation. Ses lèvres touchent mes lèvres, peau à peau divin. Il presse comme tantôt, l’entièreté de mes lèvres par-dessus mon clito, je me sens chavirer. Mon clitoris dépasse, gonflé comme jamais, il est sorti du capuchon.
Lui, vient doucement le toucher de sa langue, en rond, puis il entreprend de me lécher comme un chat. Langue plate, large, il prends toute l’ampleur de mon sexe, de bas en haut. Il commence par en bas, sentant mon orifice moelleux, mouillé, puis il remonte entre mes lèvres pour enfin finir sa léchouille sur mon clito. Il reprend ce geste plusieurs fois, variant son chemin, sur mes petites lèvres. La fois suivante, il décolle ma lèvre droite, ensuite, ma lèvre gauche, remontant toujours en direction du clito. Arrivé au monticule, il fait des pauses plus appuyées et suçote délicatement mon bourgeon tout gonflé, lentement, ronds, droite-gauche, gauche-droite, aspiration douce, ronds.
C’est exquis. Je me sens comme une fleur effeuillée, mes pétales grands ouverts, offerts. Il repart en bas. Avec sa bouche, il attrape un pétale, le tire doucement, le gobe et se met à jouer avec comme un clito. Il lâche celui-ci pour prendre l’autre et les rassemble enfin. Il recule la tête et regarde mon sexe offert, luisant, les pétales se détachent doucement l’un de l’autre, laissant l’entrée de mon vagin visible, il apprécie le spectacle. Son simple regard est excitant. De temps en temps, il souffle sur mon sexe, puis forme sa langue en pointe et la plonge dans mon orifice. Il se détache plusieurs fois afin de mieux y replonger.
Cet homme est le roi des cunis, ma parole. Jamais personne ne m’avait léchée ainsi, il s’amuse et prend son pied ça se voit. Il sait jouer des pauses qui font monter le désir un palier plus haut, puis décide de se focaliser tout entier sur mon gland: l’aspire, le titille, le lèche, le fait vibrer. Il lui fait une mini-fellation, joue du vide dans sa bouche. Simultanément il place le bout de ses doigts à l’entrée de mon trou mouillé, et commence à les faire tourner pour mon plus grand plaisir. Son attention principale est portée sur mon clito, mais ses doigts, là, ou plutôt les deux actions cumulées, me font monter, mmmmm, je sens que ça monte trop fort et je demande une pause.
J’ai besoin de sa peau, j’ai envie de sentir son corps entier peser sur moi, je veux son poids sur mes seins, mon ventre et surtout je veux sentir son sexe en moi. Je l’attire à moi et nos corps se touchent enfin. Tout en longueur, son torse, sur mon torse, sa queue entre mes cuisses, elle est bien trop loin vu nos différences de tailles, c’est pas grave, j’ai une solution pour régler ce problème. Je le fais basculer sur le côté, puis les yeux coquins, je me détourne de lui et lui propose mon dos, en cuillère. Je viens me lover contre son corps en arc de cercle et nous sentons nos respirations vibrer. Il est derrière moi, son gros sexe dépasse entre mes cuisses, je le fait remonter entre mes jambes, contre mon sexe et entreprends de branler tout ce qui dépasse. C’est comme si j’étais un homme avec une bite entre mes jambes, ça m’amuse beaucoup.
Je sens son bas ventre chaud contre mes fesses. Avec ses mains, il caresse mes flancs et apprécie la courbe de mes hanches. On est bien trop excités et nous décidons de mettre un de ses préservatifs, il me le passe, je découvre que c’est la marque ultra fine que j’apprécie beaucoup, bien lubrifiée. Fin et solide, du bon matos. Sans trop de problème, j’arrive à lui enfiler, presser le bout et dérouler tout du long. Son sexe est quand même à l’étroit dedans tandis qu’il s’agit d’un condoms XL.
Cet homme a une bite hors norme et moi j’en salive d’avance. Je sais comment je vais me sentir dans moins d’une minute : Remplie ! Complète.
Je n’ai pas peur et je meurs d’envie qu’il me pénètre. Doucement il recule et remonte son sexe en direction de ma vulve. Nos corps doivent se détacher quelques instants, son ventre s’éloigne du bas de mon dos, et je sens sa queue venir se presser à l’entrée. Doucement, délicatement, elle force l’entrée, et la pression de mon vagin grandit tout autour de son dard.
Mon corps s’ouvre au fur et à mesure qu’il pousse, millimètre par millimètre, la pression est énorme, je me sens tendue, écartelée par cette bite monstrueuse. Le moment est divin, le temps semble s’étirer. Je suis une fée, fendue de désir et je profite de chaque seconde. Ce manque, ce vide en moi, cet appel profond est en train d’être comblé. Son chibre me prend chaque instant plus en profondeur, tranquillement, sûr de lui, jusqu’à ce qu’on sente tous les deux comme une porte fermée à l’intérieur de moi. Elle bloque la progression et mon bel amant décide à cet instant de reculer de nouveau vers l’entrée. La marche arrière est tout aussi divine. Sa main sur mon ventre, il commence à faire des petits va et viens plus rapides, pas très profondément.
Petit à petit, ma vulve et l’entrée de mon vagin s’habituent à son gabarit, c’est bon, je lubrifie de nouveau. Il me titille l’oreille et mordille mon cou. Par contre, nos corps ne sont plus collés et j’appelle de toute mon âme à sentir de nouveau son ventre contre le bas de mon dos, seulement sa grande queue impose une distance entre nous. Il reprend sa pénétration longue, et cette fois-ci décide de forcer un peu lorsqu’il atteint le premier sas au fond de moi. Je suis ouverte à la douleur, je l’accepte, elle se transforme peu à peu en vague chaleureuse, il bouge très peu et reste ainsi plus loin en dedans.
Il me demande si ça va toujours, je réponds dans un souffle que oui et je sens son sexe dur pulser comme un être vivant contre mes parois. Il ressort. C’est grandiose. Il re-rentre, ressort et commence un va et viens plus appuyé. La tension de mon antre petit à petit s’amenuise, et dès qu’il sent que mon corps à pris la mesure de la nouveauté, il reprend sa progression plus en avant. Cette fois-ci, il passe le premier sas sans ralentir et au lieu de stopper quelques centimètres après, comme tout à l’heure, il ne recule plus. Contrairement à ce que j’avais imaginé, il décide d’aller plus loin encore, il force lentement. Je n’ai pas vraiment mal. C’est une sensation toute nouvelle qui s’empare de moi, et je me sens entièrement dominée.
Je sais qu’il pourrait me blesser mais ma confiance en lui est totale car il ne veut que mon bien.
A cet instant précis, son ventre touche mes fesses et le bas de mon dos, et je sais qu’il est entier en moi… SON SEXE EST ENTIÈREMENT EN MOI … Mon esprit lâche soudainement dans un moment d’abandon total. Je l’entend râler de plaisir, lui encore dans la retenue, quand à moi, j’explose sur sa verge, je jouis violemment, sans rien maîtriser, mon corps se crispe, est parcouru de spasmes, mes cuisses se resserrent, mon buste est rouge, ma respiration coupée. Il est surpris et sans faire de mouvements brusque, il me regarde jouir en restant simplement là, bandant comme un fou au tréfonds de mon être. La vague à été fulgurante si fulgurante que ris d’émotion. Puis je ris de la situation, j’ai joui en 5 minutes à peine.
Je suis là en cuillère encore empalée sur sa grosse teub et je me marre comme une débile. J’ai besoin de retrouver mes sens alors je m’extirpe de sa grosse queue doucement. Elle est vaillante, toujours au garde à vous, impressionnante. Je me retourne pour la prendre dans mes mains et je lui souris.
« Oups, j’ai pas maîtrisé ».
« Pas grave, c’était beau à voir ».
On s’embrasse.
Il me dit, « Tu l’a senti tout au fond de toi et c’était bon n’est-ce pas ? »
« Oui »,
« Sache que tu peux me sentir encore plus fort et plus loin si tu le souhaite. »
« Ah oui ? Comment serait-ce possible ? »
« Comme ça », alliant le geste à la parole, il me retourne à plat ventre et se positionne au-dessus de moi. Il pèse lourd sur mon dos, et me glisse à l’oreille qu’il a encore envie de me faire jouir. Sa queue presse contre mes fesses, énorme, ça fait un peu mal sur l’os en bas du dos, alors je la glisse entre mes cuisses.
Tandis qu’il se recule, et qu’il se place en position de pénétration sa queue vient tapoter mon entrée lubrifiée. S’aidant d’une main, il me demande si j’en ai encore envie.
« Bien sûr » je chuchote dans un souffle qu’il fasse attention tout de même.
« Bien entendu ». Je ne sais pas pourquoi mais dans cette position elle me semble encore plus large, ça doit être parce que mon sexe est rassemblé, les jambes collées, allongé sur le ventre, il n y a vraiment que mon petit cul en l’air. Sa bite pèse lourd, et toute sa circonférence me remplit petit à petit, m’écartèle exquisement.
J’ai les fesses tendue, rouge et je sens que mon sexe n’avale pas ce sexe, non c’est bien lui qui me prends, tendrement, dominant. Ma chatte s’entrouvre difficilement et avec bonheur sous la pression de cette énorme teub. J’ai l’impression de découvrir mon sexe comme jamais, chaque interstice de peau caressé en mon sein. Mes parois sont lisses, complètement tendues.
Et la pression, la pression est énorme, cette masse qui me remplie de partout me fait me sentir minuscule, je me sens divinement prise et je sais que je pourrais mourir de plaisir d’une seconde à l’autre, mais je me retiens, je veux que ça dure tellement c’est bon. Mon amant atteint le pallier de la première porte et comme tout à l’heure fait marche arrière, il ne se retire pas complètement, mais ajoute du lubrifiant sur la partie basse de son sexe. Je sais ce que cela signifie et ça m’excite encore plus, il reprend sa pénétration assurément, lentement. Arrivé à la porte, il passe le premier palier et s’arrête afin de s’assurer que je suis toujours tentée par la totalité de son membre.
Je dis « Oui » et c’est moi qui doucement décide de m’enfoncer plus loin, je soulève mes fesses très lentement vers lui et m’empale encore de quelques centimètres sur son chibre, je sens son gland bloquer au fond et toucher un endroit sensible, nouveau. Dans un souffle de détente et de concentration, je joue avec ce nouvel endroit. J’ai l’impression qu’il pourrait aller plus loin, mais je n’en suis pas certaine.
Quand il est comme ça tout au fond, je sens ses couilles et leurs peau douce venir effleurer le haut de mes lèvres et mon clito, c’est tellement bon. Mes doigts sont déjà là, en place depuis longtemps, c’est le kiffe de cette position, se masturber tout en étant prise. Je commence à danser sur sa queue d’avant en arrière doucement car je ne suis pas si libre de mes mouvements, son sexe étant si large. Dans une avancée du bassin, il reprend le contrôle de la danse et nous lions nos mouvements.
J’entends bientôt le son de ses gémissements se transformer en un râle puissant dans sa gorge tandis que son sexe à l’intérieur de moi est parcouru de spasmes. Il jouit très fort, sa queue vibre par à coup, c’est très perceptible par ma chatte et je profite de chaque soubresaut. On reste comme ça longtemps sans bouger, juste à sentir nos corps liés. Puis il glisse sur le côté, se retire et enlève le préservatif. Il fait un petit nœud et le jette dans un coin de la tente nonchalamment.
Nous nous endormons en cuillère, son sexe posé sur ma cuisse, entre mes jambes. Sa main sur mes hanches, bien heureux.
Le lendemain, quand le soleil commence à taper sur la toile, on se risque à l’extérieur. De la petite caravane d’à côté surgissent joyeusement mes deux acolytes, cafés à la main :
« C’est pour vous »
« Bonjour les amis ».
Je souris et dit merci à cette journée qui s’annonce très sympa.
Mon coup d’hier prend le temps de papoter avec mes voisins de camping et nous décidons d’un rendez-vous dans l’après-midi pour aller à la plage. Il me dit qu’il doit aussi répéter, car ce soir il joue avec son groupe, il est batteur et s’appelle Andrea ! Vous imaginez bien que le reste de ma semaine de festival fut très jazzy.