NATACHA

CHAPITRE 1 : VENDREDI

Vendredi 11h45 : quelques dossiers à boucler et je serais enfin en week-end.

Mon portable vibra, un SMS de ma femme : « Mon chéri, rentre vite à la maison, ce week-end je sors avec Natacha »

En lisant ces lignes une chaleur envahit mon ventre. Natacha c’était moi, mon double féminin que ma femme faisait parfois sortir… Il fallait absolument que je rentre à la maison : ma femme aimait la perfection, je devais être épilée, maquillée. Elle ne tolérerait aucun manquement. Je devais être la plus féminine possible. J’étais partagé entre excitation et appréhension car lors des dernières fois où Natacha était là, ma femme avait commencé à me dominer.

Arrivé chez moi, je trouvai sur la table de la cuisine un petit mot de ma femme m’indiquant qu’elle serait de retour à 20h et que Natacha devrait être prête de la tête aux pieds – des vêtements m’attendaient dans notre chambre.

Ce soir je porterais une guêpière corset noire et rouge avec des bas noirs, un string de même couleur et mes escarpins à semelle rouge pourvus de talons de douze centimètres. Sur le lit se trouvait aussi ma perruque au carré brune, des faux seins et une robe de soirée rouge. Enfin, un petit paquet cadeau, destiné à Natacha.

Je commençai par un bain chaud. Pendant qu’il coulait je préparais la crème dépilatoire le maquillage, les faux ongles, les cils factices… Ne rien oublier, être parfaite pour la femme que j’aime par-dessus tout…

Plongé dans mon bain, je me remémorai la naissance de Natacha. 

La routine gagnait notre couple. Un soir, alors que je remerciais ma femme de s’être apprêtée avec de la lingerie sexy, elle me regarda fixement et me dit :

Si tu savais le temps que je passe à me préparer pour te satisfaire…

Je me souviens avoir souri. Elle n’apprécia pas ce sourire et me dit le plus sérieusement du monde que la semaine prochaine, on verrait combien de temps je mettrais à me préparer en femme fatale

N’importe quoi, je suis un homme, je n’ai pas à faire ce genre de trucs.

Tu vois, tu as peur, comme tous les hommes… et ça mettrait du piment dans nos relations… tu sais que j’aimerai faire l’amour a une femme… tu ne voudrais pas être cette femme ? Ou alors je te trompe avec Béatrice ?

Béatrice, sa meilleure amie, son amie d’enfance, une femme superbe, et lesbienne…

Tu vois, tu ne dis rien ! Allez, s’il te plaît, la semaine prochaine, laisse-moi te travestir, on rigolera bien et je te promets que j’accepterai d’être sodomisée… ça fait longtemps et je sais bien que tu adores cela…

Cette dernière promesse finit de me convaincre. Voilà comment quelques années plus tôt tout avait commencé. Trois ou quatre fois par an, je devenais Natacha. Au fil du temps mon travestissement s’améliorait et notre vie sexuelle redevenait intense. Natacha m’avait permis de goûter à des plaisirs que je croyais défendus aux hommes : se maquiller, se féminiser, et se faire sodomiser par un gode ceinture que nous avions acheté ensemble. Quand j’étais Natacha, Marc disparaissait totalement.

De me remémorer mes débuts, j’avais une érection mais ne pouvais m’en occuper de suite, devant d’abord m’épiler intégralement. Lorsque je me rinçai la baignoire était pleine de poils et moi n’en avais plus un seul. Hélène serait contente…

Une fois sortie du bain, il me fallait coller mes faux seins puis enfiler la guêpière/corset, que j’eus un peu de mal à la fermer correctement. Je me sentais cintré dans cette guêpière et justement j’adorais ça. Tendre mes bas sur mes jambes toutes douces ne fit qu’accentuer mon érection. Je ne pouvais pas enfiler mon string, mon érection était trop forte : je me décidais donc à me masturber. Mon éjaculation vint rapidement et mon sexe repris sa taille normale et prit place dans le string comme un petit escargot dans sa coquille.

Avant de me lancer dans le maquillage il me restait la perruque à ajuster… Dans le miroir de la salle de bain je ne ressemblais déjà plus à un homme, mais pas encore à une femme. Au fil des années j’avais acquis de l’aisance pour me maquiller. La pose des faux cils ne fut qu’une formalité. Je terminai par un rouge à lèvre couleur sang, assorti aux faux ongles longs que je collais juste après. J’étais presque prête. Le miroir de la salle de bain renvoyait l’image d’une belle femme, un peu carrée des épaules, mais terriblement sexy dans sa guêpière, ses bas parfaitement ajustés, son maquillage soigné.

Il me restait la robe à enfin lorsque je me souvins du paquet que ma femme m’avait laissé sur notre lit. J’y découvris un plug anal orné d’un bijou et un mot de ma femme : « Je veux que tu l’enfile et que tu le garde jusqu’à mon arrivée ce soir… et ne cherche pas la vaseline, je l’ai emportée avec moi, débrouille-toi pour te l’enfoncer à sec… »

Je mis un peu de temps à introduire le plug dans mon fondement, je n’étais pas habitué sans lubrifiant et mon petit trou peina à s’élargir et à accepter complètement le plug. Sensation nouvelle pour moi, car si j’étais habituée à un gode qui coulissait bien dans mes fesses, avoir cet objet en permanence enfoncé dans mon cul me gênait. Je remis mon string et enfilai ma robe et mes escarpins. Fin prête, il ne me restait qu’à attendre mon épouse.

Un nouveau SMS de ma femme m’ordonna de mettre la table pour une personne et préparer à manger. J’appréciais cuisine, mais m’inquiétais un peu de mettre le couvert que pour une personne. Hélène voulait expérimenter des rapports de domination et soumission, mais je ne me sentais pas prête…

Je commençais à m’habituer au plug, trouvant cette présence plutôt agréable. Mon anus serait bien dilaté, prêt à se faire pénétrer – Natacha s’était toujours fait sodomiser depuis qu’elle existait.

***

20h précise, on sonne à la porte. J’espère que c’est ma femme car personne ne connaît Natacha. Mes talons claquent sur le carrelage, un coup d’œil a l’œilleton, c’est elle, ouf !

Ah Natacha ! C’est pas trop tôt, prends mes paquets et apporte-les dans la chambre.

Bien sûr, ma chérie.

L’un des paquets provient d’une boutique de lingerie de luxe. Il y a aussi un mystérieux sac contenant un petit paquet anonyme.

Tu es très belle, Natacha… Tu as fait ce que je t’ai demandé ? Tourne-toi, remonte ta robe…

Je m’exécute. Hélène baisse mon string et me félicite en me flattant les bourses au passage.

Elle sort alors l’appareil photo de son sac et commence à me prendre en photo !

Que fais-tu ?!

J’immortalise Natacha. Tu es très belle et j’ai décidé d’ouvrir un blog. Nous mettrons des photos de nous deux.

Je ne suis pas d’accord ! N’importe qui peux tomber sur ce genre de photos, j’aurais l’air de quoi ?!

Tu préfères un blog adulte ou ton mur Facebook ?

Tu es une bonne fille, Natacha. Maintenant, fais-moi couler un bain, que je me prépare aussi pour notre week-end entre nanas.

Pendant que la baignoire se remplit Hélène me montre ses achats, un corset en cuir et une paire de bottes avec des talons aiguilles d’au moins quatorze centimètres.

Qu’en penses-tu ?

C’est très beau, ça t’ira à ravir !

Une fois que tu m’auras aidée à serrer mon corset, tu m’appelleras uniquement Madame Hélène ! C’est compris ?

Oui.

Je suis un peu décontenancé par son ton, mais pas surpris. J’attends avec un peu d’appréhension la suite des événements…

J’aide ma femme à sortir de son bain, la sèche et lui passe son nouveau corset. Elle est superbe et mon string en dentelle devient trop étroit.

Lèche-moi !

L’ordre claque dans la salle de bain. Je me mets à genou devant elle et glisse ma langue dans son intimité à la recherche de son bouton d’amour. Je déguste son nectar, m’attarde sur ses lèvre et m’applique du mieux que je peux. Mon sexe est en totale érection et sa bosse déforme ma robe.

Stop. Va dans ma chambre chercher mes bottes…

Oui, Madame Hélène.

C’est bien, petite salope, tu comprends vite…

Quand je reviens avec les bottes, Hélène à enfilé ses bas, les a attachés à son corset et a remonté ses cheveux en queue de cheval. Ça lui donne un air autoritaire que je ne lui connaissait pas… je l’aide à enfiler ses bottes. Perchée sur ses talons elle me fait presque frissonner

Natacha, petite salope, rien ne te choque dans ta tenue ?

Je me rends compte alors avoir oublié les boucles d’oreilles et collier de perles qu’elle aime me voir porter…

Je me dirige vers la boîte à bijoux, sous son regard moqueur.

C’est mieux ainsi, Madame Hélène ?

Petite salope, tu crois qu’une femme digne de ce nom déforme sa robe de soirée avec une érection ? Va dans la chambre, petite salope, et plus vite que ça.

Bien, Madame Hélène.

Elle m’ordonne alors de m’allonger et s’installe à califourchon sur moi, me donnant son sexe à lécher. Elle soulève ma robe, baisse mon string en dentelle et commence à me sucer. Elle fait jouer sa langue sur mon gland, remonte le long de ma tige. De sa main libre elle s’amuse avec le plug que j’ai toujours dans le cul. Je sens le plaisir monter. Bientôt je suis incapable de me retenir. Hélène accélère les mouvements du plug et serre fort mon gland. Je jouis dans sa bouche en poussant un cri.

C’était bon, ma chérie, non ?

Oui, Madame Hélène….

J’ai failli jouir aussi. Tu te sers merveilleusement bien de ta langue, mais maintenant on va attendre que ton sexe de salope rétrécisse…

Il ne faut pas longtemps pour que mon sexe retrouve sa taille normale.

Madame Hélène sort d’un des sacs un boîte qu’elle ouvre en disant :

En cage ton petit oiseau !

???

Eh oui, c’est une cage de chasteté. Tu vas la garder tout le week-end, comme ça je suis sûre qu’on pourra se gouiner comme deux petites femelles en chaleur…

Euh…

Tu n’as pas le choix Natacha !

Je me laisse encager et c’est clair que je ne pourrai plus bander avec ça. J’ai l’impression de perdre pied…

Elle remet délicatement mon string en place, réajuste ma robe, et en me regardant droit dans les yeux…

Reprends ou tu en étais, ma chérie, lèche-moi, j’ai tout mon temps…

Je me remets entre ses jambes et enfouis ma langue dans sa grotte, toujours à la recherche de son bouton d’amour…

Caresse mes seins.

Je suis allongée la tête entre les jambes de ma femme, et mes bras en l’air cherchant ses seins. Je les caresse, joue avec les tétons… Sa respiration accélère et elle resserre les cuisses sur mon visage.

Hummm petite salope, je jouis ! Je jouis !…

Son orgasme terminé, elle me repousse et me demande de lui servir à boire.

Je pars dans la cuisine juchée sur mes talons aiguilles, ma queue encagée, le plug enfoncé entre mes fesses. Je ne sais pas si cette chaleur qui me dévore le ventre correspond à de l’excitation ou de l’humiliation – sans doute les deux.

Je remplis deux coupes de champagne et demande à madame Hélène, où je dois les servir.

Les servir ? Mais je n’attends personne petite salope, sers-moi dans le salon et va faire chauffer le dîner.

Bien madame Hélène.

C’est la première fois que les jeux de domination se poursuivent au-delà du sexe et je me sens perdu.

Une fois le repas servi elle m’ordonne de passer sous la table pour la lécher tandis qu’elle mange. Elle gémis de plaisir et me complimente sur ma cuisine. J’ai la bouche rempli de cyprine et lèche avec ardeur.

Une fois le repas achevé je rejoins ma femme dans la chambre. Elle m’attends sur le lit, gode-ceinture enfilée, prête à m’enculer.

Petite salope, vient me sucer le gode et salive bien…

Je n’ai d’autres choix que de prendre ce phallus artificiel dans ma bouche. C’est la 1ere fois. J’essaie de le sucer du mieux que je peux.

On dirait que tu as sucé des queues toute ta vie ! Tu y prends goût, ma parole. Je suis sûre que tu préférerais une vraie queue… Une prochaine fois, je chercherais pour toi !

Je ne sais pas si elle plaisante ou non, mais ce qui est sûr ce que je n’ai pas la moindre envie d’un vraie bite dans ma bouche, ni ailleurs !…

Mets-toi en levrette !

À quatre pattes face à la psyché, je me vois, femme dans le miroir. Elle retire mon plug et le remplace par le gode dont le sens le gland s’enfoncer entre mes fesses. Le plug m’a bien dilaté et la bite artificielle, plus grosse, me remplit entièrement. J’aimerai bander, mais ma queue emprisonnée dans sa cage ne peux grandir comme elle souhaiterait.

Hélène m’encule d’abord lentement puis accélère la cadence, en me traitant de petite salope soumise, de gouine… Une énorme chaleur m’envahit, j’aime sentir ce gode entre mes fesses, et de ne pas bander m’ouvres de nouvelles sensations.

De mon ventre part comme une décharge électrique qui me parcours tout le corps. Tandis que ma femme continue de me pilonner les fesses je jouis comme jamais joui, sans éjaculer. Mon sexe est toujours enfermé et j’ai l’impression que mon corps éclate en mille morceau, peut-être que pendant une seconde je perds connaissance. Je m’écroule sur le lit. Ma femme se retire de mon cul et me caresse tendrement en me disant qu’elle m’aime et me demandant si j’ai aimé.

Si j’ai aimé ? Oui chérie, jamais ressenti cela…

Alors à toi de me prendre maintenant, mais par devant.

Elle s’allonge sur le dos et ouvre ses cuisses.

Chérie, enlève-moi cette chose, dis-je en lui montrant la cage de chasteté.

Elle éclate de rire :

Non, Natacha, toi aussi tu vas utiliser le gode. D’abord, il est plus épais et long que ton sexe, et surtout jusqu’à dimanche tu es ma petite pute, pas un homme, ne l’oublie pas.

Je ne me suis jamais sentie aussi humiliée de ma vie. J’ai envie de pleurer, mais j’ai accepté ce jeu, alors j’obéis. Une fois le gode-ceinture enfilé elle me prend en photo une nouvelle fois. Presque naturellement, je pénètre ma femme et je commence à donner des coups de reins comme si je la baisais normalement. Elle m’ordonne d’accélérer et continue de me prendre en photo…

Lorsqu’elle jouit elle me prend dans ses bras et nous nous embrassons à pleine bouche. J’éprouve des sensations troublantes et que j’ai du mal à analyser.

Je t’aime ma chérie, dit-elle entre deux baisers.

Moi aussi je t’aime, Hélène.

Je lui demande une nouvelle fois de me débarrasser de cette cage qui m’emprisonne la bite.

Pas question ! Le week-end n’est pas fini, mais allons-nous changer pour la nuit, j’ai un cadeau pour toi.

Une fois dans la salle de bain, ma femme m’offre une superbe nuisette violette et un string assorti…

Merci chérie, je suis émue…

Je vois… allez, petite sotte, enfile-là ! Je suis certaine qu’elle t’ira à merveille. Et ton oiseau en cage… sur ton sexe épilé, j’adore et le voir en transparence sur ton string ça me fait mouiller….

Elle m’embrasse à pleine bouche…

Allez, démaquille-toi le visage pour la nuit, mais garde ta perruque et tes ongles, tu gagneras du temps pour demain matin. Et pour une fois garde tes bas pour cette nuit, j’aime bien caresser tes jambes soyeuses…

OK, chérie.

Comment ?

Pardon : oui, Madame Hélène.

C’est mieux. Et n-oublie pas de remettre ça pour la nuit…

Elle me tend le plug.

Je retourne au lit et épuisée commence à m’endormir. J’éprouve des plaisirs inédits et que j’ai pour l’instant du mal à analyser. Je me demande ce que me réserve ma femme pour demain.

Hélène me rejoint, se love contre moi et me souhaite une belle nuit. Sa main trouve naturellement sa place entre mes cuisses et nous nous endormons, amoureux…

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